La crampe de Julie
Julie, 18 ans, revient de son cours de tennis, pose son sac et fonce dans la salle de bains. Après une bonne douche où elle n’a fait que chanter, elle en sort enroulée dans un peignoir de bain qui lui arrive à mi-cuisses. Elle fait quelques pas puis pousse un cri, ses parents accourent craignant le pire. Julie est appuyée contre le mur, la jambe légèrement levée elle grimace de douleur. Brigitte sa maman lui demande :
— Mais qu’est qui se passe ma chérie !
— Oh ma jambe, je crois que j’ai une crampe maman mon Dieu comme ça fait mal !
Philippe son papa la prend dans ses bras et l’emmène dans le salon, il la dépose sur le canapé et commence à lui masser le mollet douloureux. Sa maman se blottit contre elle en la rassurant :
— Ce n’est pas grave, papa va arranger ça !
Les mains de Philippe massent vigoureusement le mollet, en appuyant fortement sur le muscle tétanisé. Julie ne cesse de dire des :
— Ouille, ouille, ouille !
Sa maman mère poule lui donne d’innombrables baisers sur tout le visage. Elle lui aspire les quelques larmes qui s’échappent de ses yeux noirs. Philippe en bon papa, masse sans relâche le muscle malade. Petit à petit la douleur s’estompe, Philippe ne masse plus, mais caresse la jambe au galbe parfait. Une de ses mains monte sur la cuisse et la frotte doucement. Elle bute sur l’aine, ses doigts frôlent la fine toison. Julie ne rechigne pas à cet attouchement, qu’elle pense involontaire. La main redescend et passe sous sa cuisse pour la caresser Longuement. Philippe regarde sa fille droit dans les yeux et pose ses mains une sur chaque cuisse. Il les glisse lentement sous le peignoir et commence à lui caresser le haut des aines puis le ventre lentement, le peignoir s’entrouvre et laisse apercevoir le triangle d’amour. La maman regarde avec attention la progression des mains du papa. Elle donne un baiser bruyant à la commissure des lèvres de sa fille qui se cabre légèrement.
Julie ferme les yeux, plusieurs fois, les doigts de son papa montent de chaque côté de son temple en s’en approchant dangereusement. Julie, par un fait mécanique, ouvre lentement ses cuisses. Les pouces de son papa glissent sur sa fente sans brusquerie. La jeune sportive soupire profondément. La maman rouge d’excitation dénoue la ceinture du peignoir et ouvre les deux pans. Elle pose une main sur les seins fermes et souples à la fois et les masse doucement. Julie jette sa tête en arrière, elle souffle comme un bœuf. Un doigt s’insère dans le sillon de ses grandes lèvres et glisse doucement entre. La douceur de cet attouchement fait geindre Julie de plaisir.
L’intrus monte et se pose sur sa boule de chair qui commence à être sensible. Il en fait plusieurs fois le tour et le dégage au maximum. Le papa attentionné prendre délicatement entre son pouce et son index le clitoris qui ne cesse de prendre du volume. Sans quitter des yeux sa fille, il presse la boule du plaisir de plus en plus fort. Julie gémit comme une bête blessée. Sa maman lui tire les mamelons, les écrase en les roulant entre ses doigts fins. Julie n’est plus qu’une fontaine et son jus s’échappe en filet continu de sa vulve qui chauffe de plus en plus. Doucement Philippe la masturbe, c’est avec précaution qu’il agite l’excroissance de chair. Julie fond entre les bras de ses parents, ses yeux s’embrument, elle halète doucement. Sa maman prend en bouche un mamelon et le suce de plus en plus brutalement, le téton devient énorme entre les lèvres habiles de sa maman, la vorace maman passe à l’autre et lui fait subir le même traitement. Julie n’est plus qu’un jouet entre les bras de son papa et sa maman, la coquine veut jouir pour montrer comment elle aime ses parents.
Philippe accélère le doux branlage, sa maman sens sa fille, tendue à l’extrême, elle lui mordille les mamelons, pour l’encourager à jouir. Soudainement, Julie se cambre en poussant un cri qu’elle tente d’étouffer en se mordant la main. La jeunette vient de jouir atrocement fort, elle marmonne entre ses dents :
— Oh papa, maman je me vide d’amour pour vous, c’est trop bon, je vous aime !
Son jus noie les doigts de son papa qui continue de jouer avec son bouton d’amour. Philippe se redresse, son pantalon est déformé par une grosse bosse. Il regarde Julie et lui dit :
— Regarde, dans quel état tu as mis papa ma petite salope !
Il baisse son pantalon et son slip, sa queue se dresse d’un bond, Julie regarde en écarquillant les yeux, le mat de chair balancer sur le bas-ventre De son papa, il lui paraît énorme avec ses grosses veines gorgées de sang. Brigitte lui crie :
— Baise-la, baise-la oui mon chéri fais lui mal défonce-la !
