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Initiation de Marie qui veut devenir une salope Chapitre 7

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Le lendemain, ils ce retrouvent au travail, essayant de se comporter normalement mais cela demande à Marie des efforts considérables pour rester indifférente.

— Comme ton mari est absent pour un bout de temps, je passe chez toi ce soir. Tu m’attendra à quatre pattes et nue dans ton entrée. Compris ? Lui dit Denis.

— Oui ! Mon Denis. Répond Marie.

Denis veut la pousser au bout de l’humiliation, au bout de la perversion. Il vient pour la dominer. Mais en surplus, il compte bien la souiller aussi.
Il veut changer sa vie. La transformer et l’amener tellement loin que tout retour en arrière sera impossible. Qu’elle ait du mal à se regarder dans un miroir. Qu’elle ait du mal à sourire à son mari tellement le souvenir de ce qu’il lui aura fait la hantera.

Marie est là dans l’entrée, nue à quatre pattes les yeux brillants d’amour.

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Une idée lui est à l’esprit. L’idée la plus perverse qu’il n’ait jamais eu.

Mais avant toute chose, il sort de sa poche un collier en cuir. Et une laisse. Il se baisse et lui passe le collier autour du cou. Il voit dans son regard qu’elle est déconcertée. Et choquée. Un collier de chienne. Un collier d’animal.

Elle le comprend tout de suite. Elle en a presque honte de sa réaction. Pas de son absence de réaction. Mais du fait qu’elle sent sa moule s’inonder d’envie et de désir. Puis, toujours sans un mot, il attache la laisse au collier. Elle est une chienne, pas juste au sens figuré maintenant. Mais bel et bien au sens propre.
— Allez fait moi visiter ta maison ?
Marie lève les yeux vers lui puis, tout en restant à quatre pattes, elle lui fait la visite. Elle s’amuse à dandiner son cul au maximum. Elle veut l’exciter. Lui il veut l’humilier. Elle lui fait visiter le salon. Puis la cuisine. Là il l’arrête.

Il l’a fait se relever et la soulève comme une plume de manière à ce qu’elle soit assise face à lui sur la table de la cuisine. Cuisses ouvertes.
— Tu veux que je te baise ?
— OH ! Oui !
— Alors demande le pour commencer ?

— Baise moi mon Denis ?
— Mieux que ça, j’ai l’impression d’avoir une gamine là !
— Baise moi. Je t’en supplie, baise moi. J’en meurs d’envie depuis ce matin. Défonce moi ?

Il s’approche. Le bout de son gland touche l’entrée de sa moule dégoulinante d’envie.
— Tu es une chienne ?
— Oui ! Oh oui !
— Alors dis le ?

Elle prend quelques secondes avant de répondre. Le dire va rendre ça tellement réel. C’est le genre de mot qu’on ne peut pas nier ou oublier une fois qu’on l’a prononcé. Malgré tout, elle n’hésite pas.
— Je suis une chienne !

Elle voit son sourire. Un sourire sadique. Un sourire pervers.
— Aboie.
— Quoi ? Elle est réellement choquée.
— Tu es une chienne, tu viens de le reconnaître. Alors aboie. Et je te baiserai !

Ses yeux sombres, son regard de braise planté dans le sien font tomber ses dernières barrières morales. Elle est vaincue. Et heureuse de l’être.
— Ouaf !
— Encore !
— Ouaf ! Ouaf !

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Il s’enfonce alors d’un seul et violent coup de rein tout au fond de son ventre. Et sans perdre une seconde, il la baise violemment, le plus fort possible. Elle veut se laisser aller en arrière, s’allonger sur la table de la cuisine mais il tire sur la laisse pour l’en empêcher. Comme on fait avec un animal.

Elle ne peut se retenir de gémir, de crier son plaisir. Jamais ses murs ne l’ont entendus prendre un tel plaisir. Encore moins dans la cuisine.

A son grand désarroi, il s’arrête après moins de trois minutes et sort de puits d’amour. Il recule et en tirant sur la laisse, il lui fait comprendre qu’elle doit descendre et reprendre sa position à quatre pattes. Ce qu’elle fait avec un grand sourire.

— Amènes moi dans ta chambre. Je veux voir ton lit conjugal.

Ce dernier mot lui glace le sang. Et il le sait. C’est fait exprès même. Malgré tout, elle obéit et docilement, elle le guide jusqu’à sa chambre ou trône le grand lit.
— Monte dessus !
Elle obéit, tout en restant à quatre pattes.
— Tu te souviens de ce que tu m’as demandé tout à l’heure ?
— Heu ? Oui ?
— Tu m’as dis quoi alors ?
— Je t’ai demandé de t’occuper de mon petit cul ?
— Et tu voulais dire quoi alors ?
— Je te demandais de me sodomiser ?
— HMMMM ? Tu es une vraie chienne. Tu aime ça maintenant ?
— OH ! Oui.
— Moi aussi j’adore ça. Je vais t’enculer dans ton lit conjugal comme une bonne catin.

