Histoires Taboues : Inceste et Zoophilie 2025

Histoire taboues : La transformation sexuelle d’Odile Chapitre 5

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LA SURPRISE DE SAM

Ce jour là, Sam reçoit deux femmes déjà âgées aux traits marqués.
Elle s’adresse àa Odile qui à désormais un collier pour chien autour du cou.
– Tes nouvelles clientes envoyées par Aude, vas dans la chambre et attends qu’elles viennent te retrouver.
Odile s’assoit sur le lit et attend pendant un bon moment. Enfin, les deux vieilles entrent dans la chambre.
– On commence par lui donner une fessée, qu’en dis tu Mimi.
– Je suis d’accord ma chérie, ce sera amusant de l’entendre supplier.
Odile reçoit l’ordre de se coucher à plat ventre sur les genoux de Léa et de bien présenter ses fesses.

Son calvaire commence.
Mimi la frappe sur les fesses sans ménagement, pendant un moment, insensible aux cris de la pute. Changement de bourreau, après qu’elle s’est couchée sur les genoux de Mimi c’est Léa qui la frappe longtemps.
Ses fesses déjà bien rouges, après la première fessée sont de plus en plus marquées .
C’est un soulagement quand le supplice cesse, mais ses fesses sont douloureuses et la cuisent.
– Bon, maintenant tu vas nous déshabiller et nous faire jouir, ensuite, on va s’occuper de toi.

Obéissante, Odile retire les habits des femmes, enlevant un vêtement à l’une, puis le même à l’autre afin qu’elles se retrouvent nues pratiquement en même temps.
Leurs corps sont bien défraîchis.
A genoux entre les deux femmes qui sont allongées et discutent, elle caresse le sexe de l’une, pendant qu’elle embrasse et lèche celui de l’autre.

Ensuite, elle doigte la chatte des deux femmes en même temps, après elle passe à la masturbation des clitoris, mais ce n’est pas facile de faire ça à deux personnes en même temps. Énervées, chacune leur tour, les deux femmes la giflent.
– Tu es nulle, pourtant, Aude nous a dit que tu valais le coup.
Les deux femmes se regardent et concluent qu’elles vont prendre la chose en main.
– On va faire autrement, tu va t’occuper de l’une de nous et pendant ce temps l’autre s’occupera de toi.
– Oui ? Madame !

Histoire taboues : La transformation sexuelle d'Odile Chapitre 5
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Tout en caressant avec une main les seins ou triturant les tétons de Mimi, elle lui lèche la chatte et fait pénétrer sa langue à l’intérieur pour l’explorer dans tous les sens.
Sa deuxième main se pose sur le clitoris et le masturbe d’abord doucement et ensuite, de plus en plus vite.
Elle tressaille, quelque chose vient de pénétrer dans son cul. C’est Léa qui vient d’y enfoncer un gode. Elle se retrouve aussi rapidement avec un gode dans le vagin.

Les aller-retour des engins dans ses orifices font qu’elle s’excite sur celle, qu’elle doit faire jouir. Elle lui doigte la chatte frénétiquement et lui masturbe le clitoris sans douceur.
Sa bouche ne quitte pas les seins, qu’elle embrasse et lèche, où sur les tétons qu’elle suce, aspire et mordille.
Si le plaisir monte dans son ventre à cause des godes, que Léa fait aller et venir dans sa chatte et son cul. Ce n’est rien à côté de Mimi qui râle et s’agite de plus en plus.
Odile est contente, quand le corps de Mimi se soulève, que des spasmes agitent sa chatte et que de la cyprine gicle de son vagin.

La repoussant, Mimi se déplace et prend en main les godes pendant que Léa prend sa place.
Les queues de substitution font déjà des va-et-vient dans son corps, alors qu’Odile n’a pas encore commencé à s’occuper de Léa. Elle fait exactement à Léa ce qu’elle a fait à Mimi.
Les godes qui la défoncent sans relâche, font beaucoup monter le plaisir dans son corps et elle se demande, si elle pourra mener à son terme la mission que les femmes lui ont donnée sans jouir.

