J’étais rentré plus tôt de l’école ce jour-là, fatigué et pressé de me détendre. En ouvrant la porte de la maison, j’ai entendu des gémissements étouffés venant du salon. Curieux et inquiet, j’ai avancé à pas de loup, mon coeur battant la chamade.
Là, j’ai découvert ma mère, Elma, allongée sur le canapé, sa jupe relevée jusqu’à la taille, les jambes écartées. Elle se caressait frénétiquement, ses doigts plongeant dans sa chatte trempée. Je suis resté figé, incapable de détourner le regard. La vue de ma mère en plein plaisir, ses seins lourds se soulevant à chaque respiration, ses gémissements de plus en plus forts, m’a envoûté. Mon sexe a commencé à durcir dans mon pantalon, une sensation nouvelle et intense. Je ne pouvais pas m’empêcher de fixer ses doigts qui s’activaient avec une telle ferveur, sa vulve luisante de désir. Je sentais mon propre désir monter, une chaleur presque insupportable envahissant mon corps.
Elma a soudainement ouvert les yeux, mais elle ne m’a pas vu, trop perdue dans son extase. J’ai reculé doucement, mon esprit en ébullition. Cette image de ma mère, si vulnérable et si érotique, allait hanter mes rêves et éveiller en moi des désirs interdits que je ne pourrais plus ignorer. Je suis monté dans ma chambre, mon sexe toujours tendu, et j’ai commencé à me branler en pensant à elle, à sa chatte ouverte et à ses gémissements. C’était la première fois que je ressentais un tel émoi, un désir si puissant et si tabou. Je savais que rien ne serait plus jamais pareil.
Depuis ce jour où j’ai vu ma mère se caresser, je n’arrive plus à penser à autre chose. Chaque nuit, je me tourne et me retourne dans mon lit, hanté par cette image d’elle, les jambes écartées, les doigts plongés dans sa chatte trempée. Putain, ça me rend dingue. Je commence à la suivre discrètement, espérant surprendre encore un de ses moments intimes. Je me sens comme un pervers, mais je ne peux pas m’en empêcher. Dès qu’elle entre dans la salle de bain, je me colle à la porte, l’oreille tendue, écoutant le moindre bruit qui pourrait trahir ses gestes. J’imagine ses doigts glissant sur son clito gonflé, ses gémissements étouffés, et ma queue se dresse instantanément.
Un après-midi, je la vois entrer dans sa chambre et fermer la porte. Mon cœur bat à tout rompre. Je me faufile dans le couloir et colle mon œil au trou de la serrure. Elle est là, allongée sur le lit, en train de se déshabiller lentement. Mon souffle se coupe quand elle retire son soutien-gorge, révélant ses seins magnifiques. Mes yeux dévorent chaque courbe de son corps, chaque mouvement sensuel. Elle commence à se caresser, les doigts jouant avec ses tétons durcis avant de descendre vers son entrejambe. Je vois ses doigts disparaître entre ses lèvres humides, et je ne peux m’empêcher de sortir ma queue pour me branler en même temps. Chaque gémissement qui s’échappe de sa bouche me fait accélérer le rythme, jusqu’à ce que je jouisse violemment, le sperme éclaboussant la porte. Ces visions érotiques de ma mère alimentent mes fantasmes les plus obscènes. Je me surprends à imaginer ce que ça ferait de la prendre, de sentir sa chatte serrée autour de ma queue. Chaque nouvelle scène que je surprends attise encore plus mon désir, me poussant à des pensées de plus en plus interdites. Je sais que c’est mal, mais je ne peux plus m’arrêter.
J’étais seul à la maison avec ma mère, Elma. Le silence était pesant, et je sentais mon cœur battre à tout rompre. Depuis des semaines, je ne pouvais m’empêcher de penser à elle, de désirer son corps mûr et sensuel. Aujourd’hui, je me suis décidé à agir. “Maman, tu as l’air tendue. Laisse-moi te faire un massage,” j’ai proposé, essayant de cacher mon excitation.
Elle a hésité un instant, puis a acquiescé. “D’accord, Matheo. Ça me fera du bien.” Elle s’est allongée sur le canapé, et j’ai commencé à masser ses épaules. Mes mains tremblaient légèrement, mais je me suis forcé à rester concentré. Ses gémissements doux m’ont fait bander instantanément. Je sentais la chaleur de sa peau sous mes doigts, et j’avais envie de la toucher partout. “Ça te fait du bien, maman?” j’ai demandé, ma voix rauque de désir. “Oui, Matheo. C’est parfait,” elle a répondu, sa voix légèrement haletante. J’ai osé descendre mes mains plus bas, frôlant ses seins à travers son chemisier. Elle a tressailli, mais ne m’a pas arrêté. La tension sexuelle entre nous était palpable, et je savais qu’elle le sentait aussi. “Matheo, qu’est-ce que tu fais?” elle a murmuré, mais sans aucune réelle opposition. “Je veux te faire du bien, maman. Laisse-moi te montrer,” j’ai dit, ma main glissant sous son chemisier pour caresser ses seins nus.
