Marie va devenir une salope
Elle s’appelle Marie, elle a quarante cinq ans. Elle est secrétaire dans une petite société d’une trentaine de personnes.
C’est un atelier de fabrique de la literie. C’est son premier poste, elle y travaille depuis vingt ans et jusqu’à présent tout se passe bien.
Elle est très appréciée, sérieuse, d’un tempérament joyeux, on lui dit qu’elle est jolie, châtain foncé, les cheveux longs, elle est grande un mètre soixante quinze pour soixante kilos, un quatre vingt dix B de poitrine.
Les ennuis de Marie ont commencé ce jour, vers dix heures, lorsque Denis, un responsable de l’atelier sommiers, la cinquantaine se pointe dans son bureau avec une tablette à la main.
— Marie, tu m’avais caché des choses, petite coquine !
— Bonjour Denis, que veux-tu dire ?
— Tient ! Regarde ?
Denis pianote sur sa tablette et la tend à Marie. Elle regarde l’écran et là elle croit qu’elle va avoir une crise cardiaque. Marie reconnaît tout de suite les photos. C’est elle sur les photos qui sont à l’écran
Elle se fige immédiatement, une photo est prise sous l’eau et présente le bas d’un corps d’une femme, le slip de bain à mi cuisses, le sexe fouillé par deux doigts fureteurs.
Elle comprend immédiatement ?
Tous les détails de sa mésaventure resurgissent du tréfonds de sa mémoire où elle les pensait définitivement enfouis.
Denis, jubile en contemplant sa belle collègue de travail pâle comme une morte, il sait déjà que la proie est ferrée, rien ne sert maintenant de la bousculer, il pressent qu’elle va subir ce chantage par une veule soumission.
Denis regarde l’écran et les photos avec Marie qui voudrait disparaître.
Il n’y a pas que les photos, les internautes ont laissé des commentaires sous les photos.
– Cette pute est à baiser a plusieurs/ Une vraie salope, on voit qu’elle aime ça/ Ma préféré est celle avec l’arabe et l’autre dans son derrière/ Avec ce lui arrive dans les fesses, elle me fait bander/Moi c’est la dernière photo avec ses deux trous ouvert coulant de sperme.
Le visage enfoui entre ses deux mains, Marie cherche à adopter une contenance impassible alors qu’en elle bouillonne.
Elle ce revoit à Marrakech un après-midi au sauna de l’hôtel, son mari avait réservé une quinzaine de jours dans ce complexe hôtelier avec piscine et SPA de remise en forme comprenant jacuzzi, sauna avec bassin chauffer. Alors que son mari était absent pour la journée, elle se délassait au bord du bassin, plongée dans l’eau jusqu’aux épaules. Soudain, avec effroi elle sentit son slip tiré vers le bas, une main s’infiltre entre ses cuisses, et tout de suite, plusieurs doigts s’enfoncent dans sa moule ?
Surprise elle perd l’équilibre, s’enfonce dans l’eau et boit une tasse, le temps de toussoter, reprendre sa respiration, le bouillonnement entre ses cuisses se calme, un dénommé Rachid, l’air narquois surgit à quelques brasses d’elle, portant ses doigts à ses lèvres.
Consciente d’avoir été victime d’un pelotage en règle, comme bien des femmes qui fréquentent la piscine du sauna se plaignent parfois d’en avoir subi, elle ne juge cependant pas utile d’en parler à son mari, bien que ce soit la crème des hommes, elle est sûre de sa réaction ?
Elle serait brutale, il irait cassé la gueule à ses agresseurs, ça n’en valait vraiment pas la peine.
Aussi, c’est là sa première erreur, elle se tait, peu soucieuse de provoquer la colère de son mari et de se mettre en vedette dans un fait divers peu glorieux.
Deux jours plus tard, alors que l’heure de la fermeture approche, elle se trouve allongée sur sa serviette, récupérant lentement des quelques brasses qu’elle venait de s’imposer. Le dénommé Rachid, passe à côté d’elle et lui jette, au passage une enveloppe, qu’elle prend en main, elle ouvre sous l’œil ironique du jeune marocain.