Philippe se place entre les jambes de sa fille et frotte son gland contre la vulve dégoulinante, il s’accroche aux hanches de Julie et donne un coup de reins violent. Julie se cabre, un long râle sort de sa gorge pendant que la queue puissante s’enfonce en elle. La maman super excitée encourage son mari :
— Vas-y, vas-y démonte-la, fais la crier oui, fais-lui ce que tu me fais mon chéri !
Philippe donne de violents coups de boutoir, c’est comme s’il voulait entrer ses couilles avec dans la vulve serrée de sa fille. Julie et aux anges sa tête bascule de gauche à droite, elle gémit comme une bête en rut. Sa maman qui lui dévore les seins sans ménagement la fait couiner davantage. La queue veinée entre et ressort du puits d’amour en prenant de la vitesse. Elle coulisse aisément dans la gaine noyée par l’abondante cyprine. Julie grogne, elle se cabre et jouit encore une fois, en s’accrochant à son pourfendeur de papa.
— Oui, oui, encore je veux mourir de jouissance encore papa !
Le bougre s’acharne sur sa fille, enfin il déverse sa semence dans le ventre avide de sa fille amante. Brigitte, comme une hystérique, se met à crier :
— Laisse les moi, Philippe laisse le moi !
Philippe cède la place, Brigitte monte à califourchon sur les cuisses de sa fille, elle lui prend la bouche sauvagement, les langues se nouent comme…
Deux reptiles qui s’accouplent. Les soufflent chauds des deux femmes sont rapides, les respirations saccadées. Brigitte s’écarte de sa fille, ses yeux sont presque exorbités, elle tire sur un mamelon de sa fille et lui donne de nombreuses tapes sur le sein. La maman, en furie, fait de même avec l’autre. Julie grimace, elle s’agite en grognant. Sa maman lui dit en criant fort :
— Salope-tu aimes ce que te fait ton papa hein, tu es une sale fille tu dois être corrigée pour cela salope !
Elle demande à sa fille de se mettre à plat ventre sur ses genoux, Julie inquiète obéit. La maman lui caresse les fesses et passe ses doigts entre les lobs fessiers et dit :
— Hum, c’est beau tout ça, mais je dois te corriger petite salope !
La main s’abat sur les fesses bien fermes, Julie pousse un grognement puis serre les dents. La main frappe avec violence les fesses de Julie qui se tortille sur les genoux de sa maman. Philippe regarde en souriant les fesses rougir sous les coups violents, la marque des doigts et bien visible sur les lobes charnus. Enfin, la correction prend fin. Brigitte maintenant caresse le fessier douloureux. Sa main descend jusqu’à la vulve, la maman frappeuse sursaute et dit :
— Oh la vache Philippe, elle mouille notre petite salope elle adore la fessée !
Les doigts s’enfoncent jusqu’à la dernière phalange et tournent dans la gaine détrempée, le va-et-vient que lui inflige sa maman fait réjouir Julie. Brigitte est fière de son travail, elle regarde en…
Souriant son mari et lui dits :
— Philippe encule – là oui je veux que tu l’encules surtout bien à fond ! Elle bascule Julie sur le canapé et lui relève les jambes sur le ventre. Julie regarde son papa et dit d’une voix amoureuse :
— Oui papa sodomise-moi, je le fais souvent avec mon gode, mais ta queue doit être meilleure !
Philippe place contre le muscle rectal de sa fille son gland gluant, il s’agrippe aux hanches et pousses fortement. Son engin est avalé par le rectum comme par enchantement. La coquine doit souvent utiliser ce passage, car son papa s’enfonce aisément jusqu’aux couilles dans sa gaine anale. La sodomie et brutale, les coups de reins puissants font geindre Julie de plaisir. La maman pendant l’enculage en règle ne reste pas inactive, elle caresse la vulve de son enfant chéri. Ses doigts s’enfoncent dedans, elle les fait tourner pour que sa fille prenne un maximum de plaisir. Le Plaisir est total, Julie est au bord de l’évanouissement, elle agite sa croupe comme une forcenée. Enfin, elle se cambre comme un arc et jouit comme jamais elle ne l’a fait. Philippe ne faiblit pas ses coups de boutoir sont violents, sa queue voyage dans le rectum de sa fille comme un piston dans son cylindre. Julie, bave, son souffle est court, sa maman la fouille de plus en plus profondément, à travers la fine paroi, elle sent la queue de son mari coulisser dans la gaine brûlante.
Julie jouit encore sous les assauts répétés de ses amants, sa maman satisfaite de ses exploits…
Lui dit :
— Jouis ma chérie jouis, tu es bonne comme maman !
Philippe, enfin, remplit l’intestin de sa fille chérie avec sa semence épaisse. Il donne encore quelques coups de reins avant de se retirer de la fournaise.
Brigitte
Hum ! J’aimerais avoir une fille comme elle, mais surtout une maman aussi participante que dans l’histoire !
Bravo j’ai adoré ton histoire !