Le lendemain matin, lorsque je me réveille, Philippe a déjà fini son petit-déjeuner et il s’apprête à partir au boulot.
« Salut, bien dormi ? »
« Bonjour, ça va ? Oui merci ».
« Alors c’est le grand jour ? »
« Eh oui, j’ai un peu loupé l’heure ce matin, il faut que je me presse si je ne veux pas être en retard ».
« Le café est prêt, tu n’as qu’à te servir. Tu sais où se trouvent les couverts? »
« Oui, merci. Bon, je file à la douche ».
« OK, à ce soir ».
« Bonne journée ».
Philippe a quitté la maison lorsque je sors de la douche. J’ai avalé mon petit-déjeuner et me suis habillé, je n’ai plus qu’à récupérer mon sac avant de partir. En repassant dans le couloir, je m’aperçois que la porte de la chambre de Brigitte est encore ouverte, et un rai de lumière, au travers des volets, se pose délicatement sur son corps. Je m’arrête quelques secondes pour contempler ce spectacle. Il fait déjà chaud en ce matin de juillet ; le drap léger du lit lui couvre uniquement le bas des jambes, jusqu’aux genoux. Elle porte une petite nuisette en coton, remontée en haut de ses jambes ; l’une des bretelles est tombée sur son bras, laissant entrevoir la chair brunie de l’aréole de son sein droit. Elle est simplement belle.
Non ! Je n’ai pas le temps de m’égarer ce matin, il faut que je parte. Je m’éclipse et pars récupérer mes affaires dans ma chambre. Seulement, ultime épreuve, je dois repasser devant cette porte. Ma conscience me dit de ne pas m’arrêter alors que tous mes sens réclament le contraire. Je choisis finalement le compromis.
« Un baiser, simplement un baiser avant de partir… »
Je pousse la porte en prenant bien garde de ne pas la réveiller, j’avance à pas de loup dans la chambre. Le rai de lumière éclaire maintenant son visage. Je la contemple quelques instants, puis approche mes lèvres des siennes et l’embrasse. Ses lèvres se contractent à mon contact et, toujours endormie, elle me rend mon baiser puis se retourne et se rendort. Elle me présente maintenant ses fesses au-dessus desquelles la nuisette a fini par se retrousser.
Je caresse sa croupe et lui pose un autre baiser dans le cou. Elle se recroqueville. Ma main s’immisce dans le sillon de ses fesses, attirée par la douce chaleur de ses chairs intimes.
« Arrête, tu vas être en retard… Et ne rentre pas trop tard », me dit-elle, toujours endormie.
J’ajoute, ce qui me tient à cœur depuis longtemps profitant de l’absence de son mari :
« Brigitte, mon vœu est que le temps de ma présence parmi vous que tu ne portes plus de culotte ni dans la mesure du possible plus de soutien-gorge que ce soit ici ou pour sortir ».
Elle ne me répondit pas, n’insistant pas, je tire la nuisette sur ses fesses, remonte le drap sur ses épaules, dépose un dernier baiser sur son front et sors de la chambre, puis de la maison.
J’ai environ 30 minutes de route avant d’arriver au boulot. Les dix premiers m’ont servi à calmer l’érection due à ce doux moment que je viens de passer.
Savait-elle que c’était moi, ou pensait-elle que c’était son mari ? J’ai finalement agi avec elle ce matin comme un petit mari aimant, souhaitant la bonne journée à sa compagne avant de quitter le domicile. Voilà que je me prends à imaginer une vie à deux dans cette maison avec elle, enjouée et sensuelle, prenant la place de Philippe.
Puis me frappant le front, je me suis dit :
« Éric ou a tu ta tête ce matin ?, tu lui as bien demandé de ne plus porter de culotte ni de soutien-gorge pendant ta présence ! Ce que son mari ne lui aura pas demandé ».
Puis tout en roulant et en m’approchant de mon lieu de travail je me pose cette question :
« A-t-elle entendu ? Le fera-t-elle ? »
J’arrive avec ces pensées en tête au travail, pile à l’heure.
La journée se passe , ni bien ni mal ; le boulot n’est pas compliqué. Tous les matins je dois faire mes préparations dans l’atelier. Je fais le point sur la caisse avec le patron le matin et le soir après ma tournée. Par contre, c’est vraiment très dur physiquement : le panier est encore plus lourd que je ne le supposais, et marcher dans le sable, lesté de la sorte, n’est vraiment pas aisé.