Tout de suite son sang se fige, il y a quatre photos la représentant toute, le slip baissé à mi cuisses, des doigts étrangers enfoncés dans sa grotte d’amour. Son sang ne fait qu’un tour, d’un bond elle se lève et vivement s’approche du bassin où, en compagnie de deux autres jeunes marocains Rachid se baignent, hilare, elle l’invective
– Espèce de salaud, si tu crois que ça va se passer comme ça ! Je vais le !!
— Tu vas quoi faire ma jolie ?
— Je vais en parler au directeur de l’hôtel et mon mari !
— Et tu comptes lui expliquer comment, à ton homme que tu te laisse fouiller la chatte sans protester, sans que tu cries, c’est un peu tard tu crois pas ?
Effectivement elle s’en rend maintenant compte, son silence risque de la culpabiliser aux yeux de tous ; comment expliquer sa passivité et son manque de réaction,.
Déjà Rachid reprend :
— Allons la française, rejoins nous dans le bain, qu’on en discute, il y a toujours une solution.
Furieuse, d’un bond elle les rejoint sans se rendre compte qu’elle se met ainsi à leur merci, la piscine est quasiment déserte, le maître nageur encore présent nettoie l’autre bassin, très éloigné.
S’approchant d’elle doucement, pour ne pas l’effaroucher, il lui dit alors !
— Allez la belle française, on te les donnera ces photos !
Comme, elle se détend, elle se sent tirée par chevilles, rapidement elle se retrouve sans culotte, elle remonte à la surface toussotant et soufflant pour recracher l’eau avalée, Rachid profite de cet instant de panique pour se glisser entre ses cuisses, déjà il la pénètre de sa queue raide.
— Que ? ET ! Que fais-tu, revendique-t-elle abasourdie d’une telle audace.
— Tu vois bien, je te fais payer les photos, je te les donnerai après demain, là tu es en train de les gagner…
La queue c’est frayée un passage difficile dans son puits d’amour trop sec, Rachid lui fait mal, il est si bien empalée qu’il lui est maintenant impossible d’interrompre son forfait.
Il agite ses reins d’avant en arrière, Marie boit à nouveau la tasse, il s’enfonce dans son jardin d’amour jusqu’à la garde, avant d’éjaculer dans un gémissement de bonheur. Il se retire de son sexe, et l’œil pétillant lui tend son slip, qu’éperdue elle s’empresse de renfiler, tandis qu’il promet :
— Reviens après demain, à la même heure, je te donnerai les photos, maintenant que j’ai eu ce que je voulais……….
Le soir même elle commet sa seconde erreur, naïvement elle croit qu’il tiendra parole, et consciente que pour se plaindre à son mari, elle sera obligé d’avouer son inconséquence initiale.
Elle se persuade qu’il vaut mieux continuer à se taire plutôt que de risquer d’avouer sa légèreté. Sa belle famille la voit déjà pas d’un très bon œil, si une telle histoire parvient à leurs oreilles, elle aurait bien du mal à se justifier, aussi préfère t-elle une nouvelle fois cacher cette agression plutôt que de s’exposer.
Deux jours plus tard, Marie se rend au complexe de remise en forme. Cette fois, elle s’est habillée en conséquence, tee-shirt ras du cou, sur un jean ce qui découragerait toute initiative, du moins le pense t-elle.
Rachid et ses deux copains l’attendent le pied ferme, il y a un peu plus de monde dans la piscine, ce qui contribue à encore la rassurer. D’un pas hésitant, elle se dirige vers ces trois jeunes marocains,
Rachid avec un sourire aux lèvres, comme un chat qui guette sa proie la regarde venir. à lui.
— Tu as les photos ? Demanda-t-elle, soudain anxieuse.
— Sois pas si pressée, oui je les ai, elle sont dans ma cabine.
— Quoi ? rugit-elle soudain consciente qu’une fois encore la situation dérape.
— Tu crois tout de même pas t’en tirer comme ça !! Ajouta-t-il malicieusement
— Mais ! Mais ! On avait convenu ! Que ?
— AAH ! Vous les françaises ! Vous venez tortiller votre cul devant nous, vous nous faite bander ! Et là tu ne crois tout de même pas que je vais pas te baiser ?
— Mais ? Mais ?
— Alors tu viens que je te les donne tes belles photos, où ? Tu préfères que je les affiche dans l’hôtel peut-être ?
