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Histoire de Sexe Inceste Vieux - Jeunes

Histoire sexe La mère de Damien Chapitre 5

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Arrivés sur le parking d’un restaurant de Saint Louis, Damien et moi nous nous extirpons de la voiture et faisons quelques étirements pour nous détendre sous les yeux amusés de Philippe et de Brigitte. Nous entrons dans le restaurant et prenons une table, je m’installe sur la banquette avec Philippe tandis que Brigitte et Damien se placent sur la banquette opposée. Brigitte est en face de moi, elle me fixe de ses grands yeux verts en arborant un léger sourire en coin. Elle pose ses bras sur la table, accentuant la profondeur de son décolleté, et scrute la salle à la recherche du serveur qui nous a placés et qui devrait revenir incessamment avec les cartes.
Je ne perds pas une miette de chacun de ses mouvements tant elle dégage de sensualité.

Philippe et son fils entament une conversation passionnée sur la voile à laquelle je ne comprends rien. Pendant ce temps, Brigitte et moi plongeons dans nos cartes respectives afin de choisir nos plats.
Au bout de quelques instants, le serveur arrive pour prendre notre commande. Brigitte lui décroche son merveilleux sourire en lui annonçant son choix. Pendant que Philippe et Damien passent leur commande à leur tour, je sens le pied de Brigitte qui commence à m’effleurer la jambe. Par réflexe, je la retire, mais le pied de Brigitte la retrouve rapidement et commence à me caresser doucement les mollets.

« Et pour Monsieur, m’interpelle le serveur ? »

« Euh, excusez-moi, j’ai oublié ce que je voulais prendre ».

Brigitte me regarde amusée, son pied remonte lentement le long de ma jambe. Je m’empresse de reprendre la carte et donne le nom du premier plat qui me tombe sous les yeux.

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« Je vais prendre un poulet « Kentucky », s’il vous plaît ».

« Très bien, ce sera tout », nous demande, le serveur ?

« Oui merci », répond Philippe.

Le serveur s’éloigne, Philippe et Damien reprennent leur conversation. Sous la table, le pied de Brigitte continue ses explorations. Il glisse maintenant le long de ma cuisse et vient se poser sur mon entrejambe. Je joue machinalement avec la salière en scrutant la salle afin de me donner une contenance.

Je n’avais jamais réellement compris ce que revêtait l’expression « faire du pied » jusque-là, mais Brigitte, en professeure sensuelle accomplie, s’applique à me montrer par l’exemple les facettes les plus délicieuses de cette pratique. Son pied niché entre mes cuisses effectue des va-et-vient sur mon sexe qui vient de retrouver toute sa vigueur.

Brigitte a dû le sentir, car elle accentue la pression de ses caresses sur ma braguette. Je hasarde un coup d’œil vers mon entrejambe. Son pied nu, si fin, aux ongles soigneusement vernis, révèle toute la sensualité de cette femme. L’image qui me vient à ce moment précis est celle du célèbre tour de magie de « la femme coupée en deux ». Il y a en effet deux Brigitte face à moi : au-dessus de la table, la femme sage, tranquille, bonne épouse, mère de famille accomplie ; au-dessous, la femme sensuelle, torride, aventureuse qui embrase les hommes qui passent à sa portée, en l’occurrence à portée de pied.

Je glisse une main sous la table et lui caresse le pied en suivant ses ondulations. Ses joues rosissent peu à peu, Philippe a remarqué l’émoi de sa femme et le mien, il se tourne vers moi et aperçoit l’objet de notre excitation mutuelle. Il reste un instant les yeux fixés sur le pied de sa femme puis, afin de ne pas éveiller les soupçons de son fils, il reprend la conversation sur la voile. Après quelques instants, sa main quitte la table et vient rejoindre la mienne sur le pied de sa femme. Nous lui caressons tous les deux le pied et la cheville en suivant ses ondulations sur mon sexe. Brigitte est aux anges, elle se tortille sur sa chaise et se pince les lèvres. Philippe et moi l’observons par coups d’œil furtifs, guettant toutes ses réactions de plaisir et d’abandon.

