Histoire de Sexe Inceste Vieux - Jeunes

Histoire sexe La mère de Damien Chapitre 6

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Résumé des chapitres précédents :
Brigitte et Philippe, les parents de Damien, m’ont proposé de m’héberger pour l’été pendant qu’il est à son stage de voile. Alors que nous l’y conduisons, Brigitte s’est amusée à multiplier les provocations à mon égard. Nous nous sommes finalement unis, sous le regard complice de son mari sur le chemin du retour.

Une famille formidable !

Philippe et Brigitte continuent de parler à l’avant de la voiture. Je me sens bien avec eux. Une fois passer la frontière franco Suisse elle trousse au maximum sa robe, de temps en temps je vois Philippe caresser ses cuisses en remontant vers son entrejambe, elle y prenait plaisir, allant même à se masturber lentement.
Le bien-être post-coït que je ressens à ces moments-là conjugué à la fatigue des deux courtes nuits que je viens de passer a raison de moi. Je finis par m’endormir sur la banquette arrière, bercé par les voix de Philippe et les gémissements de Brigitte ; j’ai l’impression de sombrer dans un océan cotonneux.
Avant de clore définitivement les yeux, j’aperçois le sourire en coin de Brigitte qui me couve de son regard bienveillant.

C’est Philippe qui me réveille finalement. La voiture est arrêtée ; nous sommes arrivées dans la cour de la maison. La nuit commence à tomber.

« Tu veux manger quelque chose ? Ou tu veux aller te coucher tout de suite ? »

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Je baille à m’en décrocher la mâchoire, assis sur le bord de la banquette, les jambes pendantes le long de la voiture ; je reste quelques secondes les yeux fermés, essayant de reprendre mes esprits. Je finis par poser mes pieds par terre et avance au ralenti sans avoir encore complètement ouvert les yeux.

« Il faut que je prépare mes affaires pour demain matin », dis-je dans un demi-sommeil, « oui je veux bien manger ».

Car oui, demain matin je commence ma saison de vendeur de beignets et autres ; il s’agit d’avoir fière allure que maintenant. C’est mon premier jour, et je ne souhaite pas que mon nouveau patron me mette dehors dès que j’aurais franchi le pas de la porte.

« Va prendre une douche » me lance Philippe, « ça te fera du bien. Nous pendant ce temps, on va préparer une petite salade de tomates ».

« Bonne idée, vous avez raison, ça va me réveiller…

« Tu sais, on peut se tutoyer maintenant, si tu envisages de baiser Brigitte à nouveau : il va falloir te faire à l’idée que nous partageons une certaine intimité ».

Me voilà parfaitement réveillé ! Et rouge comme une tomate.

« Allez, file à la douche, on t’attend pour manger ».

Je rentre dans la maison alors que Philippe finit de ranger quelques affaires dehors.
En passant dans la cuisine pour aller chercher mes affaires dans la chambre, j’aperçois Brigitte qui est déjà à la tâche.

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« Bien réveillé ? » me demanda-t-elle le visage enjoué.

« Oui merci…

« Tu étais fatigué, dis-moi ; tu as bien dormi deux bonnes heures, comme un bébé. On se demande ce qui peut te fatiguer comme ça », me dit-elle en s’approchant de moi avec son plus beau sourire.

Arrivée à ma hauteur, elle me dépose un baiser sur la bouche et m’enlace. Je lui rends la politesse, et nous nous embrassons fougueusement pendant que mes mains se posent sur ses cuisses et remontent lentement sa jupe jusqu’à atteindre ses fesses. Je constate avec joie qu’elle n’a toujours pas remis sa culotte.

Ma bouche quitte la sienne et je descends dans son décolleté en embrassant chaque centimètre carré de sa peau soyeuse. Mes mains continuent leurs explorations sur ses fesses, et je m’apprête à atteindre la lisière de ses chairs intimes lorsque nous entendons Philippe qui entre dans la maison.
Brigitte me relève le menton et me fait signe d’aller prendre ma douche. Je quitte son corps à regret ; elle réajuste ses vêtements, et je suis tout juste sorti de la cuisine lorsque Philippe entre et demande :

« Il est sous la douche ? »

« Je pense que oui », lui répond Brigitte le plus naturellement du monde.

« Il avait l’air vraiment fatigué », reprend Philippe.

