Résumé : Je m’appelle Éric, en cette année 2010, j’avais 20 ans , j’étais encore étudiant, et je découvrais la joie d’être invité à passer un week-end chez mon ami Damien.
Vendredi 25 juin !
Enfin, cette année de cours se termine, les épreuves sont terminées, il n’y a plus qu’à attendre les résultats. Damien m’a invité à venir passer la soirée chez lui autour de la piscine familiale, en compagnie de sa chérie Muriel, de sa sœur Julie et de sa belle-sœur Manon.
Cela fait quelques années que je connais Damien et nous sommes devenus de bons amis l’an passé. C’est la fête de l’année à ne pas manquer, il vit dans une belle et grande maison isolée à la lisière de forêt, et il y aura tout ce qu’il faut, de la musique, de la bière et les filles de sa famille autour desquelles je tourne depuis le début de l’année, ayant un œil en particulier sur Julie enfin, je tente ma chance, sachant que cette dernière est très attachée à Manon.
18 heures !
J’arrive chez Damien de bonne heure pour l’aider à préparer, je gare ma vieille voiture dans la cour et m’approche de la porte. Je sonne. Quelques secondes plus tard je suis accueilli par la mère de Damien, Brigitte, une très jolie femme blonde, la quarantaine épanouie, qui m’ouvre la porte en bikini et en m’offrant un large sourire.
J’en perds tous mes moyens et bafouille un « euh, bonsoir madame ! » qui a pour effet d’élargir encore son sourire.
« Tu dois être le copain de Damien, il est dans le jardin. Il prépare le punch avec son père, entre, » me dit-elle.
« Merci, » toujours en bafouillant.
Je la suis à travers la maison et je ne peux m’empêcher de regarder ses fesses dans son petit slip de bain bleu. Nous arrivons dans le jardin où je retrouve mon pote Damien à faire des calculs d’apothicaire avec son père afin d’obtenir un punch réussi. Brigitte regagne le bord de la piscine, je le quitte à regret et me dirige vers eux. Philippe, le père de Damien, me salue et me laisse avec Damien.
En m’apercevant que Damien et ses parents sont seuls je demande à ce dernier où se trouvent les filles. Il me répond :
« Elles ne vont pas tarder à revenir, elles sont allées toutes les trois, chez Marie-Claude ma future belle-mère ».
Commence alors les vrais préparatifs, je recule ma voiture, sors la sono et m’attaque aux câblages des enceintes, je branche mon ordinateur portable où est stockée ma collection de musique, fais deux tests de son, pousse un peu le volume sur deux ou trois chansons lorsque réapparaît Brigitte, toujours en bikini et elle commence à trémousser.
« Sympa la musique des jeunes », dit-elle à son mari.
« Pfft, arrête, tu es ridicule », répond Philippe.
Philippe en profite pour sortir son portable de sa poche.
« Je vais immortaliser ça », s’esclaffe-t-il en la prenant en photo.
Elle éclate de rire, et moi derrière ma sono, je ne perds pas une miette du spectacle…
« Coupe, ils sont chiants, me dit Damien ».
À contrecœur j’arrête la musique, Brigitte se retourne vers moi.
« Nooooonnn ! »
« Désolé », je lui fais en désignant Damien, ordre du boss.
« De toute façon, on doit se préparer pour y aller, Brigitte », lui dit Philippe.
« Laissons-les s’amuser entre eux »
« Encore une, s’il te plaît ».
« Pfft, bon, OK, tu nous mets quoi ? »
« Je regarde ce que j’ai! » leur répondis-je sans tenir compte des objections de Damien.
« Ça y est, j’ai un truc de votre époque je pense »
Et je leur balance « Boys, Boys, Boys » de Sabrina. Madame est aux anges. Monsieur aussi. J’ai l’impression que ça leur rappelle quelques souvenirs. Nous les voyons se déhancher et chanter à tue-tête sur ce vieux tube.
« Ils ont pété un câble ou quoi ? » me dit Damien. « Après, tu coupes ».
« Mais non, ils s’amusent », lui répondis-je sans les quitter des yeux.