Il agrippe alors ses hanches et elle sent sa queue bien raide contre l’entrée de ses reins. Il va l’enculer là, dans le lit où elle dort avec son mari tous les soirs. Il va la traiter comme une putain dans les draps où elle jouait le jeu de la femme parfaite au côté de son époux.

La vague de chaleur qui envahit son ventre à cet instant faillit la faire jouir sans même qu’il ne la touche. Au point qu’elle prend l’initiative.
— Encule moi. Je t’en supplie, encule moi, salie moi, souille moi. Je ferais ce que tu veux mais encule moi, fait moi pleurer, souille à jamais mon corps dans cette pièce. Après ça je t’appartiendrait sans aucune retenue.

Si elle avait tourné la tête, elle l’aurait vu sourire comme jamais. Il ne prend pas la peine de lui répondre. Du moins verbalement. Il force l’entrée de son rectum en pressant fortement. Elle serre les dents, tellement il est épais. Il l’ouvre littéralement. Son cul est défoncé, dilaté encore une fois.

Il l’attrape par les cheveux et sans aucune retenue, il l’encule sauvagement à sec. Elle hurle de douleur et de plaisir mêlé. Elle ne peut se retenir de pleurer, ce qui ne fait qu’amplifier son plaisir à lui. Mais à aucun moment, elle ne lui demande d’arrêter ou de ralentir. Et l’explosion de son plaisir dans son ventre déclenche l’orgasme le plus violent de sa vie. A tel point qu’elle ne peut se retenir et s’effondre sur son lit….

Quand elle se réveille, elle s’aperçoit qu’elle n’est plus dans son lit mais sur quelque chose de bien moins confortable ? Une table ? Oui, celle de sa cuisine. Une toute petite table de bois vernie, solide et idéalement proportionnée : couchée sur le ventre, elle a aussi bien la tête dans le vide que le postérieur.

Elle essaye de se redresser mais prend vite conscience que c’est impossible, Elle a les poignets liés par des sangles de cuir accrochées aux pieds de la table. Elle prend peur un instant mais le regard de son Denis est posé sur elle et dès qu’elle le croise, l’excitation remplace vite sa crainte. Ça l’excite même davantage.

Dans cette position, elle est complètement offerte, soumise à son bourreau qui la regarde émerger lentement.
— Alors ma petite chienne, tu es prête à te faire défoncer à nouveau ?
— Oh oui ! Vas y fais tout ce que tu veux de moi.
— Supplie moi, tu sais que j’aime ça.
— Je t’en prie, viole moi la bouche. J’ai si soif de ton foutre ou encule moi sauvagement si tu préfères, je t’en supplie mon Denis je veux sentir ta queue en moi ! Je veux que tu me ravage.

Denis sourit et se présente derrière elle, caressant ses fesses tendues et offertes du plat de la main. Marie gémit sous la douceur de ces caresses si inattendues. Il n’est jamais question de tendresse entre eux et c’est bien ce qui la rend si animale, si charnelle.

La caresse cesse vite, immédiatement remplacée par une bonne fessée sur la fesse droite. Marie sursaute, la douleur est brève mais le plaisir qui l’inonde dure de longues secondes…
—HMMM? Oui encore ? S’entend t elle réclamer

Il recommence, plus fort cette fois. Sa peau si claire, marque tout de suite. Une empreinte rouge se dessine sur sa croupe, rendant Denis fier et encore plus excité. Son boxer est devenu très inconfortable et l’envie de la fourrer est trop pressante. Il se met face à elle, sa grosse queue posée sur ses lèvres humides et la fesse une nouvelle fois. Cela tire un cri a Marie, qui lui fait ouvrir la bouche et Denis en profite pour y glisser son imposant membre directement dans le fond de la gorge.

A ce moment, il perd le contrôle, se déchaînant dans sa bouche, une main lui tenant la tête, l’autre lui assénant quelques claques bien sonores. Il a fait ce qu’elle lui a demandé : il lui viole littéralement la bouche, lui arrachant des larmes mais jamais aucune protestation.

Marie est prise d’un violent orgasme alors même qu’il ne la touche pas. Denis, lui, continue ses va et vient frénétiques encore et encore. Il sent l’orgasme monter, il saisit les oreilles de Marie qu’il tire vers son pubis. Son nez est noyé dans les poils pubien de son Denis.

