Histoires taboues

Histoire taboues : La transformation sexuelle d’Odile Chapitre 6 Final

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Laure continue son récit.

Laure s’enferme avec sa mère dans sa chambre pour lui raconter la suite. Elle narre à sa mère, comment sa tante Samantha a consolidé son emprise sur sa nièce. Donc, ma tante vient de m’avoir le troisième de ma vie. Elle m’a détaché et c’est couché à mes côtés. Je l’ai regardé, je la trouvais ridicule avec son gode ceinture qui pointait vers le plafond. Elle m’a attiré sur elle et m’a roulé une pelle. Je me suis abandonnée à son baiser.

Une de ses mains est venue me branler le clito, pendant que nous nous embrassions. Elle me fit jouir encore avec ses doigts. Elle me fit mettre tête-bêche, pour que j’apprenne à sucer la queue d’un homme. Donc, je suce son gode, pendant qu’elle me bouffe la moule et elle s’acharne a rentré le plus possible sa langue dans mon anus ?

Après, un bon moment, elle m’a fait mettre à quatre pattes sur le lit, en levrette dit elle. Elle me prend une nouvelle fois dans ma moule. Elle me baise, je mouille et je jouis.

– MMU ! AARG ! Tu me baises bien tata ! Tu me fais jouir ! OUII ! Baise moi ! OOUUIIII !

Histoire taboues : La transformation sexuelle d'Odile Chapitre 6 Final
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– Tu es une bonne fille Laure ! Tu sens la baise fraîche ! Tu vas devenir ma pute, tu es à moi !

– MMRR ! OUII ! Baise moi ! fait moi ! encore jouir ! Je serais ta pute ! Juré ! OOORR !

– Est-ce que tu me lécheras le trou du cul ? Si je te fais encore jouir ! Ma pute !

– OOH ! OUII ! RROO ! OUUII ! TOUT ce que tu veux ! JJJJE ! FERRRRA ! TOUU !

Je ressens mon quatrième orgasme monter dans mon ventre. Elle sort le gode de ma grotte ? Elle le glisse sur mon périnée et tout en douceur, elle enfonce son gode dans mon anus.

– AAIIE ! Ça fait mal tata ! Ça brûle ! OOUU ! NNNOON ! RRROOO !

– Je veux t’apprendre à jouir par là aussi ! Allé, jouis pour moi putain ?

Après un long moment, elle réussit à me faire jouir par le cul. Ensuite, j’ai dû nettoyer son gode avec ma bouche. Le lendemain, je ne suis pas allée en cours et comme nous étions le vendredi. Pendant, ces trois jours de fin de semaine, j’étais constamment nue, elle aussi. Nous faisions l’amour très souvent. C’est comme ça que je suis tombée amoureuse de ma tante.

En bonne esclave, j’ai fait tout ce qu’elle me disait. Je lui ai bouffé la chatte, le cul, les seins.

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Jusqu’à ce qu’elle explose dans un orgasme, jet après jet, le jus chaud de sa chatte me coulait sur le nez, dans la bouche. Je le buvais, heureuse de la faire jouir avec ma langue.

Le dimanche, elle m’a même fait saillir par le chien de son voisin. Il m’a pris par mes deux puits d’amour et j’ai joui comme une folle, malgré l’horreur de la chose. Sam, s’est fait aussi monter par le chien. Quand il est reparti chez son maître, il était très, très fatigué.

Le lundi matin, alors que j’allais m’habiller pour la FAC, elle m’ordonne d’écarter les jambes et de me pencher en avant ?

– OH ! Oui ! Beaucoup ma tante chérie. – Bien ! Je veux que tu penses à moi toute la journée avec ça ? Sam chérie, m’enfonce un gode vibrant dans mon vagin et un autre dans mon rectum ? – Je peux les faire vibrer à bonne distance, ainsi, tu sauras quand je me promène sur le campus.

Elle le met en marche, je sursaute et râle déjà de bonheur ? Elle me plaque au mur. – Alors ? Tu ferais mieux de me dire, quelle bonne esclave, tu promets d’être ? – Je t’appartiens, je suis ton esclave sexuelle !

Depuis, cette fin de semaine, je n’ai plus dormi à la FAC. J’habitais chez Sam, elle avait son esclave à domicile.

Quelque semaine plus tard, en rentrant de la FAC il y avait une de ses copines à l’appartement. Elles m’ont baisé à tour de rôle avec leur propre gode ceinture. – Dis ! Léa, j’ai une idée, pourquoi ne pas prendre la jolie Laure en sandwich ? – Bonne idée Sam, laisse moi remettre mon gode ceinture ? Léa, s’assoit sur le bord du canapé et m’ordonne de venir m’empaler sur son gode. – C’est ça Laure. Enfonce toi bien tout au fond, avale ma queue entièrement dans ta moule. – MMFF ! AAA ! GNN ! TOUU ! JJJEE ! PRENN ! TOUOU ! AAARRFF ! – Ouvre ton cul, ma chérie ? Voilà ça rentre ! Tout rentre ! Bien, tout est rentré.