Damien qui remarque que mes yeux sont le plus souvent dirigés vers sa mère me dit :
« Éric on dirait que tu es en train de tourner autour de ma mère, au début c’était ma sœur Julie, tu ne serais pas tombé amoureux de maman ? »
« Oui, Damien elle me fait de l’effet ta mère ».
Brigitte est une jolie quarantenaire, d’environ 1,60 m. Elle a la silhouette athlétique des femmes qui entretiennent leur corps. Ses fesses rebondies et musclées à la fois, ses jambes effilées, sa poitrine ferme, son ventre plat, sa peau qui paraît si douce et soyeuse, complètent le portrait de cette femme que je trouve ravissante.
Elle se prend de plus en plus au jeu de la musique qui défile, et là je l’aperçois qui entame une danse du ventre en se tenant la poitrine, mimant la chorégraphie de Sabrina, en direction de son mari. J’hallucine et je la trouve décidément très charmante, la mère de Damien, qui lui me regarde bizarrement.
Philippe quant à lui semble, apprécier le spectacle, il sort à nouveau son portable et clic, une nouvelle photo de sa jolie femme dans la boîte.
Je me remets à fouiller dans mes câbles et ma collection de musique pour me redonner une contenance, mais je continue à l’observer du coin de l’œil. La musique prend fin, Philippe redit à sa femme qu’il est l’heure. Elle quitte la piste à son grand regret… Et au mien.
« Merci super DJ, me lance-t-elle ».
« Ils ont une soirée de prévue ce soir et nous laissent la maison », me dit Damien avec un carton de verre à la main. « Ils ne devraient rentrer que tard dans la nuit ».
« Parfait, nous sommes donc tranquilles », répondis-je en me disant que ça ne m’aurait pas dérangé qu’ils restent.
Brigitte sort du jardin en roulant des fesses devant son mari, je le vois qui reprend une photo de la jolie croupe de sa femme. Je suis aux premières loges et ne manque rien du spectacle. Philippe se retourne vers moi et m’adresse un grand clin d’œil en me désignant les fesses de sa femme.
Je suis estomaqué, non seulement il a vu que je la regardais, mais en plus il en rajoute. Je deviens rouge comme une tomate. Damien n’a rien vu de la scène, il était reparti chercher des verres et commence à dresser la table.
Je voudrais me cacher sous la table… Je me posais la question :
Pourquoi m’a-t-il adressé ce clin d’œil ?
A-t-il voulu me prouver qu’il n’était pas dupe et m’avait grillé depuis le début ?
Mon imagination file à toute allure, je revois les fesses de Brigitte dans son bikini et me dis que Philippe a beaucoup de chance. Toujours est-il que je remets une fois de plus le nez dans mes câbles et ma collection audio pour me calmer en espérant que Damien ne remarque rien.
« Chéri, je file sous la douche »… Crie Brigitte à son mari.
Je commençais tout juste à me calmer et la revoilà dans mon imagination, nue, sous la douche. Je n’y résiste pas.
« Damien, où sont les toilettes, s’il te plaît ? »
Damien toujours dans ses verres me répond :
« Au fond du couloir, à droite ».
Me voilà reparti dans la maison, je ne sais pas ce que j’espère, juste apercevoir une image furtive de Brigitte sous la douche peut-être, l’entendre… Je ne sais pas.
Philippe est dans la cuisine, il m’aperçoit.
« Qu’est ce qui t’arrive ? »
« Euh rien », fais-je embarrasser, « je cherchais les toilettes ».
« Au fond du couloir à droite », me répondit-il, « ne te trompe pas de porte, à gauche c’est la salle de bains ».
J’aperçois un petit rictus au coin de ses lèvres. Il le fait exprès, ce n’est pas possible, il sait très bien pourquoi je suis là. Je ne peux pas revenir en arrière, j’y vais.
J’avance aux toilettes, je passe à côté de la salle de bains, j’entends la douche couler et Brigitte chantonner « Boys, Boys, Boys ». Je ne peux m’empêcher de l’imaginer jouer avec ses seins sous la douche en ce moment même de l’autre côté de la cloison.
