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Histoire de Sexe Inceste Vieux - Jeunes

Histoire sexe La mère de Damien Chapitre 3

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Troubles jeux

Résumé des deux chapitres précédent :

Hier, nous avons fêté la fin de nos épreuves d’examen chez Damien. Tout l’après-midi j’ai flashé sur Brigitte, la maman et le soir j’ai surpris les parents de Damien en pleins ébats dans leur chambre. Je m’apprête à vivre une nouvelle journée ponctuée des apparitions de Brigitte.

26 juin !

10 heures !

Le lendemain matin, lorsque je me réveille, le soleil est déjà haut dans le ciel. Damien ronfle toujours, je me demande comment j’ai pu dormir dans ce vacarme. Je me décide à mettre les pieds par terre et reste assis sur le rebord du lit quelques secondes. Ma nuit a été agitée par le souvenir des images de Brigitte la veille, en particulier la scène ou je les ai surpris, elle et Philippe qui faisaient l’amour dans leur lit. Je m’efforce de chasser ces idées de mon esprit afin que mon érection matinale, particulièrement tenace ce matin, retombe enfin.

Ça y est, je peux enfin sortir et avoir une allure décente. Un tour aux toilettes et je file à la cuisine pour voir si quelqu’un est réveillé et si je peux avaler un petit-déjeuner ? Brigitte et Philippe sont là, tous les deux attablés devant leur café. À leurs yeux encore gonflés de sommeil, je comprends qu’eux non plus ne sont pas réveillés depuis longtemps. Brigitte a les cheveux en bataille ce matin, avec le soleil cela leur donne un éclat blond magnifique.

Je leur lance un « Bonjour tout le monde », le plus énergique possible. Pas facile le matin au réveil.

« Salut » me répond Philippe en me tendant la main.

Je la lui serre.

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« Bien dormi ? » me demande Brigitte en se levant pour me faire la bise.

« Oui, merci, ça va ».

« Dis donc, c’est Damien qui ronflait comme ça ? On l’entendait jusque dans le couloir », reprend Philippe.

« Oui », répondis-je, « je pense qu’il est parti pour dormir encore pour un petit moment.

« Tu prends un café ? » me demande Brigitte.

« Volontiers ».

Elle se lève et se dirige vers le plan de travail ou ronronne la cafetière. Je remarque aussitôt qu’elle porte toujours sa jolie petite nuisette. En revanche, elle a passé un legging qui lui permet d’être plus présentable qu’elle ne l’était cette nuit. Son legging est très ajusté et moule parfaitement ses jolies fesses rondes. Je la regarde avidement. Lorsqu’elle se retourne, je constate que le legging ne cache rien non plus des formes de son sexe. J’en frémis, et me secoue la tête afin de détacher mon regard de son corps.

Philippe, me regarde du coin de l’œil au-dessus de son bol, on dirait qu’il prend plaisir à ce que je mate sa femme. J’en ai la confirmation lorsque je mate son large sourire alors qu’il repose son café sur la table. Il lui lance alors :

« Chérie, peux-tu m’attraper un verre, s’il te plaît? »

Elle ouvre le placard au-dessus du four et se hisse sur la pointe des pieds pour atteindre l’étagère. Sa nuisette se relève sur le bas de son dos, me laissant contempler sa taille et ses fesses parfaitement dessinées. J’en ai le souffle coupé. Philippe fait comme s’il n’avait rien vu.

Lorsqu’elle se retourne pour tendre le verre à son mari, celui-ci se lève en lui tapant sur la croupe, l’embrasse, puis se dirige vers le jardin afin de commencer à ranger les restes de la fête de la veille. Je reste seul avec elle dans la cuisine. J’ai les joues en feu. Mon sexe, que j’ai eu tellement de mal à calmer dans la chambre, commence lui aussi à reprendre des couleurs.

