La découverte de SAM
Depuis sa soumission à Sam, Odile a bien changé. Son mari a constaté avec surprise que ses tenues ont changé, alors qu’auparavant, elle s’habillait de façon conventionnelle, voilà qu’elle s’exhibe maintenant dans des tenues très sexy.
Elle porte des mini-robes, des mini-jupes, ses corsages révèlent tout de sa poitrine, exposant aux yeux de tous ses seins, elle semble toujours très élégante, mais porte des tenues extrêmement provocantes. Alain, son mari adorent la nouvelle apparence de sa femme.
Odile a aussi suivi les instructions de sa sœur, elle s’est fait épiler totalement l’entre cuisse. Son mari, Alain en frémit de plaisir et l’a baisaé deux fois de suite la nuit où il s’en aperçut.
Odile se prépare, conformément aux instructions de Sam, elle s’habille seulement d’une courte robe noire décolletée, sans aucun dessous.
A dix heures, Sam sonne à la porte. Elle est accompagnée de quatre clients et d’un vieil homme âgé, en djellaba.
– Bonjour, ma pute de sœur, je vois que tu as suivi mes instructions. Dit elle en flattant la croupe d’Odile, qui trahit son absence de lingerie. – Fais donc plaisir à tes clients, en leur montrant tes talents.
Sam va dans le frigo pour se servir une boisson, pendant que les quatre lascars qui se sont immédiatement rapprochés d’Odile. Ils ne perdent pas de temps. Ses seins empoignés, sa robe enlevée, elle a déjà une bite dans la bouche, pendant qu’un autre, profitant de sa moule offerte, y introduisant déjà son gland.
La fête continue, Odile est au centre des attentions.
Elle chevauche un des clients qui s’est assis dans le canapé pendant qu’un autre, debout, lui baise la bouche.
Un autre s’approche :
– Eh les mecs, il y a encore de la place pour moi ?
Il se positionne derrière Odile et entreprend de lui introduire un imposant membre dans l’anus. Curieusement, la grosse verge n’a aucun mal à entrer ?
Sam, assis sur le canapé d’en face, se délecte du spectacle qui lui est offert.
Odile, sa sœur esclave, se fait triplement pénétrer par ses clients, le tout accompagné de râles de plaisir qui ne laissent aucun doute, quant à ce qu’Odile ressent.
Au bout de cinq minutes de ce traitement, elle ne tarde pas à crier son plaisir, accompagnée de ses trois baiseurs qui éjaculent presque en même temps en elle.
Les trois hommes se relèvent et partent se chercher à boire, laissant Odile récupérer de ses orgasmes sur le canapé, et vider quelque peu ses orifices remplit de sperme.
Sam, qui n’a pas perdu une miette du spectacle, éclate de rire :
– Eh bien, ma sœurette, on peut dire qu’ils ne te ménagent pas !
Elle s’occupe de son petit caméscope. En levant la tête, elle s’aperçoit qu’Odile n’est plus sur le canapé et que trois clients s’impatientent en buvant une bière.
– Bien ! Vous pouvez encore la baiser. Où es-tu, ma pute ?
Sam se lève et va à la cuisine où s’est rendue Odile pour chercher un peu d’eau. Seulement un des clients qui est aussi dans la cuisine et profite de l’arrivée d’Odile pour se payer une petite tranche de sa chatte pour lui seul.
Elle est assise sur le plan de travail, les cuisses écartées, il est entrain de la pistonner comme un malade. Ses seins sont littéralement tétés par le type.
– Elle est trop bonne ta pute, ça me rend fou ses beaux seins ! S’excuse le baiseur.
– Bon ça va finis la et après emmène la dans le salon. On va s’occuper de l’autre”
Le gars reprend ses coups de bite furieux dans la chatte d’Odile tandis que Sam retourne au salon.
Sam croise le regard du vieil homme, il la fixe intensément.
A peine a t elle croisé le regard du vieil homme, qu’elle n’arrive plus à s’en détacher. C’est comme s’il arrivait à entrer dans son esprit.
Et dans les faits, c’est exactement ce qui se passe. Il force Sam avec une facilité et une rapidité déconcertantes.
– Tu n’obéis qu’à ma voix, tu es maintenant sous mon emprise. Ton corps m’appartient. A tu compris ?
– Oui. Répond Sam, les yeux dans le vague, comme une automate.
Là, Sam est debout au milieu d’une assistance très attentive. Le vieil homme donne ses directives à celle qui n’écoute que sa voix.
– Déshabille toi !
Sam tombe sa robe et son soutien-gorge et le son string rouge suit vite le même chemin. Elle est à présent nue au centre de cette horde avide de sexe qui ne pense plus qu’à exploser ce petit cul bien soumis.
Trois de ses clients la mènent vers la chambre à coucher et commencent à caresser ses seins, ses fesses, sa vulve. L’un d’eux enfonce sa langue dans la bouche de Sam. Ce traitement ne tarde pas à faire de l’effet sur la jeune femme qui commence à mouiller.
– Bien, elle commence à mouiller cette maquerelle, ça lui plaît, on va bien la défoncer comme elle le mérite ? Lance l’un d’eux.