Elle décide de tenter d’être plus professionnelle.
Sa bouche et sa langue s’activent sur la poitrine de Léa, elle accentue la pression de sa bouche sur les tétons qu’elle suce, qu’elle aspire et mordille avec plus de conviction.
En même temps, après avoir commencé doucement, elle doigte frénétiquement l’intimité et masturbe vigoureusement le clitoris de Léa.
Les bites de substitution l’énervent et l’excitent beaucoup ce qui profite à Léa.

C’est finalement Odile qui jouit d’abord, après un bref moment d’arrêt, elle continue de martyriser la chatte et le clitoris de Léa et à sa grande satisfaction. Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour l’amener à l’orgasme, elle aussi, ce qui l’étonne, c’est la quantité de cyprine qui s’échappe de sa chatte.
Mimi continue cependant à faire aller et venir rapidement les godes dans la chatte et l’anus de la jeune pute, qui finit par avoir une deuxième jouissance.
– Maintenant tu vas nous lécher le cul.
– Oui madame, je suis à votre service.

Les deux femmes se mettent à genoux côte à côte.
Odile se positionne, elle aussi, à genoux derrière elles une jambe entre celles de Mimi et une jambe entre celles de Léa.
Elle se met à lécher pendant quelques minutes l’anus de l’une et en fait autant à l’autre.
Pendant un bon moment, elle alterne, passant de l’une à l’autre.

Ce sont les deux femmes qui lui demandent d’arrêter.
– Tu es une sacrée putain, on peut te demander de faire n’importe quoi et tu obéis.
– C’est mon rôle d’obéir puisque vous payez.
Elles se rhabillent et sortent de la chambre après avoir dit :
– Bon courage pour le tapin, ce n’est pas toujours marrant, nous en savons quelque chose étant d’anciennes prostituées.
Odile attend assise sur le lit que sa sœur se manifeste.

Derrière la porte se trouve un grand homme noir qui nous attendait avec un grand sourire. Sam ouvre la porte de la chambre.
– Vous ne m’avez pas menti, Samantha, ça c’est de la vraie salope blanche de compétition ! Dit ce dernier en s’approchant d’Odile.
– Abdou a payé pour fourrer de la chatte d’une blanche, je lui donne la tienne. Rit Sam.

Les grandes mains de l’étalon noir, aussitôt pétrissent les seins d’Odile. Elle commence à avoir les tétons qui durcissent, ils pointent suite aux multiples caresses de l’homme d’ébène.

Histoire taboues : La transformation sexuelle d'Odile Chapitre 5
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Abdou commence à enlever son pantalon ainsi que son boxer, révélant au jour une énorme poutre, il lui pose son énorme gourdin sur l’épaule et la gifle avec, de temps en temps.

Quand le téléphone de Sam se met à vibrer.
– Tiens Abdou occupe toi d’elle, fait toi sucer, ton cadeau arrive.
– Mon cadeau ? Lui demande t-il.
– Oui, Oui ton cadeau, fais moi confiance, tu vas adorer.


Abdou, la fait s’accroupir, mets son gros braquemart à portée de son visage et lui ordonne de le sucer.
– Suce moi la pute !
Ce qu’elle fait volontiers, sa queue est beaucoup plus longue et plus épaisse que celle des autres clients, avec des testicules semblables à des kiwis. Elle se met à la lécher en long, en large et en travers. Elle se met même à gober son gland, qui doit faire le diamètre de sa grosse bouche de suceuse, qu’est elle devenue ?

Rien qu’un morceau de viande à la solde de Sam, une esclave sexuelle à la solde d’une femme qui se prétend être sa sœur. Au bout d’un moment, Abdou la rappelle à l’ordre :
– Applique toi, mieux que ça vieille pute blanche, si je veux ? Je peux demander à Samantha de te louer pour un voyage au bled avec moi pour que mes frères et cousins te forment ou plutôt te déforment. Maintenant viens sur moi et chevauche ma queue.

C’est ce qu’elle fait aussitôt, elle se met à cheval sur sa queue. Les premiers temps ça fait mal, mais elle s’y habitue, elle commence même à y prendre du plaisir. C’est ce qu’elle fait en balançant un immense jet de cyprine sur sa matraque. En prenant son plaisir Odile entend la porte qui grince ? Sûrement Sam avec le cadeau d’Abdou qui me regardent prendre du plaisir, Odile allait le prendre quand soudain Sam l’interrompt en lui demandant de sucer Abdou et de lui présenter son cul.

