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Histoire taboues : La transformation sexuelle d’Odile Chapitre 2

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ODILE OBEIT A SAM.

Odile est tétanisée, elle ne s’attendait pas à cela, elle tremble de peur et de surprise.
– Je vous l’offre, elle est à vous.
Mais il est hors de question de sauter dessus tous ensemble, pas de violence, sinon tout est permis. Les ouvriers crient de joie en cœur.

Les ouvriers qui n’ont pas encore sorti leurs engins le font, ils sont tous devant elle. Les yeux d’Odile reflètent l’incompréhension, même dans ses rêves les plus fous, elle n’aurait jamais imaginé qu’un jour, qu’il y aurait autant d’hommes pour la baiser.

Sam lui donne un coup de règle plate sur les fesses. – Allé, au boulot ! Suce l’africain !

Même si elle se sent utilisée et salie, Odile obéit à sa sœur. Elle s’accroupit devant un colosse d’ébène, elle n’en revient pas, son sexe fait bien vingt cinq cm pour six de large. Elle prend sans ménagement le gland en bouche puis le pompe. De sa main droite, elle branle la longue hampe tout en pensant que tout à l’heure, elle l’aura certainement en elle. Elle gobe littéralement cette queue. Odile s’interroge ? C’est quand la dernière fois que j’ai sucé Alain ?

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Les autres râlent un peu.
Une queue plus petite se présente, elle la prend, elle sent des mains lui caresser les fesses, le dos, les cuisses.
Elle suce, passe de sexe en sexe, elle a un peu mal à la mâchoire, mais elle prend goût à cette pluralité massive. Ses mains masturbent tout ce qu’elles peuvent attraper. Elle n’a jamais vu autant de bites bien dures. Elles sont toutes différentes et tellement plus grosses que celle d’Alain.


On lui malaxe les seins et ses tétons sont en feu. Des doigts lui fouillent la moule et l’anus. Tous sont corps n’est qu’attouchement de plaisir et désir de tous.
Un turc s’impose dans sa bouche, il est large, mais pas trop long. L’homme prend sa tête dans ses mains et par coups de reins, il lui laboure la bouche jusqu’à s’épancher abondamment. C’est le premier qu’elle avale, mais pas le dernier.
Elle se relève, tous sont passés et elle a besoin de souffler un peu, elle en a avalé de la semence. Le surplus, qu’elle n’a pas pu avaler, et aux commissures de ses lèvres.

Sam surveille avec un rouleau à pâtisserie dans la main.
Odile est entourée par cette troupe, ils sont tous nus. Certains avec leurs téléphones, elle sait qu’elle va faire la une du chantier pendant de longs mois.
Les membres en érections se frottent contre ses cuisses, ses fesses.
– Laissez-la respirer un peu messieurs. Table haute ou table basse ? Ma chérie !
Elle choisit la table haute, elle pourra se poser un peu.

Un homme l’aide à s’allonger sur la table, les fesses au bord, les jambes pendantes.
Babakar, avec ses vingt cinq cm, s’approche, il place les pieds d’Odile sur ses épaules musclées et fait glisser son membre le long de la fente humide. Deux hommes se mettent à lui sucer les seins, le peu de sperme qui est dessus ne semble pas les ralentir dans leurs ardeurs. Elle sent sa poitrine se faire aspirer tandis qu’une main anonyme lui caresse le clitoris.


Babakar présente son gland lubrifié de mouille et de gel contre la porte de ses reins et il pousse lentement, la porte s’ouvre, sur un râle de douleur d’Odile.
Son anus se dilate de plus en plus, elle se souvient que le gode ceinture de sa sœur n’était pas si gros.

– Ça ? ÇAA ! fait mal ? S’il vous plaît ? Non !

Avec Alain, elle avait essayé qu’une seule fois d’avoir une relation anale. Mais, il n’avait pas pu rester assez dur, pour tout pousser à l’intérieur.

Le gland passe entièrement, puis le géant continue, il s’enfonce progressivement sans s’arrêter.

Elle se sent remplie de plus en plus, comme jamais et ça continue. Elle a peur que la longueur ne pose un problème, mais cette inquiétude disparaît quand deux ou trois doigts, lui écartent les lèvres et entrent et sortent rapidement.
Tout cela la fait mouiller abondamment et de petits flocs ! Flocs ! Flocs ! se font entendre.