Philippe la rejoint dans la salle de bains, il lui dit quelque chose que je n’entends pas et ressort. Je pense aussitôt au fait que la porte n’est pas fermée, j’imagine aussitôt trente scénarios improbables qui me permettront de rentrer dans la salle de bains et de feindre de l’avoir fait innocemment. Puis je me raisonne et décide de sortir des toilettes sans rien tenter.
Je sors, et là, surprise, Philippe a laissé la porte entrebâillée. Je n’ai rien d’autre à faire que de rester dans le couloir et observer le spectacle.
Elle est encore sous la douche et continue sur le même refrain. Je la vois jouer avec sa poitrine, onduler du bassin, ses lèvres forment un Ô en forme de baiser qu’elle s’envoie à elle-même dans le miroir. Par chance le couloir est sombre, je fais mon possible pour bouger le moins possible, de cette façon elle ne devrait pas me remarquer.
J’adore sa peau, elle est sublime légèrement satinée et à l’air si doux. Ses fesses et sa poitrine, que je n’avais pu admirer jusqu’alors qu’au travers de son bikini, sont blanches, fermes et soyeuses. Je commence à me sentir à l’étroit dans mon caleçon !
C’est alors qu’elle se retourne, me laissant apparaître son petit minou, qu’il conviendrait d’ailleurs d’appeler différemment. En effet Brigitte est totalement épilée, cela ressemble plus à un petit abricot. C’est la première fois que je vois une femme avec le sexe complètement lisse, l’eau qui ruisselle sur son corps ne fait qu’ajouter à l’érotisme de la scène.
Quant à elle, elle ne m’a pas vu, elle continua son « Boys, Boys, Boys » en ondulant des fesses, puis je vois sa main lentement glisser vers son sexe, elle écarte les lèvres, laissant apparaître son clitoris tout rose, puis je vois un de ses doigts glisser entre ses lèvres et lentement disparaître dans son intimité.
N’y tenant plus je commence à me caresser. Son autre main joue avec sa poitrine, l’eau continue de couler sur son corps. Ses joues commencent à rosir et les ondulations de son bassin s’accentuent en mouvements saccadés sur l’unique doigt qu’elle maintient au fond de sa chatte. J’ai envie de sortir ma queue et de me masturber, mais ce serait trop risqué ici, je continue malgré tout à regarder ce spectacle inattendu .
D’un coup son corps se contracte, elle serre les cuisses autour de sa main et soupire profondément.
Je me suis dit : « eh bien, elle s’est fait plaisir la coquine »
Elle reprend lentement ses esprits, et entame alors le savonnage de tout son corps, elle passe et repasse sur sa petite chatte. Elle se retourne à nouveau et j’ai la chance de voir ses fesses alors qu’elle les frotte énergiquement.
Elle écarte sa fesse droite afin de bien laver toutes ses parties intimes. Si j’osais j’entrerais même lui donner quelques conseils afin qu’elle n’oublie rien. J’aperçois sa petite rondelle, toute rose elle aussi, entre deux coups de gant.
Je ne sais pas quelle partie du show j’ai le plus appréciée finalement, la masturbation ou le lavage ?
Puis je la vois reposer le gant et fermer l’eau.
« Philippe, j’ai terminé, tu peux venir », crie-t-elle à travers la maison.
« J’arrive » lui répond Philippe.
Putain, je l’avais complètement oublié lui ! »
J’essaie tant bien que mal de cacher ma bosse qui déforme mon caleçon et traverse le couloir. Je le croise juste lorsqu’il sort de la cuisine alors qu’il se dirige vers la salle de bains.
Je suis cramoisi, il a forcément vu que la porte de la salle de bains était entrouverte.
« Ça va ? Tu as trouvé les toilettes ? » me dit-il alors que je presse le pas pour qu’il ne remarque pas l’état de mon bas-ventre.
« Oui, oui », lui répondis-je en essayant de le regarder et de prendre un ton le plus détaché possible.
Mais ce n’est pas facile de se donner une contenance lorsqu’on a un caleçon déformé, le visage empourpré et les yeux encore brillants de désir.