Elle a gémi plus fort, ses hanches se soulevant légèrement. J’ai profité de son abandon pour descendre encore plus bas, ma main effleurant son sexe à travers son pantalon. Elle était déjà mouillée, et ça m’a rendu encore plus fou de désir. “Matheo, c’est mal,” elle a dit, mais sa voix trahissait son excitation.
“Je sais, maman, mais je ne peux pas m’en empêcher. J’ai besoin de toi,” j’ai répondu, déboutonnant son pantalon pour glisser ma main à l’intérieur. Elle a écarté les jambes, me laissant accéder à son intimité. Mes doigts ont trouvé son clitoris, et je l’ai caressé doucement, la faisant gémir de plus en plus fort. La sensation de sa chaleur et de son humidité m’a fait perdre la tête. “Matheo, oh mon Dieu,” elle a gémi, ses hanches se mouvant au rythme de mes caresses. Je savais que nous franchissions une ligne interdite, mais je ne pouvais plus m’arrêter. J’avais besoin de la posséder, de la faire jouir comme jamais. Et elle, elle se laissait emporter par le plaisir, oubliant tout le reste. C’était notre premier contact, et déjà, je savais que rien ne serait plus jamais pareil entre nous. Le massage était censé être innocent, mais dès que mes mains ont touché la peau douce de ma mère, un feu s’est allumé en moi. J’ai commencé à masser ses épaules, puis ses bras, et rapidement, mes mains ont glissé vers son dos. Elma a laissé échapper un soupir de plaisir, ce qui n’a fait qu’attiser mon désir.
Mes doigts ont commencé à explorer plus profondément, massant ses hanches et ses fesses avec une intensité croissante. Je pouvais sentir mon érection grandir dans mon short, et je savais que je ne pourrais plus me contrôler longtemps. Mes mains ont glissé sous la serviette qui couvrait à peine son corps, et j’ai commencé à caresser ses cuisses, remontant lentement vers son entrejambe. Elma a d’abord eu un mouvement de recul, mais ses yeux étaient remplis de désir. “Matheo, qu’est-ce que tu fais?” a-t-elle murmuré, mais sa voix tremblait d’excitation. Je n’ai pas répondu, j’ai simplement continué à explorer son corps, mes doigts frôlant maintenant ses lèvres intimes. Elle a gémi doucement, et j’ai su qu’elle était aussi excitée que moi. Je me suis penché et j’ai embrassé son cou, mes mains continuant leur exploration. Elma a écarté les jambes, m’invitant à aller plus loin. J’ai glissé un doigt en elle, sentant sa chaleur humide m’envelopper. Elle a poussé un cri de plaisir, et j’ai su que je ne pouvais plus m’arrêter.
Je me suis positionné derrière elle, mon érection pressée contre ses fesses. J’ai écarté ses jambes encore plus, et j’ai commencé à la pénétrer lentement. Elma a gémi de plus en plus fort, ses hanches se soulevant pour venir à ma rencontre. Je l’ai prise avec force, mes coups de reins devenant de plus en plus sauvages. “Baise-moi, Matheo, baise ta mère!” a-t-elle crié, et j’ai senti une vague de plaisir monter en moi. Je l’ai prise encore plus fort, mes mains agrippant ses hanches pour la maintenir en place. Nos corps étaient en sueur, nos respirations saccadées, et je savais que nous étions tous les deux à la limite.
J’ai accéléré le rythme, sentant l’orgasme monter en moi. Elma a crié de plaisir, ses contractions intenses me poussant au bord du précipice. Avec un dernier coup de reins puissant, j’ai explosé en elle, nos cris de plaisir se mêlant dans l’air. Nous sommes restés là, haletants, nos corps toujours connectés. Elma s’est retournée pour me regarder, ses yeux remplis de désir et de satisfaction. “C’était… incroyable,” a-t-elle murmuré, et je ne pouvais qu’acquiescer, encore sous le choc de ce que nous venions de faire.
Mais je savais que ce n’était que le début. Notre désir l’un pour l’autre était trop fort pour être ignoré, et je savais que nous allions encore explorer des territoires interdits ensemble.