Malheureusement, après quelques minutes, Brigitte retire son pied, le risque devenant trop grand. Ses yeux brillent, elle nous jette un regard de feu à Philippe et à moi, presque comme un reproche, et se lève.

« Je vais aux toilettes », nous lança-t-elle en quittant la table.

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Philippe et moi essayons de reprendre une attitude normale, le serveur arrive avec nos plats et les dépose sur la table, Brigitte est de retour, elle reprend sa place. Nous commençons à manger. Philippe lève sa chope de bière en nous invitant à trinquer :
« Trinquons aux aventuriers ! »

Nous répondons en chœur en entrechoquant nos chopes :

« Aux aventuriers…

Damien bombe le torse, il est persuadé que c’est lui et à son stage de voile que nous venons de porter un toast. Philippe, Brigitte et moi le lui laissons croire en nous échangeant un sourire entendu. Décidément le cocu de l’histoire c’est bien lui.

Les conversations à table sont banales ; comment ne pourraient-elles ne pas l’être après ce moment ?; et Brigitte y prend part sans sembler s’intéresser à ma présence. Damien nous parle de ses projets de vacances après son stage de voile, ce à quoi ses parents répondent qu’il pourrait essayer de trouver un job afin de se faire un peu d’argent de poche. Ils me prennent en exemple afin d’étayer leur propos ce qui me gêne énormément.

À la fin du repas, je sens le pied de Brigitte qui remonte le long de ma jambe et de ma cuisse. Ce n’est pas vrai, elle ne va pas remettre ça, elle a le feu au cul…

Mais cette fois pas de caresses. Lorsque je baisse les yeux sur son pied, ses orteils sont recroquevillés sur le fameux string noir, celui avec lequel j’ai nettoyé mon sperme sur son dos la veille et qu’elle m’avait promis de porter, sans le nettoyer, aujourd’hui.

Je m’en empare, il est encore poisseux, ce qui me confirme deux choses. D’une part, elle le portait lors de notre séance de massage de pied en début de repas, et d’autre part ceci lui a plu, intensément. Je conclus aussi qu’elle est allée aux toilettes pour retirer son string et qu’elle est à présent fesses nues sous sa robe.
Je le glisse dans ma poche. Je la regarde, avidement, en caressant machinalement le fin tissu noir et ses sécrétions dans ma poche.
Pendant ce temps, elle a continué la conversation avec son mari et son fils comme si de rien n’était, en m’ignorant superbement.
– La femme coupée en deux ! – réaffirmant une fois de plus la capacité intellectuelle des femmes à pouvoir gérer plusieurs activités simultanément.

Elle me regarde enfin lorsque je porte mes doigts à mes narines et que je me délecte de son odeur, de nos odeurs mélangées, en plongeant mes yeux dans les siens. Elle me répond par son sourire, radieux. Tout en la regardant, je vais même jusqu’à glisser un doigt dans ma bouche afin de retrouver le goût de sa chatte dont je me suis délecté la nuit passée. Elle me regarde en minaudant, faisant mine d’être choquée par ce que je viens de faire.

« Ça vous a plu ? » nous demande, le serveur en nous apportant l’addition.

« C’était parfait, surtout le dessert » lui répondis-je, même si ce compliment s’adresse plutôt à Brigitte.

Brigitte bat des cils dans ma direction, feignant à nouveau d’être gênée. Nous nous levons de table, Philippe paie l’addition pour tout le monde, malgré mes protestations, et nous repartons vers le parking.

Arrivé à hauteur de la voiture, Philippe demande :

« Damien, tu veux bien conduire, s’il te plaît, je sens que je vais avoir besoin de faire une petite sieste ».

Damien, trop heureux de pouvoir conduire la berline surpuissante de son père accepte instantanément. Philippe lui remet les clés et lui dit :

« Sois quand même prudent, c’est autre chose à piloter que ta vieille guimbarde, et je te signale que dans un kilomètre nous entrons en Suisse alors préparer vos passeports.