Il a encore son rictus au coin des lèvres.
« Tant mieux. Au fait, j’aimerais que tu me parles de Damien, il a des copains ou des copines à l’école ? »
« Ben euh »
Je n’ai pas, mais alors pas envie du tout d’entamer ce genre de conversation ici et maintenant.
« Bon Philippe, tu viens », insiste Brigitte dans la salle de bains.
Ouf, sauvé par le gong !
« Elle est pénible, hein », me dit Philippe. « Jolie, mais pénible, n’est-ce pas…
Et Philippe me destine le même clin d’œil que tout à l’heure. Ne trouvant rien à répondre, j’éclate d’un rire qui sonne aussi faux qu’une fanfare municipale. Je cours essayer de me trouver une cachette dans le jardin.
Damien m’interpelle :
« Tu étais où ? Tu en as mis un temps, ça va au moins, tu n’es pas malade j’espère ? »
« Non, non, ça va ».
J’essaie de couper court à ses interrogations.
« Bon alors, dis-moi ce qu’il y a à faire ».
« Va chercher les assiettes dans la cuisine ».
Voilà ce que je craignais, il faut que j’y retourne. Je le craignais mais en même temps j’espérais trouver une excuse qui me permettrait de voir Brigitte à nouveau. J’arrive dans la cuisine et me mets à chercher dans tous les placards, les portes claquent. Soudain j’entends Brigitte qui me demande :
« Tu cherches quelque chose ? »
« Euh oui, les assiettes…
« Elles sont dans le placard sous le four ».
« Lequel ? » fais-je en me retournant.
Là, je manque de m’étrangler. Brigitte est devant moi, habillée seulement d’une serviette, entourée autour de ses seins et qui descend jusqu’en haut de ses cuisses. Une autre serviette est nouée dans ses cheveux pour les sécher. Elle est encore plus belle comme ça, sa gorge, son cou et ses épaules toutes dégagées.
J’en suis bouche bée et reste planté là à la regarder pendant quelques secondes.
« Attends, je vais te montrer », renchérit-elle.
Elle s’approche de moi, me demande de me pousser, ouvre la porte du placard en question et machinalement se penche pour prendre une pile d’assiettes. J’ai une vue imprenable sur ses fesses magnifiques et les lèvres toutes roses et lisses de son abricot, et tout cela à portée de mains. Je me prends à rêver de pouvoir m’approcher encore, poser mes mains sur son corps et m’insinuer dans son intimité…
Mais Brigitte a dû sentir mon émoi, ou simplement se rendre compte de la vue qu’elle m’avait offerte, car elle réajuste sa position et s’accroupit dans une position plus décente.
Elle se retourne et me demande :
« Au fait, vous serez combien ? »
J’essaie de reprendre mes esprits :
« On devrait être seize ».
Je la vois alors qui écarquille les yeux en regardant mon caleçon. Accroupie devant moi, il fait dire qu’elle ne pouvait pas manquer mon début d’érection.
Elle se retourne vers la pile d’assiettes, visiblement gênée, les attrape, se relève et me les tend. Mes mains effleurent les siennes quand elle les y dépose. Ce contact me fait l’effet d’une décharge électrique. Je la sens elle aussi troublée et il me semble que ses mains s’attardent un peu plus longtemps qu’elles ne le devraient dans les miennes. Ou alors est-ce mon imagination ? Ce n’est pas impossible…
J’aimerais que ce moment dure des heures…
Je la remercie, les yeux encore brillants d’excitation. Je ne sais pas si elle saisit le double sens de mon merci en me répondant :
« De rien »
Ses jours commencent à rosir, elle m’envoie son plus grand sourire. Je suis subjugué.
« Si tu n’as besoin de rien d’autre, je file me changer, sinon je vais être en retard ».
« Je pense que c’est bon, merci beaucoup ».
Elle tourne les talons et sort de la cuisine. Je retourne au jardin aider Damien à dresser la table. Il est toujours à fond dans la préparation et est à cent lieues de penser que sa mère suscite un tel émoi en moi.