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– S’il vous plaît ? Doucement ? Vous êtes tellement gros ! AARRF ! OORRF !

Odile se sent prise comme une pute. Elle ne maîtrise plus rien et elle décide de le prendre pour du plaisir.
Les couilles de Babakar se collent contre ses fesses, elle en est surprise.
Il commence de lent va-et-vient, qui progressivement se font de plus en plus rapides. L’homme lui maintient les hanches avec ses mains, les autres se sont reculés.
Les coups de boutoirs sont si forts que sa poitrine s’affole dans tous les sens.
Des queues se présentent contre ses mains, elle les prend et les branle, un arabe s’approche de sa tête, il la fait pivoter vers lui et fourre sa bite dans la bouche d’Odile.

Comme elle a du mal à le sucer, il lui prend la tête et fait lui même les va et vient. Le braquemart de Babakar lui labourent le fondement, il est si long et si gros qu’elle a l’impression qu’il va la déchirer, mais il glisse en elle avec virtuosité.
Il ne la ménage pas, on peut même dire, qu’il y va comme un gros bœuf, tout le corps de la femme bouge à chaque coup. Le spectacle doit plaire, car elle sent deux giclées chaudes se répandre sur sa poitrine en mouvement.


Mohamed qui s’occupe de sa bouche, lui éjacule dans la gorge. Elle a à peine le temps de déglutir qu’un autre se présente. C’est un homme mûr ventripotent, sa queue gris marron et épaisse passe entre ses lèvres entre-ouvertes. Il lui attrape les cheveux et lentement en prend possession. Elle fait tourner sa langue autour du gland.

Babakar se fige entièrement en elle et pousse un grognement, une onde chaude déferle dans ses intestins, puis le monstre se retire, elle sent que son anus ne se referme pas complètement.
Un autre arabe vient s’occuper d’elle, il se glisse entre ses jambes et d’un coup sec fait entrer son membre dans sa moule. Il va vite et fort, il n’est pas large, mais long et son gland tape le fond de son vagin.


Tout son corps est parcouru par des décharges de plaisir et de chaleur, elle crie de plaisir malgré elle. Cet orgasme, lui fait contracter ses muscles vaginaux, ce qui lui fait beaucoup plus sentir la bite en elle.
Un jeune homme se met à califourchon sur elle, une jambe de chaque côté, il met son sexe entre ses seins, il lui attrape les tétons et fait recouvrir sa queue.

Le vaillant gaillard joue au marteau pilon entre ses seins et chaque coup lui fait pincer les tétons. Un homme dans sa bouche, un entre les seins, un entre ses cuisses.
Sam et quelques autres filment et mitraillent l’orgie.
Les trois viennent les un à la suite, d’abord dans la bouche, puis dans le vagin et enfin entre ses seins.
– Bon, on va un peu changer.
Sam aide sa sœur à descendre de la table. Toute flagellante.
– Ça va ? Demande t-elle à Odile.
– Oh ? Oui !

Elle lui tend un verre d’eau. Odile prend quelques gorgées bien rafraîchissantes.
Du sperme glisse de ses seins à son ventre, de petits filets s’échappent de ses lèvres intimes et de son anus.
– Assied toi sur le rebord, jambes bien écartées.
Odile s’exécute sans souci, Sam la film et prend de nombreuses photos de ses orifices dégoulinant de semences. Elle désigne un homme du doigt.
– Toi, allonge toi sur la table basse.

Un autre géant d’ébène s’avance, tout aussi bien monté que l’autre, il s’allonge.
– Allez ! Ma pute, empale toi sur lui.
Odile s’approche, elle se place sur la table basse, il y a juste la place pour qu’elle s’accroupisse au dessus de l’homme.
Elle prend sa queue, grande et large, frotte le gland contre sa moule et la fait entrer. Elle est dure comme la pierre.


Lentement, elle s’empale jusqu’à la faire complètement disparaître. Elle ne bouge plus et profite de cette sensation d’avoir un monstre pénien dans son vagin. Moussa lui masse les seins de ses grandes mains, il joue, étale le sperme.
Un moment de grande douceur, puis il donne des coups de reins qui soulève Isabelle, elle a l’impression de s’envoler. Un turc battit comme une armoire à glace se place dans son dos, il passe ses bras sous les siens et lui attrape les seins que Moussa vient de lâcher pour plus de stabilité.

