Marie c’est assoupie après le départ de mon mari et c’est la sonnerie du téléphone qui met fin à son rêve. Immédiatement la panique l’envahit : c’est Denis !
Comme une adolescente elle ce précipite sur le combiné qui bien sûr dans la précipitation lui échappe. L’angoisse lui fait faire des gestes incontrôlés.
— Allô ? Dit-elle
Elle tremble de tout son corps et sa voix est chevrotante.
— Marie ?
Quand elle reconnaît sa voix, ses jambes se mettent à trembler. Elle est obligée de s’asseoir, mais les mots restent coincés dans sa gorge.
— Marie ? Tu es là ?
Après un moment d’hésitation, elle finit par se répondre.
— Oui Denis, je suis là.
— Dieu soit loué ! Je pensais que tu ne veuilles plus me parler et que tu raccroches.
— Non, pas du tout.
— Ta voix tremble, c’est moi qui te trouble ?
Elle n’arrive pas à se débarrasser de ce tremblement. Au contraire, elle se sent ridicule.
— J’étais endormie et ton appel m’a réveillée.
— Tu es seule ?
— Non ! Oui, enfin je suis seule.
— Bien ! Tu peux venir cet après midi ?
Le cœur de Marie s’emballe, ses mains tremblent sur le combiné qu’elle serre de tous ses muscles.
Cet homme exerce sur elle une véritable pression. Elle doit en cet instant être à ses ordres ! Il peut lui demander n’importe quoi elle le fera.
— MMM ! Oui ! Mais ce n’est plus à vingt heures ??
— Tu peux venir plus tôt, je serai seul. Disons quinze heures ?
— D’accord, à tout à l’heure.
Et comme une imbécile, elle raccroche brutalement tant elle est bouleversée. La sonnerie retentit à nouveau.
— On a été coupé je crois. Je te dicte un changement vestimentaire ?
— Oui, dit-moi.
— Tu viendras sans sous vêtements, s’est à dire nue sous tes vêtements ?
Marie est prise de court. Elle ne sait pas quoi répondre. Elle prend quelques secondes à réfléchir.
— D’accord.
A peine levée, elle file dans la salle de bain, elle va se faire belle, très belle. Pas le temps de soins du corps, sa moule est encore bien claire au dessous de sa toison bien peignée. Ses grandes lèvres ont cette délicate couleur caramel au lait et dedans on voit poindre le rose délicat de son intimité. Elle ce sent belle et prête au sacrifice.
En arrivant chez lui, pile à quinze heures. Dans son ventre elle sent un poids continu, une envie de faire l’amour.
Il va la baiser, il ne la violera pas, mais il la baisera.
Denis la reçoit courtoisement. Elle remarque cependant une certaine tension chez lui. Immédiatement, son regard balaie la pièce et précisément à la recherche d’une caméra cachée. Son sang se glace quand son regard aperçoit deux verres vides et une bouteille de whisky et une petite bouteille de coca cola sur le petit guéridon au fond de la pièce, entouré de deux chaises.
Il a dû se rendre compte de ma surprise car aussitôt il lui dit :
— Rassure toi, nous sommes seuls.
Subjuguée par la chaleur de sa voix, elle n’ose même pas l’interroger sur la présence des verres et de la bouteille.
— Met toi à l’aise !!
Il avance ses mains vers ses épaules, prend les bords de sa veste et délicatement l’en débarrasse. Sans ajouter le moindre mot, il déboutonne lentement un à un les boutons de son chemisier qu’il ouvre pour mettre ses seins en pleine lumière. Il sourit légèrement, affichant sa satisfaction en constatant qu’elle n’a pas mis de soutien gorge. Face à elle, il pose son regard sur sa poitrine. Elle tremble pendant qu’il la reluque.
Son trouble est brûlant. Il voit que les pointes de ses seins se dressent dans une supplique pour être touchés. Elle se rend compte qu’involontairement elle tend sa poitrine vers ses mains à la recherche de cette caresse. Il empoigne doucement les deux sphères, les soupèse, en dessine les contours, en estime la fermeté. Il se met à jouer avec leurs pointes qu’il fait rouler entre ses doigts. Subjuguée, Marie garde son regard fixé dans le sien, à la recherche du moindre signe.
Elle pense alors qu’il cherche à la déstabiliser encore plus en affichant une certaine indifférence.
— Tu as vraiment des seins superbes Marie. Ils sont chauds et ta peau est douce.
Elle reste tétanisée quelques secondes, incapable du moindre geste.
Ses doigts tremblent, sa bouche est sèche. Elle sent le désir monter en elle et l’envahir sous la forme d’une chaleur qui l’envahit jusqu’au bout des doigts.