Après notre première fois, je ne pouvais plus me passer d’Elma. Chaque moment loin d’elle était une torture, une envie insoutenable qui me rongeait de l’intérieur. Et elle, elle était tout aussi accro à moi. On se cherchait constamment, comme deux drogués en manque de leur prochaine dose. Un soir, alors que nos parents étaient sortis, on s’est retrouvés dans le salon. Sans un mot, elle a écarté ses jambes, révélant sa chatte déjà humide. Je me suis jeté sur elle, enfouissant mon visage entre ses cuisses, léchant avidement son clitoris. Ses gémissements étaient comme une musique à mes oreilles, me poussant à aller plus loin, plus fort. “Matheo, baise-moi, maintenant,” a-t-elle supplié, ses yeux remplis de désir. Je n’ai pas hésité une seconde. J’ai sorti ma queue déjà dure comme de la pierre et l’ai enfoncée profondément en elle. Elle a crié de plaisir, ses ongles s’enfonçant dans mon dos.
Nos ébats sont devenus de plus en plus sauvages, de plus en plus dépravés. On a exploré des pratiques que je n’aurais jamais imaginées avant. Un jour, elle m’a demandé de la prendre par derrière, de la sodomiser jusqu’à ce qu’elle crie de douleur et de plaisir mêlés. J’ai obéi, enfonçant mon membre dans son cul serré, sentant la résistance de son anus céder sous mes assauts. “Plus fort, Matheo, fais-moi mal,” a-t-elle gémi, et j’ai accéléré, la pilonnant sans relâche. Elle a joui violemment, son corps secoué de spasmes, et moi, je n’ai pas tardé à la suivre, déversant ma semence en elle. On ne pouvait plus s’arrêter. Chaque jour, on cherchait de nouvelles façons de se satisfaire, de se pousser aux limites de la dépravation. On s’est même filmés, regardant ensuite nos propres ébats, excités par notre propre perversion.
Mais ce n’était jamais assez. La dépendance érotique nous consumait, nous poussant toujours plus loin dans l’interdit. Et je savais que, quoi qu’il arrive, je ne pourrais jamais me détacher d’Elma, de ce besoin viscéral de la posséder, de la faire mienne encore et encore. Je me souviens encore du jour où tout a basculé. On était dans le salon, ma mère et moi, en train de savourer l’intimité de notre relation interdite. Ses lèvres sur les miennes, sa main glissant sous mon pantalon pour caresser ma queue déjà dure. C’était notre moment, notre échappatoire, notre émoi interdit. Mais ce jour-là, la porte s’est ouverte brusquement. Mon frère, Tom, se tenait là, les yeux écarquillés de stupeur. Il nous a surpris en plein acte, ma mère à genoux devant moi, ma bite profondément enfoncée dans sa bouche. Le choc sur son visage était palpable, mais il y avait aussi une lueur de fascination, peut-être même de désir. “Qu’est-ce que vous foutez, bordel ?” a-t-il hurlé, la voix tremblante de colère et de confusion.
Ma mère s’est relevée précipitamment, essuyant ses lèvres encore humides de ma pré-cum. “Tom, attends, laisse-moi t’expliquer,” a-t-elle dit, mais ses mots semblaient vides face à la réalité de la situation. J’ai senti une vague de honte et de peur m’envahir, mais aussi une étrange excitation. Savoir que quelqu’un d’autre connaissait notre secret, ça rendait tout ça encore plus réel, plus intense. Tom a fait un pas en avant, ses yeux passant de ma mère à moi. “Vous êtes malades, tous les deux,” a-t-il craché, mais il n’a pas quitté la pièce. Il restait là, comme hypnotisé par la scène qu’il venait de surprendre. Ma mère a pris une profonde inspiration, ses seins se soulevant sous son chemisier. “Tom, ce qui se passe entre ton frère et moi… c’est compliqué. Mais c’est quelque chose de réel, de profond.” Je me suis approché de lui, mon érection toujours visible sous mon jean. “On ne voulait pas que ça arrive, mais c’est arrivé. Et on ne peut pas l’ignorer, Tom. On ne peut pas.” Il a secoué la tête, mais ses yeux étaient rivés sur ma mère, sur ses courbes mûres, sur la façon dont elle se tenait, prête à tout pour défendre notre passion. “Vous allez détruire cette famille,” a-t-il murmuré, mais il y avait une hésitation dans sa voix. Ma mère a fait un pas vers lui, sa main se posant sur sa joue. “On ne veut pas te faire de mal, Tom. Mais ce qu’on ressent… c’est plus fort que nous. On doit décider si ça vaut la peine de tout risquer.” Tom a fermé les yeux, et pendant un instant, j’ai cru qu’il allait partir. Mais au lieu de ça, il a ouvert les yeux et a regardé ma mère avec une intensité nouvelle. “Et si je vous rejoins ?” a-t-il demandé, sa voix à peine audible.