Brigitte virevolte dans la cuisine, elle commence à débarrasser la table, ramasse leurs deux bols, sans se rendre compte de l’émoi qu’elle suscite en moi avec son décolleté chaque fois qu’elle se penche. Puis elle se retourne pour ranger les bols et les couverts dans le lave-vaisselle, me donnant une vue imprenable sur ses fesses et son sexe dont je perçois tous les contours au travers du léger tissu de son legging. Enfin, elle prend une éponge et entreprend de nettoyer la table. Ses seins oscillent sous sa nuisette et agissent sur moi comme une pendule d’hypnose, je suis à sa merci…

« Ça va ? »

Je sors de ma torpeur et la regarde fébrilement en avalant ma salive.

« Tu es sûr ? Tu es tout pale », reprend-elle.

« Oui, oui, certainement la fatigue » et je replonge mon nez dans mon bol.

Elle m’a vu, mais cette fois elle ne s’arrête pas, elle continue même son petit jeu de balancier juste sous mon nez. Je ne sais comment réagir. Ses mouvements s’amplifient, elle exagère délibérément les oscillations de sa poitrine et se rapproche imperceptiblement de moi. Elle arrive si près que je sens son souffle sur mon visage, je relève les yeux, sa nuisette est largement ouverte devant moi : une offrande. Elle se décale sur le côté et continue de nettoyer la table. Elle me frôle de sa poitrine et vient enfin se placer derrière moi. Je sens ses deux seins dans mon dos et toujours son souffle chaud qui s’accélère.

Son bassin ondule doucement, me donnant de légers coups de reins. La proximité de sa peau satinée, la chaleur de son corps, son parfum, tout en elle suscite mon désir. Elle rompt le silence.

« Tu me troubles ».

« Vous aussi, vous me troublez, vous êtes tellement…

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Elle pose un doigt sur mes lèvres afin que je me taise, tout en accentuant la pression de sa poitrine sur mes épaules et se love contre moi. Sa bouche s’approche de mon visage, son souffle est court, ses lèvres se tendent vers les miennes, je ne résiste pas au désir de l’embrasser. Nous nous embrassons à pleine bouche, nos langues se cherchent, se trouvent et jouent ensemble. Ses mains parcourent mon corps, partant de mon torse, elles glissent lentement vers mon caleçon et commencent à caresser mon sexe.

Ma bouche quitte la sienne et se dirige avidement vers sa poitrine si convoitée depuis la danse de la veille, je lèche ses tétons, les embrasse, les tète. Le contact de sa peau, si douce, m’électrise. Elle approche ses lèvres de mon oreille et me susurre :

« Nous devons nous arrêter ».

Aussitôt, elle se dégage de moi et réajuste ses vêtements. Elle a les joues roses.

« Damien va se réveiller et Philippe est dans le jardin » me dit-elle en fronçant les sourcils.

Je suis interloqué, je le sentais chavirer dans mes bras. Il y a un instant, j’avais partie gagnée et en une seconde, elle a repris ses esprits et sa stature de femme modèle et fidèle : tout est perdu…

« Mais…

« Tu m’as fait me sentir belle et désirable, comme cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps.

« Et vous l’êtes », lui répondis-je.

« Merci », me dit-elle gêner.

« Mais…

Je n’ai pas le temps de plaider ma cause auprès d’elle, Philippe revient du jardin, les bras chargés de détritus de la veille.

« Eh bien, vous en avez mis un bazar », me dit-il.

Il me tend un téléphone.

« Tiens, j’ai trouvé ça près de la sono ».

« Merci, c’est le mien ».

« Ah ! Nous avons exactement le même », me dit-il, « Je te le pose sur le meuble de l’entrée ».

Et le voilà parti à discourir sur les qualités dudit téléphone, i Machin, comparé à tous les autres téléphones qui essaient de copier, mais que ce n’est quand même pas pareil et patati et patata…

J’ai envie de lui répondre :

« Je sais banane, c’est pour ça que j’en ai un ».

