Histoire de sexe inceste !
Vous avez fait la connaissance de ma belle-sœur. Oui, nous avons eu une relation. Et c’était une période agréable. Ce danger que nous prenions toujours. Nous vivions dans le même quartier. Et l’un ou l’autre nous a peut-être vus disparaître chez l’autre. Malgré tout, nous ne nous privions pas de taquiner l’autre, de le provoquer et de le mettre au défi. C’est ainsi qu’elle est venue me rendre visite dans le courant de la matinée. S’asseoir sur le balcon, boire un café et bavarder.
Du moins, c’est ce que je pensais. Rien que son apparence ce jour-là était révélatrice. Elle portait une petite robe d’été. Sa silhouette était très attirante. Elle avait une carrure un peu forte, un cul très séduisant et des seins qui étaient tout simplement délicieux. Grands et bien formés. Je dois le dire comme ça. En tout cas, on pouvait voir qu’il n’y avait pas beaucoup de tissu sous la petite robe. Et si c’était le cas, le string était très fin. Outre les bretelles, je ne voyais pas non plus de soutien-gorge.
En raison de leur taille, les seins ne se dressaient pas comme des petits seins, mais comme je l’ai dit, ils étaient formés de telle manière que l’on pouvait quand même voir leurs tétons lorsqu’ils se dressaient. Ce jour-là, ils s’étaient dressés à plusieurs reprises. À un moment donné, entre la deuxième et la troisième tasse de café, j’ai pris mon courage à deux mains et je suis passé à l’offensive. Je ne voulais tout simplement pas croire qu’elle portait une petite robe comme ça. Je me suis levé comme si j’allais entrer dans l’appartement, j’ai jeté un coup d’œil à son décolleté et je l’ai embrassée.
Elle m’a rendu mon baiser et nous avons échangé un baiser avant que je ne continue à avancer et que je ne passe ma main sous sa robe. J’ai rapidement trouvé sa chatte et je l’ai sentie mouillée sous mes caresses. Elle a glissé un peu plus loin sur la chaise et a écarté un peu plus les jambes. J’ai pris ma main libre et j’ai fait glisser le porte-habits de son épaule.
Ses seins apparurent et ses tétons se dressaient déjà. Je lâchai ses lèvres et cherchai ses tétons avec ma langue. Je voulais enfin les embrasser, jouer avec eux, les gâter. Ma langue frappait ses tétons tandis que j’aspirais ses seins avec mes lèvres. Elle appréciait mes caresses et me laissa faire un bon moment avant de commencer à me toucher. Mon pantalon pourri avait de grandes ouvertures pour les jambes, où sa main se glissait sans problème.
Ma queue était debout depuis tout ce temps et attendait avec impatience d’être massée. D’abord hésitante, elle a saisi ma queue plus fermement et a commencé à la masser selon son envie. J’ai envisagé un instant de me faire sucer, mais j’étais franchement tellement excité que je n’avais qu’une envie : la baiser. Je lui ai donc retiré sa robe, baissé mon pantalon et ramené son cul sur la chaise.
Elle ne s’est pas débattue et s’est accrochée à la chaise quand ma queue s’est enfin présentée devant sa chatte. Je l’ai regardée brièvement et elle m’a fait signe qu’elle aussi voulait le faire. Ma queue l’a pénétrée et j’ai ressenti une telle excitation. C’est indescriptible. J’ai continué à enfoncer ma queue en elle et j’ai apprécié le spectacle qui s’offrait à moi. Ses seins se balançaient en rythme, elle gardait les jambes écartées et elle commençait à gémir doucement son plaisir.
Je dois dire que j’avais un peu peur qu’elle gémisse bruyamment. Mais elle a fermé sa bouche de sa propre main pendant que je la pénétrais encore et encore. Mes coups étaient tantôt rapides, tantôt lents. Et j’ai dû me contrôler plusieurs fois pour ne pas éjaculer tout de suite. Et je devais d’abord trouver où j’allais éjaculer. De temps en temps, je léchais ses mamelons, qui étaient si bien positionnés, ce qui l’excitait encore un peu plus, comme je pouvais le constater sur sa chatte de plus en plus humide.
Alors que je la baisais, j’ai soudain senti ma queue gonfler un peu plus et j’allais probablement éjaculer. Ma belle-sœur, qui avait apparemment eu plus d’un orgasme, a dû sentir mes pensées. Elle a glissé son cul vers l’arrière, de sorte que ma queue a glissé hors de sa belle chatte humide. Je l’ai regardée un peu horrifiée, mais elle l’a immédiatement attrapée avec sa main, s’est assise et a continué à masser ma queue jusqu’à ce que je puisse faire gicler mon jus blanc.
La première et la deuxième giclées ont atterri sur ses seins, qu’elle a poussés vers le haut avec sa main libre. Le reste dégoulinait le long de sa main jusqu’au sol. Un peu fatigué, je me suis penché et je l’ai embrassée pendant que je la doigtais encore une fois, ce qu’elle a volontiers laissé faire. Nous sommes ensuite allés tous les deux dans la salle de bain pour nous nettoyer. Elle a ensuite terminé son café et est partie sans dire au revoir.
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