« Ah, tu crois ? Tu sais on récupère vite à cet âge-là »

Je cours à pas feutré récupérer mes vêtements dans la chambre et reviens aussi vite que possible dans la salle de bains. La douche chaude me fait du bien. Après quelques minutes, j’ai retrouvé toutes mes forces. Je m’interroge sur leur attitude à tous les deux. Pourquoi Brigitte m’a-t-elle demandé de partir tout à l’heure en entendant Philippe arriver ? Il sait bien la teneur de nos jeux sexuels, j’ai même eu sa bénédiction un instant auparavant. Bizarre…
J’en suis à ce stade de mes réflexions lorsque Philippe toque à la porte :

« Tu viens manger ? C’est prêt ».

Je suis déçu : j’avais un instant espéré que ce soit Brigitte qui vienne me chercher.

« J’arrive ».

Je me sèche aussi vite que possible et sors de la salle de bains avec la serviette nouée autour de la taille. J’entends siffler dès que j’ai franchi le seuil de la porte : c’est Brigitte qui sort de leur chambre à coucher.

«Quel homme ! »

« Pff, tu en as déjà vu bien plus… Lui dis-je en m’approchant d’elle et en dénouant ma serviette.

« Arrête-toi » me chuchote-t-elle. « Philippe est juste à côté ».

« Ben, je sais, mais il me semble qu’il est au courant ».

« Non, il pense être l’investigateur de tout cela, et il faut le lui laisser croire ».

« Comment ça ? »

« Depuis le début, il croit que je me suis donnée à toi uniquement pour assouvir son fantasme de candaulisme ».

« Et c’est le cas ? » lui ai-je demandé inquiet.

« J’avoue que c’est un peu vrai pour le début où il a fallu me pousser, mais ce petit jeu me plaît énormément. Depuis l’autre soir où je me suis allongée sur toi après votre fête, j’adore être au contact de ta peau et sentir toute l’excitation que je suscite en toi ».

« Mais… Et depuis ? »

« Eh bien, il ne croyait pas que j’irais si loin ; en fait, il n’était pas au courant que je t’avais demandé de me rejoindre au salon la nuit dernière, il en a même été surpris ».

« Moi aussi et agréablement ».

« Il voulait simplement que je m’exhibe un peu avec les photos que je t’ai envoyées par SMS ; puis je me suis prise au jeu, et j’ai adoré ».

« Et cet après-midi, dans la voiture ? »

« Là c’était lui : après mon petit numéro avec le string au resto, il n’a pas résisté à l’envie de me voir avec toi ».

« Et apparemment, il a prévu que nous continuions de petit jeu, d’après ce qu’il m’a dit ».

« Je sais, mais il doit absolument penser que c’est lui qui décide ».

« Pourquoi ? »

« Cela ajoute du piment à la situation ; sinon je crains qu’il ne décide d’arrêter complètement ».

« Bah oui, mais moi je suis quoi là-dedans ? Je suis sa marionnette ? »

« Il faut lui laisser croire ; et ne t’inquiète pas, nous aurons des moments privilégiés dont il ne saura rien ».

« Donc si je comprends bien, ton mari est un candauliste jaloux ! C’est antinomique.

« Non, il ne veut simplement pas que la situation lui échappe…

Bon, on en reparlera plus tard. Va vite t’habiller et rejoins-nous à la cuisine.

Voilà qui est plus clair. Après ces quelques confidences, je comprends enfin le jeu auquel je suis mêlé. Philippe souhaite voie sa femme prendre du plaisir avec d’autres hommes sans que la situation dérape. Brigitte, de son côté, souhaite simplement passer du bon temps,que cela soit avec ou sans l’accord de son mari. Il semblerait même qu’elle prenne un malin plaisir à jouer avec les limites du jeu dans lequel Philippe l’a poussée.

Et moi, dans tout ça ? Je suis l’enjeu, rôle que j’endosse pour mon plus grand plaisir car Brigitte a des atouts qui ne me laissent pas indifférent.

Quelques minutes plus tard, je me présente sur la terrasse où ils m’attendent en dégustant un apéro. Philippe me propose un whisky que j’accepte volontiers car je sais que c’est un connaisseur ; son fils et moi avons d’ailleurs eu l’occasion de déguster quelques-unes de ses meilleures bouteilles en fouillant dans sa cave par le passé.

Ils m’interrogent sur mon futur emploi :

« En quoi consistera ton job ? »

« D’après ce que j’ai compris, je dois parcourir la plage de long en large avec un panier rempli de beignets et de bonbons en hurlant pour attirer le chaland ».

Brigitte est assise face à moi ; sa robe légère dévoile largement le haut de ses jambes.