Autant vous dire que je n’entends pas ce qu’il me dit, je réponds poliment quelques « Ah », « Oui, c’est sur », « Ah non, je ne connais pas », « Ils ont fait ça ! » qui ponctue son monologue, mais mon esprit est monopolisé par une seule chose : qu’il retourne dans le jardin afin que je sois seul avec Brigitte.

Il n’a pas encore fini son laïus que Damien fait irruption dans la cuisine. Il a la tête des grands jours ! Les cheveux ébouriffés, les yeux plissés et gonflés, il nous marmonne un « s’lut » en baillant. Tous mes espoirs s’effondrent, je n’aurais pas de nouveau tête à tête avec Brigitte.

Philippe et moi redescendons dans le jardin continuer le nettoyage. Damien cuve sa soirée devant son bol de café et Brigitte vaque à ses occupations. Je suis désemparé, je la tenais entre mes mains et vois l’espoir de pouvoir la retrouver à nouveau fondre au fur et à mesure que la matinée passe.

J’essaie de me faire une raison et me dis qu’après tout, cette histoire et cette situation étaient vouées à l’échec depuis le début. Après tout c’est l’été, j’ai vingt ans, j’entame dans une semaine une saison dans un commerce d’une ville au bord d’un grand lac située à proximité, et des occasions j’en aurais probablement à foison dans les deux mois qui viennent.

Brigitte continue ses occupations dans la maison, après avoir rangé la cuisine, elle s’est attaquée aux lessives, a préparé le repas, mit le couvert sans un instant de répit. Damien n’a toujours pas aidé ni son père ni sa mère, il a prétexté un mal de crâne carabiné et s’est vautré sur le canapé du salon.

12 heures !

À midi nous passons tous à table, de bonne heure car Damien et moi devons rejoindre un ami pour aller voir le concert d’Indochine ce soir au Zénith de Strasbourg ? Nous avons près de 2 heures de route avant d’arriver dans la banlieue de Strasbourg et espérons arriver suffisamment tôt pour avoir des places correctes.

Le repas se passe sans encombre, Brigitte est assise à côté de moi, elle a mis un mini-short. Je lance quelques coups d’œil à ses jambes pendant le repas. Elle agit envers moi comme si rien ne s’était passé dans la matinée, parfois nos corps se frôlent, j’essaie de me contenir et de ne rien imaginer à son égard étant donné qu’elle m’a bien fait comprendre que nous en resterions là.

La conversion tourne autour de nos occupations pour cet été, je leur dis que j’entame une saison en tant que vendeur de beignets, sandwichs et autres au bord du lac de Gérardmer dès la semaine prochaine, située à une vingtaine de km de chez vous. Damien quant à lui part dès le lendemain faire un stage de voile au bord du lac Léman, pendant tout le mois de juillet.

13 h 30 !

Après avoir bien mangé, quoique Damien n’ait pas trop d’appétit, nous préparons nos affaires. Philippe se prépare lui aussi à partir faire un tour en bateau avec un ami, Brigitte restera seule à bronzer autour de la piscine cet après-midi. Philippe et elle nous accompagnent dans l’entrée pour nous saluer.

« Et n’oubliez pas de saluer Nicola de notre part », nous lance Philippe.

« Qui ça ? » demande Damien.

« Ben, Nicola, le chanteur d’Indochine, nous aussi on écoutait ça, étant jeune ».

« Ah OK, je ne savais pas que c’était si vieux que ça », réponds Damien.

Pendant qu’ils parlent d’Indochine, Brigitte s’est approchée de moi, au moment de me faire la bise, elle me glisse quelque chose dans la poche et me susurre :

« Tiens, je te l’ai nettoyé…

Je glisse ma main dans la poche et reconnais instantanément le tissu du string noir dans lequel je me suis branlé hier. Elle me regarde, ravie de son effet, avec un petit rictus. Je passe par toutes les couleurs et suis rouge de honte au moment de saluer Philippe. Celui-ci me serre la main et nous souhaite bonne route, sans rien remarquer et en refermant la porte. Il la rouvre aussitôt et m’interpelle alors que je monte dans la voiture.

