Histoire sexe La mère de Damien Chapitre 2

19 h 45 !

Nous voilà prêt pour cette soirée, je demandais à Damien qui était les personnes invitées. Il me donna la liste qu’il avait préparée depuis un moment déjà.

La voici par couple :

Julie et Manon
Muriel et Damien
Marie-Claude et Marcel
Lucie et Franck
Véronique et Loïc
Fabienne et Grégory
Camille et Hervé
Martine et Éric
Et il avait barré Brigitte et Philippe étant à une autre soirée prévue de longue date.

« Damien, il y a un problème, tu parlais de parité dans les invitations, je compte huit femmes et sept garçons ».

« Éric, non la parité est correct, si tu parles de Julie et Manon, sache que ces deux dernières sont lesbiennes et compte pour un couple, tu es d’accord ? »

« Oui, excuse-moi je n’y avais pas pensé, avec ta mère qui me rend…

« Oui j’ai remarqué cela depuis que tu es là tu n’a que tes yeux pour ma mère »

20 heures !

Les convives arrivent tous ensemble, comme Damien vient de me le préciser la parité est respectée même sis Manon est une femme cela fait neuf femmes et sept garçons. En revanche parité ne signifie pas égalité en matière de séduction et je ne fais pas partie des Don Juan auxquels les filles s’intéressent généralement, de plus la plupart sont mariés. Je m’apprête donc à passer ma soirée seul derrière ma table de DJ.

La soirée débute autour du punch préparé par Damien et son père, il est bon mais traître et l’alcool fait rapidement son effet sur tous les invités. Quant à notre hôte, Damien, je l’observe du coin de l’œil, et au rythme auquel il enchaîne les verres, il risque de ne pas tenir longtemps.

Je n’arrive pas à me mettre dans l’ambiance de cette fête, pourtant tous nos amis et famille de Damien sont là. Mais je ne pense qu’à Brigitte, à ses formes généreuses, à sa peau douce et satinée, à son petit abricot tout rose et lisse, ses seins magnifiques, et ses fesses à se damner.
Rien qu’en évoquant ce souvenir, j’ai à nouveau un début d’érection, heureusement caché derrière ma table de DJ, j’arrive à masquer mon émoi.

Je ne peux m’empêcher de repenser à l’équivoque des différents épisodes de l’après-midi. Le regard que Brigitte m’a lancé alors que je la regardais monté en voiture ne me laisse aucun doute sur le fait que j’ai été pris sur le fait. Cette situation me gêne vraiment, si elle venait à en parler à Damien, ou pire à Philippe, j’aurais probablement la honte de ma vie.
D’autant plus que Damien m’a invité à dormir chez lui cette nuit après la fête, car nous nous rendons le lendemain à un festival de musique. Il faudra à tout prix que je les évite demain au réveil.
Par contre je ne me connaissais pas ce côté voyeur, je trouve cela terriblement excitant de regarder une si jolie femme, naturellement belle et sexy.

1 heure !

Je suis perdu dans mes pensées lorsque Julie la sœur de Damien et Manon sa chérie, viennent me chercher, catastrophées.

« Damien est malade, il vient de vomir partout ».

« Merde », répondis-je, « où ça ? »

« Dans les toilettes de la maison ».

Je cours rejoindre Damien, un petit attroupement s’est formé dans le couloir. Avec l’aide de Loïc et de Julie nous avons porté Damien dans sa chambre et tant bien que mal nous l’avons déshabillé. J’ai alors demandé à Julie d’aller s’occuper des autres et Manon s’est proposé de m’aider à nettoyer. Et dire que je vais devoir dormir dans sa chambre dans quelques heures, j’en frémis d’avance.

« Pfft, quel boulet ! »

Pendant que Manon est allée à la buanderie mettre les vêtements de Damien dans le lave-linge, je cherche à nettoyer tout ça, j’entre dans la salle de bains et fouille un peu partout afin de trouver une serviette. Sur les portemanteaux, pas de serviettes, en revanche, j’aperçois une jolie petite nuisette en satin, avec un liséré de dentelles en bas, j’esquisse un sourire et me dis que je n’ai pas le temps. J’ouvre un premier placard, la corbeille de linge sale, je referme. Deuxième placard, ça y est voilà les serviettes. J’en attrape une et repars nettoyer.