Ce qu’elle fait instantanément en écartant son trou du cul. Sam, équipé d’un gode ceinture, sodomise sa sœur.
– Viens pas là toi ? Dit Sam en s’adressant à l’inconnue.
– Oui tata ! Lui répond-t-elle.
– Laure ? S’exclame Odile, c’est toi ?
– Oui Maman c’est moi ! Sam m’a dit que je suis bien meilleure que toi et que je peux être encore plus pute que toi. Dit moi Sam, il a aussi payé pour me baiser, comme il fait à maman. Proclame Laure, sa fille.
– Ah non ! Toi tu es un bonus ? considère toi, comme un cadeau de bienvenue, approche toi, fais lui voir tes seins ? Lui répond sa tante Samantha.

Abdou, suce les seins de laure pendant qu’Odile lui suce sa poutre africaine.
– Alors ça fait quoi de te faire téter pendant que j’encule ta mère ? Lui demande sa tante.
– C’est trop bon ! Répond Laure.
– S’il te plaît Sam ? Laisse ma fille en dehors de ça. S’exclame Odile. -Ta gueule ! Ta fille est aussi ma pute au même titre que toi. Elle s’est montrée toute de suite consentante, bien avant toi. Continue à protester et je te fais tourner dans toute la cité.
– Ah PUTAIIIN ! Que c’est trop bon ? Mordez moi ? Sucez moi les tétons ? S’écrit Laure.
– Sam ? Je t’en supplie, c’est ma fille, ta nièce, tu ne peux pas faire ça aussi ?
– Ferme bien ta gueule femme de merde ? Continue de me sucer ! L’engueule Abdou .

Laure nue, s’est positionnée entre Abdou et sa mère, pour que le géant noir lui suce les seins.

– Continue ? Mord moi plus fort les tétines, traite moi comme la plus ignoble et minable des putes comme maman ! S’exclame Laure.
– Sam, au final, j’en ai rien à foutre de ce que tu fais à ma fille, alors continue de m’enculer pendant que je suce mon client !
– Ne t’inquiète pas Maman ? Toi et moi à partir d’aujourd’hui, on est les putes de Sam et on tapinera pour elle. Je ne sais pas ce qu’il en est pour toi, mais moi, je suis toute à elle et j’en suis folle amoureuse. J’ai bien l’intention de me plier à la moindre de ses volontés, si elle veut nous partager avec d’autres ou qu’on se prostitue, du moment que c’est bon pour elle c’est bon pour moi. Dit sereinement Laure.


Alors qu’Odile se sent venir, sa fille semble jouir au même moment à force de se faire lécher et doigter. L’énorme matraque d’Abdou est de plus en plus dure dans la bouche d’Odile. Au bord de l’éjaculation fatidique, le grand black se retire et va s’asseoir au milieu du lit.
– Merci Madame Samantha pour ces beaux cadeaux, mais j’aimerais bien reprendre mon souffle avant d’enculer la jeune.

Sam se retire du cul de sa sœur, qui devant cette soudaine surprise, n’a pas pu jouir.

– Je crois comprendre que Abdou a une idée très intéressante concernant Laure.

Laure clame sa frustration de pas s’être fai sodomiser cette fois-ci, avant d’officier.
Cette fois-ci ? Mais cela fait combien de temps que sa douce et innocente Laure lui sert de jouet ? S’interroge Odile.

Laure n’a pas le temps de finir sa phrase qu’elle est exaucée par le grand Noir.
– OUAOOK ! Il commence à m’enculer à sec ! S’écrit-elle.
– Calme toi ma chérie ? Lui dit sa mère en lui léchant le visage et en l’embrassant, ça passera tout seul !
– HOU ! LA, LA ! C’est trop bon ? Laisse moi te bouffer la moule maman comme avec Sam.

– Vas-y ma puce, lèche le gros trou par lequel tu es sortie. Broute le minou de ta maman !
– OOH ! Oui, maman ! Lui dit elle en la léchant et en se faisant sodomiser par l’étalon noir.