« Hé, tu as oublié ton téléphone ! »

Il était dans l’entrée et ce serait dommage de l’oublier parce que les i Machin ça sert toujours, surtout pendant les concerts et patati et patata…

Il me gonfle, il est vraiment inintéressant ce mec, je n’écoute pas, j’attends qu’il termine et je peux enfin placer :

« Merci à demain, et bonne balade en bateau ».

Pendant le trajet en voiture, Damien me sert quelques banalités autour de la soirée d’hier pendant qu’il conduit. Je fais mine de regarder le paysage en gardant une main dans la poche qui caresse le string de Brigitte. Je ne sais plus quoi penser à propos de Brigitte, elle ménage le chaud et le froid à mon égard et bien que je me dise que c’est une histoire qui n’ira pas plus loin, je ne peux m’empêcher de penser à elle, à ses formes parfaites, à sa bouche, aux baisers que nous avons échangés ce matin. Impossible de penser à autre chose. Elle a été distante toute la matinée et vient me rallumer juste avant que nous partions. Je suis pour l’instant incapable de dire ce qui m’attend pour la suite.

Damien continue à bavasser, je constate qu’il est aussi chiant que son père et que je n’y avais jamais prêté attention. Nous arrivons enfin au lieu de rendez-vous, Maurice nous attend, Damien monte à côté de lui, et moi, je prends place à l’arrière de la voiture.

Nous parlons concert, espérant que cela soit grandiose. C’est la première fois que nous allons au Zénith, la place était chère, mais quand on aime… Nous avons fait quelques kilomètres dans la campagne Alsacienne lorsque mon téléphone vibre, je viens de recevoir un SMS, le téléphone m’indique :

« Vous avez reçu un nouveau message de Brigitte »

Je déverrouille le clavier, le message dit ;

« Lequel je mets pour ton retour ? Ça ? », accompagné d’une photo jointe.

J’ouvre la photo, il s’agit d’un autoportrait de la mère de Damien (à cette époque on n’appelait pas encore ça des selfies) en petite tenue très sexy, elle porte un shorty bleu en dentelle, très transparent et un soutien-gorge du même bleu, la photo est prise par le dessus ce qui met parfaitement ses seins en valeur.

Deuxième message :

« Ou ça ? »

Une autre photo y est jointe, elle s’est changée et porte maintenant un string fendu blanc, des bas blancs sans soutien-gorge.

Je me planque à l’arrière de la voiture en essayant de comprendre ce qui se passe !

Troisième message :

« Si tu préfères, je t’attendrai comme ça ! »

Avec une troisième photo que j’ouvre. Elle est en levrette sur leur lit, le cul en l’air dirigé vers la caméra dont elle regarde l’objectif en envoyant un baiser fictif.

« Quelle chaudasse » mais qu’est-ce qu’elle fiche à m’envoyer des messages comme ça ?

Comme un flash, je comprends pourquoi je reçois ces messages, Philippe a dû se tromper de téléphone quand nous sommes partis, il m’a probablement donné le sien. J’en ai d’ailleurs rapidement la confirmation. Le téléphone indique :

« Appel du 06.35.–.–.– » Je reconnais instantanément mon numéro et décroche. C’est Philippe qui me confirme que c’est bien lui qui m’a pris mon i Machin, qu’il les a confondus. Il me dit que ça n’est pas grave, qu’il n’en aura pas besoin de la journée et qu’il pourra le récupérer le lendemain.

Avant de raccrocher, il me dit :

« Et ne fouille pas dans les photos, il en a des compromettantes », en éclatant de rire.

J’essaie de rire moi aussi. Puis je raccroche. Je n’ai pas osé lui dire que sa femme venait de m’envoyer ces trois messages. Damien se retourne et me demande de qui se passe, je lui explique que son père s’est gouré de téléphone.

« Pfff, quel boulet, il y tient autant qu’à la prunelle de ses yeux et il le paume à la première occasion ».

« Oui, j’ai vu qu’il y tenait, il m’en a assez parlé tout à l’heure ».