Pendant que je frotte une image flash me revient, la corbeille de linge sale. Il y avait, sur le haut du linge un string rouge jeté en vrac. Je ne pense plus qu’à ça… Il faut dire que cette image est nettement plus agréable que ce que j’effectue en ce moment.

Une fois le nettoyage terminé, je repars à la salle de bains, j’ouvre le placard, trouve la corbeille de linge sale. Le string de Brigitte est là, comme une offrande. Je ne résiste pas, je l’attrape et y plonge mes narines.

J’ai l’impression de m’être emparé du Graal. Ce » moment est merveilleux, je me retrouve au milieu des affaires de Brigitte, dans son intimité. Je la revois sous la douche, son corps sublime. Avec son string dans les mains, j’ai maintenant l’impression que je connais tout d’elle.
Je reste quelques secondes à contempler, humer, goûter ces trésors, mais je dois me résoudre à sortir de la salle de bains, je repose le string sur le reste du linge et sors. J’aurais aimé l’enfouir dans ma poche mais j’ai trop peur qu’ils s’en aperçoivent.

Manon entre-temps Manon a mis les serviettes sales dans le lave-linge et la mise en route. Elle m’a rejoint et nous sommes allés retrouver les autres. La musique s’est arrêtée et l’ambiance est complètement retombée. Lucie et Franck étaient en train de s’embrasser langoureusement la main de Franck sous le t-shirt de Lucie, Véronique et Muriel étaient en train de s’occuper de Loïc, Marie-Claude papotait avec Julie.

« Merci Damien » d’avoir gâché la soirée.

Loïc et Véronique proposaient d’aller finir la soirée en boîte de nuit, ils sont suivis par Lucie et Franck tandis que Marie-Claude et Muriel ont décidé de rentrer chez eux. Comme Julie et Manon passait le week-end chez ces derniers elles devaient les accompagnés me laissant là à jouer le garde malade.

Ils viennent tous me saluer, les uns après les autres :

« Merci pour cette bonne soirée , et bon courage avec Damien…

Et les voilà partis. Pas un pour rester à m’aider. N’ayant plus rien d’autre à faire, je commence à ranger. Soudain, des phares apparaissent dans la cour, Brigitte et Philippe rentrent enfin.
Je peste, je me dis qu’ils auraient été là dix minutes plus tôt, ils se seraient occupés de leur rejeton et moi je serais parti avec les autres.

Puis, Brigitte descend, et je ne peste plus du tout…
Apparemment elle aussi a un peu trop bu, sa démarche et ses yeux brillants le dénotent. Ils viennent vers moi :

« Déjà fini ? » Me questionnent-ils en chœur.

Je leur relate la soirée et les exploits de leur fils ! Ils ont l’air de s’en moquer comme de l’an 40.

« Pas trop en colère après lui ? »

« Si un peu », je réponds, « mais bon ce n’est pas très grave ».

« Il est pénible quand il a bu, comme sa mère », me dit Philippe en plaisantant.

Brigitte essaie de protester, elle dit que ça va très bien et qu’elle est prête à le prouver, Philippe lui demande alors de faire cinq mètres en ligne droite. Elle accepte et se lance, au bout de trois pas, elle titube sur ses talons hauts. Je me précipite pour la rattraper, de justesse, nous tombons tous les deux.
Elle m’est tombée dessus, sa robe s’est relevée et ses fesses sont presque entièrement découvertes. Je la sens, tout contre moi, presque nue tant le tissu de sa robe est fin. Grâce à la pénombre qui règne dans le jardin, je profite de ces quelques moments pour laisser mes mains explorer son corps. Je la soutiens par-dessous les bras en frôlant ses seins, je la tiens par la taille en glissant sur ses fesses, le contact de sa peau nue m’électrise et je ne peux réprimer quelques mouvements du bassin. Heureusement elle a trop bu et ne s’en aperçoit pas.

Philippe nous regarde, amusé.