Il s’allonge sur le lit, nu et guide Sam qui vient doucement s’empaler sur sa bite, sans aucune difficulté. Il commence de profonds va et vient dans le vagin ainsi conquis. Elle, qui n’a plus fait l’amour depuis son adolescence, dont elle garde un mauvais souvenir. Pourtant, elle ne tarde pas à trahir son plaisir par quelques gémissements.
Au bout de deux minutes de ce traitement, son baiseur apostrophe les deux autres gars, qui se contentent de mater en se branlant
– Allez les mecs, venez, on a payé ! Elle est chaude comme on l’aime, elle en veut ?
L’un se place face au visage de Sam, empoigne ses cheveux et introduit son membre gonflé dans sa bouche, manquant de l’étouffer tellement, il s’enfonce profondément. Après un haut le cœur, elle commence une fellation.
L’autre, comme à la parade, vient remplir un peu plus le vagin de Sam. L’entrée d’une bite, de plus en elle, la fait tressaillir, mais la douleur de la pénétration initiale laisse bientôt place à un intense plaisir dû aux va et vient des deux hommes.
Dans le salon, Odile revient, enfin libérée de la cuisine par son partenaire empressé, mais au vagin copieusement rempli de ses œuvres. A chaque pas qu’elle fait en direction du canapé, elle laisse échapper de son puits d’amour une goutte de foutre qui s’écrase sur le carrelage.
– Allez viens là ma belle, tu dois me donner du plaisir. Réclame le vieux.
L’homme présente son sexe à Odile qui se met à genoux, pour offrir une caresse buccale à son client. Elle commence par lécher le gland, puis poursuit par une fellation des plus professionnelles.
Celui qui n’est pas sucé est branlé pour le remettre en forme.
– Putain, mais c’est une vraie pro cette pute ? Dit le vieux dans un râle.
– Celle d’a côté n’a pas l’air mal non plus ?
D’étonnement, Odile a faillit mordre la bite dans sa bouche. Elle n’arrive pas à croire que sa sœur lesbienne, se fasse baiser par un homme. Mais, dans la chambre à coucher, on entend les cris de plaisir de Sam qui se font de plus en plus forts et de plus en plus rapprochés.
Ses trois baiseurs ne lui laissent aucun répit et la pilonnent comme des malades en lui lançant des paroles salaces :
– Ça te plaît de te faire baiser comme ça, hein ? Sous tes airs bien respectables, tu es qu’une pute qui veut des bites bien dures !
Celui qui se fait sucer lui baise carrément la bouche, tenant sa tête des deux mains, lui enfonçant sa bite au fond de la gorge.
L’un des deux autres est passé de son minou à son anus, qu’il investit avec rage.
Au bout de cinq minutes de ce traitement intensif, les trois gars n’y tiennent plus et lâchent leur semence en Sam, comme pour bien affirmer leur possession.
Ensuite, sans même lui jeter un regard, ils vont se doucher, laissant Sam pantelante, mais repue de sexe sur le lit, ses orifices dégorgent de sperme.
Odile, de son côté, après avoir épongé le vieux, fait une cravate de notaire à l’autre gars, jamais rassasié. Il finit par éjaculer copieusement sur les seins de la femme.
A midi, la maison d’Odile offre un visage peu commun. Les deux sœurs nues, épuisées par cette matinée de baise, collantes de sperme séché, dorment dans le lit, des canettes de bière et des vêtements féminins jonchent le salon.
Le vieil homme avant de partir à rompu le sort qui envoûtait Sam.
Odile se réveille la première, encore toute endolorie de ce qu’elle a subi.
– Oh ! La ! La ! j’ai mal partout !
Sam, ouvre les yeux presque aussitôt après.
– J’ai l’impression de sortir d’un mauvais rêve ?
– Qu’est-ce qui tu as prise ? Je croyais que tu étais lesbienne ?
– Oui ! Je le suis et tu sais pourquoi. Si Adelino m’avait dépucelé amoureusement au lieu de me violer, j’aurais peut être été une hétéro. C’est le vieux qui m’a hypnotisé, pour que je me fasse baiser. Je vais te le prouver que je suis toujours lesbienne. Car à présent, tu feras les deux.
– Je te crois, tu n’es pas obligé de me la prouver ?
Sam se met un soixante neuf sur sa sœur. Elles se bouffent la chatte qui rejette encore du sperme. Odile, en bonne pute qu’elle est, s’applique en savourant chaque coup de langue de sa sœur. Les deux sœurs sucent ensemble le clitoris de l’autre en même temps.
– AAAARRFF ! OUIIIII ! C’est BOOOONN ! Lèche moi sale pute !
Dans cet échange de plaisir, Odile se dit : Qu’elle ne sait pas pourquoi elle a perdu au tant de temps à vouloir combattre tout ça. Elle s’aperçoit qu’elle aime aussi le sexe féminin. De la bite et de la chatte, c’est tout à ce qu’elle doit penser en bonne pute, qu’elle est à présent. Après quelque orgasmes de lesbienne, elles se douchent, puis elles se restaurent sans dire un mot de l’aventure qu’elles viennent de vivre.
Depuis ce moment là, Odile est devenue vraiment elle même.
Sam Botte
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