Et nous partons d’un rire franc tous les deux.

Quatrième message :

« Alors ???? »

Brigitte semble s’impatienter, la vie sexuelle de ce couple bien rangé me paraît de plus en plus intéressante. Je décide de lui répondre et de lui dévoiler le pot aux roses.

« Philippe s’est trompé de téléphone lorsqu’il me l’a donné tout à l’heure ».

Cinquième message :

« Désolée, ne va rien t’imaginer, c’était involontaire ! Ne dis rien à Philippe et Damien ».

Je lui réponds :

« Promis, mais cela dit, avec ce que je viens de voir, difficile de ne rien imaginer, vous êtes ravissantes ».

Elle ne me répond pas. Tout devient de plus en plus confus pour moi, c’est effectivement surprenant que Philippe qui tient tant à son i Machin l’ait confondu comme ça. D’autant qu’en réfléchissant son attitude depuis hier sont des plus surprenantes vis-à-vis de sa femme.
Il m’a surpris plusieurs fois qui la matais, à laisser la porte de la salle de bains puis celle de sa chambre entrouverte la veille, lui a demandé ce matin de prendre un verre en hauteur, s’est éclipsé dans le jardin dès qu’il s’est aperçu que je la regardais, nous laissant seul dans la cuisine, se trompe de téléphone juste avant que nous partions au concert et enfin, il m’invite quasiment à aller fouiller dans leurs photos.

« Soit il le fait exprès, soit il est con » me dis-je finalement.

Dans les deux cas, je vais jeter un coup d’œil aux photos, je ne risque rien. Je me cale bien au fond de mon siège afin que mes deux comparses ne voient pas l’écran du téléphone, et je commence à parcourir la galerie des photos. Hormis deux ou trois photos de pêche, toutes les autres sont des photos de Brigitte. Je reconnais instantanément les photos qu’il a prises la veille.

– Brigitte qui danse sur Boys, Boys, Boys.
– Les fesses de Brigitte en maillot juste après.
– Brigitte qui sort tout habillée juste avant qu’ils partent à leur soirée.
– Quelques photos de leur soirée.
– La moue de Brigitte un peu pompette à leur retour, juste après qu’elle m’est tombée dessus.

Je sais pertinemment celle qui va suivre, je vérifie que mes deux amis ne me regardent pas et défile jusqu’à cette photo que j’attendais. Sa petite rondelle, en gros plan, la photo que Philippe a prise hier soir pendant que je les regardais faire l’amour. J’en frémis à l’arrière de la voiture. Quel cul, je me délecte de cette vision quelques instants…

Je passe à la photo suivante. Horreur ! C’est la photo du string de Brigitte dans lequel j’ai répandu mon foutre. La photo est datée de ce matin, à 9 h 13, quelques minutes avant que je me lève. Je me rends alors compte que j’ai été manipulé de bout en bout par les deux et que depuis ce matin, ils jouent avec mes nerfs, j’ai aussi la confirmation que Philippe le faisait bien exprès.

Je ne sais plus quoi penser. Et mes deux acolytes qui chantent à tue-tête devant dans la voiture ne m’aident pas à me concentrer. Finalement, je décide de tenter le tout pour le tout, j’envoie un message à Brigitte :

« Pour ce soir, ma belle, je veux que tu m’attendes comme sur la deuxième photo ».

Je signe et je l’envoie. Je reçois quelques minutes plus tard cette réponse laconique.

« À ce soir, sois discret…

Je comprends à ces mots qu’il s’agit d’une acceptation tacite. En revanche je ne sais pas à qui s’adresse le, « sois discret », parle-t-elle de Philippe ou de Damien ? N’ayant pas plus d’informations sur ce point, je me dis que je vais m’occuper de Damien, on verra plus tard pour Philippe.

