L’autobus !
Nous rentrions tous les trois. Le terrain n’était qu’à quelques minutes de marche de la plage, il suffisait de suivre un petit chemin ombragé traversant la pinède. Justine était vraiment trop mal à l’aise pour que nous puissions faire semblant d’ignorer cette situation. Annie et moi la prenions chacune par un bras. Si Annie était la plus coquine de nous trois, elle avait toujours eu plus de difficultés que moi à aborder les problèmes plus cérébraux, ce qui m’incita cette fois encore à parler la première alors que nous avancions toutes trois bras dessus, bras dessous.
« Justine, nous nous connaissons assez pour que je voie bien que quelque chose te contrarie, lançai-je ».
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase.
« Si je suis de trop, il ne fallait pas me demander de partir avec vous », répliqua-t-elle.
Cette réponse me fit l’effet d’un coup de poignard. À n’en pas douter, elle s’était réveillée pendant qu’Annie m’honorait de sa bouche et de ses mains. Elle avait tout vu. Elle avait l’impression que nous l’avions trahie alors que cela n’était pas du tout le cas. Je n’avais jamais voulu ni pensé lui faire de peine. J’avais juste cédé à Annie, bien volontairement certes, pour répondre à l’appel de mon corps. Je me sentais injustement agressée, ma réponse fut vive, je la voulais à la fois apaisante et provocante.
« Puisque tu te veux notre amie, pourquoi ne t’es-tu pas jointe à nous ? Nous ne t’aurions certainement pas repoussée, bien au contraire. Qu’est-ce qui t’en a empêché ? Et tu veux quoi maintenant ? »
J’ai bien une petite idée…
La phrase d’Annie arriva au moment le plus opportun, dédramatisant la situation et poussant la balle dans le camp de Justine qui fut prise de court par la situation. Annie ne lui laissa pas le temps de se reprendre. Elle s’arrêta, saisit gentiment Justine par la taille et s’approcha, posant un bisou sur ses lèvres. Justine ne chercha à aucun moment à se dérober. Je lâchai son bras.
« Bon, je file, je prends le premier tour pour aller acheter le pain pour ce midi. On se retrouve à la caravane », lançai-je.
Je leur laissai environ une demi-heure d’intimité. Elles m’attendaient, souriantes. Tout malentendu dissipé, Justine était radieuse. Je ne pouvais avoir aucun doute sur ce qui venait de se passer entre elles, et je me surpris à en éprouver non pas de la jalousie, mais une vive satisfaction. Nous nous retrouvions. Sans oser me l’avouer, j’étais aussi empreinte d’une certaine excitation. Nous avions la même amante. Justine avait passé une superbe petite robe courte et évasée. Annie portait une jupette et un cache-cœur. Justine me sauta au cou.
« Excuse-moi Muriel, j’ai eu tort de m’emporter, je n’avais pas compris »
Elle posa sur mes lèvres un tel baiser humide que j’en fus tout émoustillée. Ces vacances partaient vraiment sur de bonnes bases…
Le repas fut joyeux. Je m’étais moi aussi changée, optant comme Justine pour une robe légère arrivant à mi-cuisses. Justine pétillait, ne résistant pas à son envie de parler de nos expériences du matin. À quelques minutes d’intervalle, nous venions de vivre le même plaisir avec la même amie, et pour toutes les deux, être caressée par une fille était une grande première.
Le ciel s’était couvert. Nous décidâmes donc de laisser tomber la plage pour aller faire un tour en ville. Il fallait prendre le bus qui s’arrête juste devant le terrain de camping, il était bondé. Juste derrière moi, un homme d’une cinquantaine d’années, look sportif, en short, t-shirt et baskets. Son parfum était très agréable.