Il a planté sa queue au fond de sa gorge. Il explose dans ce bain de salive. Les longues giclées de spermes s’étalent dans le fond de cette gorge, certaine vont directement dans l’œsophage tant son jet était puissant.
— Tu vas m’attendre sagement, j’ai quelques petites choses à faire.
— Tu vas me laisser attachée comme ça ? S’inquiète t elle, et si quelqu’un rentre et qu’il me voit comme ça ?
— Tu veux dire s’il voit la salope que tu es vraiment, ligotée à une table, la chatte attendant le mâle.

Ses mots font frissonner la Marie. Oui, elle a peur. Mais à ce moment là ce n’est pas ce qui lui importait le plus. Ce qu’elle veut, par-dessus tout, c’est son plaisir. Elle veut le faire bander à en crever, le satisfaire à n’importe quel prix.

Son véritable plaisir secret, ce qui la rende dingue, ce n’est ni les cunnilingus, ni les autres attentions, ce n’est même pas les fessés ou le fait d’être ligotée. C’est de le voir prendre son pied, de l’amener au comble du plaisir, lui donner tout ce qu’il veut et de sentir jaillir sa semence en elle. Sa jouissance est la sienne.

Tandis qu’elle est attachée, nue et encore salie de ses précédents traitements, elle se remémore chaque orgasme qu’elle lui a apporté et combien c’est bon de se sentir si remplie par cette queue aux proportions exquises.
Il s’écoule plus d’une heure avant qu’il ne revienne enfin. Il tient dans sa main un objet, qu’elle n’arrivait pas à identifier.
— Tu as été sage ma salope ?
— Oui je n’ai fait que penser à ta queue…
— HMMM, ça tombe bien, j’ai une petite surprise pour toi. Tu as été une bonne petite chienne, tu m’as bien pompé. Maintenant je vais m’occuper de ton petit cul, mais avant ?

Il place alors l’objet en question à l’entrée de sa grotte trempée et elle peut constater que c’est un gros gode, aux proportions identiques à celle de son amant, monté sur une ceinture. Elle salive à l’idée de ce qu’il lui a prévu.
Elle va être complètement remplie, sa grotte comme son cul, comme dans ses rêves les plus fous. Souillée, ravagée. Elle en meure d’impatience en se tortillant, tirant sur ses liens pour se rapprocher de lui.

Il fait d’abord entrer le gode dans sa moule trempée puis, enfin prend possession de son cul comme il le désire tant depuis qu’il l’a quitté. Il s’enfonce en de puissants coups de reins, une fois, deux fois, trois fois. S’arrête un instant puis reprend un rythme lent et profond. Marie hurle de plaisir, plus rien ne compte à part son Denis qui la défonce complètement sur cette table. Elle veut qu’il aille plus vite, sa lenteur est une torture
— Plus vite ! Plus vite ! Supplie Marie.

Pour toute réponse, il lui assène une grande claque sur la fesse, lui arrachant un cri douleur.
— Demande mieux que ça ? Ordonne t il d’une voix grave.
— Je t’en prie Mon Denis défonce moi. Ruine moi. Donne moi ton foutre !
Enfin, il lui donne ce qu’elle réclame. Il la laboure, la ravage. Son membre si épais est encore plus à l’étroit qu’à l’accoutumée et il doit se freiner un peu, afin de savourer encore son rectum.

Il n’a pas encore choisi où est-ce qu’il va se répandre. Sur son visage ? Ses fesses ? Au fond de son ventre ou de sa gorge ? Il a là un large choix. Quoi de mieux pour un mâle dominant tel que lui.
A mesure qu’il la démonte, la petite table de la cuisine se déplace sous la force de ses coups. Il lui agrippe les épaules pour la stabiliser et se remet à la pilonner sauvagement.

Marie ne sait plus à combien d’orgasmes elle en est tellement le plaisir est fort. Elle ne voit plus rien, n’entend rien d’autre que le claquement de ses cuisses contre ses fesses et les gémissements rauques de son Denis.
— Oh oui ! Putain ! Mon Denis ta queue est si bonne.
— Tu veux mon foutre ?
— Oh ! Oui ! Oui ! Je le veux, je l’attend !

Il a enfin prit sa décision et se retire pour exploser au fond de la gorge de cette chienne qui ne demande que ça. Son orgasme est fulgurant, il maintient son visage contre son sexe, attendant jusqu’à ce que la dernière goutte de sperme sorte de sa délicieuse queue.
Une fois qu’elle a convenablement nettoyé son sexe, Denis se rhabille et la détache. Puis il part, en lui sommant de tout ranger.

Sam Botte

La suite demain soir même heure

Bonne soirée

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