Nous arrivons au concert, celui-ci se déroule autour de moi sans que je m’y sente vraiment, bizarre comme sensation. Les images défilent à toute allure sur la scène, mais que le temps me semble long. Je m’évade sur quelques chansons pseudos érotiques, mais non, la musique ne m’arrachera pas à mes pensées. Malgré tout, pour donner le change, je saute et crie, comme tout le monde. Je vais régulièrement chercher à boire au bar pour mes deux comparses, car je veux que Damien dorme bien cette nuit…

Minuit !

Fin du concert, nous reprenons la voiture et rentrons. J’ai promis à Damien et Maurice que je conduirais, ils ont donc pu boire autant qu’ils le voulaient au bar. Pendant une heure de route, ils continuent à brailler les chansons entendues lors du concert et finissent par s’endormir l’un et l’autre.

2 h 30 !

Après avoir déposé Maurice à son domicile, nous arrivons à destination. Je guide Damien comme un zombie jusqu’à sa chambre et, comme la veille il s’écroule sur son lit, je le déshabille et lui enlève ses chaussures. Il ronfle presque aussi fort que la veille. Je quitte la chambre, referme la porte derrière moi et repars arpenter la maison aussi discrètement que la veille.

En remontant le couloir, je m’aperçois que la lumière du salon est allumée, j’entre, Brigitte est là. Debout au milieu de la pièce, elle est de dos à moi et porte un peignoir. Dès que j’entre elle le retire. Elle ne porte plus que son string blanc et les bas blancs que j’ai vus sur la photo, ses seins sont nus. Je m’approche d’elle et commence à embrasser son cou, elle relève ses cheveux pour me faciliter la tâche sans se retourner. J’en profite pour lui caresser la poitrine, toujours derrière elle. Elle rejette sa tête en arrière afin que je l’embrasse, comme le matin, nos lèvres et nos langues se mêlent.

Son bassin ondule sous moi, mes mains parcourent son corps à la découverte de chaque infime partie de sa peau soyeuse. Ses reins se creusent pour sentir ma queue entre ses fesses. J’accompagne chacun de ses mouvements de bassin, nos corps sont à l’unisson. Mes mains glissent sous le tissu de son string, je lui caresse le bas du ventre et finis par descendre rejoindre ses lèvres.

Plonger sa main dans l’entrejambe humide d’une femme pour la première fois. La trouver complètement trempée d’excitation et pouvoir fouiller son intimité, la sentir tressaillir à chacun de ses mouvements et percevoir qu’à ce moment-là tout bascule, que son corps vous est complètement abandonné. Cette sensation-là est unique. Cette femme qui tremble sous vos caresses vous ne l’aviez jamais rencontrée auparavant, vous découvrez sa face cachée…

Le sexe de Brigitte est complètement trempé, il s’ouvre au contact de ma peau, mes doigts glissent en elle sans effort tandis que nous continuons à nous embrasser. Brigitte se retourne et m’embrasse à nouveau profondément, langoureusement, collant sa poitrine contre mon torse. Mes mains parcourent son dos à la recherche de ses fesses. De ses mains, elle défait ma ceinture et commence à déboutonner mon pantalon. Alors qu’elle quitte mes lèvres, pour descendre à la hauteur de ma queue, j’ose enfin lui demander :

« Et Philippe…

« Chut, il dort », me répond-elle, juste avant d’engloutir ma queue qu’elle vient de sortir de son écrin.

Je n’en reviens pas, cette femme que j’avais toujours regardée comme une mère modèle, aimante, fidèle attentionnée est en train de me sucer pendant que son mari et son fils dorment dans les pièces d’à côté. Passé la stupéfaction, je me laisse rattraper par le plaisir qu’elle me procure. Sa langue commence à me laper la verge de bas en haut puis de haut en bas pendant que, d’une main, elle me malaxe les couilles au rythme de ses va-et-vient. Puis elle vient placer sa bouche sur mon gland et ses lèvres s’écartent pour m’envelopper la bite au fur et à mesure qu’elle s’enfonce dans sa bouche. Brigitte sait parfaitement doser sa fellation, elle alterne des mouvements rapides effectués avec ses lèvres sur mon gland et des explorations plus profondes où elle engloutit ma verge jusqu’au fond de sa gorge. Puis, lorsqu’elle sent ma queue se contracter, au bord de l’explosion, elle retire sa bouche et me donne des petits coups de langue sur la bite et les couilles.