« Houla, ça a l’air physique, tu vas finir sur les rotules ! Et tu commences à quelle heure ? »

« À 9 heures ».

Elle s’avance pour attraper son mojito sur la table basse et se rassoit au fond de son siège. Ces quelques mouvements ont encore fait remonter sa robe sur le haut de ses cuisses de quelques centimètres, dévoilant ainsi l’orée de son entrejambe.

« Mais il n’y aura personne sur la plage à cette heure-là ! » réplique-t-elle.

Hypnotisé par ses jambes, j’ai vraiment du mal à suivre le fil de cette conversation.

« Oui, je sais, mais je pense que demain il veut m’expliquer le boulot ; après ce sera probablement un peu plus tard. Malgré tout, il faut commencer le matin pour garnir les beignets qui sont livrés nature ».

« Ah, OK. Par contre, cela te laissera peu de temps pour profiter de la plage ».

Une pensée me traverse l’esprit, Brigitte a-t-elle remis sa culotte depuis cet après-midi ?

« De toute façon, la branlette je n’aime pas ça ! »

Est-ce que je viens bien de dire ça ?

« Qu’est-ce que tu as dit ? » me demandent-ils en chœur, en éclatant de rire.

« Euh, non, je veux dire ; la bronzette, je n’aime pas ça ».

« Ce lapsus est en tout cas révélateur de ce qui occupe tes pensées ! » me lance Philippe.

« Mais non, c’est simplement ma langue qui a fourché ».

Le rouge commence à me monter aux joues.

« Mais oui bien sûr… Reprends Brigitte, « tes yeux aussi n’arrêtent pas de « fourcher » depuis tout à l’heure ».

Pour la discrétion, je repasserai !

« Brigitte, il faut dire que tu ne fais rien pour le laisser de bois, ce pauvre garçon. Bon, allez, passons à table : il faut que tu te couches de bonne heure pour demain : moi aussi d’ailleurs. Il n’y a que toi, Brigitte, qui n’a pas à te lever demain matin ».

Nous prenons le repas sur la terrasse. Philippe semble décidé à être sage ce soir. Le repas se passe tranquillement autour de conversations banales.

Brigitte multiplie ses regards sur moi et accentue la sensualité de chacun de ses gestes pour me faire profiter de ses charmes. Je la dévore des yeux toute la soirée. Elle est tellement belle… J’aimerais pouvoir me jeter sur elle.

Pendant que nous débarrassons la table je la retrouve seule, quelques instants, dans la cuisine. J’en profite pour l’embrasser furtivement et lui caresser le galbe des fesses au travers du tissu léger de sa robe. Je sens sa peau frémir à ce contact, mais nous en resterons là pour ce soir. Philippe me souhaite bonne nuit et entraîne sa femme à sa suite vers leur chambre à coucher.

Quelques minutes plus tard et après avoir fini de préparer mes affaires pour le lendemain matin, je pars à mon tour vers ma chambre. En arrivant dans le couloir, je constate que leur porte est à nouveau entrebâillée.
Philippe souhaite donc que je joue les voyeurs, et uniquement cela, ce soir. Je n’ai aucune envie de ne tenir que les rôles qu’il m’assigne et suis déterminé à passer devant la chambre sans détourner le regard.

J’ai évidemment présumé de mes forces, et le regard que je jette furtivement me scotche littéralement sur place.

Brigitte est à califourchon sur son homme ; elle a sa queue entre ses mains et le suce avidement ? Ses grands yeux verts scrutent l’entrebâillement de la porte : elle m’attendait, et elle s’est délibérément mise dans cette position pour m’offrir ce spectacle. Dès qu’elle m’aperçoit, elle sort le chibre de son homme de sa bouche et lui dépose des baisers sur le gland tout en me gratifiant de son plus beau sourire. Toujours sans me quitter du regard, elle reprend la queue de son homme au plus profond de sa gorge. Ce qu’elle fait sans mal d’ailleurs car la bite de Philippe, sans être ridicule, ne fait pas partie des gros modèles. Je vois les jambes de Philippe qui pendent le long du lit se tendre à chacun de ses va-et-vient.