Je fus surprise par le démarrage brutal du véhicule et reculai, me collant bien involontairement à lui. Avant que j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit pour me dégager et m’excuser de l’avoir ainsi bousculé, je sentis ses mains sur mes hanches. Je fus immobilisée net par son audace. Nous ne nous connaissions pas, et ses mains étaient sur mon corps, à travers le seul tissu léger de ma robe. Je me sentis soudainement incapable de faire quoi que ce soit. La panique. J’eus juste la capacité de chercher des yeux Annie ou Justine. Annie était juste à côté de moi, je fixai ses yeux. Elle n’avait pas l’air affolée. Elle me sourit et d’un air plutôt rassurant, me fit un clin d’oeil accompagné d’un petit signe de la tête qui en disait long : elle ne voulait pas que je tente quoi que ce soit pour me dégager, elle me demandait en fait de me laisser faire. Justine me regardait aussi, visiblement surprise et dépasser par la situation, ses yeux ronds de stupeur.
Tout se déroulait à une vitesse folle dans ma tête. Les mains de l’homme se mirent à m’attirer plus encore contre lui. Mes fesses étaient maintenant collées contre son short. Je n’eus plus aucun doute sur l’effet que je lui faisais : je sentais son sexe durcir. Annie prit ma main, cela me rassura. L’homme me caressait maintenant les hanches à travers la robe. Il s’était mis à onduler, frottant son dard contre mes globes. J’aurais voulu m’enfuir, que tout cela s’arrête, mais je ne pouvais pas. Inconsciemment, quelque chose me retenait là, je restais collée à cet homme que je rencontrais pour la première fois et avec qui je n’avais pas échangé le moindre mot. Le désir montait en moi, le désir du plaisir ; mais je refusais de me l’avouer.
Annie lâcha ma main, et celle de Justine et la plaça sur mon pubis. Médusée, Justine se laissa guider (elle m’avouera plus tard que bien que désemparée par cette situation, elle n’en était pas moins totalement excitée). Annie fit alors la chose que je craignais et désirais tant à la fois. Elle écarta légèrement l’homme et caressa son membre à travers le short. Il profita de l’espace qui s’était créé entre nous deux pour placer ses mains sur mes fesses qu’il pelota un peu avant de remonter ma robe, découvrant ma culotte de coton blanc. L’ex adolescente bien sage était exhibée. Ma tête allait exploser. J’étais en train de me faire tripoter dans un bus par un inconnu et par Justine, sous la conduite d’Annie… Et tous ces gens autour de nous qui n’avaient qu’à tourner la tête pour nous voient ! J’étais gênée, honteuse. Mais mon ventre appelait le plaisir, je sentais mon abricot s’humidifier, je ne pouvais y résister.
Passé le moment de stupeur, Justine massait maintenant mon pubis, et bien que ce soit à travers deux épaisseurs de tissu, je sentais chaque déplacement du bout de ses doigts fins. Je mouillais. Annie attrapa le short de l’homme et dégagea son sexe : il ne portait pas de slip !! Elle me prit la main et la posa sur cette bite gonflée. Elle laissa sa main sur la mienne pour m’encourager, me guider et m’aider à le masturber. Je ne voyais pas le sexe. Dans ma main il paraissait énorme. Annie m’avait fait refermer mes doigts sur sa turgescence, allant et venant à un rythme lent. Je sentais maintenant le gland qui appuyait entre mes fesses, sur la raie.
Justine continuait à titiller mon pubis ? Je perdais la tête, victime de mes sens. Je devais être trempée, je sentais entre mes cuisses, le miel de mon plaisir mouiller le fond de ma culotte. Soudain, l’homme écarta nos mains et entreprit de se branler seul. Le mouvement s’accéléra soudainement. Je sentis sa respiration devenir plus forte, plus saccadée. Partagée entre la honte, la crainte le plaisir, je me laissais aller. J’entendis son râle au moment même où je sentis ma culotte se détremper entre mes fesses. Plaqué contre ma raie culière, il commençait à exploser et n’allait pas tarder à lâcher sa semence. Une sensation étrange : le liquide tiède allait arriver par vagues successives. Je me souviens bien des deux premiers jets venus m’inonder, puis tout est devenu flou. La progression du liquide se répandait sur le coton, la main de Justine sur laquelle j’ai serré mes cuisses, Annie me soutenant. Mon ventre s’est tendu et j’ai joui, là, debout, à l’arrière de ce bus, ma culotte maculée de sperme.