Bref, je finis ma tournée aux alentours de 17 h 30 et rentre complètement fourbu de cette première journée. Il faut espérer, que j’arrive à m’adapter à tout cela assez rapidement.
En arrivant à la maison de Brigitte et Philippe, je suis surpris de voir deux voitures garées dans la cour et entends pas mal d’agitation aux alentours de la piscine. La voiture de Philippe n’est toujours pas là. Je m’approche, espérant distinguer une tête connue. C’est finalement Brigitte qui m’aperçoit la première.
«Ah le voilà ! Je vous présente le meilleur ami de Damien ».
« Bonjour tout le monde ! »
Je n’ai droit en retour à un « Bonjour tout seul ! » de bon aloi. Brigitte reprend, me désignant les personnes une par une :
« Et voici l’oncle Paul Henri, sa femme Sabine, et leurs enfants, Aline et le petit dernier qui est dans l’eau là-bas, c’est Sébastien ».
« Salut ! » me lance Sébastien avant de repartir en exploration sous-marine.
Je sens une certaine gêne dans la voix de Brigitte, et devant mon regard interlocuteur, elle poursuit :
« Sabine m’a appelée ce matin pour nous dire qu’ils nous faisaient la surprise de venir passer quelques jours à la maison comme ils le font tous les ans ».
Je reçois à ce moment-là une énorme tape dans le dos : c’est tonton Paul Henri . Lui, c’est le stéréotype même du beauf. Lunettes à verre fumées qui surplombent une moustache jaunie par des années de mégots de Gauloises se consumant à ses lèvres. Un nez rouge à faire pâlir d’envie tous les producteurs de fraises. Il a un visage assez joufflu, parsemé de vaisseaux violacés qui lui donnent son teint rougeaud ? Sa coupe de cheveux est pour le moins surprenante : le haut de son crâne est dégarni en forme bien ronde, un peu comme s’il sortait d’un monastère ; mais pour le reste il attache ses cheveux filasse mi-longs en un petit chignon qui pendouille à l’arrière de sa tête. Il réussit même (prouesse ultime que je n’ai jamais revue à ce jour) à avoir des pellicules qui tombent sous ses cheveux gras. Je crois que je vais éviter la piscine tant qu’il sera dans les parages.
Un homme dont on a envie de se faire un ami !
« Ce n’est pas le paradis, ici ? » Me demande-t-il d’une voix tonitruante.
Je lui réponds en essayant de remettre en place mon épaule, qui après ma journée de travail n’en demandait pas tant.
« Si c’est superbe ; je rêverais d’habiter une maison comme ça un jour, isolée à la lisière de la forêt avec un terrain aussi grand ».
« Nous venons de la banlieue de Lille, et tous les étés nous passons quelques jours ici, n’est-ce pas belle-sœur ! »
Ouf, cela me rassure : ce rustre ne partage donc pas d’ADN avec Brigitte.
« Ainsi, vous êtes le frère de Philippe ? »
« C’est exact ! » Mais c’est qu’il comprend vite, ce garçon.
Sabine, sa femme, que je n’avais pas encore remarquée, apparaît derrière son mari. Difficile de la décrire ; c’est une femme effacée. « Transparente » me semble être l’adjectif le mieux adapté la concernant ; personne ne semble d’ailleurs se soucier de sa présence ou non. Elle n’a pas de fesses, pas de poitrine et des épaules tombantes, si bas que l’on se demande comment le t-shirt sans forme qu’elle porte invariablement arrive à s’y accrocher. Un peu comme si toutes les misères du monde y reposaient, littéralement. Quant à son visage, dire qu’il manque de grâce est un doux euphémisme. De sa bouche, disproportionnée, s’échappent quelques dents éparses, sas que l’on comprenne bien comment elles ont pu atterrir ici. Ses yeux globuleux sont couverts aux trois quarts par ses paupières tombantes. Elle a des cheveux d’une couleur indéfinissable (probablement un fond de pot de teinture) qu’elle se laisse pendre le long de son visage en une masse informe.
