Il m’aura fallu longtemps avant de relater cet épisode qui m’a marqué. Dans notre couple, Hervé a toujours eu un ascendant sur moi, mais aussi un rôle d’initiateur, de découvreur de chemins. C’est pourquoi, au risque de froisser quelques féministes, je dirai qu’il a très largement contribué à façonner la femme que je suis aujourd’hui, tant dans mes envies, mes motivations, mes attitudes, mais aussi mes goûts, vestimentaires, artistiques, etc.
Nous n’en avions pas parlé, peut-être par pudeur, ou par difficulté d’évoquer le sujet ; et pourtant je compris, plus tard, combien cela lui tenait à cœur, et combien c’était important pour lui, pour moi, pour notre couple.
C’est en début de semaine, un soir, Hervé m’informa qu’il avait invité des collègues et quelques relations professionnelles à un apéritif, le jeudi soir à venir.
Comprenant fort bien qu’il puisse avoir besoin de tranquillité, je lui demandais s’il souhaitait que je sois présente. Il me dit qu’en effet, même si les épouses n’étaient pas particulièrement conviées, il lui serait plus agréable que je sois là.
Alors que je fis donc le nécessaire pour prévoir boissons et petits fours, l’après-midi du jeudi, il m’appela pour me demander si je pouvais faire un effort de toilette pour recevoir ses invités. Comme il portait habituellement une attention soutenue à ma garde-robe, cela ne me surprit guère, mais, il me demanda non sans une certaine précision de porter un chemisier de mousseline rouge, que j’aimais aussi beaucoup. Il me précisa aussi la jupe qu’il souhaitait, droite, très serrée, noire. Il insista aussi pour que je porte mon collier de perles.
J’avais dressé la table du salon, avec tout le nécessaire ; les apéritifs étaient prêts. Hervé était rentré plus tôt. J’avoue que je craignais de recevoir ses invités seuls alors que je ne les connaissais pas. Puis retentit la sonnette. Je jetais un dernier coup d’œil dans le grand miroir de l’entrée. Cela me convenait. Je me trouvais impeccablement coiffée et maquillée, certes les yeux un peu charbonneux, les lèvres très rouges, mais c’était le soir, et je m’aimais bien ainsi. La silhouette me convenait aussi très bien ainsi chaussée de mes escarpins vernis rouges assortis à mon chemisier.
Les cinq invités de Hervé sont arrivés presque tous à 19h30. Ils étaient très correctement habillés. J’installais chacun et commençais à préparer les verres de selon les souhaits de chacun.
Les conversations s’engageaient cordialement, sans que je puisse les suivre véritablement, alors que je faisais moi-même des allers et retours entre le salon et la cuisine, où Hervé vint me rejoindre. Il me demanda à l’oreille si je pouvais retirer mon soutien-gorge !
Même si je connaissais son goût très prononcé pour me voir et me savoir sans soutien-gorge, je fus surprise, n’étant pas certaine que ce soit très à propos. Surtout, je lui fis remarquer que cela allait se voir, tant il m’était impossible de dissimuler le bout de mes seins un peu trop proéminents à mon goût. Il me paraissait si sûr de lui que je ne discutai pas plus longtemps, je suis montée défaire et retirer mon soutien-gorge. Je remis rapidement mon chemisier, et descendis les marches pour rejoindre là salon. Je ressentis immédiatement la lourdeur de ma poitrine, qui se mit à se balancer imprimant un mouvement plus inhabituel à mon chemisier de ce si léger tissu de mousseline rouge.
Lorsque je réapparus dans le salon, je vis les regards de ces cinq hommes et de mon mari sur moi. J’avais l’impression alors que le balancement de mon collier et de mes seins était encore plus marqué.
Je pris place sur un des petits fauteuils. Les conversations reprirent normalement.
Puis Hervé se leva, disparu un moment et revint dans le salon avec une mallette. Il posa la mallette sur la table du salon, l’ouvrit et en sortit une corde blanche. Hervé me regarda droit dans les yeux et je compris alors que je ne devais pas bouger et lui faire confiance.
Il s’approcha de moi, se plaça derrière moi et me ligota les bras tendus dans le dos. Les cinq hommes ne parlaient plus et me regardaient. Je me sentais humiliée ainsi assise parmi eux penchée en avant entravée. Un léger sourire apparu sur les lèvres de ces hommes à qui mon mari m’offrait en spectacle.