— HEUU ? Non ! Non ! S’étouffe soudain Marie ; Ensuite tu mes les rendra ? Tu le promets ? Hein ?
La tête basse, consciente de s’être encore fait rouler, mais pliant sous la menace, elle lui emboîte le pas. C’est une cabine pour handicapé ?
Dès la porte de la cabine franchie, il lui remet effectivement une enveloppe contenant les quatre premières photos, elle comme soulagée, elle se prépare à partir, persuadée qu’il tient sa parole, il l’interrompt dans son geste :
— Attends ? J’ai encore quelque chose pour toi.
Abasourdie, elle fixe Rachid incrédule, il appelle :
Ahmed, passe-moi les autres, une nouvelle enveloppe apparaît, tendue par un comparse qui les passe par dessus le mur de la cabine.
Rachid les donne a Marie sans un mot.
Cette fois c’est le bouquet, sur ces photos, on la voit clairement empalée sur la queue de Rachid, embrochée jusqu’à la garde. Là s’en est trop, rouge de colère elle vocifère.
— Cette fois c’en est trop, je vais à votre gendarmerie ! Je vais porter plainte !
— Tu va leur expliques quoi à nos gendarmes ? Rigole doucement Rachid.
— On voit bien que personne ne te force, on voit un jeune marocain et une française qui baisent dans une piscine. Je suis sur qu’ils vont bien se marrer les gendarmes ? Je te raconte pas la volée qu’il va te mettre ton Mari.
Effectivement, rien sur la photo ne peut indiquer qu’on la viole, bien au contraire, cette fois elle est coincée, elle ne voit pas comment se tirer de la fâcheuse posture dans laquelle elle s’est mise.
— Que veux tu encore ? Pleurniche-t-elle déjà soumise à sa volonté.
— Mais je te l’ai dit tout à l’heure ! Je veux te baiser plus confortablement que dans l’eau. Cette fois tu les auras tes autres photos.
Se raccrochant à cet espoir, elle reste là les bras ballant, comprenant qu’il a gagné, il ordonne :
— Allez ma belle française ! Fous-toi à poil !
Le geste lourd, l’esprit vide, elle enlève d’abord son tee-shirt, puis son soutien-gorge, dévoilant ses seins opulents, aux larges aréoles, toujours les yeux fixés au sol, elle quitte ses nu-pieds, après une hésitation de quelques secondes, elle baisse son jean, ôtant dans le même mouvement sa culotte.
Marie frissonne, incapable de faire le moindre geste. Rachid enroule sa longue chevelure autour de son poing et la retourne brusquement, écrasant sa poitrine contre le mur froid. D’un genou il lui écarte les jambes, le temps de baisser son jean, déjà il cherche d’un gland impatient sa fente. Une main vient effleurer l’arrière de sa cuisse, elle se raidit, son cœur s’emballe.
Avec quelques difficultés il réussit à enfoncer son membre raide dans son puits d’amour, quelques mouvement, puis la nature fait son office, contre son gré, elle sent son sexe sécréter une moiteur apaisante.
Il glisse deux doigts dans sa fente maintenant humide pour en recueillir la cyprine qu’il étale sur son petit trou. Il y enfonce un doigt, jusqu’à la deuxième phalange puis fait de petits mouvements ronds, écartant le petit trou si serré et encore vierge. Le doigt qui la fouille est vite accompagné d’un deuxième et il doigte son cul avec fougue, lui arrachant des gémissements. D’un geste vif il se retire, la force à se courber encore plus, cambrant ses fesses, il pointe tout de suite sur son jardin secret.
Elle s’affole :
— OH ! Non ! Pas par là ! On ne m’a jamais ?
— Tais toi ! On ne t’a jamais enculée ? Là tu es a moi, je fais ce que je veux de toi et j’ai envie de t’enculer, alors je t’encule. Je sais que les françaises adorent être traitée comme des chiennes car ce sont des chiennes.