Je ne crois pas l’avoir déjà vu rire ; sourire, peut-être…
Par contre, Aline, l’aînée de leurs enfants, est une beauté. Elle me détaille de la tête aux pieds depuis mon arrivée. C’est une jolie rousse à la peau blanche toute laiteuse, on dirait de la porcelaine. Elle dégage énormément de grâce et de douceur ; le contraste avec ses parents est saisissant. Des taches de rousseur parsèment son visage que barrent de magnifiques yeux bleus. J’ai tout le loisir de la détailler dans son maillot de bain qui lui va à ravir. La cambrure de ses reins, très marquée, a l’avantage de mettre en valeur (très en valeur, même) ses fesses et sa poitrine. Ses seins attirent mon regard plus particulièrement : ils ne sont pas énormes, justes la taille que j’aime, mais leur arrogante jeunesse, qui défie les lois de la gravité, sur ce buste cambré ne me laisse pas de marbre. Elle a à peu près le même âge que Damien et moi.
Lorsque je me tourne vers elle, elle détourne le regard aussitôt et se met à rougir ostensiblement. J’en souris intérieurement.
Je prétexte le besoin d’aller déposer mes affaires pour sortir de la portée des jets de postillons de tonton Paul Henri qui continue à hurler (cela semble être son unique moyen de communication) sans raison particulière.
Brigitte court à ma suite et me rattrape, gênée.
« Je suis désolée, ce n’était vraiment pas prévu ».
Je la rassure aussitôt :
« Mais ce n’est pas grave, vous avez bien le droit de recevoir qui vous voulez, vous êtes quand même chez vous ».
« Oui, mais la personnalité de Paul Henri, quand on n’est pas préparé…
J’éclate de rire.
« Oui, effectivement, c’est un personnage ! »
« Et tu n’as encore rien vu. Au fait, ça a été, ta journée ? Je ne t’ai pas entendu partir ce matin ».
Elle pense donc que c’est son mari qui est venu l’embrasser ce matin !, je conclus qu’elle n’a pas entendu ma demande de ne plus porter de culotte. Je vais lui refaire la demande dès que ce sera possible.
« Oui, très bien. Par contre, je suis éreinté. Je vais aller me reposer une petite demi-heure dans ma chambre ».
« Euh, non ; à ce propos, as-tu toujours ta toile dans ta voiture? »
« Oui, pourquoi ? »
« Eh bien, ils se sont installés dans la chambre de Damien ; il faudrait donc que tu déménages ».
Tout s’effondre ! Moi qui rentrais tout guilleret du boulot et qui m’imaginais ce matin encore pouvoir continuer à jouir de cette situation paradisiaque, voilà que je me fais mettre à la porte manu militari. Bien que contrarié, je feins l’indifférence.
« OK, il n’y a aucun problème ; je vais récupérer mes affaires et essayer de trouver un camping.
« Non, non, je me suis fait mal comprendre : je ne souhaite pas que tu partes, il n’en est pas question », répond-elle, un peu paniquée.
Cela me rassure : mes espoirs n’étaient donc pas infondés. Elle reprend :
« Simplement, il faudra que tu installes ta toile de tente dans le jardin le temps de la villégiature de ces gêneurs ».
« Tu me rassures ; un instant j’ai cru que tu voulais me dégager ».
« Tu crois vraiment que j’en ai fini avec toi? » me dit-elle en me déposant un baiser furtif sur les lèvres, maintenant que le mal entendu est dissipé.
J’en profitais de lui ré tirer ma demande de ce matin en lui avouant que ce n’était pas Philippe qui lui a fait un baiser.
« Brigitte, non seulement, après le baiser j’ai fait une demande que j’aimerais que tu réalises sans le faire savoir à ton mari !:
« Brigitte, mon vœu est que le temps de ma présence parmi vous que tu ne portes plus de culotte ni dans la mesure du possible plus de soutien-gorge que ce soit ici ou pour sortir ».
« Ah c’est que… Enfin oui pourquoi pas, si cela te fait plaisir ! Cela Philippe me le demande souvent et pour toi je serais sans culotte et si possible sans soutien-gorge ».
« Merci Brigitte »
En regardant à droite et à gauche si les vacanciers ne regardent pas dans notre direction je posais sur ses lèvres un baiser un peu plus appuyé pour la remercier.
Et me voici donc dans le jardin, complètement fourbu avec une épaule démise à essayer de comprendre les instructions qui me permettront de transformer cet amoncellement de tissu et d’arceaux en une tente solide et confortable.
« Il a besoin d’un coup de main ? » me hurle Paul Henri depuis le bord de la piscine.
Il s’adresse à moi à la troisième personne : je ne supporte pas ça !
« Non, non, ça ira, merci ».
« S’il y a besoin, n’hésite pas », tonitrue-t-il.
