Histoires Taboues
Une semaine plus tard, René, accompagné de Léa, entre dans un bar un peu glauque. En entrant, Léa remarque, que certaines tables sont recouvertes d’une nappe qui descend jusqu’au sol ? Assis à une table, René commande deux bières. Une serveuse leur apporte les bières. C’est une superbe jeune femme avec un décolleté très ouvert sans soutien gorge. Elle porte une jupe très courte d’où l’on peut voir son string noir.
Sur un geste de René, le patron ainsi qu’un employé sortent de derrière le bar et viennent à côté de Léa. – Tu vas avec eux, ils savent ce qu’ils ont à faire. Lui ordonne René. Léa angoissée, fait non de la tête. Ils lui prennent chacun un bras et lui demandent de les suivre, sans faire d’histoire. Léa n’a pas trop le choix. Ils l’amènent dans l’arrière salle et lui demandent de se déshabiller entièrement.
Elle refuse. Alors, elle reçoit un grand coup manche à balai sur les fesses. Dans la douleur, Léa s’exécute sous la contrainte. Ils lui attachent les mains devant son ventre, avec une paire de menotte et la ramènent nue dans la salle ? Ils la font mettre à quatre pattes de René. Celle avec la nappe qui arrive pratiquement jusqu’au sol.
René lui proclame. – Tu vas me sucer ici ainsi que tous ceux qui vont s’asseoir à ma table ? Encore une fois, elle n’a pas le choix. Elle commence à pomper son oncle qui bande déjà. Il ne tarde pas à éjaculer dans la gorge en lui tenant la tête, en lui ordonnant d’avaler. Ce qu’elle fait bien sûr avec délice.

Pendant ce temps là trois mecs s’installent autour de la table. Ce sont sans doute, les clients de René. Ils baissent leurs pantalons et leurs slips pour laisser leurs queues à sa disposition.
Ensuite, il en vient d’autres. Dès qu’une place se libère, elle est occupée aussitôt par un autre client. Léa passe de queues en queues et chaque fois, elle avale une nouvelle dose de sperme.
Soudain, une grande langue baveuse vient de lui lécher l’entre cuisses ? De surprise, elle lève brusquement la tête et se la cogne sous la table. Celui qu’elle suçait, lui attrape les cheveux et tire sa tête vers sa queue. – Continue à sucer les bites, chienne ! Comme tu es dans un bar à chien, les saillies sont comprises dans le prix. Proclame René en tapant du poing sur la table.
Dans sa position à quatre pattes sous la table, des chiens en profitent pour la saillir où l’enculer pendant qu’elle suce leur maître. Au bout d’environ deux heures de ce traitement et d’un sixième orgasme. René la fait sortir de dessous la table pour la ramener dans l’arrière salle. Léa voit qu’il n’y a plus personne dans la salle. Elle pense que sa prestation est finie, mais non. Elle doit à présent satisfaire la serveuse, parce qu’elle l’a privé, soit disant de son revenu d’aujourd’hui.
Le patron et René se mettent à la baiser en sandwich et éjaculent dans sa chatte et son cul. Après ça, Léa doit lui lécher ses trous complètement jusqu’à ce qu’il ne reste plus une goutte de jus. Léa reconnaît que cette situation ne lui déplaît pas et tonton René remarque qu’elle mouille de cet épisode.
Tonton René, assure au patron, qu’ils reviendront et que Sylvie la serveuse pourra participer à la saillie, elle aussi. Que ce sera plus hard la prochaine fois. Lors du retour, Léa lui avoue qu’elle a bien aimé, faire la pute dans un bar à chien et qu’elle y reviendra bien volontiers. Ce qu’ils font une semaine après.
Encore toute émoustillée de sa dernière prestation dans ce bar à chien. Léa se laisse y emmener par son tonton. Dès leur entrée, elle voit qu’il y a déjà trois clients avec leur compagnon à quatre pattes. Le patron leur propose de prendre un verre. Sylvie, la serveuse est toujours habillée aussi court, mais cette fois-ci sans culotte.