J’étais coincée entre les deux femmes. Léa me mangeait la bouche, ce qui me faisait fondre. Sam en profitait pour me sodomiser avec entrain.

– Alors ? Comment est ton premier chandwch ma chérie ? – AAGG !OOH ! MMM ! AARF ! ROOUUIII ! OOUU ! FFRR ! AAAARRR ! RROO ! – Elle est trop occupée pour te répondre Sam !

Et ainsi, en une soirée, je suis devenue l’esclave sexuelle de Sam et de ses copines. Utilisée, abusée, mais aussi aimée et bien baisée.

Un après midi, elle m’emmène faire les boutiques. Nous rentrons dans une boutique de lingerie ? On fait le tour de la boutique, une jeune vendeuse nous aborde. Sam lui dit : – Je cherche quelque chose de très sexy, presque vulgaire pour la demoiselle ? – Bien ! Madame ! J’ai cru que j’allais mourir de honte. Cependant, je ne réagissais pas ? Je la laisse faire.

Je me suis retrouvée nue dans une cabine d’essayage avec le rideau ouvert. Sam m’a fait mettre un bustier qui faisait ressortir mes seins, un porte jarretelle avec des bas résilles. Adossée à la cloison, elle me tenait la jambe droite pliée et levée. Elle offrait ma moule à la vendeuse.

– Laure, tu n’as pas compris que tu as besoin d’être dominée ? C’est dans ta nature

La vendeuse, accroupie me titillait le clito d’une main et de l’autre me branlait la chatte. Sam me caressait un sein sorti du bustier, elle passait sa langue sur mes lèvres ouvertes par mes râles de plaisir. – Tu es faite pour obéir, pour que l’on se serve de toi comme d’un objet de plaisir. La vendeuse me fit jouir avec ses doigts dans un bruit mouillé. Sam m’a dit de mettre ma jupe et mon chemisier en gardant les achats sur moi. Que ma petite culotte restera dans la poubelle de la boutique.

Ensuite, elle me conduisit chez un toubib à elle, pour une visite médicale pour avoir un contraceptif pour mes futurs amants. Une fois de plus, je me suis retrouvée presque nue face à un étranger. J’étais encore plus gênée que devant la vendeuse.

– Allongez vous sur la table d’examen, Laure ?

Je sentais leurs regards sur mes fesses et mon entrejambe encore toute humide, après ce qui s’était passé dans la boutique. Il me fait mettre les talons dans les étriers. J’étais là les jambes écartées, avec ma vulve humide à leurs regards. Je vois avec horreur, qu’il sort sa bite bandé et que Sam la dirige vers ma moule. Je ne réagissait toujours pas. – Baise la ? Rentre lui ta queue jusqu’aux couilles !

Il a rentré sa bite facilement dans ma moule baveuse. Il me baisait avec vigueur et je gémissais de plaisir avec un homme pour la première fois. Il me fit monter un orgasme qui éclata lorsqu’il m’enfonça un doigt dans l’anus en jouissant dans mon vagin. – Tu vois j’avais raison ? Tu aimes être offerte ! Il suffit que l’on te tripote un peu pour que ta nature de putain prenne le dessus. Me disait Sam. Nous sommes rentées à l’appartement, j’avais des dessous sexy et un stérilet tout neufs. Voilà, tu sais comment ça a commencé.

Comme j’avais beaucoup séché de cours, Sam m’expliqua comment avoir de bonnes notes.

Sam m’accompagna dans le bureau principal. Après avoir donnée des raisons bidons pour mes absences, elle dit au principal avant de sortir seul du bureau.

– Laure va se faire pardonner, mais fermer d’abord le bureau à clef, je vous la laisse.

Il ferma son bureau, lorsqu’il se retourna dos à la porte, sa queue était sortie de son pantalon. Je me mis accroupi devant lui et j’aspirai sa queue dans ma bouche.

– Suce ! Fait tourner ta langue autour. Tu es canon toi, avec ma queue dans ta bouche !

Après cinq minutes de léchage et de succion et d’éructé lorsqu’il enfonce sa queue au fond de ma gorge.

– T’arrêtes pas de me regarder pendant que tu me pompes ? OOH ! Bon sang, je vais larguer tout mon jus !

Un liquide chaud et au goût désagréable a brusquement jaillit dans ma bouche. Et dans un râle qui n’en finissait pas, il continuait à bouger dans ma bouche comme s’il cherchait à extraire l’ultime goutte de sperme de ses couilles.