Après une bonne demi-heure d’essais infructueux, j’ai enfin réussi à dresser la structure et à la stabiliser. Au moment où je termine mon installation, Philippe, revenant du travail, se gare dans la cour. Toute la famille de Paul Henri se précipite à sa rencontre. Il est surpris et ravi de retrouver son frère et sa famille pour quelques jours.
Nous nous retrouvons tous quelques instants plus tard autour de la piscine à siroter un apéritif. Brigitte profite de ce que nous soyons tous rassemblés pour nous préciser que la salle de bains de la maison est réservée aux deux couples et qu’Aline les enfants et moi devrions nous contenter de la douche extérieure et du cabinet de toilette de la piscine. Nous acquiesçons tous puis levons nos verres à la santé de cet été qui commence si bien.
Paul Henri monopolise la conversation en nous racontant ses dernières prouesses à son travail, (il est contremaitre dans une fabrique de conserves), sujet ô combien passionnant. Philippe lui enchaîne les apéros les uns après les autres, et ils sont déjà bien échauffés lorsque nous passons à table. J’ai constaté avec stupeur que le niveau sonore de la voix de l’ogre augmentait de quelques décibels à chaque verre bu.
Brigitte fait bonne figure et est aux petits soins pour tout le monde. Elle est particulièrement complice avec Aline, et je les entends rire au loin dans la cuisine. Arrivés au dessert, on ne tient plus Paul Henri, qui se remémore leurs frasques de jeunesse ; il hurle et rit à gorge déployée sans discontinuer. J’ai les oreilles rouge vif ; s’il continue, je pense qu’un vaisseau va finir par éclater dans mon oreille interne.
Philippe rit de bon cœur et continue à enchaîner les verres les uns après les autres. Quelle descente !
Aux alentours de minuit, Sabine (dont je n’avais pas remarqué qu’elle était toujours là) et Sébastien, qui s’était endormi en bout de table depuis une bonne heure, nous quittent pour aller se coucher.
Aline et Brigitte reviennent de la cuisine en apportant le café et une mirabelle de la région. « Comme s’ils avaient besoin de ça… » Nous passons sur la table basse de la terrasse pour prendre le digestif. Philippe et son plantigrade de frère nous suivent ; ils titubent tous les deux. Paul Henri n’interrompt cependant son flot de paroles. Nous nous asseyons, repus. Je suis à côté de Philippe qui commence à somnoler.
Aline est face à moi, bien au fond de son siège. Je constate avec joie que dans cette position, comme Brigitte la veille, elle a les cuisses largement découvertes. Elle sort son téléphone et pianote dessus, probablement pour s’isoler des élucubrations inintéressantes de son père. Je suis fasciné par la pureté de sa peau blanche, si douce, et ne peux détacher mon regard de ses jambes. Saoulé par le flot de parole de Paul Henri, je m’évade quelques instants dans la contemplation des cuisses et du profond décolleté d’Aline qui toujours accrochée à son portable ne remarque rien.
Brigitte se tortille depuis un moment sur son siège. Détachant mes yeux de la douce peau d’Aline, je constate qu’elle me regarde en fronçant les sourcils, visiblement irritée que mon attention ait ainsi pu être détournée de sa personne. Une fois qu’elle accrocha mon regard, impossible de s’en détourner : elle ouvre imperceptiblement les cuisses, bien en face de moi. Je distingue très nettement le triangle de peau qui ferme son entrecuisse ; la coquine ne porte pas de culotte ! Elle ondule lentement des hanches afin de me faire pleinement profiter de ses délices. Ainsi, elle à accepter ma demande d’être fesses et chatte nues sous ses robes.
Je suis sorti de ma torpeur par un évènement inattendu : Paul Henri se tait ! Je n’osais plus y croire. Il a la bouche semi-ouverte, et ses yeux exorbités, est rivé sur Brigitte. Elle referme aussitôt les cuisses et réajuste sa tenue. Trop tard : il n’a pas pu échapper à Paul Henri que sa belle-sœur ne portait pas de culotte. Philippe, à demi saoul, n’a rien vu. Aline, don casque sur les oreilles, non plus. Je pouffe de rire en apercevant le filet de bave qui coule sous la moustache de Paul Henri. Cela devait faire bien longtemps qu’il n’avait pas vu de si beaux trésors.
Brigitte s’en sort par une pirouette ; elle se relève et feint de trébucher.