Lorsque j’ai repris mes esprits, l’homme avait réajusté son short et se dirigeait vers la porte. Nous étions proches d’un arrêt, il descendit sans même se retourner. Je n’avais pas entendu le son de sa voix. Annie me dit gentiment de me laisser faire. Elle fit discrètement glisser ma culotte pleine de ce jus poisseux et la fourra dans son sac.
« Tu ne peux tout de même pas te promener en ville trempée comme ça… »
Elle posa un baiser sur mes lèvres, imitée par Justine. Je ne savais plus où j’étais, si heureuse, si honteuse. Personne autour de nous ne semblait nous avoir remarqués, du moins c’est ce que je croyais…
Je venais de vivre mon premier contact avec le sperme. Contact indirect, mais que je n’étais pas près d’oublier. La découverte simultanée de tous ces sentiments me révélait une image de moi que je ne connaissais pas, dont je ne me doutais même pas. Tout se bousculait.
Nous descendîmes au centre-ville. J’étais encore sur mon nuage. J’en avais oublié que je ne portais plus de culotte…
La rencontre de Mireille et Éric
Notre escapade au centre-ville commença par un arrêt à la terrasse d’un café. Bien décidé à ne nous priver de rien, nous voilà donc attablées, attendant que le serveur nous apporte notre verre d’une liqueur bien connue, parfumée à la noix de coco, de couleur blanchâtre…
Évidemment, Annie ne put s’empêcher de plaisanter à ce sujet, dégustant le breuvage en fermant les yeux, passant la langue sur ses lèvres, allant même jusqu’à en lécher une goutte sur son index.
Tout ce petit manège était assez bruyant et très jovial, jusqu’à ce que le garçon nous apporte une tournée supplémentaire que nous n’avions pas commandée, nous expliquant qu’elle nous était offerte. Il nous a remis aussi une enveloppe dont Annie se saisit. Son visage changea radicalement à la lecture de la carte qu’elle contenait. Elle semblait à la fois très satisfaite et un peu gênée. Sans mot dire, elle tendit le carton à Justine qui devint cramoisie, l’air franchement épouvanté. Je commençais à me poser des questions, d’autant plus que Justine n’osait pas me faire suivre le petit mot. Je tendis la main, elle me le passa enfin.
« En remerciement du ravissement dont vous nous avez gratifiés dans l’autobus. Mireille et Éric »
Le sol se déroba sous mes pieds. Quelqu’un avait donc tout vu, tout regardé, tout observé. Pire encore, ils osaient nous le dire. Je me considérais comme la principale intéressée, je me sentais dégradée, plus bas que tout. J’aurais voulu pouvoir disparaître à l’instant. Annie m’arracha le billet des mains.
« On peut dire que tu leur as plu. Remarque, nous y sommes quand même un peu pour quelque chose… »
Elle me souriait, venant ainsi à mon secours.
« Il ne faut pas te mettre dans un état pareil. Ils nous ont appréciées. Je suis même prête à parier que c’est toi qui les as le plus excités. Laisse-moi faire »
Et avant que je puisse répondre, elle se mit à dévisager les couples attablés à la terrasse. Son regard s’arrêta sur l’un d’eux qui nous fixait ostensiblement.
Ils avaient environ une quarantaine d’années. Les vacanciers classiques. À la distance où nous nous trouvions, rien n’aurait pu les différencier des autres couples. Annie leur fit un petit signe en guise de remerciements. La femme se leva, de taille moyenne. Elle s’approcha de notre table et s’adressa à nous, plus précisément à Annie.
« Accepteriez-vous que je me joigne à vous? »
Le « Bien sûr, ce sera avec plaisir » d’Annie fut immédiat.