En bonne putain docile, j’ai tout avalé par peur de tout ce qu’il pourrait faire, si je recrachais sa semence nauséeuse. Il m’a fait ouvrir et constaté avec plaisir que j’avais bien englouti son jus. Ensuite, il m’a fait sortir sans un mot. Sam m’attendait dehors ? Elle m’attrapa par le cou en me roula un formidable pelle, pour nettoyer ma bouche avec sa langue.

Des mauvaises notes apparaissaient de temps en temps, mais pas une seule fois le principal ne se manifesta ?

A la sortie d’un cours, il me saisit par le bras ?

– Si tu veux que j’efface tes mauvaises notes, rejoins moi dans mon bureau, ce soir après les cours ?

Voilà une quinzaine de jours sans donner le moindre signe de vie et voilà qu’il me siffle. Et, moi, bien sûr, j’allais accourir à ses ordres. A la fin des cours, je me présente devant son bureau.

– Je savais bien que tu viendrais ! Entre ma belle chatte ?

Son air suffisant ne réussi pas à me faire faire demi-tour.

– Allez, a poil, ma jolie demoiselle ! Ta jolie paire de fesses m’a fait beaucoup rêver ses derniers jours !

Pendant que je me déshabillais et qu’il me malaxait les fesses, un feu s’alluma dans mon ventre ? Il me fit asseoir sur le bord du bureau.

– Ton petit berlingot m’inspire ? Il me dit qu’il peut mieux faire qu’une pipe.

Mieux faire ? Je savais ce que cela voulait dire. Mais, je n’essayais pas de fuir. Cette fois ci, j’allais faire plaisir à Sam et ne l’embêterais plus avec mes mauvaises notes.

Il cracha dans ses doigts et me badigeonna la chatte avec ça. En me badigeonnant la moule avec ses crachats, il me mit le feu.

Ni une ni deux, il enfonça sa queue dans ma grotte huilée.

-AARF ! Je vais te pulvérisé la chatte ! PUUTAIN !

Il me baisa comme ça sur le bureau. C’est venu comme une vague irrésistible qui m’a emportée dans les remous d’un plaisir brutal. J’oubliais la honte d’être ainsi écartelée et baisée comme une putain par un homme puant la sueur. Oubliée, la honte ? Mais pas la vague si fulgurante qui m’arracha un cri de plaisir. Je jouissais pour la première fois avec un homme en moi.

– Tu jouis salope ! A mon tour de jouir dans ta belle bouche ?

J’ai poussé un cri de dépit lorsqu’il s’est retiré de ma moule. Ensuite, il est venu enfoncer sa queue dans ma bouche avec la même violence que dans ma chatte. Il m’empoigna les cheveux et tira ma tête contre son pubis avec sa queue bien au fond de ma gorge.

– Avale ! Avale salope !

Et très vite la semence du principal envahi ma bouche pour la deuxième fois.

Quinze jours plus tard, je fus convoqué dans le bureau du principal. En entrant, il était avec le doyen ? Ils étaient nus tous les deux.

– Allez ! A poil ma belle !

Je me déshabille, le doyen s’assoit sur le bureau et écarte les cuisses ?

– Regarde le bel nonos pour toi, applique toi, lèche et suce le ?

Je prends sa queue dans ma bouche après lui avoir léché les couilles.

– Vous voyez ! Tant de bonne volonté, mérite bien une récompense ?

– Oh ! Oui ! Cette petite salope nous gâche assez la vie en nous faisant falsifier ses mauvaises notes.

A ces mots, le sol sembla vouloir se dérober sous mes pieds. J’entendis le plancher, craquer, alors que le principal s’approchait. Il écarta mes jambes avec un de ses pieds. Il cracha dans la raie de mes fesses. Il enfonça un puis deux doigts dans mon anus.

– Eh bien ! Je vois que le principal choisi d’aller droit au but ? Clame le doyen.

– AH ? Non pas ça monsieur ?

– Mais ? Elle se rebiffe la mauvaise étudiante ! Tien ! Avec trois doigts à présent ! Ça rentre déjà mieux ?

Puis, subitement, le doyen agrippa mes oreilles en enfonça ma bouche sur sa queue. Le nez dans ses poils pubien, le principal en profita pour enfoncer sa queue dans mon anus. Il me saisit les hanches et enfonça sa queue dans mon rectum jusqu’aux couilles.

Après, quelque va et vient dans mon boyau, il se retira de mon cul. Le doyen me tenait toujours par les oreilles, il m’imposait le rythme de sa fellation. Je sentis un gros cracha sur mon anus, un gland força la petite porte de mes reins. Une douleur, me vrilla le cul. Ce n’est pas la queue du principal ? Celle ci est plus grosse ? Un éclair de douleur éclata dans mon cerveau, lorsqu’elle s’enfonça entièrement dans mon postérieur.