Odile crie, elle se sent assailli par un marteau piqueur et dans la position où elle se trouve, les sensations lui semblent décuplées.
Elle se sent telle la balle que l’on fait rebondir sur une raquette. Elle accompagne les mouvements du black, puis elle n’en peut plus, c’est trop, elle veut descendre, mais le turc la pousse en avant. Pour ne pas s’effondrer sur Moussa, elle a le réflexe de placer ses mains de chaque côté de la tête de l’homme.

Il s’empresse de la prendre dans ses bras, autant pour la protéger que pour l’empêcher de se relever.
Elle plonge ses yeux dans ceux de son sauveur, une passion sauvage passe en eux, quand elle sent les mains du turc lui écarter les fesses et entrer son sexe dans son anus. Visiblement il est long et fin, avec un gland bien gros, un changement de sensation bien agréable.

Moussa suit le rythme, quand il pousse, l’autre se retire et ainsi de suite.
Cette doublette, la rend folle et ses cris couvrent le flot de remarques des ouvriers.
De temps en temps L’un de ses assaillant s’arrête, et là le deuxième lui défonce l’orifice, ils alternent régulièrement.
Odile ne le veut pas, mais contre toute attente, elle jouit encore, elle voudrait faire une pose, mais ils en ont décidé autrement, ils ne pensent qu’à eux.
Le turc jouit en elle, il se retire, un russe prend sa place. Il est monté comme un cheval, il prend la même place que le précédent, elle se sent prise, soumise et désirée. Au bout de quelques va-et-vient il se retire.

Odile ne comprend pas, jusqu’à ce qu’elle sente ses lèvres intimes, déjà prises par Moussa s’écarter.
– AAAAARRF ! NOONON ! OOOOOUUUUUUIIIIII !
Sacha glisse son mandrin contre celui de Moussa, ils ont à peu prêt le même calibre, mais pas la même longueur, ce dernier est plus court.
Les deux hommes vont et viennent en même temps, elle ne peut plus bouger, c’est trop gros, trop fort, trop tout. Elle se sent écartelée, défoncée.

Ils accélèrent
– NOOOOO ! NNNNOOOOOONN ! RRRAAAH !
Sam s’approche et fait couler un peu d’huile de table entre les lèvres et la queue russe. Ça glisse plus facilement, la respiration d’Odile s’accélère, elle halète, elle n’est plus elle même, elle se sent comme un trou qu’on utilise. Mais un trou extraordinaire, qui lui donne énormément de sensations nouvelles et fantastiques.
Moussa prend un sein et suce une aréole, puis l’autre, puis il s’y agrippe fortement quand la montée de sève jaillit ce qui fait jaillir celle du russe.

Le trio reste immobile quelques instants, après chacun se trouve libéré.
Sam est allé chercher une chaise dans la cuisine ? Elle fait s’asseoir sa sœur, et lui offre de nouveau un verre d’eau.
– Alors, salope, tu prends ton pied hein, ce n’est pas ton cocu de mari qui peut t’offrir ça ? Tu as perdu ta langue ?
– Oui ? C’est vrai.


Sam écarte les cuisses d’Odile, son vagin est très dilaté, et une petite rivière visqueuse s’en échappe. Malik s’agenouille au pied d’Odile, il lui fait avancer ses fesses vers le bord de la chaise.
Il lui montre une courgette, qu’il a trouver dans la cuisine, il l’enfonce doucement dans l’anus, puis c’est une grosse aubergine qu’il enfonce dans la moule baveuse d’Odile. Elle rentre avec une facilité incroyable. Heureux de son exploit, Malik présente une plus petite courgette à l’entrée des reins d’Odile déjà occupée.
– NON ! Pas deux là, non pas deux. Demande fortement Odile.

Malik essaye de pousse le légume. Mais, Sam intervient
– Elle a dit non !
L’homme repose la courgette et prend d’une poche de son pantalon d’électricien, deux pinces à ressort ? De son pouce et son index, il attrape un téton, ensuite y place la pince, Odile pousse un petit cri, il réitère avec le deuxième, elle repousse un petit cri.


Autant les légumes ne la gène pas, que les pinces ? Cette sensation de tension forte, permanente est difficile à gérer.
Un homme trapu lui présente son sexe, elle le prend, elle le suce, l’aspire, le pompe. Elle donne le meilleur qu’elle puisse faire, une verge de petite taille, ça change.
Malik, dépité, il retire l’aubergine de la moule d’Odile. Il ferme son poing et le fait entrer dans la chatte béante, fortement lubrifier de foutre et l’huile.

