Bonjour à tous,
Cette histoire taboo pour vous est certainement la confession la plus intime que je vais faire. Et si aujourd’hui je me décide à la faire, c’est parce que ma mère est décédée et que je n’ai plus aucune raison de ce fait de garder le secret. J’ai aujourd’hui 38 ans, mais l’année de mes 18 ans, j’ai couché avec ma mère et je l’ai sodomisée.
On remonte donc 20 ans en arrière, l’année de mes 18 ans. Mais je vais commencer par me présenter. Je m’appelle Gaëtan, je suis grand, costaud de type rugbyman. À cette époque-là, j’avais déjà des petites amies à la pelle et j’étais en pleine découverte sexuelle. Mais parents sont séparés et ma mère ne s’est jamais remise avec quelqu’un. En tout cas, je n’en ai jamais rien su. Un soir en rentrant de la fac, j’ai vu la voiture de ma mère garée dans la rue. J’en ai déduit qu’elle était encore venue me préparer à manger et faire mes lessives. En même temps, cela ne me gênait pas, je dirais même au contraire que cela m’arrangeait !
Lorsque je suis monté dans l’appartement, j’ai découvert ma mère endormie sur mon lit dans une lingerie des plus sexy. Mon premier réflexe a été de refermer la porte, mais je n’ai pu m’empêcher de la regarder dans l’entrebâillement. J’ai eu une érection en la voyant. Ma mère n’avait pas vu ou tout du moins entendu que j’étais rentré à la maison et elle a fini par se réveiller. Pensant qu’elle était encore seule, elle a glissé la main dans sa culotte et s’est caressée. Ma mère est une femme pulpeuse. Pardon. Ma femme était une femme pulpeuse, brune avec de très jolis seins bien ronds et de très jolies fesses. J’ai eu la surprise de voir que ma mère avait le sexe complètement épilé. C’était très surprenant !
Ma mère a retiré son string, s’est mise à quatre pattes, a passé sa main entre ses jambes pour se caresser. Elle s’écartait les lèvres et s’enfonçait le majeur dans la chatte. Je bandais comme un enculé ! Évidemment, j’étais à 1000 lieues de penser qu’elle m’avait remarqué. Un moment d’inattention de ma part, et je me suis retrouvé avec ma mère devant la porte qui m’a surpris en train de me branler. Elle m’a mis un doigt sur la bouche pour me faire signe de me taire, m’a attrapé par la bite et m’a entraîné sur le lit. J’étais terrorisé et je ne savais plus quoi dire. Elle m’a fait m’allonger sur le lit, a baissé mon pantalon et mon caleçon complètement, puis elle est venue se mettre entre mes cuisses. Elle m’a taillé une pipe fantastique !
J’avais les idées confuses et j’étais totalement dépassé. Mon cerveau ne fonctionnait plus. Ma mère était en train de me tailler une grosse pipe bien baveuse et bien goulue. Elle gémissait très fort. Elle a défait son soutien-gorge pour libérer ses gros seins qu’elle est venue frotter contre ma queue pour m’offrir une branlette espagnole. « Tiens-les ! » me dit-elle d’un ton autoritaire. J’ai attrapé ses seins et je les ai maintenus contre ma queue. Naturellement, j’ai fait glisser mes doigts sur ses tétons que j’ai caressés et pincés. Ma mère était terriblement excitée et moi donc !
Elle est venue m’enjamber pour un 69 qui était des plus délicieux. Ma mère ondulait et s’écrasait la chatte sur mon visage. Son odeur intime était des plus savoureuses ! Elle m’a enjambé et elle a continué d’avancer pour se diriger vers ma queue. Elle a écarté ses fesses et m’a dit : « pénètre-moi ! » J’ai glissé ma bite dans la chatte de ma mère qui était tout simplement extraordinaire ! Tiède, humide, moite, je ne saurai quel adjectif employer. Ma mère allait et venait sur ma queue tout en écartant ses fesses. Je voyais son anus palpiter et s’ouvrir et je l’ai caressé machinalement.
« Tu as envie de m’enculer ? » Me dit-elle d’un air détaché. Elle s’est retirée pour venir se mettre face à moi et s’accroupir l’anus en face de mon gland. Elle s’est écarté les fesses et s’est sodomisée toute seule. Je ne faisais pas grand-chose, pour le coup, c’est moi qui faisais l’étoile de mer ou la planche à pain. Je ne bougeais pas et je ne disais rien. Ma mère était au-dessus de ma queue qui était au fond de son conduit anal. Ma mère devait pratiquer depuis longtemps, car elle est descendue jusqu’à mes couilles. J’avais tout le paquet qui était enveloppé dans sa croupe brûlante. Sensation que je n’ai jamais connue après.
Ma mère s’est ramoné l’anus pendant de longues minutes avant de jouir intensément. Elle s’est écroulée sur le côté avec la jambe repliée. Je voyais ses orifices ouverts et dégouliner de mouille. Après avoir repris ses esprits, ma mère est venue de nouveau me sucer la bite. Elle a sucé ses jus les plus intimes et m’a dit en me regardant droit dans les yeux : « vas-y Gaëtan, montre-moi que tu es un homme ! » Elle m’a sucé, branlé, elle m’a pressé les couilles. Son regard ne lâchait pas le mien. J’avais beaucoup de mal à le soutenir.
En moins de 30 secondes, elle a senti les contractions de ma queue et de mes couilles. Le sperme montait à une vitesse folle. Je n’ai pu le retenir plus longtemps. J’ai éjaculé en expulsant quatre puissants jets de foutre bien épais et bien chaud. Ma mère les a pris sur son visage, ses seins et ses lèvres. Elle a fini de me branler pour me vider complètement les couilles. Quelques gouttes perlaient encore au bout de mon gland. Elle s’est empressée de venir les aspirer avec un bruit des plus explicites.
Elle a fini par se rhabiller en me disant : « va vite prendre ta douche, moi je rentre chez moi. Tu es un bon coup mon garçon. Cela s’est passé une fois et cela ne se reproduira pas. Merci de m’avoir donné du plaisir. Tu es un bon amant. Je suis fière de toi ! » Ma mère s’en est allée je ne l’ai pas revue pendant une semaine. J’étais terriblement gêné à l’idée de me retrouver de nouveau en face d’elle. Lorsque cela est arrivé, elle était totalement naturelle comme si de rien n’était. J’ai joué le jeu et cela pendant 20 ans.
Il y a trois mois, ma mère est décédée et je sais pertinemment qu’elle n’en avait parlé à personne. Aujourd’hui, je décide de raconter cette histoire taboo à votre blog. Merci de ne pas divulguer mon identité. Cela m’a fait beaucoup de bien d’en parler et de partager cela avec votre communauté.
Gaëtan, 38 ans, Briançon.
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