Je ne suçais plus la bite du doyen, qui me tenait la tête entre ses cuisses avec sa queue dans ma gorge. L’autre, qui n’était pas le principal, me sodomisait avec entrain. Ce con ! C’est mi à me faire monter un début d’orgasme. Je voulais continuer à sucer le doyen pour que l’on n’entende pas ma jouissance. Le doyen me releva la tête de sa queue et en me regardant. – Tu prends la pilule ?

– Non ! J’ai un stérilet ! Que j’arrive à lui répondre entre deux râles de plaisir.

– Bon ! Dès que le philosophe qui est dans ton cul a fini, on te prend à deux avec le principal.

Le prof de philo s’acharna à me sodomiser avec de violent coup de reins. Et en jurant, il gicla dans mon boyau en jurant. Il resta un bon moment avec sa queue dans mon cul, le temps que le doyen s’assoit dans le fauteuil. Le prof de philo se retire de mon anus.

– Viens mettre ton cul sur mon pivot de la joie. Dit le doyen.

Il me fit m’empaler le cul sur sa queue, le dos sur sa poitrine.

Je sais ce que tu penses maman ? Mais pourquoi lutter contre ma nature qui pour le moment me commandait de céder au désir brutal et d’y trouver la jouissance la plus totale.

Glissant ses mains sous mes fesses, il entreprit de me soulever. Ensuite, il me laissait m’empaler sur sa queue, sous l’effet de mon propre poids. Je poussais des râles, car à chaque soubresaut sa queue s’enfonçait un peu plus dans mon rectum. Ensuite, il s’est mis à bouger en moi. En m’agrippant les hanches, il me secouait sur sa queue. Comme pour mon dépucelage anal avec Sam, souffrance et plaisir se mêlèrent dans un maelström, qui me fit presque perdre conscience.

Le principal en profita pour venir investir mon vagin.

– Te voilà bien rempli côté pile et côté face à présent !

Il avait passé ses jambes de chaque côté de mes hanches. Ils me remplissaient le ventre à grands coups de queue. Moi, je hurlais mon plaisir. Ils disaient vrai ? J’étais remplie, mon ventre était plein de leur queue chaude et dure. Nous avons joui ensemble tous les trois. Depuis, mes notes sont acceptables, je continue de les rendre acceptable dans toutes les matières dans le bureau du principal, encouragée par Sam.

Voilà ? Ma vie avec Sam.

Laure, quant à elle est complètement soumise aux désirs de Samantha.

Quand à Odile, elle s’est vraiment habituée à cette nouvelle vie, même si elle n’a pu l’avoir aimée au début. Et puis, Sam est vraiment très bien organisée et surtout, très imaginative, avec ses réservations, Odile est débordée de client. Elle planifie des rendez vous dans les vestiaires, des stades de foot, des salles de sport, des cabanes de jardin, et autres endroits.

Pour chaque trou, en tout lieu, a n’importe quelle heure. C’est comme ça, qu’Odile est devenue une véritable banque de sperme.

Sam se fait un maximum d’argent grâce à sa sœur, elle se pavane en cabriolet sport. Quant à Odile, arrive ce qui devait arriver, à ne pas avoir de contraceptif permanent. Il y avait de fortes chances pour que l’un de ses clients l’engrosse un jour, cela s’appelle les risques du métier. Odile est enceinte.

– C’est génial, Et qu’en pense Alain ?

Son mari est fou de joie, il pense qu’il est de lui. Mais Odile angoisse sur la paternité de l’enfant, car elle a aussi des clients de couleur. Mais tant que ses puits d’amour sont chauds et humides, pas un homme ne pense à faire attention à son état de femme enceinte. On dirait même que ça les excite de baiser une femme enceinte.

L’enfant est né bien rose au grand soulagement des deux sœurs. Alain un vrai papa poule et tellement gentil avec sa femme qui est très souvent fatiguée. Surtout que pour Odile, sa liste de client ne cesse de s’accroître, elle est débordée à satisfaire tout ce petit monde.

Odile, a commencé à en vouloir a son mari, d’être aussi naïf, si aveugle et aussi stupide. Elle réalise que sa sœur avait compris avant elle, qu’Odile n’est rien d’autre qu’une salope de pute. Elle a enfin trouvé sa voie, c’est tout ce qu’elle veut faire quoi qu’il arrive. Tout ce qu’elle désire, c’est sucer des bites, se faire défoncer ses deux puits d’amour et en jouir. Elle est heureuse que sa fille, Laure, suive sa voie, aiguillée par sa sœur Sam.

Sam Botte

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