Après quelques minutes de cette sublime fellation qui me confirme bien que c’est une experte en la matière, elle s’avance et, accroupie, présente l’entrée de sa chatte toute lisse au gland de son mari. Elle ne me quitte toujours pas des yeux. Philippe, la tête en arrière dans le lit, ne m’a pas remarqué. Il commence de doux mouvements de bassin qui accompagnent ceux de sa femme.
Brigitte bascule le tronc en arrière et ses ondulations se font de plus en plus marquer. Sa chatte glisse d’avant en arrière sur la queue de son mari. D’un coup les jambes de Philippe se raidissent et, dans une ultime contraction, son pieu s’enfonce au plus profond du sexe de sa femme, répandant son foutre en elle. Ses yeux toujours rivés sur moi, elle reçoit la semence de son mari en me souriant. Le spectacle est troublant…

Après avoir joui, la queue de Philippe décroît à vue d’œil, et en quelques secondes, alors qu’il est encore en train de reprendre son souffle, c’est une petite verge atrophiée qui sort de la chatte béante de sa femme. Son sperme coule le long de ses grandes lèvres, et je vois le liquide blanchâtre finir sa course dans le sillon de ses fesses. Elle garde délibérément ses jambes écartées afin de me faire profiter au mieux du spectacle. Je n’en perds pas une goutte.
Elle se retourne pour embrasser Philippe et lui dit :

« Je crois qu’il faut que j’aille me nettoyer ».

Lui encore à bout de souffle, et visiblement toujours en extase :

« OK, à tout de suite ».

Dès que Brigitte m’a rejoint dans le couloir, elle plaque sa main sur l’énorme bosse qui déforme maintenant mon caleçon et elle m’entraîne dans la salle de bains.

« Eh bien, on dirait que ça t’a plu, petit cochon », me chuchote-t-elle.

« Difficile de résister à un tel spectacle…

Elle me caresse la queue au travers du tissu de mon caleçon, puis y plonge une main.

« Arrête, tu es folle ! »

« Pfff, ne t’inquiète pas ; je suis sûre qu’il dort déjà : c’est toujours comme ça ».

Je reste interdit devant son assurance.

« Non, mais même, c’est dégoûtant, il vient juste de te remplir de son foutre ».

« Et alors ? Te voilà bien prude d’un seul coup ».

Elle pose ses lèvres sur les miennes et me roule un patin d’anthologie, puis elle reprend :

« Mais de toute façon, qui t’a parlé d’emprunter les mêmes voies que Philippe ? Tu sais les femmes sont pleines de ressources…

Elle s’accroupit devant moi et me lèche la queue de bas en haut en donnant de petits coups de langue sur mon gland à chaque passage, ce qui a pour effet de me raidir un peu plus à chaque fois. Déjà terriblement excité par la scène à laquelle je viens d’assister, je suis au bord de l’explosion. Elle le sent et me sourit.

« J’ai l’impression que tu ne vas pas tenir longtemps ; c’est moi qui t’ai excité comme ça ? » Minaude-t-elle.

Elle commence à me caresser les couilles et dépose quelques baisers tout le long de ma bite avant de l’enfourner entièrement entre ses lèvres. Tout en me caressant les fesses, ses mouvements se font de plus en plus amples, au point que mon gland effleure le fond de sa gorge à chaque va-et-vient. N’y tenant plus, je lui attrape la tête et me colle à son visage. Mon gland s’immisce encore plus profond en elle, dans des bruits de succion indécents. Je lui baise littéralement la bouche. Après quelques instants, elle sent ma verge gonfler et, en experte, sait que cela signifie que ma jouissance est proche.
Elle écarte son visage au dernier moment ; la première giclée, blanche et épaisse, se répand entre ses seins. Elle reprend aussitôt mon gland entre ses lèvres et récupère tout mon jus dans sa bouche, puis me lèche le nœud afin de collecter les dernières gouttes de ma semence. Chaque coup de sa langue me fait vibrer de tout mon être.

«Mmmmm, délicieux ! » me fait-elle savoir.

La lueur dans ses yeux me fait comprendre à quel point elle a aimé me faire jouir en cachette de son mari. Soudain il se rappelle à notre bon souvenir :

« Chérie, ça va ? »

« Oui, oui, j’arrive ».

À l’aide d’une serviette, elle nettoie les spermes répandus sur son corps et part le rejoindre en me déposant un dernier baiser sur la bouche. Je n’ose plus bouger pour ne faire aucun bruit.

« Ben, dit donc, tu en as mis un temps ! »

« C’est de ta faute : tu m’en as mis partout.

« Comprends-moi ! Tu m’as tellement excité avec ce jeune garçon aujourd’hui ».

« C’est vrai qu’il fait du bien à notre libido ».

Je les entends s’embrasser à nouveau. J’en profite pour détaler dans ma chambre. Je me couche et trouve le sommeil rapidement.

À suivre…

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