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Fétiche - BDSM Histoire de Sexe Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets

Il renifle les culottes sales de sa mère à 40 ans

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Lionel a 40 piges aujourd’hui, mais tout a commencé à 17 ans, dans la petite maison de sa mère à Saint-Étienne. Une baraque étroite, coincée entre des immeubles grisâtres, où l’odeur de lessive et de vieille soupe flottait en permanence. Sa mère, Valérie, une femme rondelette d’une cinquantaine d’années à l’époque, laissait traîner son linge sale dans un panier en osier près de la salle de bain. Un jour, il est tombé dessus par hasard – une culotte beige, froissée, avec des traces humides qui sentaient fort. Il l’a portée à son nez, un réflexe qu’il comprendrait jamais vraiment, et depuis, il a jamais décroché.

Juillet 2025, la canicule écrase tout. Lionel vit à Lyon maintenant, un appart minable près de la Guillotière, mais il prend le TER une fois par mois pour rendre visite à Valérie. Elle a 73 ans, habite toujours à Saint-Étienne, dans le même pavillon décrépi. Veuve depuis dix ans, elle boite un peu, parle fort, et fait encore sa lessive à la main quand ça lui chante. Lui, il débarque avec un pack de bières et un sourire forcé, mais dans sa tête, y’a qu’une chose qui tourne : le panier à linge. Il le sait, il va craquer, comme chaque fois.

Ce samedi-là, il arrive vers midi. Valérie est dans la cuisine, en train de remuer une soupe de poireaux qui pue autant qu’elle réconforte. “T’as maigri, Lionel, tu manges rien là-haut ?” qu’elle lance, sans le regarder. Lui, il marmonne un “ça va, m’man”, pose les bières sur la table et zieute déjà le couloir. Le panier est là, à quelques mètres, derrière la porte entrouverte de la salle de bain. Il sent son cœur taper, ses mains devenir moites. “Je vais pisser,” qu’il balance, histoire d’avoir une excuse.

Il ferme la porte derrière lui, pas à clé – trop risqué. Le panier trône là, débordant de serviettes, de chaussettes, et, au milieu, un string noir. Valérie porte encore des trucs comme ça, même à son âge, des machins en synthétique qui lui serrent les hanches épaisses. Il attrape le bout de tissu, le déplie. La ficelle est tachée, une odeur âcre, musquée, lui monte direct au nez. Il inspire fort, les yeux fermés, et c’est comme si le temps s’arrêtait. Ce mélange de sueur, de pisse légère, et de quelque chose de plus intime, ça le retourne à chaque fois.

Il a 17 ans dans sa tête, encore. La première fois, c’était un été comme celui-là, moite, collant. Il s’était branlé dans sa chambre après avoir reniflé, la culotte cachée sous son oreiller pendant des jours avant que Valérie la retrouve et gueule sans savoir. Maintenant, il est plus audacieux. Il baisse son froc, juste assez pour sortir sa queue, déjà raide. Le string dans une main, il le presse contre son visage, inhale comme un camé, pendant que l’autre main s’active. La salle de bain est minuscule, le lavabo cogne son coude, mais il s’en fout.

Parfois, il va plus loin. Il enroule le tissu autour de sa bite, frotte la partie la plus sale contre lui, sent la crasse de sa mère le salir. Ce jour-là, il ose. Le string est encore tiède, elle a dû le porter le matin même. Il le fait glisser sur son gland, les traces humides laissent une marque luisante. Il grogne, bas, étouffé, pour pas qu’elle entende. La graisse de Valérie, ses plis, ses odeurs – il imagine tout ça, même s’il la voit plus nue depuis des années. C’est dans sa tête que ça se passe, un film tordu qu’il rejoue à l’infini.

“Lionel, tu fous quoi là-dedans ?” La voix de Valérie le fait sursauter, une casserole claque dans la cuisine. Il lâche un “j’arrive !” précipité, la gorge nouée. Il jouit vite, trop vite, un jet qui gicle dans le string, mélangeant son foutre à ses traces à elle. Panique. Il le roule en boule, le balance au fond du panier, recouvre avec une serviette moche. Il tire la chasse pour rien, se lave les mains, et sort, le visage rouge, le souffle court.

Valérie l’attend avec une assiette fumante. “T’es bizarre, toi, aujourd’hui,” qu’elle dit en plissant les yeux. Il hausse les épaules, s’assoit, la bière ouverte d’un coup sec. Il mange, parle du boulot, du temps, mais dans un coin de son crâne, il pense au string souillé qui traîne à dix mètres. Il se demande si elle le verra en faisant sa lessive, si elle captera un jour. Probablement pas. Elle est trop dans son monde, ses poireaux, ses feuilletons du soir.

Il repartira en fin d’après-midi, le TER le ramènera à Lyon avec cette odeur fantôme dans le nez. À 40 ans, Lionel a une vie banale en surface – un taf de magasinier, des potes qu’il voit au bistrot, une meuf de temps en temps. Mais c’est ça, son vrai truc, son secret crade. Les culottes de Valérie, c’est pas juste du linge. C’est un bout d’elle qu’il vole, qu’il souille, et qu’il garde pour lui, comme un chien qui marque son os.

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