« Houla, je crois que je suis un peu pompette ; je pense qu’il est temps que nous allions nous coucher »
Paul Henri se lève ; il a le souffle court et s’approche pour l’embrasser ; j’en suis révulsé pour elle. Il la serre contre lui bien plus qu’il ne faudrait et lui assène un baiser sonore et humide avant de rentrer dans la maison en grommelant. Philippe se lève et, à tâtons, regagne sa chambre. Brigitte et Aline me saluent, sagement, puis le suivent à l’intérieur. Brigitte me fait un petit clin d’œil et me mime l’envoi d’un baiser au moment où elle ferme les volets.
Je regagne ma tente ; elle sent le renfermé. Je me faufile dans mon sac de couchage et m’endors rapidement : je suis si fatigué.
Au cœur de la nuit, le bruit de la fermeture éclair de ma tente me réveille en sursaut. Mon cœur bat la chamade ! Le faisceau d’une lampe torche balaie l’intérieur de ma chambre en toile. On ouvre la moustiquaire : c’est Brigitte en peignoir. Elle se glisse dans la tente et referme la toile, puis me rejoint dans mon sac de couchage.
« Je n’en peux plus ! J’ai attendu toute la soirée qu’ils aillent se coucher pour te rejoindre ».
« Et si Philippe se réveille, ou Paul Henri ? »
« Ne t’inquiète pas, ils sont fins saouls », me dit-elle alors qu’elle commence à caresser mon torse.
Je l’embrasse à pleine bouche, elle dévore mes lèvres. Je pars à la recherche du nœud de son peignoir, le dénoue : elle est entièrement nue dessous.
La pointe de ses seins est durcie par la fraîcheur nocturne et l’excitation. Je m’applique à lui lécher les tétons et à les sucer pour en accroître encore le volume. Ma langue glissée entre ses seins majestueux ; sa peau est légèrement salée, elle est délicieuse. La main de Brigitte s’est faufilée dans mon caleçon. Elle en fait surgir mon sexe au faîte de sa forme et me branle énergiquement. Je la sens excitée comme jamais.
De mes mains je parcours son corps, le galbe de ses hanches, le creux de ses reins ; elle frémit. En particulier lorsque j’effleure sa taille juste en dessous de ses côtes : elle est chatouilleuse à cet endroit précis, tout son corps se recouvre alors de chair de poule, c’est exquis. Mes doigts courent sur sa peau soyeuse et atteignent l’orée de sa vulve. Bien que je sache qu’elle est entièrement épilée, je suis à nouveau surpris par la douceur de la peau de son sexe lisse. Je caresse ce pubis glabre quelques instants. Brigitte ondule afin que mes doigts parcourent les derniers centimètres qui les séparent de sa chatte.
Elle entrouvre ses cuisses afin de m’en faciliter l’accès. À mon contact, ses lèvres s’ouvrent lentement, m’offrant l’accès à ses chairs intimes, complètement trempées. Je fourrage son sexe de bas en haut ; elle se cambre afin de mieux ressentir mes doigts explorateurs. Je continue à lui dévorer la bouche.
Elle me demande de m’agenouiller à côté d’elle, portant ainsi mon sexe juste au-dessus de son visage. Elle y dépose quelques baisers avant de l’engouffrer entièrement, ses grands yeux verts rivés dans les miens. À cet instant, je pousse mes doigts au plus profond de son sexe en lui massant le clitoris à l’aide de mon pouce. Elle ondule sous l’action de mes doigts. Je la sens tressaillir ; sa fellation se fait de moins en moins précise. J’accentue encore la pression de mon pouce sur son petit bouton rose. Elle se dégage de mon sexe et jouit dans un râle rauque en me griffant la jambe.
Je ressors mes doigts de sa chatte ; ils sont luisants de sa cyprine.
« Prends-moi maintenant…
J’exulte ! Brigitte m’est entièrement dévouée.
« Retourne-toi ! »
Elle se positionne à quatre pattes devant moi. Je présente mon sexe devant les lèvres de sa vulve ; elles s’écartent au contact de ma queue. La chaleur moite de son antre m’enveloppe délicieusement. Je m’enfonce en elle jusqu’à la garde et la laisse effectuer les premiers mouvements de bassin sur mon sexe. Ses fesses oscillent à chacun de ses va-et-vient, dévoilant son petit trou. Je l’accompagne dans ses mouvements et la pilonne énergiquement. J’accentue délibérément mes mouvements afin de faire ressortir ma queue par moments ; c’est un régal de la voir se cambrer pour retrouver le contact de mon sexe. Son cul est alors largement ouvert. J’y pose mon majeur, toujours trempé de son sexe et pousse sur son anus qui ne tarde pas à céder.