« Ne t’inquiète pas papa »

Cela, c’est passé sans que moi ni Brigitte n’ait pu dire quoi que ce soit. Damien est déjà installé au volant. Philippe se retourne vers Brigitte.

« Moi, je fais le copilote, toi ça ira à l’arrière ? » lui lance-t-il avec un sourire qui en dit long sur ses arrière-pensées.

« Ça devrait aller » lui répond Brigitte

Puis s’approchant de lui pour l’embrasser, elle lui glisse à l’oreille :

« D’autant que je serai bien accompagnée ».

Ils me regardent tous les deux en s’embrassant. Brigitte lâche les lèvres de son homme et passe devant moi pour aller s’installer sur la place du milieu. Elle se penche ostensiblement afin de nous montrer ses fesses dénudées en rentrant dans la voiture, puis s’assied. Philippe un peu inquiet car il vient de découvrir que sa femme avait oublié sa culotte quelque part, me regarde la suivre et m’asseoir à côté d’elle.

Bien que Brigitte soit plus fine que son fils, l’exiguïté de la banquette, en partie obstruée par le matériel de voile de Damien, nous colle l’un à l’autre. Ma peau s’électrise au contact de la sienne, sa petite robe, légèrement relevée par la position qu’elle occupe, dévoile la quasi-totalité de ses jambes nues.

Damien démarre, nous passons la frontière traversons une partie de la ville de Bâle et nous nous engageons sur l’autoroute direction le sud. Les premiers kilomètres se passèrent sans que ni moi ni elle n’esquissassent le moindre geste l’un envers l’autre. Philippe relance le sujet de conversation préféré de son fils : la voile. Il le fait évidemment dans le but unique de monopoliser son attention afin que Brigitte et moi puissions nous livrer à quelques frivolités dans leurs dos. Il se retourne de temps en temps afin de suivre l’évolution de la situation.

Une fois de plus, c’est Brigitte qui prend l’initiative, elle ouvre imperceptiblement ses cuisses en augmentant la pression que sa jambe exerce sur la mienne. Je regarde son jeu de jambes en ayant du mal à avaler ma salive et me décide finalement à glisser une main entre nos deux jambes afin de mieux ressentir le contact de sa peau. De temps en temps, prétextant un point d’intérêt sur le bord de la route, elle tourne entièrement son buste de mon côté pour regarder à la fenêtre. Sa poitrine se colle alors à moi à travers de sa robe, et je peux, dans ces moments-là, avoir une vue imprenable sur son décolleté qu’elle ne manque pas de me laisser admirer pendant de longues secondes.

Après quelques-uns de ses mouvements innocents, ma main s’est immiscée sous ses fesses que j’entreprends de malaxer au travers de sa robe. Elle ondule doucement. Lassée de ces caresses par tissu interposé, elle finit par m’aider un peu.
« Oh regardez, le château sur la colline ! »

« Où ça ? Demandent en chœur Philippe et Damien…

Brigitte s’est complètement retournée sur la droite pour leur désigner, elle profite de ce moment d’inattention pour remonter sa robe au-dessus de ses fesses avec son autre main ? Sitôt faite, elle se rassoit.

Je n’ai pas vu ce château sur la colline, j’ai juste eu le temps de voir les magnifiques fesses blanches de Brigitte se reposer sur ma main qui attendait leur retour. Mes doigts s’immiscent en elle, fouillant ses chairs intimes. Son sexe est trempé, je fourrage la chaleur moite de sa chatte cependant qu’un de mes doigts titille son clitoris, puis mes doigts lubrifiés viennent chatouiller son anus. Elle se cambre afin de m’en faciliter l’accès, accentuant un peu plus le bomber de sa poitrine.

Son bassin ondule doucement en mouvements discrets, cherchant à se faire pénétrer plus profondément par mes doigts. Les pointes de ses tétons sont dressées, ses yeux clos sous ses lunettes de soleil trahissent son extase. Philippe se retourne régulièrement, il sait que sa robe est relevée, il sait que mes doigts sont en elle, il sait qu’elle est trempée, il sait qu’elle prend du plaisir en ce moment même. Il attrape la main de sa femme et la lui tient pendant qu’elle continue ses va-et-vient sur mes doigts… Elle se contracte de plaisir, de plus en plus fréquemment, ses chairs serrent mes doigts, elle est au bord de la jouissance.