Léa reconnaît un des hommes qui était là, la fois précédente et qui en la regardant caresse le bas ventre de son chien. Elle sait ce qui l’attend et elle en est toute émoustillée.
Tonton René, lui ordonne de suivre le patron. Elle suit le patron dans l’arrière salle.

D’un signe, il lui fait comprendre de se déshabiller. Elle s’exécute. Ils sont rejoints par Sylvie la serveuse.
– Nous allons nous faire saillir toutes les deux ici. Car dans la salle, il y a le risque d’être dénoncé à la police. La dernière fois que tu l’as fais sous une table. Des connards s’étonnaient que des chiens allaient se remués sous la table et pourquoi faire ?
Dans cette arrière salle, il y a deux petits bancs confortablement rembourrés. Sylvie se déshabille aussi. Elle s’approche de Léa et lui roule une pelle d’anthologie. Elles se caressent toutes les deux en s’embrassant. Le patron leur tend à chacune une guêpière à leur taille ?
– Bon ! Les filles ! Je vois que vous êtes chaudes ? Mettez moi ça ? C’est pour que vos hanches ne soient pas striées de griffures ? Ensuite, allongez vous à plat ventre sur un banc ? Je fais entrer les deux premiers clients.
Les deux jeunes femmes enfilent leur guêpière et se positionnent à plat ventre sur un des deux petits bancs. Leurs seins pendent devant un bord du banc. Elles écartent les jambes et tendent leur fessier en attendant leur premier client accompagné de leur compagnon à quatre pattes.
Dans cette position, leur puits d’amour est ouvert et prêt à se faire saillir. Ce qui ne tarde pas, leur deux premiers clients prennent leur place respective. Après trois ou quatre coups de langue, le compagnon du client monte ses pattes avant sur le dos de la chienne humaine. Ainsi, pendant que le compagnon s’active dans le puits qu’il a pu investir. Son maître baise la bouche de la femelle.
Le tempo est lancé sous les coups de butoir des saillies, les jeunes femelles exécutent des pipes sans que les maîtres ne bougent. C’est elles qui font tout le boulot. Les assauts se succèdent à un rythme soutenu. Au bout d’une douzaine de saillies ? Elles ont droit à une pose, elles boivent un grand verre de lus de fruit mélangé avec un peu d’aphrodisiaque.
Ensuite, la séance reprend. L’un des premiers compagnons à quatre pattes, a sailli Léa dans son derrière. Comme il avait une grosse verge, son anus est resté entrouvert, après la saillie. Donc, la plupart des compagnons à quatre pattes ont investi le puits d’amour entrouvert.
Vingt cinq saillies plus tard, la ronde s’arrête.
Sylvie s’approche sur son petit banc de Léa. – Toi aussi ? Tu as aimé cette séance de saillie. Elle lèche les lèvres de Léa, encore imprégnées du sperme des clients. Léa lui fait la même chose et elles s’embrassent à pleine bouche.
Léa sent un doigt visiter son anus entrouvert, qui déborde de semence canine. Ensuite, deux, trois, quatre et puis la main entière s’enfonce dans ses reins.
L’anneau ne résiste pas, il a tellement été sollicité. La semence canine sert de lubrifiant et elle sent d’un coup la main l’envahir, jusqu’au poignet. Léa essaye de tourner la tête pour voir qui lui investit son fondement ? Mais, elle ne le peut pas à cause du baiser de Sylvie qui bâillonne sa bouche en lui tenant le visage. La main rentre et sort de plus en plus vite avec maintenant le poing fermé. Le pilonnage de son anus ne dure pas très longtemps.
Le Patron qui regarde d’un œil et qui ne perd rien de la scène est en train de préparer des sandwichs. Les deux jeunes chiennes vont prendre une douche en s’infligeant mutuellement un lavement de leurs puits d’amour respectif.