Dans quelle aventure nous embarquait-elle encore ? Je commençais à en avoir un peu peur, quoique… je me sentais happée par cette envie de me laisser entraîner par Annie et ses aventures, par tout ce qui me touchait au sexe, aux plaisirs du corps. Et puis jusqu’à maintenant, je n’avais pas eu à me plaindre, bien au contraire. Je décidai donc de la laisser mener cette rencontre.
Annie se chargea des présentations. L’homme était resté à l’écart, se limitant à nous regarder, malgré tout visiblement satisfait par la tournure que prenaient les évènements. La conversation vint très vite sur le sujet qui les avait fait nous contacter.
Vous nous avez offert un magnifique spectacle dans le bus. Vous semblez très complices toutes les trois. Mon mari et moi nous sommes toujours attirés par l’insolite, nous aimons les rencontres furtives, intenses. Nous aimons la jouissance, le plaisir sous toutes ses formes. Nous avons été attirés par vous dès que vous êtes montés dans le bus, ce qui fait que nous n’avons rien manqué de votre aventure…
Elle s’arrêta et nous dévisagea toutes les trois. Justine était écarlate, je ne devais certainement pas être mieux.
Seule Annie semblait conserver son sang-froid.
Mireille s’adressa directement à elle.
« Nous étions venus reprendre notre voiture au garage. Je pourrais attendre ici avec vous qu’Éric s’occupe de cela »
La réponse d’Annie parvint après une courte hésitation.
« D’accord, cela nous laissera le temps de faire connaissance »
Aussitôt, sans mot dire, Mireille fit un petit signe à Éric qui prit tout de suite congé en nous adressant un salut et disparut d’un pas pressé.
La situation s’était détendue. Mireille et Annie avaient réussi à nous mettre toutes à l’aise. Il faut bien reconnaître que l’alcool nous y avait aidés.
Mireille était un joli brin de femme, mince mais pas maigre, vêtue d’un tailleur blanc, jupe courte fendue sur le côté et veste assez décolletée, laissant entrevoir la naissance de la gorge de ses seins. Elle se penchait parfois, ce qui me permettait de voir les bonnets de son soutien-gorge blanc. Ces images me perturbaient. Je me découvrais, en fait, moi qui n’avais jamais envisagé auparavant comme possible d’éprouver du désir et de pouvoir prendre du plaisir avec une fille… J’avais soudainement envie qu’entre Mireille et moi, il se passe des choses. Justine ne semblait pas moins perturbée que moi. Je n’en pouvais plus. L’autobus, la découverte de la sensation du sperme tiède contre ma culotte, le fait d’être sans culotte en public, Mireille, Justine, Annie… Je sentais monter à nouveau en moi cette envie de plaisir qui m’échauffait le ventre.
Je fermai la porte à l’aide du petit verrou. Je venais de quitter la terrasse pour venir m’enfermer dans les toilettes, le ventre en feu. Je glissai tout de suite ma main droite sous ma robe, atteignant mon ventre, puis descendant sans attente vers mon pubis dénudé. Excitées comme je l’étais, les caresses préalables n’étaient pas nécessaires. Main à plat, je me massais, la cyprine m’engluant abondamment. Mes doigts couraient déjà sur mes lèvres, les écartaient, allaient et venaient entre elles. J’étais trempée.
Dans la minute je me sentis au bord de l’explosion, je m’abandonnai à mon envie de jouissance. Quiconque m’aurait vu m’aurait trouvée indécente, debout dos contre la porte, genoux pliés, cuisses ouvertes pour dégager largement l’accès à ma fente, mais glissée sous le fin coton de la robe. L’orgasme monta soudainement, prenant mon ventre, mon sexe, m’arrachant un râle irrépressible. Mes muscles les plus intimes ne répondaient qu’au plaisir, battant la chamade.