Damien, toujours dans l’ignorance de se qui se passe dans son dos aperçoit et nous annonce à la vue du panneau :
– France à 1 km – Nous allons quitter la Suisse et nous allons quitter l’autoroute pour prendre la direction d’Évian.
Ce qui veut dire que je dois interrompre mes mouvements dans l’intimité de Brigitte, retiré mes doigts de sa chatte tout en gardant ma main sous son cul, tandis que Brigitte baissa légèrement sa robe afin de cacher son sexe nu à la vue des douaniers.

Le passage de la frontière se passa sans problème, et le reste du trajet se solda par quelques caresses quand Damien nous déclara :

« Nous voilà arrivés », en mettant sont clignotant pour bifurquer vers une petite cour de ferme.

Je retire instantanément ma main de sous son cul, elle est trempée, Philippe regarde mes doigts luisants, ébahi. Brigitte réajuste ses vêtements le plus discrètement possible, se recoiffe et s’étire quand Damien coupe le moteur. Je plonge ma main dans ma poche et essuie mes doigts sur le string noir : c’est une véritable éponge, ce string !

Le directeur du stage de voile nous accueille. Après les formalités d’usage, il nous guide jusqu’à la chambre de Damien. Nous sommes en file indienne, Brigitte et moi en queue de peloton, dans les pas du directeur. Dans l’escalier qui mène à la chambre, Brigitte passe devant moi, après s’être assurée que personne ne la voyait, elle relève sa robe et me dévoile ses fesses. Ses lèvres sont encore luisantes de plaisir.

Nous embrassons tous Damien et lui souhaitons un bon séjour. Puis nous nous dirigeons vers la voiture.

J’attendais ce moment avec impatience, peut-être que Brigitte et moi pourrons enfin avoir une discussion, car nos échanges « verbaux » ont été plus que limités pour le moment.

Philippe me propose de prendre la place du passager, Brigitte va s’asseoir à l’arrière de la voiture. Après quelques conversations banales et un peu gênées, Philippe me lance :

« Tu es sûr que tu ne voudrais pas passer à l’arrière ? J’ai l’impression que Brigitte s’ennuie.

« Oh oui, viens derrière, reprend Brigitte, ces préliminaires m’ont sacrément émoustillée, il est temps de passer aux choses sérieuses ».

« Allez, va vite la baiser, elle n’attend que ça ! »

Je ne me fais pas prier et passe instantanément sur la banquette arrière. La conversation tant attendue attendra encore un peu, j’arriverais bien à me passer des explications que je souhaitais sur leur attitude à tous les deux pendant encore quelques heures. La banquette sans le matériel de Damien a retrouvé toute sa largeur. Brigitte me tombe dans les bras. Nous nous embrassons à pleine bouche, nos langues se fouillent mutuellement. Dans le rétroviseur, Philippe nous observe du coin de l’œil.

Je pars sous sa robe à la recherche de ses fesses, si douces et fermes à la fois, elles sont encore poisseuses de nos caresses de tout à l’heure. Brigitte quitte ma bouche et s’attaque à ma braguette, elle défait ma ceinture et fait glisser mon short sur mes chevilles. Mes pensées s’égarent, la peur d’être vu, je comprends que les glaces arrières de la berline sont toutes teintées. Rassuré, j’abaisse les bretelles de sa robe et dégrafe son soutien-gorge, sa robe est maintenant roulée autour de sa taille à la manière d’une ceinture. Sa chatte rasée me semble encore plus belle que la nuit passée. Sa vulve est d’un rose vif, encore marquée de nos moments coquins de la journée, ses lèvres brillent. Mes mains glissent à nouveau sous ses fesses pendant que la belle entame une fellation profonde sur ma queue.