Elle gémit de plaisir, son vagin se contracte autour de ma queue, de fines gouttes de sueur commencent à perler le long de son dos et dans son cou. Elle accentue encore ses ondulations, je lui appuie sur les reins afin qu’elle se cambre encore. Qu’elle est belle dans cette position, entièrement offerte ! La tête plaquée sur mon sac de couchage, je lui attrape les mains et les croise en les maintenant fermement sur ses fesses et la pilonne de plus en plus brutalement. Après quelques minutes dans cette position, elle parvient à dégager l’une de ses mains et m’attrape les couilles entre ses jambes. Cette divine caresse a rapidement raison de moi ; elle me sent proche de la jouissance et se retourne.
Relevant ses cheveux avec l’une de ses mains, la pointe de sa petite langue rose me lèche la queue sur toute sa longueur pendant que sa main libre me masse toujours les couilles. Le souffle court, une douce chaleur m’envahit soudainement. Je jouis et me répands en longs jets puissants qui finissent en traînées blanches entre ses seins et sur son épaule. Toujours pas rassasiée, Brigitte continue de me masser les bourses et embrasse mon sexe encore imprégné de son odeur. Je suis parcouru de spasmes à chacun de ses coups de langue. Mon sperme a coulé tout le long de son corps. Partant de sa poitrine, il dessine un petit ruisseau sur son ventre, tournoyant autour de son nombril avant de reprendre sa course vers son entrejambe.
« Tu m’en as encore mis partout, petit coquin ! » me dit-elle , l’air rieur alors qu’elle essaie de limiter les dégâts en récoltant ce qu’elle essaie de limiter les dégâts en récoltant ce qu’elle peut avec ses mains.
« C’est de ta faute : c’est toi qui t’es retournée. Moi, j’étais bien derrière toi »
« Oui, mais je n’allais pas te laisser jouir en moi ».
« Et pourquoi pas ? » lui demandais-je en m’approchant de sa bouche.
Elle se dégage.
« Philippe ne veut pas ».
« Et alors, il n’était pas là. Et je croyais que tu voulais te détacher de ses règles…
« Oui, mais ça, Ce n’est quand même pas pareil…
Je la sens gênée. Elle enfile son peignoir et s’apprête à sortir. Je reprends alors, sur le ton de la plaisanterie :
« Et puis moi je me laisse bien faire…
Elle éclate de rire, et après un court instant de réflexion elle me dit :
« C’est vrai, on verra…
Je la vois disparaître dans la nuit, me laissant seul avec les bruits des grillons et des grenouilles pour seule compagnie.
Ma nuit fut courte, j’avais du mal à sortir de sous la tente, je me suis levée mais n’ayant plus le temps de prendre une douche j’ai fait une toilette sommaire, avalé un café puis tant bien que mal je me suis rendu au boulot.
Malheureusement cette journée fut très décevante, et mon patron me signifia qu’il me congédie. Je suis rentré résigné à me trouver un autre job, et comme un malheur n’arrive jamais seul, en rentrant chez Brigitte et Philippe je ne retrouve personne pas une seule voiture. Ou sont-ils passés ? Je me suis dirigé vers la porte d’entrée j’ai trouvé une feuille scotchée à la porte d’entrée me demandant d’appelé Philippe.
Tous les scénarios me passèrent dans ma tête, Philippe a-t-il découvert la relation de sa femme de la nuit ?…
J’ai alors pris le courage à deux mains et avec stupéfaction Philippe m’informa qu’ils sont sur le chemin du retour ils ont cherché Damien qui a écourté son stage de voile.
Une mauvaise nouvelle ne vient jamais seule, Paul Henri et sa famille ont eu un appel ce matin, un incendie a ravagé la maison mitoyenne à la leur, qui a causé d’importants dégâts à la leur.
Sale journée, et comme dit le proverbe : « jamais deux sans trois »
La perte de mon job d’été !
Le retour précipité de Damien :
L’incendie de la maison de Paul Henri.
J’ai alors décidé de plier bagage et ne voulant pas l’annoncer immédiatement j’ai comme Philippe l’a fait laisser un mot sur la porte d’entrée.
Voilà fin de cette histoire écrite par Marie-Claude en collaboration avec Éric !
Encore une merveilleuse série
Une fin triste qui m’a fait lâché une petite larme