En partant, le patron dit à Léa, qu’il a d’autres programmes tout, aussi intéressants pour les deux jeunes femmes ? Alors à bientôt ?
Un samedi après midi, tonton René vient prendre Léa chez elle.
– Nous allons chez un grand propriétaire terrien. Il fête les cinquante ans de sa femme et pour l’occasion, il organise une grande fête en compagnie de nombreux invités. En arrivant, Léa voit une grande bastide style manoir avec tout autour des dépendances, des écuries, un chenil.
A voir sur le parking le nombre de belles voitures, elle comprend que ce sont des gens de son milieu bourgeois. Tonton présente Léa au propriétaire et sa femme qui est très belle.
Le propriétaire s’adresse à René : – Nous espérons qu’elle sera à la hauteur de sa réputation ? – Oui ! Monsieur, elle ne vous fera pas honte.
En essayant de ne rien laisser paraître de son trouble, elle se retourne et dit à voix basse :
– Vous pourrez compter sur ma plus parfaite collaboration.
– Je vous remercie, je n’en attendais pas moins de vous. Je vous confie donc à ces deux messieurs, ils vont vous guider jusqu’à la salle, vous allez être en quelque sorte la vedette du jour.
Léa suit les deux hommes qui l’escortent fort correctement, mais en la dévorant littéralement du regard. Le petit groupe traverse le bâtiment, et pénètre dans une grande salle qui va servir de lieu de réunion pour la fête. La grande salle est remplie, il y a là une bonne trentaine de couple certain, des jeunes et des moins jeunes avec des masques, sûrement des gens connus qui ne veulent pas être identifiés.Au centre, il y a une estrade avec divers bancs, une table de gynéco, le tout éclairé par des projecteurs directionnels.
Toutes les conversations s’arrêtent net, tous les regards convergent vers elle, ça va être sa fête, et elle le sait.
Deux hommes se présentent, ils portent chacun une caméra vidéo. La fête va pouvoir commencer, sa déchéance va pouvoir commencer, rien ne lui sera épargné, tout sera filmé, tout dans les moindres détails.
Les deux hommes qui lui servent d’escorte, l’invitent alors à monter sur l’estrade, tandis que le propriétaire accompagné de sa femme prend place à la table d’honneur.
Courageusement, Léa monte avec peine les quelques marches du podium. Les marches sont hautes, et sa jupe dévoile son manque de sous-vêtement, comme l’a exigé tonton.
Les commentaires commencent à fuser, et les femmes ne sont pas les dernières. Elle va être obligée de satisfaire tout le monde. Léa l’a bien compris. Dès lors, qu’elle les excitera et plus vite, ce sera fini, du moins c’est ce qu’elle peut croire à ce stade, toujours est-il qu’elle va faire de son mieux pour chauffer au maximum la salle.
Léa est maintenant sur l’estrade, les cameramans ont pris position, les hauts parleurs diffusent une musique d’ambiance, les caméras commencent à ronronner. C’est parti, de toute évidence, pour de nombreuses heures.
Léa se met tout de suite en phase avec la musique, le rythme, elle a ça dans la peau. Le public s’en rend vite compte et applaudit avec enthousiasme, la séance s’annonce bien. Léa se met à tourner sur elle-même en suivant impeccablement le rythme de la musique. Lentement, délicatement, elle se met à ôter son haut bleu, qu’elle fait tournoyer au-dessus de sa tête, avant de finir par la jeter sur un des deux cameramans. Les approbations fusent, le public applaudit.
Léa apparaît à présent seins nus. A la vue de sa superbe poitrine, les commentaires approbateurs continuent de fuser.
C’est au tour de sa jupe maintenant. Toujours en rythme avec la musique, elle dégrafe sa jupe, puis la fait glisser lentement le long de ses longues jambes, dévoilant au passage et à la stupéfaction un pubis complètement épilé.