Denis est retourné s’asseoir, sur son fauteuil face à elle. Sa veste d’intérieur est fermée, ses jambes sont nues. Elle s’imagine qu’il est sans sous-vêtements.
Il a fermé ses yeux et semble s’être endormi. Soudain elle le voit déboucler la ceinture de sa veste et l’ouvrir. Elle n’arrive pas avoir sa queue.
— Quelque chose te trouble Marie ? Pourtant tu en a vu d’autre. Tu ne t’es pas privée au Maroc.
Cette fois ses mots la blessent. Il cherche à l’humilier. Ainsi il a lu son désir et délibérément il choisit son propre plaisir en méprisant le sien. Marie est sur le point de se révolter quand il lui dit.
— L’attente est le meilleur moment du plaisir, non ?
Ces mots désarment sa colère, cette honte, cette humiliation se transforme en excitation.
Oui !! Elle ce soumet à cet homme.
Elle sait depuis le début dans le bureau, qu’elle fera n’importe quoi pour qu’il ne dise rein a son mari. Il ne cherche que son désir sexuel, ordinaire ? Oui !! Elle va ce faire baiser ! Au point où elle en est elle n’a plus rien à perdre. Elle est une femelle en rut !
Les yeux rivés sur lui, son trouble s’accroît quand elle le voit se lever et se diriger vers elle. En se levant il a laissé sa veste d’intérieur sur son fauteuil. Nu, à l’exception de chaussons, il s’avance vers elle. Il se glisse entre ses jambes et les écarte largement.
— Tu sens déjà l’amour Marie. Je crois que tu es assez chaude pour me recevoir en toi. Je vais te baiser. Quand je le voudrai.
Interdite, elle reste muette à attendre son bon plaisir. Ses mots l’excitent. Elle va être sa chose. Jamais elle n’a ressenti un tel désir pour un homme. Ce désir est pervers, elle le sent mais elle ne peut s’y soustraire.
Il soulève et remonte sa jupe, fait une pause. Cette fois encore il regarde son entre cuisses.
Elle entend son souffle s’accélérer, il est satisfait, elle n’a pas mis de culotte non plus.
Elle sent ses doigts glisser le long de l’intérieur des cuisses, là où la peau est si douce si sensible. Ses doigts sont légers. Ils lisent la douceur de sa peau et le désir qu’elle veut lui communiquer. Il s’agenouille et sa tête vient et avance vers sa grotte qu’elle sent brûlante et débordante de mouille. Le doigt d’une main caresse ses lèvres intimes et les écarte à la recherche de son clitoris. Marie a envie de crier, elle est déjà au bord de l’explosion.
Il glisse son autre main vers sa queue s’en saisit et se masturbe lentement.
— Je te veux salope. Je veux te prendre à ton mari, à tes amants, à tes amis.
Tous ces mots l’enivrent. Son majeur a investi sa grotte d’amour. Il en caresse les parois en des mouvements circulaires en augmentant par moment sa pression. L’effet est extraordinairement voluptueux. Soudain un râle s ’échappe de la bouche de Marie quand la jouissance l’envahit. Elle reste inconsciente quelques instants dont elle ne peut estimer la durée. Elle revient à la vie quand elle sent son doigt chargé de sa mouille, forcer sa bouche et lui imposer de sucer son jus.
Elle le suce sans hésiter.
Son Denis s’agenouille devant Marie. Instinctivement, elle écarte ses jambes et avance son pubis pour s’offrir sans vergogne. Elle prend la tête de Denis entre ses mains, et l’attire à elle, vers son sexe qu’elle veut qu’il lèche et en boive la liqueur.
Ses lèvres entrent en contact avec celles de son sexe. Comme une ventouse elle se collent et aspirent la liqueur qui les recouvre. Marie a l’impression qu’il va aspirer tout son corps, qu’il va l’absorber. Il aspire, elle se vide, ses liqueurs ses humeurs, tout, elle lui donne tout. Un deuxième orgasme s’annonce. Il s’en rend compte.
Il sait la faire jouir avec sa langue. Mais sait il qu’elle en désire plus ? Une seconde fois elle a envie de lui crier de la baiser. L’a-t-il entendue ? Il se décolle d’entre ses jambes.
— Tu es prête. Je vais te baiser. Mais d’abord tu va découvrir un plus. Il se relève.
Marie écoute, acquiesce, entend. Oui, elle le laissera la sodomiser alors qu’elle n’a pas laissé son mari le faire. Aujourd’hui, elle en a presque envie. Il lui caresse les fesses, les écarte, glisse un doigt le long du sillon qui sépare ses deux rondeurs. S’approche de la petite porte de ses reins, commence par la contourner, appuyer légèrement dessus.