Hervé sortit l’appareil photo et commençait à me photographier ainsi dans cette posture humiliante. Les autres semblaient se délecter de plus en plus. Nul ne parlait. On n’entendait que les bruits électroniques de la mise au point et du déclenchement.
Puis, l’un d’entre eux s’est levé, le pantalon extrêmement gonflé. Je devinais alors son excitation à me voir ainsi soumise. Il se plaça devant moi, à ouvert son pantalon et dégagea de son slip son sexe parfaitement tendu. Il était assez long avec un grand très gros. Hervé s’approcha, me fit ouvrir la bouche et l’homme s’enfonça jusqu’au fond de ma gorge. Cela lui était d’autant plus facile que j’étais penchée en avant. Je respirais à fond par le nez sous les coups de boutoir de l’homme dont le sexe me remplissait la bouche et le gland frappait ma gorge au point limite de me faire régurgiter. Un autre s’est levé et m’a attrapé les seins qui ne cessaient de se balancer d’avant en arrière. Lui aussi se leva sorti son sexe tendu, et prit la place du précédent se plongeant entre mes lèvres rouges grandes ouvertes. Hervé m’intimait l’ordre de les regarder dans les yeux alors qu’ils prenaient ma bouche d’assaut. Je n’y parvenais guère compte tenu de ma position inclinée vers l’avant.
Après un moment, tous étaient devant moi le sexe tendu attendant leur tour pour pénétrer ma bouche si ouverte que j’en avais mal aux maxillaires. Ils prenaient un malin plaisir, dans des va-et-vient incessants, à atteindre le fond de ma gorge, et ce faisant, à plaquer leur pubis sur mon nez. Hervé continuait de prendre des photos sous tous les angles possibles…
Puis il vint à moi, me saisit par le bras, me fit mettre debout pour me placer au beau milieu de la pièce. Là, il me fit mettre à genoux.
Les 5 hommes vinrent se placer autour de moi. Tous se masturbaient avec vigueur. Je comprenais alors qu’une issue était proche.
L’un d’eux, se mit bien en face de moi, et dans un râle grave mais discret, se libéra en éjaculant d’un jet puissant sur mon visage, je n’eus que le temps de fermer les yeux, j’étais frappée par un deuxième, au-dessus de mon nez, un jet épais et chaud se répandant sur ma joue, alors que le premier commençait à ruisseler sur mes lèvres. Un troisième se vida sur mes yeux fermés, il était moins puissant, mais très abondant…
Tous se vidèrent sur mon visage. J’étais couverte de leurs jus blanchâtres qui commençaient à souiller totalement mon chemisier.
Hervé arriva en dernier, me fit ouvrir la bouche et m’envoya son jus directement dans la bouche. Sa première secousse atteint le fond de mon palais. Par réflexe, déglutissant, j’avalais son jus tiède, que je reconnaîtrais entre tous, légèrement salé.
Le calme vint, les hommes sont partis. J’étais encore agenouillée, souillée de sperme entravé, les bras attachés dans le dos. Hervé approcha un pouf, y étala une serviette, m’allongea le buste sur le pouf. Je me retrouvais donc les fesses en arrière tendues. Il alors souleva ma jupe trop serrée en la faisant glisser petit à petit. Dégageant la ficelle de mon string, il me sodomisa doucement. Ce n’est qu’après un long moment de va-et-vient qu’il se libéra à nouveau cette fois-ci au fond de moi.
Il me redressa, défit en silence la corde qui enserrait mes bras.
Je partis dans la salle de bains me doucher. Plus tard, il me confia que ces hommes étaient un groupe d’amis qui faisaient partie d’une sorte de confrérie. Je ne posai pas de question, mais je compris, fort heureusement pour moi, qu’ils n’étaient donc pas des relations professionnelles de mon mari.
C’est à partir de cette soirée que je réalisais combien, pour lui, ce symbole de la jouissance masculine, ce sperme ainsi libéré sur mon visage était si important, comme le signe fort de mon état de femme soumise à son désir et à celui d’autres hommes. Oui, j’étais souillée, mais je ne le vis pas comme quelque chose de dégradant, car c’était un acte fort, à haute valeur symbolique de notre histoire d’amour.
Véronique
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