Je suis aux anges, et ne souhaite qu’une chose à présent, la laper, lécher ses lèvres toutes lisses et lui titiller l’anus avec ma langue. Je me relève pour la positionner à quatre pattes au-dessus de moi, je descends son string et découvre enfin son sexe épilé et sa petite rondelle que je n’avais pu prendre le temps d’admirer jusque-là. Au contact de mes lèvres sur les siennes, je la sens se raidir, j’entreprends alors de lui laper la chatte profondément. Ma main vient écarter ses lèvres afin que ma langue puisse jouer avec son petit clitoris tout rose, elle frémit à chacun de mes coups de langue. Je me délecte de sa chatte, j’y retrouve l’odeur et le goût du string que j’avais humé hier. Elle dégouline de plaisir.

Après quelques minutes de ce traitement, elle se relève et vient se placer à califourchon sur ma queue, elle s’empale dessus d’un coup au plus profond. J’attrape ses seins alors qu’elle se met à onduler sur moi, elle contracte son sexe autour de ma queue, j’attrape ses fesses si belles, si fermes. Elle se cambre sur moi et atteint rapidement l’orgasme.
Aussitôt après elle se met à quatre pattes sur le sol du salon et me dit :

« Prends-moi comme ça ».

Je la vois cambrer ses reins, j’approche mon sexe de sa chatte et la pénètre profondément. Je le pilonne et viens positionner mon pouce à l’entrée de son cul. Je masse à nouveau sa rondelle que je sens céder sous chacune de mes impulsions. Elle, elle se caresse le clitoris frénétiquement alors que j’accentue mes coups de boutoir, elle passe alternativement des caresses sur sa chatte au malaxage de mes couilles. Ses seins oscillent à chacun de mes assauts. N’y tenant plus, son autre main vient écarter ses fesses, son visage et ses seins à même le sol, elle est parfaitement cambrée, son anus finit par céder sous la pression de mon pouce. C’est le déclencheur, elle jouit à nouveau, d’un cri rauque et grave, plus intensément que la première fois. Son souffle est court son corps entièrement contracté, je ne tiens plus et me retire de sa chatte avant de lui éjaculer sur ses fesses.

Ma jouissance est intense, mon sperme chaud se répand sur ses fesses et son dos en longs jets visqueux, elle continue à se contracter spasmodiquement, autour de mon pouce, toujours figé en elle.

Nous récupérons nos esprits, moi assis le long du canapé, elle à plat ventre à même le sol.

« Toi, tu m’excites comme une folle », me dit-elle.

« Je peux vous renvoyer le compliment », répondis-je en reprenant mon souffle.

« Je pense qu’on peut se tutoyer maintenant, au moins dans l’intimité », me dit-elle.

Puis elle éclate de rire, elle est rayonnante.

« Au fait, tu as toujours mon string ? »

« Oui, bien sûr »
« Prends-le pour essuyer ton sperme ».

Je m’exécute, et son string noir est à nouveau souillé de ma semence, elle vient se lover contre moi, le long du canapé.

« Donne le moi, je le porterai demain », me dit-elle en me regardant droit dans les yeux. « Maintenant, il est temps d’aller dormir ».

« Tu veux dire que tu le porteras sans l’avoir lavé ? »

« Ben oui, je veux t’avoir avec moi, toute la journée », me dit-elle en s’approchant pour m’embrasser.

« Et Philippe ? »

« Il n’est plus temps de poser de questions, bonne nuit ».

Comme la veille avec son mari, je n’ai pas de réponse.

Elle se relève et commence à ramasser ses affaires.
Je me demande bien où cette femme et cette histoire vont bien pouvoir m’amener.

Soudain, dans le couloir, un rai de lumière apparaît, la porte du salon s’ouvre…

À suivre…

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