Un bref silence se fait très vite rompu par un tonnerre d’approbation. Les hommes sont surexcités, certains commencent à peloter leur compagne. Sur la scène, Léa ne se rend compte de rien, mais insensiblement monte une excitation phénoménale.
Léa n’a pas le temps de retirer de ses pieds, sa jupe. Plusieurs jeunes surexcités prennent la petite estrade d’assaut, leurs pantalons gonflés ne laissant aucun doute sur leurs intentions. En connaisseurs, ils ont, de leur propre initiative, décidé de se faire faire une belle fellation publique, devant l’œil attentif des caméras qui n’ont pas perdu un détail de la scène.
Léa est prise par les cheveux, mise à genoux, tandis que quatre sexes vigoureux et de bonne taille lui sont là-devant la bouche. Pas besoin de commentaire, elle sait ce qu’on attend d’elle. Elle les suce un à un, puis devant l’excitation générale, en suce deux à la fois, tout en n’oubliant pas de branler les deux autres.
Soudain, elle en sent venir un. Elle saute sur sa bite turgescente, abandonnant temporairement les deux autres. Elle suce le jeune homme à fond. Il ne tarde pas à éjaculer dans sa bouche. Enfin, le premier, se dit-elle, tout en avalant le sperme qui lui remplit la bouche.
Le public est électrisé, la salle devient littéralement un lupanar. Des femmes sont troussées, d’autres imitent Léa en suçant une, voir deux queues. Léa à genoux, au centre, la tête tournée par une poigne vigoureuse dans les cheveux, elle suce deux bites à la fois maintenant et ce n’est qu’un début. Elle est à présent entourée par des jeunes qui veulent se la faire par tous les trous. Il y a aussi deux ou trois jeunes femmes.
Une main s’insinue dans sa chatte, elle en ressort trempée. Le jeune se redresse aussitôt, montre sa main dégoulinante à autour de lui et clame :
– Elle est à point la pute, elle dégouline, j’ai jamais vu ça.
Alors, la femme du propriétaire s’approche de Léa ? Elle écarte les jeunes et commence à s’amuser de son corps, elle lui frappe à plusieurs reprises son sexe et y enfonce à plusieurs ses doigts dans son puits d’amour sans enlever ses gants blanc. Ensuite, elle soulève sa robe, elle est sans culotte.
Elle lui colle sa fente sur sa figure et lui demande de la lécher. Léa s’exécute sans entrain, mais elle le fait bien. La femme glousse de plaisir avant de râler de jouissance. Sur un signe de cette femme, aussitôt on s’empare d’elle, on la place sur la table d’examen articulée, qui fait un bon mètre de haut. Elle est mise de façon à ce que ses jambes et sa tête pendent dans le vide. On se saisit de ses jambes, on les écarte. Ainsi placée, sa grotte est grande ouverte, et juste à la bonne hauteur pour recevoir des queues. Les jeunes vont se régaler, les cameramans aussi.
Un cameraman fait un gros plan de sa moule trempée, l’autre un gros plan sa bouche avec ses lèvres humides de sperme. Le montage s’annonce long et fort agréable se disent-ils.
Un jeune métisse se présente, sa queue est tendue à l’extrême, son visage est congestionné, il n’en peut visiblement plus. Il écarte les autres, et sans préambule, il enfonce brutalement sa bite au fond de la grotte d’amour de la vendue. Surexcité, il éjacule aussitôt sous les quolibets des autres spectateurs. Il se retire, dépité en n’ayant qu’une seule parole pour la jeune femme :
– Sale pute !
Un autre jeune prend aussitôt sa place, tandis qu’elle se voit forcée de sucer et de lécher une moule. Les spectateurs impatients qui n’hésitent pas à malaxer ses seins, à enfoncer profondément les doigts dans sa chatte. Ils triturent son clitoris au point de la faire parfois hurler de douleur au plus grand plaisir des jeunes femmes autour d’elle. Certaines plus vicieuses, désirent l’entendre gémir. Alors, elles lui pincent méchamment les tétons, à ce jeu, ce sont les filles avec leurs longs ongles qui se montrent les plus fortes. Elles en ont marre de cette pute de bourge qui se fait baiser par leurs hommes, et elles savent comment faire mal.
