Histoires taboues Au début de mon adolescence, j’ai commencé à avoir envie de l’attention des hommes. Je ne faisais pas mon âge. Je pouvais passer pour beaucoup plus âgée et je l’utilisais à mon avantage. *L’effet de mon petit corps sexy sur les gens me fait toujours couler de l’encre. Je ne peux pas m’en empêcher, j’ai besoin d’attention et j’aime m’habiller comme une salope et me faire baiser comme une salope aussi. *Ce jour-là, j’étais en mission pour satisfaire mes désirs de salope. Je suis allée chercher une fausse carte d’identité pour pouvoir aller au magasin de livres pour adultes et au sex-shop. Je suis entrée dans le magasin, habillée comme une vraie pute qui ne demande qu’à être baisée. Jupe noire courte, chemisier blanc moulant, talons hauts et rien d’autre. Je remarque que l’employée est une femme chic et sexy, c’est intéressant. Je me dirige vers les godes et les vibromasseurs, à la recherche de quelque chose de plus grand et de meilleur. En regardant, je remarque que le vendeur verrouille la porte d’entrée et affiche un panneau de fermeture, puis il me lance un regard qui me rend encore plus humide que je ne l’étais déjà.
Dans le magasin, il y a déjà un groupe d’hommes d’âge moyen, il est évident qu’ils se connaissent et qu’ils sont beaux aussi. *Je leur ai donné un spectacle en me penchant pour regarder une étagère plus basse, me demandant s’ils pouvaient voir ma chatte nue. Je me suis arrêtée avant de m’attirer des ennuis. *J’apporte ce que je veux à l’employée du comptoir. « Elle se penche sur moi, me regarde dans les yeux et me dit : « Oh, vous allez payer ! ». Soudain, les quatre hommes me sautent dessus par derrière. Ils me plaquent au sol. Le chef déchire mon chemisier, puis ma jupe. Leurs bouches s’ouvrent, leurs yeux fixent mon corps arrondi, mes seins charnus, mes mamelons durs et ma chatte rasée, qui était déjà mouillée. Mes seins respirent de haut en bas tandis que je vois la convoitise dans leurs yeux. C’est en partie de la peur, mais je ne plaisante pas, je suis excitée et fière d’être l’objet de leur désir.
L’un d’eux caresse légèrement ma fente et je gémis en levant les hanches. Il rit en disant : « Regardez la pute, elle est déjà trempée ». L’un d’eux respire bruyamment : « Quelle chatte chaude ! » Pendant qu’ils regardent, un filet d’humidité s’écoule de ma chatte fumante jusqu’à mon petit trou boudiné. Mmmmm… ils grognent. Bébé, c’est une bonne chose que tu sois mouillée, parce que tu vas être remplie de bite ». Un gémissement s’échappe de mes lèvres alors que j’obtiens exactement ce que je voulais.
Pas mal mais trop court ! Une suite ????
Pas prévu, les hotesses font ca plutot au tel rose.
On est déja contents qu’elles nous en fasse par écrit !