Comme la veille elle fait parler tout son talent dans ses moments, alternant des petits coups de langue sur le nœud de ma verge avec des explorations profondes ou je peux sentir le fond de sa gorge qui m’avale entièrement. Mes doigts s’insinuent entre ses fesses fourragent sa chatte avec vigueur, écartant ses grandes lèvres, dilatant ses chairs. Brigitte accentue les mouvements de sa fellation, elle sent ma verge gonfler dans sa bouche, signe d’une éjaculation imminente, elle quitte alors ma queue et vient m’embrasser à pleine bouche. C’est à mon tour de la goûter, je m’allonge comme je peux sur la banquette afin de poser mes lèvres sur sa vulve. Je l’embrasse d’abord le long des cuisses, en remontant doucement vers son sexe sa peau est si douce, son antre si accueillant, son odeur si attirante…
Je finis par poser mes lèvres sur sa chatte, en écartant ses lèvres avec deux de mes doigts, de mon autre main, je titille ses tétons que je sens durcir petit à petit.

Je la lèche maintenant avidement, ma langue parcourt sa vulve de bas en haut. Quand j’atteins son clitoris, gonflé par le désir, je m’arrête pour y déposer un baiser et le sucer. Tout son corps se contracte et se cambre… Puis ma langue redescend vers ses lèvres dans lesquelles je glisse facilement tant elle est trempée.

Mes doigts continuent de lui titiller le clitoris.

Philippe m’interpelle :

« Laisse-moi goûter ».

« Je lui tends mes doigts qu’il entreprend de lécher avidement.

À ce moment, Brigitte se relève et me fait asseoir sur le siège, elle vient s’asseoir par-dessus moi, offrant la vision de sa chatte écartée au rétroviseur de Philippe, et elle s’empale sur mon pieu. Sa douce chaleur m’enveloppe, elle tend son cou en arrière pour que nos langues se mêlent. Philippe baisse le rétroviseur pour porter sa vision sur la chatte de sa femme complètement impudique dans cette position. Brigitte ondule comme une tigresse sur moi. J’attrape ses seins et les malaxe en lui pinçant les tétons, j’avais déjà observé la veille qu’elle se contractait de plaisir à ce contact Nous restons dans cette position, qui me permet de pilonner Brigitte à loisir. Pour accompagner mes mouvements, son bassin ondule d’arrière en avant afin de sentir ma queue au plus profond de son vagin. Elle s’avance soudain vers le siège avant pour embrasser son mari, je vois la langue de Philippe fouiller la bouche de Brigitte. Je profite de ce qu’elle soit dans cette position pour lui masser l’anus, il est de plus en plus détendu à chacun de mes coups de reins.

Soudain il cède, mon pouce s’insinue en elle profondément. Elle pousse un cri rauque de plaisir et explose. Elle se contracte et se cabre, ses jambes se mettent à flageller sur moi. Je vois sa main qui écrase celle de son mari, pendant que les ongles de son autre main me griffent les fesses.

N’y tenant plus, je la fais relever car je vais exploser.

Elle vient positionner sa bouche sur mon sexe et reprend sa fellation ; méticuleusement, ses grands yeux verts plongés dans les miens, elle attend ma jouissance. À nouveau ma verge se gonfle en elle, cette fois elle ne s’arrête pas, j’explose au fond de sa gorge, et m’avachis au fond de la banquette.

Elle se relève et entreprend d’avaler mon sperme, après quelques déglutitions, elle peut à nouveau parler. Elle réajuste ses vêtements, ses cheveux, enjambe la banquette avant et vient s’asseoir à côté de son mari.

« Je crois que nous allons bien nous entendre avec notre invité, n’est-ce pas chéri ? » lança-t-elle à Philippe.

On dirait que lui a aussi apprécié, dit-il en jetant un coup d’œil dans le rétroviseur.

Je pense que oui, lui répond-elle en embrassant son mari sur la bouche.

Le fait qu’elle vienne d’avaler mon sperme ne semble pas le déranger outre mesure.

À suivre…

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