Le suivant est d’une tout autre trempe. Il bande comme un taureau, son sexe est d’une taille réellement impressionnante, et il sait visiblement mesurer ses efforts. Il commence par taquiner les lèvres de la moule et le clitoris de Léa avec son gland. Surprise par la douceur de la caresse, elle n’en peut plus, elle râle sa jouissance comme si, elle n’en avait jamais connu.
Léa est là, offerte aux invités, mais toujours respectable et splendide. Ses cheveux blonds bouclés sont empoignés par les hommes qu’elle suce. Les râles de plaisir de Léa, deviennent plus fréquents, ce qui excite encore un peu plus, les spectateurs.
Le spectacle est un vrai ravissement, les cameramans professionnels s’y attardent d’ailleurs bien volontiers : gros plan sur cette bite énorme qui lentement et puissamment la défonce en lui imposant son rythme, retour sur le visage de Léa râlant de bonheur. Retour sur le géant qui la besogne toujours vigoureusement sous les acclamations de sa femme.
Une nouvelle fois, et elle ne sait comment, ce géant parvient à lui arracher un foudroyant orgasme. Un tonnerre d’applaudissement accompagne cet orgasme inattendu. Profitant de l’approbation générale, il décide de pimenter le jeu. Il se retire et présente sa queue tout contre la petite porte de ses reins. Léa s’y attendait depuis le début, mais à présent, on y est. Quelques petits coups et l’anneau se laisse forcer sous les applaudissements des spectateurs.
Un cameraman s’approche, il veut absolument prendre un gros plan. Le spectacle est absolument incroyable, ce sexe énorme dans ce cul magnifique et les lèvres de Léa encore gorgée par le sang de son récent orgasme. C’est un spectacle magnifique, inoubliable.
Fier du spectacle qu’il offre, le géant s’écarte quelque peu, laissant les cameramans immortaliser la scène. Puis, revenant à ses propres préoccupations, il augmente brutalement la cadence de son martèlement jusqu’à ce qu’il éjacule loin dans le fond du cul d’Hélène. La compagne du géant se précipite pour lui nettoyer sa queue avec sa bouche en aspirant les dernières gouttes de son nectar. Ensuite, elle embrasse Léa pour mélanger le jus de son homme avec la putain qui suce sa langue de plaisir.
Dans cet instant de repos, Léa regarde la salle, elle y voit un vrai baisodrome. Ça baise sur les tables, dessous les tables ou à même le sol. Sur la table d’honneur, elle n’en croit pas ses yeux ?
La femme du propriétaire qui est allongée sur le dos et Léo la baise ? Ça alors, il est entrain de prendre la femme et son mari est à leur côté. Elle entend les râles de la femme de plus en plus puissants à chacun de coup de rein de Léo.
Elle a maintenant enlacé avec ses jambes autour des hanches de Léo et il redouble d’ardeur. Elle s’agrippe à lui, les bras autour de son cou.
– J’ai un cadeau pour toi, mon jeune baiseur ?
– Hein ?
– J’ai un beau cadeau pour toi, mon adoré !
Elle a un large sourire plein de malice. Léo ne comprend pas tout de suite le sens de ses propos. Il sent une présence derrière lui ? La femme l’empêche de tourner la tête pour lui permettre de voir qui est-ce ?
Le bruit d’un crachat ? Et ensuite, quelque-chose qui coule entre ses fesses ? Léo se sent à la fois terrorisé et terriblement excité par la situation. La femme le maintient toujours fermement contre elle, avec son sexe en elle. Elle lui attire son visage contre le sien et elle lui roule une pelle.