« Dis donc Brigitte, quand tu auras fini de faire des galipettes avec l’ami de Damien…

Je deviens à nouveau rouge comme une tomate, heureusement qu’il fait noir. Brigitte proteste que ce n’est pas vrai, mais qu’il se pourrait que peut-être, effectivement, elle ait un ou deux verres de trop.
Philippe lui tend la main pour la relever, je l’aide en la soutenant par la taille. Philippe m’adresse à nouveau un clin d’œil, puis il me dit :

« Je la trouve encore plus sexy quand elle est comme ça, pas toi ? »

« Moi, heu…

« Dis donc Philippe, arrête ! » minaude Brigitte.

Il sort son portable, et prend en photo la moue que sa compagne vient d’effectuer.

« Bon allez », dit Philippe, « bonne nuit, et laisse la table comme ça, on rangera demain matin ».

« Je ramasse l’ordinateur et je vais me coucher ensuite », leur répondis-je « Bonne nuit »

Ils filent vers la maison. Je les suis quelques minutes plus tard.

Quand j’arrive dans le couloir, je les entends discuter dans la salle de bains, j’allume la lumière. Au même instant, la porte de la salle de bains s’ouvre, et Brigitte en sort, habillée de la petite nuisette que j’avais vue, accrochée au portemanteau. J’ai la confirmation de ce que j’avais vu dans la salle de bains : la nuisette est sexy et très courte.

Brigitte me voit, elle essaie de tirer vers le bas de sa nuisette tant elle se sent impudique. Ceci me confirme une deuxième chose, Brigitte ne met pas de culotte pour dormir. En tirant sur sa nuisette, l’un de ses tétons est sorti de sa cachette.
Elle a suivi mon regard et s’est aperçue de ce qui avait attiré mon attention. Elle me sourit, gênée, et s’engouffre dans sa chambre le plus vite possible, j’ai juste le temps d’apercevoir ses jolies fesses qui oscillent sous sa nuisette.
Philippe sort à son tour et me surprend encore une fois en train de mater sa femme. Il me sourit simplement, me tape sur l’épaule et me dit :

« Allez, bonne nuit ».

« Bonne nuit » lui répondis-je en me dirigeant vers la chambre de Damien.

Je me dis qu’il a de la chance et que je donnerais cher pour être à sa place en ce moment.
J’ouvre la porte de la chambre, il y règne une odeur pestilentielle et Damien ronfle autant qu’un Boeing 747 en phase de décollage. J’en pleurerais…

Pas facile de trouver le sommeil dans ses conditions… J’essaie de siffler pour calmer ses ronflements mais rien n’y fait, d’autant que le corps de Brigitte me hante.
J’ai soif, je décide de me relever pour aller chercher un verre d’eau. Arrivé dans le couloir, je perçois un rai de lumière. Je laisse le couloir éteint. J’avance à pas de loup, je dois avouer que je n’avais pas vraiment soif, mais le prétexte me semblait acceptable pour continuer à arpenter la maison.

La chambre des parents de Damien est encore éclairée et la porte n’est pas close. Je m’avance lentement et pousse le battant en priant que la porte ne grince pas. Le ciel est avec moi, la porte s’ouvre lentement et sans un bruit. Le spectacle que je découvre est magnifique.

Je me découvrais voyeur un peu plus tôt, je trouve que j’apprends très vite, cela est terriblement excitant. Brigitte est allongée sur le ventre sur le lit, la tête dans l’oreiller ce qui me permet d’avoir une vision parfaite sur ses jambes et ses fesses et le bas du dos. Philippe est sur le côté, il lui caresse les fesses et le bas du dos. À chacune de ses caresses, la nuisette remonte un peu plus.

Brigitte a maintenant les fesses entièrement découvertes. Elle écarte un peu les jambes, sa chatte est trempée. Sa main glisse jusqu’à son sexe, elle s’écarte les lèvres et commence à jouer avec son clitoris. Son bassin accentue le pouvoir de ses caresses en ondulant de bas en haut, afin que ses doigts coulissent plus profondément en elle.
Philippe lui masse l’anus, d’abord avec un doigt, qu’il a pris soin d’humecter de sa salive, il fait le tour de sa petite rondelle. Elle semble apprécier, les mouvements de sa main sur sa chatte s’accentuent. Puis Philippe lui écarte les fesses et vient se placer juste au-dessus.
Il attrape son téléphone portable et la prend à nouveau en photo.