— Tu as un beau cul aussi. Je sais qu’il n’est plus vierge.
Puis il vient poser ses mains sur ses épaules et l’invite à s’agenouiller sur le fauteuil.
Marie tremble, elle a peur, mais elle le sait, elle est prête à tout pour son silence.
Il prend un foulard dans le tiroir près de lui, le lui passe sur les yeux et avec précision, il l’enserre autour de sa tête pour la rendre aveugle complètement. Puis il lui enlève son chemisier, puis sa jupe pour la mettre nue. Il s’éloigne de quelques centimètres d’elle, il la contemple. Le trouble de Marie s’accroît quand il la fait tourner sur elle-même.
Il se place à ses côtés et d’une main il lui caresse un sein et de l’autre il lui flatte les flancs et les fesses. Il lui écarte les cuisses pour lui ouvrir les entrailles. Soudain elle réalise que dans cette position et ainsi orientée, elle offre une vue imprenable aux deux chaises vides près du guéridon. Elle dresse l’oreille à la recherche du moindre bruit qui lui révélerait une présence. Mais rien. Elle sursaute quand elle sent son doigt reprendre l’exploration de son anus. Il tourne autour, le presse.
Les ondes de plaisir de cette caresse si particulière, parcourent tout son corps. Cette sensation est si différente de celle qui prend naissance dans sa moule ou sur le clitoris. C’est la sensation de la soumission. Offrir ses entrailles à l’homme est le signe de la soumission absolue. Et quand le premier doigt la pénètre, elle a du mal à retenir un petit cri. Après une crispation réflexe, son sphincter se relâche, s’ouvre et s’avance pour le recevoir plus profond.
— Dis-moi salope, tu es sensible du cul, il me semble. Je veux t’entendre le dire.
— Oui, Denis.
— Quoi ? Précise !
— Tu me fait du bien avec tes doigts.
— Mes doigts qui t’enculent ?
— Oui, c’est ça.
Marie vient à peine de prononcer ces mots que le bruit de la bouteille qui heurte un verre se fait entendre. Elle se fige. Il s’en rend compte.
— Tranquille, tranquille belle salope. Tout doux, n’aie pas peur, je suis là !
Marie est pétrifiée. Elle en est sûre maintenant, qu’elle est offerte à d’autres yeux qui la regardent.
A des voyeurs. Elle panique, mais au lieu de chercher à démasquer l’intrus, de se révolter, elle se met à geindre sous le doigt qui la fouille. Elle a envie de s’offrir en spectacle. Comme, petit à petit, elle se relâche, son Denis lui susurre à l’oreille.
— Tout doux ma belle. Tout doux. Tu vas connaître un grand plaisir.
Il termine sa phrase, elle pousse un cri de surprise mais aussi de douleur. Une main vient de s’abattre sur sa fesse avec une violence inattendue. Instinctivement elle resserre ses cuisses quand une autre claque s’abat sur son derrière.
Elle veut lui dire d’arrêter mais aucun son ne sort de sa bouche.
— Tout doux Marie. Tout doux. Imagine tes fesses rougies par cette fessée et cela m’excite. Imagine à ton tour qu’on te regarde, que de nombreux hommes assistent à ta débauche. Tu aimerais ?
Marie n’arrive encore pas à répondre. Elle a la certitude qu’ils ne sont pas seuls. Et son excitation s’accroît à cette idée.
— Réponds-moi salope.
Son ton s’est raffermi.
— Tu sais que j’aime qu’on me regarde. Qui est-il ?
— Tu ne le connaît pas bien sûr !
— Ils sont plusieurs ?
Au lieu de lui répondre, il l’a contourne et s’éloigne d’elle. Il la laisse là, offerte à la vue d’inconnus.
Elle sent qu’elle mouille de plus belle. La situation est fort excitante et pour rien au monde elle souhaite enlever son bandeau.
— Cambre toi bien. Je veux que tu plaises à tout ces yeux qui te regardent.
Sans hésiter, elle s’exécute, ce cambrant au maximum pour faire ressortir ses rondeurs.
— Très bien ma belle pute. Tu es obéissante.
Au lieu de la blesser ces mots lui chauffent les entrailles. Pas besoin de voir, il sait qu’elle lui obéit.
— Maintenant montre nous ton sexe et ton petit trou. Ouvre toi ?
La tête appuyée sur le dossier du fauteuil pour libérer ses mains, elle écarte les deux globes de ses fesses pour offrir son intimité à aux voyeurs.