Il le fait sortir complètement puis entrer de nouveau, il y va doucement, mais avec fermeté. Elle sent une chaleur envahir son bas ventre, le désir la reprend et la douleur aux tétons se transforme en de puissantes décharges de plaisir.
Plus le poing joue avec elle, plus elle pompe celui qu’elle suce. Elle pompe si fort qu’il éjacule, elle en avale la totalité.

Elle a besoin de se lever, elle se redresse, la courgette anale est éjectée, mais Malik ne veut pas sortir son poing.
Elle marche comme elle peut jusqu’à la table basse et se met à quatre pattes.
Malik sort son poing et l’encule comme un diable déchaîné, il grogne à chaque coup. Les derniers hommes font la queue, soit près de sa bouche, soit derrière Malik.

Elle suce comme une diablesse, elle vide les couilles de ses clients. Les décharges s’accumulent, elle bave du sperme.
Malik donne de si grand coup de reins, que sa poitrine tape de temps en temps dans son menton. Les pinces irradient de plaisir sa poitrine.
Malik se vide et laisse sa place. Ils sont tellement chauds, qu’ils ne prennent plus leur temps. Ils y vont à fond et si vident rapidement dans son cul et sa chatte. Tout n’est plus que pilonnages successifs et éjaculations. Pour Odile, c’est comme une fin de marathon dans lequel tout s’accélère et où chacun donne tout ce qu’il a.

Ils sont si nombreux et elle est si fatiguée. Combien de bites se sont déjà vidées en elle, exactement ? Elle ne sait même pas. Elle n’avait aucune idée de ce à quoi pouvait ressembler deux heures de baise interminables.

Elle ne peut plus sucer, elle ne fait que prendre et recevoir, elle jouit à répétition et râle un plaisir incontrôlable.

Elle tourne la tête, il n’y en a plus que trois, un portugais qui est en train de jouir et Babakar et Moussa.
L’homme se retire, Babakar la fait se lever, des flots visqueux sortent de ses orifices et coulent le long de ses cuisses. Elle enlève les pinces, c’est trop. Babakar s’allonge sur la grande table. Moussa, avec ses bras musclés, la fait monter. Elle chevauche le géant noir et s’empale, ça passe beaucoup plus facilement à présent. Elle est assise, monte et descend le corps luisant et dégoulinant de sperme.

Moussa se présente derrière elle, elle se penche, il la sodomise lentement.
– AAARRF ! RRROOOH ! MMMMM !
C’est la sensation la plus forte de la partie. Elle a l’impression que les deux hommes ont l’habitude de faire ça ensemble tant ils la pilonnent parfaitement.
Deux fois vingt cinq cm de longueur, deux fois six cm de diamètre, c’est tellement fort et bon.


Elle, la bonne mère de famille, se fait prendre en sandwich par deux étalons noirs.
Quand elle se sent vider de son anus, c’est sa chatte qui se remplit et ceci en alternance. De temps en temps, ils se reculent ensemble pour d’un coup sec rentré en elle d’un coup sec jusqu’aux couilles.

C’est ce qu’elle préfère de cette après midi, à ce moment là, elle entre dans une extase puissante.
Le duo a bien compris et il en joue habilement jusqu’à accélérer leur cadence pour un sprint final explosif. Ils jouissent tous les trois de concert.
Isabelle est dans un autre monde, ses sens sont en ébullition, elle ne contrôle plus rien, elle est comme droguée. Une jouissance qui perdure, un corps qui réclame le calme tout en gérant le plaisir qu’il vient de recevoir.

Quand elle reprend ses esprits, il n’y a que Sam et elle dans la maison.
– Comment va ma pute ?
– Ils m’ont vidé tes clients. Est ce que je peux aller prendre une douche ?

– Hors de question, Odile. Tu n’as pas le temps. J’ai encore des clients pour toi !

– Non je n’ai pas le temps ! Alain m’a dit qu’il serait de retour à la maison vers dix sept heures. Je peux au moins aller mettre mon diaphragme, s’il te plaît ?

– Il est quinze heures trente, penses-tu vraiment que tu as le temps pour cette connerie ?