Elle proteste :

« Tu es pénible avec tes photos ».

« Tu es trop belle pour résister, ma chérie » lui répond-il.

La position que j’occupe dans la porte m’offre une vision parfaite de Brigitte si impudique et offerte en ce moment, mais je donnerais cher pour donner un coup d’œil aux clichés que vient de faire Philippe. Me sentant trop à l’étroit dans mon caleçon, je sors ma queue et commence à me caresser. J’aimerais moi aussi la sentir sous mes doigts, masser ses fesses, goûter sa chatte, téter ses seins…

Philippe commence à lui lécher l’anus, je la vois tendre son cul. Les mains de Philippe ont rejoint celle de sa femme, dont il accompagne les caresses. Elle se retourne, se met à genoux, et se jette sur la bite de Philippe qu’elle avale d’un seul coup, il rejette sa tête en arrière de plaisir.

N’y tenant plus, je vais à la salle de bains chercher le string de Brigitte. Avec joie, je découvre le string qu’elle portait ce soir sur le haut de la corbeille. Je le prends et retourne à mon poste d’observation. Le string est encore tout chaud et porte les effluves de sa propriétaire, je me délecte de son odeur musquée et encore moite.

À mon retour, Brigitte s’est mise à lécher les couilles de son mari, elle le couche, dos sur leur lit, et continue à la lécher, le cul en l’air face à moi. Les lèvres de sa chatte toute lisse sont gonflées de plaisir, elle continue à se caresser, et j’aperçois ses doigts qui montent et descendent de son cul à son clitoris.
J’ai enroulé son string autour de ma queue, et je me branle maintenant en les regardant.

Sentant son mari proche de l’explosion, Brigitte se relève et vient se mettre à califourchon sur lui. Elle s’empale sur sa queue qui coulisse en elle sans aucune difficulté. Elle entame aussitôt des mouvements de bassin secs et violents auxquels Philippe répond en se mettant en action à son tour.
Après quelques minutes de ce traitement, je le vois qui se contracte convulsivement à plusieurs reprises, un cri rauque sort de sa gorge et elle s’effondre sur son mari. Son anus se contracte et se relâche à chacun de ses spasmes, prouvant que son plaisir a été intense.

Philippe continue à la pilonner, les fesses de la belle qui rebondissent sous les assauts de son mari.

Je ne tiens plus, j’explose dans son string et y répands mon foutre. Philippe jouit lui aussi en elle, les deux amants s’enlacent et s’embrassent pendant de longues secondes.

Brigitte se relève, le sperme de son mari coule de sa chatte ? Son petit abricot rose est devenu bien rouge et gonflé maintenant. Elle se dirige vers la porte. J’ai juste le temps de courir me cacher dans la cuisine, fort heureusement elle est partie de l’autre côté, vers la salle de bains.

J’essuie ma verge avec son string et remonter mon caleçon ? Puis j’attends que plus rien ne bouge.
Brigitte regagne sa chambre. Je remonte le couloir à pas feutrés pour rejoindre la chambre de Damien.
En passant devant leur chambre, j’entends Brigitte et Philippe discuter :

« Tu n’avais pas fermé la porte ? Elle était entrouverte ».

« Ah bon ? » répond Philippe.

« Tu crois que…

« Mais non, ne t’inquiète pas. Et puis de toute façon, il t’a matée toute la journée, tu n’as pas remarqué ? »

« Pfft, tu es bête, une vieille comme moi ».

« Avoue que tu as remarqué et que ça ne t’a pas déplu ».

« Je suis une « cougar », plaisante-t-elle.

« Donc tu as aimé ça, n’est-ce pas ? »

« Bonne nuit ».

C’est la seule réponse qu’il a de sa part, elle éteint la lumière. Je regagne la chambre de Damien, au passage je retourne dans la salle de bains jeter le string de Brigitte dans la corbeille, j’essaie de l’enfouir sous les autres habits.

3 heures !

Je me couche, j’ai finalement eu la confirmation de mes craintes. Ils ont bien vu toute la journée que je regardais Brigitte, par contre ils ne m’ont pas vu observer leurs ébats, il va falloir faire profil bas au petit-déjeuner.

À suivre…