J’ai 18 ans, je suis un mec et je baise un grand père de 73 ans

Bonjour,

Alors je n’ai plus exactement 18 ans, mais 19 maintenant. Je m’appelle Kim, j’habite à Saint-Etienne et depuis presque deux ans maintenant, je baise avec un papy de 73 ans. Il aime que je m’occupe de lui et cela tombe bien, car j’adore qu’il s’occupe de moi. Je sais que certains vont trouver cela immoral et tabou, mais je crois que je suis vraiment au bon endroit pour vous raconter mon histoire taboue.

Je venais d’avoir 18 ans lorsque j’ai rencontré Marcel. Je passais devant sa maison tous les jours en allant au lycée. J’ai tout de suite remarqué qu’il me regardait avec insistance. Il se débrouillait pour être systématiquement dehors lorsque j’allais et revenais de l’école. De fil en aiguille, nous avons sympathisé et il m’a invité à entrer pour prendre un verre. Nous discutions tranquillement et au fil des semaines, il m’a fait comprendre qu’il avait une attirance sexuelle pour moi et que si j’étais d’accord, il pourrait me faire du bien et m’apprendre le plaisir que l’on a à coucher non seulement avec un homme, mais qui plus est, plus âgé.

À notre premier rendez-vous coquin, il était en peignoir et l’a tout de suite retirée. Je voyais son corps vieux et marqué par le poids des années. Au début, j’avoue que je n’étais pas du tout excité. Mais c’est lorsqu’il est venu coller son sexe contre moi que j’ai eu ma première érection. En tout cas avec un homme. Il m’a fait me mettre à l’aise j’étais tout nu moi aussi. Il s’est accroupi devant moi et a pris mon sexe en bouche d’une manière très tendre. Il m’a sucé le gland tout en me malaxant les couilles. Il me malaxait les fesses et cherchait à me faire aller profondément dans sa gorge. Il était très excité, car cela faisait longtemps qu’il n’avait pas senti une verge aussi dure. Il m’a expliqué au fil de nos rendez-vous tout ce qu’il aimait faire. Il aimé me sucer la bite, me malaxer les fesses, me bouffer l’anus et me manger les tétons. Il aimait que je lui fasse exactement la même chose et que je lui jute sur le visage. Papy Marcel du haut de ses 73 ans a fait évoluer nos rendez-vous coquins qui passaient d’une suce branle à la pénétration. Il ne bandait pas assez fort pour me prendre. De toute façon, je ne sais pas si j’étais prêt pour ça. Il m’a demandé de le prendre après lui avoir bouffé le cul.

La première fois, il était allongé sur le dos et avait mis des coussins sous ses fesses. Il avait replié ses jambes sur sa poitrine et m’offrait son paquet fripé et son anus ouvert. Je lui suçais la bite pour lui donner une demi-molle. Je lui ai ensuite bouffé le cul en enfonçant ma langue au fond de son anus pendant que je le branlais. Il m’a dit de venir le prendre et de tout lui mettre jusqu’aux couilles. Papy Marcel avait le langage assez cru. Je me suis exécuté et je lui ai mis mes 20 cm dans le cul. Il me tenait par le torse pour que j’aille plus profond. Mais cela n’était pas possible ! Je crois qu’il aurait aimé que je rentre tout entier à l’intérieur de son cul ! Je l’ai sodomisé pendant un moment puis il s’est mis à me travailler les tétons. L’excitation était trop forte et j’ai joui dans son cul. Je me suis excusé, car nous n’avions pas parlé de cela. Il m’a dit que ce n’était pas grave, mais que cela été tout de même idiot de gâcher mon précieux foutre. Il aimerait que je lui jouisse sur le visage, dans la gorge ou sur la bite.

C’est exactement ce que nous avons fait les rendez-vous suivants. Je l’enculais dans toutes les positions possibles et imaginables et je me retirais au dernier moment pour lui arroser la rondelle, éjaculer sur sa bite et ses couilles, mais également au fond de sa gorge et sur ses jolies lunettes. Grand père Marcel aimait avaler mon sexe juste après que je l’ai enculé. C’était un véritable cochon.

Je continue de le voir, mais de manière plus espacée. Il vieillit et n’a plus autant de désir qu’avant. Il aime cependant continuer de me sucer la queue et que je décharge dans sa bouche. Le matin lorsque je passe devant lui, je viens me faire sucer un petit peu et le soir en rentrant je décharge tout mon sperme dans papy Marcel.

Cette histoire était secrète jusqu’à maintenant, mais comme j’ai changé mon prénom, ma ville et quelques détails, je ne pense pas que quelqu’un fasse le rapprochement. Je vais faire lire cette histoire taboue à grand-père Marcel en espérant que cela l’excite et qu’il reprenne goût à nos parties de sexe quotidiennes.

Kim, 19 ans, Saint-Etienne.