Vingt minutes de pénétration brutale plus tard à quatre pattes, l’étalon décide pour ne pas faire de jalouse. Il veut sodomiser la mère, allongée sur le dos avec le nez dans le cul de sa fille pour la soulager. Elles sont en train de se taper une baise lesbienne incestueuse sous le nez de Sam qui se contente de filmer. Elle n’en croit pas ses yeux, de les voir prendre leur pied, enchaînant les positions à trois ou l’une se faisait lécher par Abdou où elle pendant que l’autre se fait défoncer. Par devant, par derrière ? sur le côté, dans toutes les positions possible et inimaginable, pendant une vingtaine de minutes, le colosse se met enfin à éjaculer.
Une quantité abondante de sperme coule dans les entrailles de Laure qui est terrassée par un formidable orgasme.

Abdou se rhabillent et saluent la fille et la mère qui sûr l’ordre de sa sœur, elle suce le cul de sa fille pour récupérer son sperme.

Sam laisse les deux femmes nues dans la chambre, elle se rhabille et quitte la maison. – Dit moi Laure ? Comment tu es venu à faire la pute pour Sam ? Parque j’ai compris que se n’est pas la première fois.

-OH ! Oui, maman. C’est depuis que je suis rentrée à la FAC, a mes dix huit ans et demi.

A la Fac, ils refaisaient nos chambres d’étudiants. Quand ça était autour de la nôtre, j’ai été habiter chez Sam qui n’habitait pas très loin. Un après midi que je n’avais pas cour, je suis rentée plus tôt que prévu.

Je suis rentrée chez Sam, je n’ai pas dû faire de bruit, car en rentrant, une fois la porte d’entrée fermé. J’entends des râles et des gémissements dans le salon ? Je m’imagine le pire, sans faire de bruits, je prends le rouleau à pâtisserie dans la cuisine et entre dans le salon mon bras armé lever, car les gémissement, sont plus forts ? Je reste là, le bras en l’air. Là je vois ?

Samantha, ma tante, nue à quatre pattes, avec sur le dos, Sultan ? Le Mastiff du voisin, agrippé à ses hanches, entrain d’agiter son arrière train contre la croupe de ma tante.

Comme Sam râle très fort, elle ne m’a pas entendu m’étonner de surprise. Je reste là en m’interrogeant sur la conduite à tenir. J’entends Sam dire au chien qu’il la remplit bien et que c’est bon. Là, je comprends que c’est des râles de jouissances qu’elle pousse forts. Par curiosité, je me mets à quatre pattes derrière le chien, je soulève sa queue pour voir ses couilles plaquées contre la vulve de ma tante. Là, je comprends qu’il la baise.

Soudain, elle pousse un cri de jouissance, elle a un orgasme d’amour. Je risque une main pour soulever les couilles du chien. Tout ce que je vois, c’est que les lèvres de sa vulve sont collées au petit bout de la verge du chien qui est encore à l’extérieur. J’ai du dérangé la saillie des deux amants, car le chien passe une patte arrière par dessus le dos de Sam qui râle encore. Les voilà cul à cul tous les deux. Je me relève, je m’accroupis devant la tête de ma tante. Elle me regarde étonner avec des yeux dans le vague.

Je me relève et sort du salon. Elle me crie : Laure attend ! Je monte dans ma chambre dégoûtée et dubitative. Je suis restée le reste de l’après midi dans ma chambre ? Dans la soirée, j’ai pris une douche et comme d’habitude, c’est nue que je vais dans ma chambre. Sam m’y attendait, elle était nue aussi.

– Laure ma chérie ? Allonge toi que je t’explique ce que tu as vu.

Comme j’étais encore bouleversée par ce que j’avais vu. Sans vraiment m’en rendre compte, je me suis allongée sur le lit en son corps nue.

Elle a posé un baiser sur ma bouche en me prenant un poignet dans sa main. Elle me dit. – Laisse moi t’attacher ma chérie ?

J’étais tellement surprise, alors quand elle a sorti les menottes qu’elle cachait dans son dos, que je n’ai pas protesté. Elle m’a attaché les membres aux quatre coins du lit. Je suis retrouvée écartelée. Elle m’a branlée tout doucement. Malgré ma honte, j’ai eu plus de plaisir que lorsque je le fais moi même.