C’est comme ça avec Sam. Odile est non protégée contre les maladies et la fécondation. Elle a été remplie de sperme chaud dans tous ses orifices. Elle doit encore prendre une douche, changer la housse du canapé, nettoyer les tables et le sol, pleins de tache de sperme. Et aussi donner du plaisir à un groupe d’hommes inconnus. Avant que son mari ne rentre avec les enfants. Il lui reste une heure pour tout ça ?

Heureusement qu’ils ne sont que deux.

– Amusez vous les gars, et dites-le à tous les hommes que vous connaissez ? Proclame Sam.

Odile, a sa grande surprise, constat elle même, qu’elle fait de son mieux pour exécuter tout ce qu’il lui demande. Mais, le plus fort, c’est qu’elle commence à s’habituer à se faire baiser à la chaîne.

Elle a jeté un coup d’œil à l’horloge et elle a remarqué qu’elle n’avait plus beaucoup de temps. Elle décide que la meilleure chose à faire, c’est de les terminer en même temps. C’est en sandwich, qu’ils vident leurs couilles dans la pute d’Odile.
A partir de ce jour, elle prend l’habitude d’avaler le sperme et aime bien les sensations du liquide qui sort du sexe, coule dans sa gorge.

Odile vient à peine de rentrer sous la douche quand Alain rentre à la maison. Alain invite Sam à rester dîner avec eux, pour un barbecue dans le jardin. Odile essaie d’agir aussi normalement que possible, comme si rien ne c’était passé sans eux.

– Alors ? Odile, tu as aimé ça et tu le sais très bien. Ne fais pas la jeune femme, douce et innocente ? Pas avec moi !

– Je n’ai pas du tout aimé ça ? Ne dis pas cela, Sam. C’est faux !

– C’est faux ? Alors que tu as pris ton pied huit à dix fois au moins ? – Tu m’y as forcé ! Et puis cela a été plus fort que moi. Je ne le voulais pas jouir.

– Quoi ? Quelles photos ?

Sam, lui explique alors, que dans le courant de l’après midi, elle avait pris une multitude de photos très explicites et carrément très crues, d’Odile entrain de sucer des bites et avaler leurs jus. On voit aussi te faire baiser et sodomiser par Dieu sait, combien d’hommes. Sam insiste beaucoup sur le fait qu’Odile risque d’avoir de très gros problèmes si ses photos tombent entre de mauvaises mains.

C’est à ce moment là, qu’Odile ne sait jamais aussi sentie plus humilier, plus dégradée, plus salie et aussi plus coupable, de toute sa vie avant cette journée.

Sam allume l’écran de son portable. – Voilà ! Regarde donc par toi même, sœurette ! Elle fait défiler les photos où l’on voit Odile jouir avec plusieurs hommes dans des copulations scabreuses. L’apothéose, quand elle est prise en sandwich, on ne voit que le blanc de ses yeux, car elle jouit. – A voir ça, on ne peut pas dire que je t’ai forcé à le faire, non ? Nous dirons juste que tu es photogénique dans ses moments là Odile !

C’est alors que sa tordue de sœur, explique à Odile son plan. Sam a l’intention de mettre sa sœur en location à l’heure, contre de l’argent. Ce sera pendant les jours de la semaine, chez Odile, quand personne ne serait à la maison. Mais quand une occasion se présentera, ce sera ailleurs, dans un lieu choisit par le client. Pour commencer, le tarif pour Odile sera bas, le temps nécessaire pour qu’elle se forme afin de devenir la meilleure des putes qu’elle peut être.

Bien sûr, Sam, gardera pour elle, tout ce qu’Odile gagnera. Cependant, Sam donnera à Odile une petite allocation pour payer ses contraceptifs et des babioles, qui doivent avoir un rapport avec son nouveau travail. Elle ne doit plus porter de sous-vêtement et se faire épiler l’entre jambe. – Alors, Sam, je suppose que je n’ai pas le choix ? – Oui ! En effet, tu n’as pas le choix Odile ! Odile sait qu’elle ne peut plus reculer et ça lui fait terriblement peur. Elle est coincée.

La première nuit de sa nouvelle vie est longue et sans sommeil. Odile se sent comme malade. Qu’est ce qu’elle va devenir, elle a honte de ce que va lui faire faire sa sœur. Mais, pourquoi Sam lui fait ça, pourquoi ?

Sam Botte

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