Ma mère et moi, on s’est regardés, choqués mais aussi excités par cette proposition inattendue. “Tom, tu es sûr ?” a-t-elle demandé, sa main descendant lentement vers son entrejambe. Il a hoché la tête, et avant qu’on puisse dire quoi que ce soit, il a commencé à déboutonner son pantalon. “Je veux savoir ce que ça fait,” a-t-il dit, sa queue déjà en érection. Ma mère s’est agenouillée devant lui, et moi, je me suis placé derrière elle, ma bite pressée contre ses fesses. On a regardé Tom, et ensemble, on a franchi une nouvelle étape dans notre descente vers l’interdit. La révélation de notre secret avait tout changé, mais peut-être que ça nous avait aussi ouvert de nouvelles possibilités, de nouveaux plaisirs. On allait devoir décider si notre passion valait vraiment la peine de tout risquer, mais pour l’instant, on se laissait emporter par le moment, par le désir, par l’émoi interdit. J’étais assis sur le canapé, la tête entre les mains, essayant de comprendre comment nous en étions arrivés là. Elma, ma mère, se tenait debout devant moi, ses yeux remplis de larmes et de désir. La tension entre nous était palpable, presque étouffante. Nous savions tous les deux que notre relation était interdite, mais nos corps ne pouvaient se détacher l’un de l’autre. “Matheo, on ne peut plus continuer comme ça,” murmura-t-elle, sa voix tremblante. “On doit prendre une décision. Soit on accepte ce qu’il y a entre nous et on affronte le monde, soit on arrête tout maintenant.” Je levai les yeux vers elle, mon cœur battant la chamade. L’idée de la perdre me déchirait de l’intérieur, mais celle de vivre notre relation au grand jour me terrifiait. Je me souvenais encore de la sensation de ses lèvres sur les miennes, de ses mains explorant chaque recoin de mon corps. La chaleur de son sexe contre le mien, la façon dont elle gémissait quand je la pénétrais profondément, tout cela était gravé dans ma mémoire. “Je ne sais pas, maman,” répondis-je, ma voix à peine audible. “Je t’aime tellement, mais j’ai peur de ce que les autres diront.” Elle s’approcha de moi, s’asseyant à mes côtés. Sa main se posa sur ma cuisse, remontant lentement vers mon entrejambe. Je sentais déjà mon sexe durcir sous son toucher. Elle se pencha vers moi, ses lèvres effleurant mon oreille.
“Matheo, je veux te sentir en moi, encore et encore,” murmura-t-elle, sa voix pleine de désir. “Mais si tu ne peux pas accepter ça, alors on doit arrêter maintenant.” Je fermai les yeux, essayant de résister à la tentation. Mais quand elle commença à déboutonner mon pantalon, je sus que j’étais perdu. Sa main se glissa à l’intérieur, empoignant mon membre déjà dur. Je gémis doucement, incapable de résister à ses caresses. “Elma, je ne peux pas te résister,” dis-je, ma voix rauque de désir. “Mais si on continue, on doit être prêts à affronter les conséquences.” Elle hocha la tête, ses yeux brillant d’une détermination nouvelle. “Alors, faisons-le, Matheo. Faisons-le maintenant.” Elle se leva, retirant rapidement ses vêtements, révélant son corps magnifique. Ses seins lourds et fermes, ses hanches larges et accueillantes. Je me levai à mon tour, la rejoignant sur le sol. Nos corps se rencontrèrent avec une urgence désespérée. Je la pénétrai d’un coup, la faisant crier de plaisir. “Oui, Matheo, baise-moi fort,” gémit-elle, ses ongles s’enfonçant dans mon dos. “Je veux sentir ta queue au plus profond de moi.”
Je m’enfonçais en elle avec une ferveur renouvelée, chaque coup de reins nous rapprochant de l’extase. Nos corps étaient en sueur, nos respirations haletantes. Je sentais la chaleur de son sexe m’engloutir, me poussant vers l’orgasme. “Je vais jouir, maman,” haletai-je, incapable de me retenir plus longtemps. “Oui, jouis en moi, Matheo,” répondit-elle, ses hanches se soulevant pour rencontrer mes fesses. “Remplis-moi de ta semence.”
Avec un dernier coup de reins, je me laissai aller, mon sperme se déversant en elle. Elle cria de plaisir, son propre orgasme la secouant violemment. Nous restâmes là, enlacés, nos corps épuisés mais satisfaits. Mais même dans ce moment de pure extase, je savais que notre décision n’était pas encore prise. Devions-nous accepter notre relation et affronter le monde, ou devions-nous nous séparer pour préserver les apparences ? La question restait en suspens, nous laissant dans une incertitude déchirante.
Karine
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