Le silence qui suit est lourd. Personne ne bouge, si bien qu’elle en arrive à douter d’une quelconque présence.
— Tu veux qu’on te baise ? Ma salope !!
—OOH! OUIII ! Mais que toi, j’ai envie que de toi mon Denis.
— Ton mari n’en saura rein ? Bien sur !
C’est à cet instant qu’elle perçoit nettement le grincement d’une chaise au fond de la pièce. Quelqu’un s’est levé.
— Enlève les mains de tes fesses maintenant, mais reste le cul bien haut.
Marie est terrorisée. Quelqu’un s’approche, elle en est sûre. A quatre pattes sur ce fauteuil, le cul dirigé, orienté vers cet inconnu. Denis lui prend les mains qu’il porte aussitôt sur le dossier sur lequel repose sa tête. C’est la position de soumission absolue. Elle se rend compte que cette soumission devient effective. Car Denis est un directeur avec elle, la réduisant à un simple objet sexuel, réduisant ses résistances, Marie y prend elle-même un plaisir jusque là jamais ressenti.
Devrait-elle demain ce faire diriger pour jouir ? L’idée lui faisait peur. Mais à ce moment précis elle mouille et cela doit se voir, la vulve ouverte.
Marie rendu aveugle, il l’affiche vers des yeux, des regards bien réels dont elle ne sait rien. Une onde, une vague un frisson envahit la totalité de son corps.
Ses bras, ses jambes, ses mains se mettent à trembler, pourtant elle reste là !
Entachée de déshonneur, l’humiliation suprême, l’abandon de toute pudeur. Bien plus qu’au Maroc. Maintenant, qui la regarde, qui la voit et voit la profondeur de son âme. ?
Qui assiste au spectacle de cette femme s’abandonnant à ce point ? Marie a envie de pleurer et en même temps de jouir.
Soudain une pensée traverse son esprit, elle pense à son mari et a ce qu’elle est en train de faire. Elle a mal, mais le désir d’être possédée par un homme est toujours le plus fort.
Elle va le laisser faire d’elle ce qu’il veut.
Son désir est un mélange de dépendance de sexe et de désir. Elle s’imagine qu’elle est sous l’influence d’une quelconque drogue. Mais là elle n’a pas cette excuse d’être sous l’emprise d’une molécule. C’est son âme qui réclame. Son âme qui commande à son sexe, sa libido et qui l’appelle à succomber et se soumettre.
Marie a le désir et en même temps elle a peur. Peur de cet inconnu personnalisé dans cette ombre
qui, elle le sent, s’approche d’elle, doublement vulnérable. Le bandeau qui la prive de la vue et cette position si humiliante, les fesses écartées, ouverte aux désirs d’inconnus. Tout va si lentement !
Soudain, sans vraiment les contrôler, elle se surprend à relâcher les sphincters de son anus. Suprême offrande : elle ouvre encore plus l’accès à ses reins. Sans plus aucune défense elle s’abandonne.
Encore une fois, elle en appelle au viol, à la déchéance.
Elle sent couler le long de ses cuisses cette liqueur, abondante, débordante. Elle découvre que jamais elle n’a autant mouillé. Tant de cyprine libérée est le juste témoin de son acceptation, mais aussi à cette situation.
Mais qu’ils la prennent ! Qu’ils lui prennent la moule, le cul, tout son corps leur appartient. Et sa vie aussi. Elle est tellement subjuguée et dans l’attente d’être prise qu’elle ne réalise plus ce qu’elle risque. Sans protection, sa vie est en danger ! Denis, elle le sait clean, mais le ou les autres ?
Elle en oublie même qu’elle peut être encore féconde.
Denis s’écarte lentement d’elle, elle panique, elle a peur qu’il l’abandonne à cet inconnu qu’elle sent s’approcher inexorablement. Elle écoute, elle est prise d’un tremblement incontrôlable. Elle sent les mains de Denis se poser sur son dos, lui flatter le flanc comme s’il voulait calmer un cheval fou.
— Tout doux ma belle. Tout doux. Tu es venu pour ça, tu sera la star de mon site, puis moi je suis là.
L’inconnu s’approche elle le sait, elle le perçoit. Tout en elle se tend vers ce contact qu’elle recherche. Que tout en elle le réclame. Elle a trop envie que ça recommence avec des inconnus comme au Maroc. Une autre queue, oui, mais une queue en elle !
Elle n’en peut plus. Elle est excitée au point de se laisser prendre par un inconnu.
Sam Botte
La suite demain soir même heure
Bonne soirée
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