19 heures !
« Brigitte, presse-toi ! » crie Philippe à travers la maison.
« J’arrive…
Brigitte sort de la maison à cloche pied en finissant de serrer la boucle de sa chaussure droite.
Elle porte une magnifique robe noire qui lui descend juste au-dessus du genou et dont un côté est fendu jusqu’en haut de ses cuisses avec un effet plissé. Le décolleté de la robe est sexy sans être vulgaire et le dos est nu, si ce n’est les deux bretelles qui se referment derrière son cou.
J’adore ce type de robe car, à moins d’une énorme faute de goût, les femmes qui les portent se doivent de se passer de soutien-gorge, pour le plus grand plaisir des hommes qui les côtoient.
J’adore aussi les femmes qui serrent leurs boucles de chaussure…
Et quand une belle femme, habillée d’une robe décolletée, sans soutien-gorge, resserre ses boucles de chaussures, le spectacle est au rendez-vous.
Voici que pour la troisième fois de la journée, je peux apprécier les formes magnifiques de la mère de Damien. Sa belle poitrine ferme oscille et je ne manque pas une miette de chacun des balancements de deux globes dans son giron.
Le spectacle est fini, la boucle est bouclée… Elle se reprend et réajuste sa robe. Philippe la gratifie d’un magnifique sifflement.
« Tu es en beauté, ma chérie », lui dit-il.
Il sort à nouveau son portable et la photographie.
« Ce que tu es bête », minaude-t-elle. « Comme si tu ne me connaissais pas ».
Puis elle s’approche de Damien et de moi. Le tissu léger de sa robe épouse parfaitement les courbes de son corps et accentue la sensualité de chacun de ses mouvements. Elle est maquillée, coiffée, parfumée, en un mot resplendissant.
Le trouble qui règne en moi est à son comble. Je feins l’indifférence et continue de dresser la table.
Elle se dirige vers Damien et lui fait un énorme bisou sur sa bouche à la limite du baiser langoureux, en lui souhaitant une bonne soirée. Damien n’aime pas ça : embrassé de cette façon devant son copain.
« Oui c’est ça, bonne soirée », dit-il en la repoussant.
Puis elle se dirige vers moi et me réserve le même traitement. Elle m’embrasse et me souhaite une bonne soirée. Puis elle repart à sa voiture.
« Bonne soirée les jeunes, ne faites pas de folie…
Je ne m’attendais pas à ce qu’elle vienne m’embrasser. Mais, bien que fugace, ce baiser m’a permis se sentir sa poitrine collée contre moi. Il m’a encore semblé que ce contact était un peu plus appuyé qu’il n’aurait dû l’être. Décidément, chaque fois qu’elle s’approche, mon trouble s’accentue.
Elle arrive à la voiture dont Philippe a déjà démarré le moteur. Elle s’assied sur son siège, remonte sa robe sur ses cuisses afin d’enfiler ses jambes dans la voiture. Je ne sais pas si les constructeurs de voiture le font sciemment, mais toujours est-il qu’il est impossible pour une femme d’entrer dans une voiture avec une robe serrée sans offrir une vue de son entrejambe à tous les voyeurs des environs.
Brigitte m’offre un jeu de jambes unique, digne de Sharon Stone, pour se glisser dans son siège, l’espace d’un instant j’aperçois le haut de ses cuisses et un joli string en dentelles, noir. Elle me fait chavirer.
Lorsque je relève ma tête, elle me regarde droit dans les yeux et nous lance un « À tout à l’heure » en envoyant un baiser avec sa main dans notre direction.
Plus aucun doute n’est permis, elle m’a vu, elle sait !
« Enfin tranquille », me dit Damien.
« Arrête, je les trouve sympas ».
« On voit bien que tu ne les tapes pas tous les jours ! »
« Non c’est vrai… Répondis-je en me disant que j’aimerais bien me « taper » sa mère tous les jours.
Nous finissons de préparer la table, Damien à fond dans son organisation et moi perdu dans toutes les images de Brigitte qui tournent dans ma tête.
À suivre….
sacré Brigitte :)