– Jouis ! Jouis ! Tu vois que ça te plaît. Tu commences à mouiller ! Ton clito est tout dur.

Elle masse ma vulve et commence à y faire pénétrer le bout de ses doigts.

– Ça rentre comme dans du beurre ? Tu es toute chaude ? Je me suis abandonnée dans un étrange mélange d’abjection et d’excitation. Elle m’a demandé si j’étais encore vierge. En remuant la tête, je lui ai fait comprendre que oui, je suis encore vierge.

Elle fouine sous le lit, elle se redresse au bout du lit. Je n’arrive pas avoir ce qu’elle fait. Elle s’accroupit et monte en rampant sur le lit entre mes jambes écartelées. Soudain, je sens sa boche sur ma vulve humide. Elle me bouffe la moule, aspire et mord mon clito. Pour la première fois, j’ai mon premier orgasme. Ensuite, elle remonte sur moi en rampant. Elle s’arrête sur mes seins, elle les tète, les suce, mordille mes tétons, je me pâme de plaisir.

Elle continue sa remontée sur moi. J’ai ses seins sur les miens, sa bouche se colle à la mienne que je garde fermée. Elle m’embrasse sa langue courre sur mes gencives. Je sens quelque chose de long et dure qui se loge à la verticale entre les lèvres de ma moule ?

Me rappelant les gamelles que nous nous faisions entre fille en colonie de vacances. Je me dis qu’à mon age, ce sera peut être meilleur avec une vraie femme. J’ouvre la bouche pour accueillir la langue de ma tante. Là, je fonds sous son baiser d’amoureuse. Je réalise quand même qu’elle descend une main entre nos corps jusqu’à ma vulve. Tout en m’embrassant, elle décolle son pubis du mien. Soudain, je sens un truc chaud à l’entrée de ma moule.

– Je te prends ton pucelage ! Je vais te faire jouir ? Tu vas devenir ma petite putain ?

Ce qu’elle me disait, me révoltait, mais me procurait une excitation sournoise. Ses mots sales, s’enfonçaient dans ma tête, comme son gode ceinture s’enfonçait dans mon puits d’amour.

Elle me faisait mal au début. Elle s’est mise à me baiser à grandes allées et venues, j’étouffais mes cris dans sa bouche collée à la mienne. Elle s’est mise à ressortir presque de ma moule et se renfonçait avec des râles terribles dans ma bouche. Et voilà que peu à peu

à ma grande honte, j’ai senti mon ventre s’alourdir de volupté. Bien malgré moi, tout es devenu doux, glissant, facile, bon, très bon.

Je ne pouvais croire que j’acceptais cette situation, mais l’excitation prenait le contrôle de mon corps plus que mon esprit.
J’étais tellement excitée que je ne se souciais plus de rien. Mon corps ne m’appartenait plus, comme désincarnée par cette expérience. Je se sentais des vagues plus fortes traverser mon sexe et montées vers sa tête. Les spasmes, l’un après l’autre, me faisaient prendre conscience que j’étais entrain de jouir, quelque chose que je ne connaissais pas et n’ai jamais ressenti auparavant.
J’ai ressenti le plaisir le plus extraordinaire que je n’avais jamais connu. Je venais d’avoir mon deuxième orgasme.

Sam se retira de ma moule pour se coucher à mes côtés.

– Ça t’as plu ?

– Détache moi ? – Pas encore, je vais te faire jouir encore !

Elle est redevenue douce, elle me caressait les cheveux, mes seins, mon ventre, ma vulve.

Un voluptueux frisson m’a parcourue jusqu’au fond de mon ventre. Elle est revenue me bouffer la moule jusqu’à que je lui dise qu’elle pouvait encore me baiser. Elle a recommencé à s’enfoncer en moi, elle a continué imperturbablement et comme la première fois mes gémissements se sont transformés en râles de plaisir. Elle m’a baisé jusqu’à mon troisième orgasme.

Maman, si nous allions dîner, papa est rentré, je finirais de te raconter tout ça plus tard.

Sam Botte

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