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Il lèche l’urine de sa coloc sur la lunette des chiottes

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Léo, 19 ans, et Laure, 20 ans, partagent un appart pourri à Marseille cet été 2025. Une coloc improvisée, trouvée sur un groupe Facebook pour étudiants fauchés, dans un immeuble crade près de la Joliette. La canicule tape, les murs suintent, et la clim est un rêve lointain. Ils se croisent à peine : elle bosse dans un bar à Noailles, lui fait des petits jobs de livreur à vélo. Mais y’a un truc que Laure sait pas, un truc que Léo garde pour lui comme un secret bien dégueu. Il est taré pour son odeur, surtout après qu’elle passe aux chiottes.

Ça a commencé par hasard, deux semaines après leur emménagement. Laure sortait des toilettes, un short en jean collé aux cuisses, les cheveux attachés en chignon bancal. Elle avait tiré la chasse, mais pas nettoyé la lunette – quelques gouttes jaunes brillaient encore sur le plastique blanc. Léo, qui attendait son tour, a vu ça, et un truc a tilté dans sa tête. Il aime l’uro depuis toujours, les vidéos crades sur le net, l’idée de sentir une meuf à travers sa pisse. Et là, c’était pas du porno, c’était réel, c’était Laure.

Il a fermé la porte, le cœur qui cognait. La salle de bain sentait le savon bon marché et la sueur, mais sur la lunette, c’était autre chose. Il s’est penché, a reniflé. Une odeur acide, chaude, mêlée d’un relent plus lourd, plus intime – la chatte de Laure, imprégnée dans ces gouttes. Il a passé un doigt dessus, a porté ça à son nez, puis à sa bouche. Le goût salé l’a fait bander direct. Depuis, c’est devenu une routine, un rituel de malade qu’il peut pas arrêter.

Ce jour-là, un samedi moite de juillet, Laure rentre vers 15h après une pause au bar. Elle balance son sac sur le canapé, grogne un “putain de chaleur” et file aux toilettes. Léo, affalé devant un ventilo qui brasse de l’air tiède, capte le moment. Il entend le bruit du jet qui cogne l’eau, long, puissant – elle pisse comme une meuf qui s’en fout. Elle sort deux minutes plus tard, en marmonnant qu’elle va se doucher après. “Fais gaffe, j’ai pas essuyé,” qu’elle lance avec un rire, sans se douter de ce qui va suivre.

Il attend qu’elle disparaisse dans sa chambre, puis il se lève, discret. La porte des chiottes grince un peu, il la referme sans bruit. Là, sur la lunette, c’est le jackpot : des gouttes éparpillées, certaines encore fraîches, d’autres déjà collantes. Il s’accroupit, le nez à dix centimètres. L’odeur le frappe, plus forte que d’habitude – l’urine piquante, oui, mais aussi ce parfum brut, musqué, qui vient de sa chatte. Laure est une petite brunette, un peu ronde, avec des cuisses épaisses qui frottent quand elle marche. Il l’imagine, cul nu sur ce siège, et ça le rend dingue.

Il sort sa langue, hésite une seconde. La première goutte est tiède, un goût âcre qui lui râpe la gorge. Il ferme les yeux, lèche plus fort, trace des cercles sur le plastique pour ramasser tout ce qu’il peut. C’est salé, légèrement amer, et ça pue la pisse d’une meuf qui a bossé toute la matinée sous 35 degrés. Mais c’est ça qu’il aime, cette crasse pure, ce bout d’elle qu’il vole en cachette. Sa main glisse dans son short, attrape sa queue déjà dure comme du bois.

Il se redresse un peu, cale son dos contre le mur taché d’humidité. Les chiottes sont minuscules, le lavabo lui rentre dans la hanche, mais il s’en branle. Il lèche encore, une goutte plus épaisse qui traîne près du bord, et il grogne, bas, un son qu’il étouffe dans sa gorge. Sa main va vite, serre fort, pendant qu’il sniffe l’air chargé de son odeur. Il pense à Laure, à ce qu’elle dirait si elle le chopait là, la gueule collée à sa pisse. Elle le traiterait de porc, probablement, mais ça l’excite encore plus.

Une fois, il a poussé le vice. Elle avait laissé une culotte sale par terre, un truc gris en coton, taché à l’entrejambe. Il l’avait reniflée pendant dix minutes, la chatte et la pisse mélangées dans un cocktail qui l’avait fait jouir en trente secondes. Mais la lunette, c’est différent, c’est direct, c’est frais. Là, il accélère, les gouttes sèchent sur sa langue, l’odeur s’accroche à ses narines. Il imagine Laure qui pisse, les jambes écartées, les lèvres de sa chatte luisantes, et ça le fait vriller.

Il jouit d’un coup, un râle coincé dans la poitrine, le sperme qui gicle sur son poignet et un peu sur le carrelage crade. Il halète, reste là une seconde, la tête vide. Puis il essuie vite fait avec du PQ, tire la chasse pour rien, et sort comme si de rien n’était. Laure est dans la douche, il entend l’eau couler. “T’as pas pris trop longtemps, pour une fois,” qu’elle crie à travers la porte. Il ricane, “ouais, ouais,” et retourne s’affaler sur le canapé, le goût de sa pisse encore sur les lèvres.

C’est son truc à lui, son vice de tordu. Marseille pue la merde et le sel cet été, mais pour Léo, rien ne vaut l’odeur de Laure sur cette lunette. Il sait qu’il recommencera demain, ou après-demain, tant qu’elle pissera sans faire gaffe.

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