Marie continue de se débattre mais elle sait qu’il a raison. Ça la rend dingue cette façon qu’il a de la soumettre et surtout comment son propre corps réagit malgré elle. Son corps, avide, en demande sa grotte ruisselle de mouille. Rachid retire ses doigts et positionne son gland sur son anus qui tressaute déjà. Il tire alors sur ses cheveux, la cambrant au maximum avant de s’enfoncer dans son cul lentement. Il y va doucement, s’insinuent profondément, jusqu’à sentir buter ses couilles contre sa moule luisante. Marie crie, la douleur est si forte. Elle réalise brutalement qu’elle est en train de se faire enculer par un jeune marocain. Il est si énorme qu’elle se sent déchirée.
— Tais toi !! Râle-t-il cyniquement..Tu vas ameuter le quartier si tu continues !!
Vaincue, elle se mord les lèvres pour ne pas hurler sa souffrance. Son boyau est contraint à se conformer à son envahisseur. Il lui semble sentir ses viscères se déplier, pour mieux s’adapter à l’invraisemblable engin. La barre de chair chaude est maintenant à demi enfoncée dans mon cul. Il la saisit alors par les cheveux, pour mieux la clouer sur son pieu, lui arrachant un cri de douleur sous l’écartèlement
Un clic la surprend brusquement, elle lève les yeux, elle voit Ahmed, qui prend des photos de son dépucelage, elle n’a même plus la force de protester, son derrière est en feu, elle n’a qu’une hâte, qu’il en finisse, qu’il dégorge sa semence dans son anus maintenant soumis.
Un dernier coup de reins violent, et elle est empalée, dans un grand cri, jusqu’à la racine du sexe qui la pénètre brutalement maintenant ! Marie a mal, très mal, le sphincter, inutilisé, étant serré étroitement.
Une fois bien au fond, ancré dans ses tréfonds, Rachid pousse un long soupir et commence alors à s’agiter en elle à un rythme lent. Ne pouvant pas la prendre aussi fort qu’il le désire dans cette position, il met Marie à quatre pattes et reprend ses assauts brutaux. Marie râle fort, elle est maintenant collée au sol, la croupe tendue, et plus il la défonce, plus elle sent les lattes du caillebotis s’incruster dans sa peau.
Rachi maintient Marie captive, une main torsadant fermement mes cheveux, l’autre empoignant l’un de ses seins qu’il pétrit fortement, en roulant le téton érigé et dur entre pouce et index, le tirant à la limite d’une exquise douleur et il la lime à grands coups, se ruant en elle, allant et venant dans son anus défoncé, tout en lui claquant violemment les fesses, comme si elle était sa propriété ? Ce qu’elle se sent être d’ailleurs,.
Marie se sent trouée, pénétrée, ravagée, déchirée, labourée par son sexe imposant elle râle de plaisir et de douleur mêlés à se sentir investie ainsi, ouverte, dilatée totalement pour le plaisir de ce ? Elle ne sait encore comment le désigner devant le bouleversement intense qu’elle subit.
Sa sodomie lui semble durer des heures, Rachid poursuit encore une minute, enfonçant son membre bien profond et quand il sent les spasmes de l’orgasme de Marie autour de sa queue, il jouit avec violence, déversant sa semence dans son étroit fourreau en puissantes giclées.
— Putain, tu as un cul de rêve salope ! On va bien s’amuser avec toi ! Dit il.
Marie est toujours a quatre pattes, elle ne peut pas parler. Elle semble se remettre de l’orgasme qui l’a submergée.
Rachid fait entrer ses deux copains dans la cabine, il faut dire qu’il y a de la place dans une cabine pour handicapé. Il dit a ses copains commentant grossièrement :
— Qu’est ce qu’elle est serrée, la vache j’ai bien cru que j’arriverai pas à me la faire ! Vous allez c’est a votre tour !!!
A ces mots, Marie comprend que son calvaire ne fait que commencer, avec les nouvelles photos qu’ils détiennent d’elle, elle ne voit pas comment elle peut soustraire à l’avenir de leur volonté, déjà elle admet son futur esclavage, elle n’envisage même pas de se rebeller.
Marie est pétrifiée, incapable de bouger. Son cœur bat à cent à l’heure. Elle a du mal à réaliser ce qui se passe. Ses trois jeunes marocains l’ont attirée dans un piège et elle va se faire baiser comme jamais auparavant. Cette pensée la fait frissonner. Rachid lui a fait connaître un plaisir jusque là inexplorés et totalement enivrant. Elle ne résiste pas, elle reste agenouillé devant les trois jeunes qui ont sortis leurs sexes et se masturbent.