Ou corps de Léo est maintenu contre celui de la femme. Dans cette position, il offre ses fesses. Soudain, il sent quelque-chose de chaud et dure contre son anus ? Il essaye de remuer les fesses, mais la pression se fait de plus en plus forte, ses chairs s’ouvrent petit à petit pour laisser passer l’intrus. On entend une respiration haletante et saccadée au fur et à mesure que le cul de Léo se fait pénétrer. Ils entrain de se faire enculer, par la propriétaire.
Tonton René vient à côté de trio emmanché, et murmure à Léo.
– T’aimes ça, gros con ? T’aimes te faire enfiler comme ta sœur. C’est qui alors, le trou du cul, de vous deux ?
– Mon jeune ami ? Profite de l’instant plutôt ! HUMMM. C’est trop bon Léo continue, c’est bon pour toi aussi ? T’aimes ça aussi ?
Râle la femme dans l’oreille de Léo qui a repris ses coups de reins imposés par son enculeur.
Oh Oui, qu’il aime ça ! C’est devant les caméras, que l’on a pu voir la femme, le Léo et le mari jouir en même temps dans un gros râle de délivrance.
Ensuite, le propriétaire cède la place au suivant qui commence à sérieusement s’impatienter.
Le corps de Léo est toujours maintenu contre celui de la femme. Il ne cherche pas à s’en échapper quand une autre queue investit son boyau déjà bien graissé par son premier visiteur.
Tonton René, qui s’est mis devant la tête de Léo. Il lui attrape sa tignasse et lui lève la tête. Sous la douleur soudaine, un cri sort de sa bouche entrouverte. Tonton lui met son gland sur les lèvres.
– Suce moi la queue l’apprenti proxénète ? Et aussi bien que ta pute de sœur ? La femme sous lui, le maintient par le cou. Alors, résigné, il ouvre la bouche et aspire la queue de tonton.
Quelques minutes plus tard, il avale la jouissance de tonton pendant que l’autre derrière, mélange son sperme à celui du propriétaire, dans le ventre de Léo. C’est ainsi, un moment de pur bonheur pour Léo.
Durant ce temps là, sur l’estrade, un homme monté comme un âne, décide de changer Léa de position. Sa proposition recueille immédiatement l’accord de l’assemblée. Il s’étend sur la table, et force Léa à venir s’empaler sur son membre en lui tournant le dos. Il lui écarte les fesses, et glisse, sans grandes difficultés, son sexe dans le cul de Léa encore distendu par l’énorme bite de son prédécesseur.
Le cameraman bondit sur l’estrade, une scène comme cela, il ne peut pas la rater, sinon il est viré. Léa est là, un sexe introduit dans son cul jusqu’aux couilles, son sexe béant ouvert à tous, un sexe qui ne va pas tarder de toute évidence à accueillir un nouveau partenaire dans un hallucinant sandwich.
Elle a bien compris ce qui va lui arriver, elle ne peut s’y soustraire, aussi est-ce presque avec soulagement. Lorsqu’elle sent le cameraman laisser la place à un nouveau partenaire, qui la pénètre et la besogne sans ménagement. Elle est violemment prise en sandwich.
L’agitation est cependant à son comble, ils ont tous pris leur pied, et il est temps de laisser la place à la suite de prévue. On ne saurait de toute évidence plus rien tirer de bien de cette pute déjà prise par tous les trous. Il y a plus d’une heure que cela dure, et les caméras sont bientôt toutes en bout de course.
Tout le monde s’amuse bien sans aucun doute et l’ambiance monte en intensité.
Léa est à présent à plat ventre sur une table basse, pieds et mains liés aux quatre pieds de la table. Elle interroge du regard tonton René, qui lui fait un sourire réconfortant. Elle voit rentrer dans la salle la femme du propriétaire avec un dogue allemand. Une bête d’au moins un mètre cinquante de haut et il le fait monter sur l’estrade directement vers Léa. Sa femme commence par branler l’animal qui ne tarde pas à bander très fort.