Les spasmes avaient stoppé. Je me retrouvai accroupie, toujours adossée à la porte. Mes jambes avaient fléchi, ma main inondée de miel se calmait, prodiguant maintenant un simple attouchement accompagnant la reprise de mes esprits et le retour vers le monde extérieur. Je me relevai vite pour rejoindre mes amies. À mon retour, les regards, les sourires qu’elles m’adressèrent prouvèrent qu’elles savaient. Bizarrement, j’en ressentis une certaine fierté, je m’affirmais. Je n’eus pas le temps de reprendre ma place autour de la table, Éric arrivait. Il stoppa la voiture devant le café, Mireille nous invita à monter. Pendant mon absence, Annie et Justine avaient accepté l’invitation que Mireille leur avait faite d’aller prendre le goûter chez eux.
Éric conduisait prudemment, mais était-ce plus par peur de l’accident que par crainte de ne pouvoir profiter des images que lui offrait Annie, assise à ses côtés ? Il semblait ravi qu’elle ait pris place à l’avant, ses yeux pouvant à souhait se poser sur ses cuisses et dans son décolleté. Cette observation méticuleuse de l’anatomie d’Annie n’était perturbée que par les regards lancés à un rétroviseur particulièrement bien réglé pour offrir une vue plongeante sur Justine qui se trouvait au milieu de la banquette arrière.
Ma masturbation dans les toilettes m’avait un peu calmée, ce qui me permettait d’avoir un détachement un peu plus important sur la situation. Mireille assise à gauche de Justine, la caressait du bout des doigts, parcourant la cuisse entre le genou et la lisière de la robe. Justine semblait apprécier ces allées et venues des doigts agiles. Elle fit glisser ses fesses du bord du siège et desserra ses cuisses malgré l’exiguïté du lieu. Sa robe remonta très haut. Cette invite ne resta pas sans réponse. La main de Mireille s’insinua immédiatement entre les cuisses offertes, remontant maintenant vers le sexe, sous le fin tissu de la robe. Je vis la main disparaître, devinant son mouvement aux ondulations du tissu. Justine fermait les yeux, s’abandonnant totalement. Mon excitation remontait, mais surtout je voulais voir, voir Justine osciller sous la caresse.
Je remontai sa robe, dégageant ainsi intégralement le bas de son ventre, sa culotte offerte à la vue de tous.
Éric s’intéressait décidément beaucoup à ce qui se passait vers l’arrière… Mireille massait le pubis de Justine à travers sa culotte, suivant les mouvements de bassin de mon amie qui, maintenant, se tortillait.
Je me penchai vers l’avant, découvrant que le coton de la culotte était trempé. Justine ne mouillait plus, elle dégoulinait. Sa liqueur inondait son entrejambe. Mireille remonta sa main vers le ventre, puis la laissa plonger sous le coton. Mireille reprenait la masturbation qu’elle avait entamée à travers le tissu. À peine eut-elle atteint les lèvres de Justine que cette dernière se cambra et, comme électrisée, se raidit en poussant un cri de plaisir qu’elle chercha à étouffer : sans doute un reste de cette pudeur qui nous pousse à nous cacher lorsque nous jouissons devant quelques voyeurs passifs.
Mireille l’accompagna de sa main jusqu’à ce que le corps frêle de Justine se détende et retombe sur la banquette. Elle l’embrassa alors qu’elle retirait sa main de la culotte, tendrement. Mireille la regarda dans les yeux, puis porta la main trempée à sa propre bouche, léchant ses doigts, dégustant du bout de la langue le plaisir de Justine. Cette coquine savait relancer l’excitation, le désir. Je ne pus m’empêcher de me pencher et de poser ma bouche sur celle de Justine qui souhaita partager ce baiser. Nos lèvres s’ouvrirent, nos langues se cherchèrent, se trouvèrent. Je sombrais à nouveau dans le désir.
Mais déjà, nous arrivions. Éric arrêta la voiture dans la cour intérieure d’une petite villa comme il en existe souvent le long de la côte et nous invita à descendre.
« Le goûter nous attend… ! »
À suivre…
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