— Allez suce salope de française ! Dit Rachid en lui présentant sa queue maculée de sa souillure.
Elle hésite une seconde puis empoigne la hampe d’une main pour entourer de ses lèvres la chair si douce de son gland. Elle le déguste, passant sa langue sur son frein, alterne son rythme parfois lent et profond, parfois rapide et avide comme son mari lui a appris. Elle sent une queue venir se frotter contre sa joue et abandonne celle de Rachid pour gober le membre d’un Hakim impatient, qui d’un coup lui remplit la bouche et se met à la baiser. Il agrippe ses cheveux et lui impose une gorge profonde qui la fait presque s’étouffer.
Rachid s’empare de ses hanches et la remet à quatre pattes puis s’enfile directement dans la moiteur de son puits d’amour. Marie pousse un cri, atténué par le gros membre qui lui remplit la bouche. Elle se sent si bien, comblée par ces deux queues, qu’elle oublie tout ses soucis et s’abandonnant totalement au plaisir.
Hakim échange sa place avec Ahmed et Rachid en profite pour changer de trou et lui ramoner l’anus. Elle n’est plus que désir et volupté, ils la baisent sans relâche, alternant chacun leur place pour goûter à tous ses trous. Elle jouit une première fois, la queue d’Ahmed dans son anus étroit et celle de Rachid au fond de sa gorge.
Elle tremble, ne sent plus son corps. L’orgasme a été si fort qu’elle ne réalise pas tout de suite ce qu’ils vont faire. Hakim se couche sur le sol et elle est transportée comme une poupée de chiffon et empalée sur sa verge dressée. Une main tire ses cheveux, relevant son visage pour lui enfourner à nouveau une queue dans la bouche. Elle ne sait même plus qui est qui et quand elle sent un gland se frayer un passage vers la porte de son jardin secret dilaté, elle essaie bien de protester.
Rachid pousse alors un grand coup, s’immisce dans sa chair si étroite. Il sent la queue d’Hakim à travers la fine parois qui sépare ses deux puits d’amours. Ils se mettent à bouger à l’unisson, adoptant un rythme de plus en plus frénétique.
Marie est si surprise en sentant un autre orgasme pointer son nez, qu’elle ne réalise pas qu’Ahmed va jouir et inonde sa gorge. Elle s’étrangle mais il maintient sa prise, finissant de se vider dans sa gorge.
Hakim lui aussi se répand en elle copieusement. Rachid quant à lui, continue de la pilonner encore plus fort avec bestialité et d’un seul coup, se raidit. Il rugit, sentant la puissance de ses jets s’écraser au fond de son cul.
— Putain tu avais raison Rachid, c’est une sacrée salope ! Commente Ahmed en allumant une clope
— Oui, elle est plutôt bonne cette française, dit Rachid en réfléchissant.
— Tu comptes la présenter à ton cousin ? Pour qu’il continue à nous laisser rentrer dans le complexe de l’hôtel. Demande Hakim.
— Je crois qu’elle est prête ? Oui ! Répond Rachid.
— Un quoi ? Interroge Marie, perplexe.
— Mon cousin ! Je lui doit bien ça ! Comment que tu croit que je peut utiliser cette grande cabine pour baiser toutes ses françaises qui veulent des bites d’arabes dans leur tirelire. Dit il avec un sourire sadique
Marie déglutit, imaginant une seconde ce qu’il lui prévoit pour le reste de son séjour. Elle frissonne, partagée entre angoisse et anticipation. Tremblante elle se relève, sentant le sperme sortant des ses deux puits d’amour couler entre cuisses, elle réalise qu’ils n’ont pas mit de préservatifs, heureusement qu’elle prend encore la pilule.
Ce qu’elle ne sait pas, c’est qu’ils ont tout filmé avec leur téléphone portable.
Sam Botte
La suite demain soir même heure
Bonne soirée
Bonjour à vous moi j’adore ces vraiment très sexy ces quand je suis invité à venir vous voire fred je vous laisse mon numéro de portable 0669078621 bonne soirée a vous fred