Il amène le chien juste au dessus de Léa ? Ensuite, elle sent que d’un coup de reins, il enfonce sa grosse verge au plus profond dans ses entrailles. La bête tout existé saillit, Léa de toutes ses forces avec une cadence infernale, que seule un chien peut pratiquer pendant un moment qui me semble une éternité. Elle est de nouveau au bord de l’orgasme quand les coups de rein du chien s’arrêtent subitement. Il donne une poussée finale très fort et elle sent son trou du cul se dilater énormément.
– Ça y est. Il lui a rentré le nœud dans le cul ! Clame la femme du propriétaire. Elle restera comme ça au moins vingt minutes. Soudain, elle sent un torrent de foutre lui remplir les entrailles. Elle pousse des râles de chienne en chaleur.
– Regardez son trou du cul s’est refermé derrière le nœud ! Surenchéri la femme du propriétaire. Après un autre orgasme de la femelle, le mâle se retire de son ventre. Une fois retiré, elle doit bien sûr, lui nettoyer son organe avec ma bouche jusqu’à la dernière goutte.
Les gens applaudissent, contents de ce qu’ils viennent de contempler. Mais, sa surprise ne s’arrête pas la et la fête continue. Léa est conduite, accompagnée des invités, vers l’écurie où se trouvent des poneys, des ânes et des chevaux.
Là, on l’a fait s’allonger à plat ventre, sur deux bottes de paille, les jambes pendantes ?
– Pas besoin de l’attacher, elle se soumet à tous vos désirs, quels qu’ils soient. Proclame Tonton René.
On fait sentir à un âne des phéromones femelles, ce qui a pour effet aussitôt de le mettre dans en rut.
La pauvre bête n’en peut plus. Alors, il est guidé vers l’anus de Léa déjà bien dilaté depuis un moment. On pose ses pattes avant sur chaque botte de paille posées de chaque côté de Léa. On guide sa verge à l’entrée des reins de la sacrifiée. L’âne enfonce sa verge dans le boyau de Léa. Il commence à la sodomiser d’abord lentement, puis très rapidement la cadence s’accélère. Sa queue énorme s’enfonce de plus en plus dans ses reins en lui tirant des râles de plaisir en continu.
Quelle défonce ? Elle n’a jamais connu quelques choses d’aussi intense, une vraie explosion de sa rondelle. Il est tellement existé que dans un coup encore plus fort que les autres. Il décharge toute sa semence chaude au fond des entrailles tumultueuse de Léa. Elle se sent littéralement inondée par l’intérieur. Les invités et les deux cameramans applaudissent à tout rompre.
Devant le succès de la prestation de Léa avec l’âne. Il décide que maintenant, vient le tour du cheval, encore plus gros et à la limite du supportable. Cependant, préalable, on lui a posé sur la verge, une collerette pour limiter la longueur de pénétration afin qu’il ne lui perfore pas le fond de sa vulve.
Là aussi ‘est un délire. Léa est à deux doigts de tomber dans les pommes, lorsqu’elle sent son gland sur les lèvres de sa moule. D’une poussée, il lui envahit la moule jusqu’au fond. Contrairement à l’âne, il ne la saillit pas longtemps et rapidement, il éjacule un litre de crème chaude et épaisse dans son ventre. Lui déclenchant tout même un orgasme. Léa est conduite dans une salle de bain pour prendre une douche. Le propriétaire ainsi que sa femme viennent Léa voir pour la remercier pour sa prestation et lui promettent de faire appel à elle très prochainement, pour une autre fête toute aussi sympathique.
Tonton, raccompagne Léa et Léo chez eux. Dans la voiture, il leur tient ce langage. – J’ai vu avec vos parents, c’est moi à présent qui vais m’occuper de votre avenir qui est déjà tout tracer, bien sûr.
Sans doute gênée au fond d’elle-même, Léa est devenue agressive à l’égard de son frère. Elle évite toutes situations où il peut y avoir complicité entre eux, comme c’était le cas auparavant.
Sam Botte
Null de ce faire baiser par des chiens des poneys c est abuser