Cela date de l’année dernière, mais j’en ai encore honte. J’avais 37 ans, ma sœur 33 et mon fils presque 17 ans. J’étais divorcée depuis quelques mois et j’avais la garde de mon fils. Comme je n’avais pas trop le moral, ma sœur m’avait invitée dans sa petite maison, tout près d’un village. Ma sœur, célibataire, a un mode de vie libre et ses amants se succèdent, tant elle ne désire pas s’attacher à qui que ce soit. À cette époque-là, en août de l’année dernière, elle était donc seule, d’où son invitation. Je pensais passer quelques jours tranquilles avec ma sœur et mon fils. Ce fut un enfer ! Mais si j’en ai encore honte, c’est que leur machination m’a entraînée dans des situations tout à la fois perverses et excitantes et qu’en y pensant, j’en mouille encore ma culotte. Tout avait commencé ainsi. (Je raconte au présent)
Elle est venue nous chercher à la gare de la ville voisine avec sa voiture. Les deux premiers jours se passent normalement. Mais, à partir du troisième jour, la météo annonce une période de canicule prévue pour durer quatre jours. Ce jour-là, donc, vers 11 heures, Jeanne rentre à la maison, en compagnie de Paul. C’est moi qui lui ai suggéré d’accompagner sa tante pour l’aider à faire des courses à la ville voisine, en voiture :
— Quelle chaleur ! Cet après-midi on annonce 33 degrés. Moi, je vais me mettre en maillot de bain. Je vous invite à en faire autant. Si vous n’en avez pas, je peux vous en prêter un. Dans le jardin, le tuyau d’arrosage permettra de nous rafraîchir.
— Ben… C’était pas prévu… alors je n’ai rien de tout ça.
Jeanne me sourit :
— Suffit de le dire, j’ai ce qu’il faut : trois maillots deux pièces à ta disposition et pour ton fils, j’en ai même deux. Il devra les essayer, mais pour ma grande sœur, les miens devraient aller, nous avons la même taille.
Je soupire. Les maillots, pour Paul, ont sans doute appartenu à ses partenaires du moment et oubliés là. Ceux pour moi doivent être assez petits. Jeanne est plutôt délurée et ça vient de me revenir à l’esprit. Elle revient avec deux maillots et deux slips :
— Tiens, essaies ceux-là. Je ne les mets plus depuis longtemps. Pour Paul, voici les deux que j’ai.
Je monte dans la chambre au premier étage. Le premier est un poil trop serré, mais le deuxième me va plutôt bien, bien que je le trouve un peu petit : slip taille basse tenu de chaque côté par une large élastique et soutien-gorge avec les bonnets bien séparés et retenus entre eux par une bande élastique : le tout en bande de couleur verte et blanche. Dans le miroir du petit salon, je constate que mes fesses sont en partie découvertes. Mais bon, je descends les rejoindre.
Quand j’arrive dans la cuisine, c’est pour voir ma sœur en quasi-Bikini, petit slip qui montre plus qu’il ne cache et soutien-gorge qui met, si besoin était, sa belle poitrine en valeur : des seins laiteux, bien tenus avec des bonnets C, en prime. Quant à mon fils, il arbore un slip noir, taille basse et ceinturé lui aussi d’un élastique : un peu trop moulant à mon goût, mais bon…
— Tu es ravissante, Eve ! Il te va très bien, tu sais.
— Hum ! Mais un peu petit, tu ne trouves pas ?
— Mais non, tu te fais des idées. Et puis nous sommes à la maison. Nous ne gênons personne. Bon, nous allons mettre la table pour le déjeuner. Nous mangerons ce qui reste d’hier !
Nous nous mettons à table. Jeanne est en face de moi, tandis que Paul est sur le côté droit. Jeanne bavarde gaiement avec nous, servant et resservant le vin rosé qu’elle a acheté. Comme je lui en fais — gentiment — la remarque, elle hausse les épaules :
— Lâche-toi un peu, veux-tu ? Tu es ici pour oublier tes soucis et faire ce que tu veux. Il est bon, ce vin, n’est-ce pas ?
J’en conviens, même si je commence à avoir le rouge aux joues. Et le manège de Paul commence à me mettre mal à l’aise : de temps à autre, il mate carrément les seins de ma sœur, que le décolleté généreux dévoile largement.
Le repas terminé, le café prit, nous faisons la vaisselle. Puis Jeanne nous invite à nous reposer. Je monte donc à ma chambre et m’allonge sur le lit. Paul s’est installé dans la chambre voisine. Ma sœur, bien qu’elle ait une troisième chambre, a dit préférer rester sur le canapé de salon au rez-de-chaussée.
D’abord la chaleur m’empêche de dormir, mais je finis par glisser dans un sommeil léger, entrecoupé de réveils. Quand je décide de me lever, il est un peu plus de 15 h. J’ai donc somnolé une bonne heure et demie. Paul n’est plus dans sa chambre. En bas, personne non plus. Ils doivent être dans le jardin. C’est alors que je vois venir vers moi, Paul, tout excité. Je n’ai pas ouvert la bouche, qu’il me lance :
— Maman ! Tante Jeanne est toute nue dans le jardin !!
Je n’en crois pas mes oreilles. Je vais à la fenêtre du salon, qui donne sur le jardin. Jeanne est là, assise sur un banc, tout près d’une cabane de jardin, complètement nue, les jambes écartées. Comme elle se redresse, elle me voit et se lève et me rejoint dans le salon :
— Alors, Eve, tu t’es bien reposée ? Il fait chaud, n’est-ce pas ? Je ne pouvais même plus supporter le maillot. Ça ne te dérange pas j’espère ?
Je n’en sais trop rien, à vrai dire. C’est que maintenant que je suis debout depuis un moment, je sens que je suis encore dans les vapes. N’a-t-on pas bu quelque chose avec le café ? Jeanne a dû m’offrir un digestif au motif qu’avec la chaleur on digérait mal. Et cela mélangé aux verres de vin n’arrange pas les choses. Ma sœur me regarde en coin. Elle doit bien voir que je suis un peu pompette, les joues encore rouges. Elle envoie mon fils m’apporter un verre d’eau de la cuisine. Quand il revient, une fois en face de moi, je ne peux que voir la protubérance qui tend son petit slip. Je veux avoir l’air outrée :
— Alors, comme ça, tu bandes devant ta tante ? Tu n’as pas honte ?
Sa réponse me sidère :
— Maman, ses nichons m’excitent. Elle me rend fou !
Je m’attends à ce que Jeanne le réprimande pour oser tenir de tels propos devant sa mère, mais non :
— Ton fils est un coquin. Tu sais qu’il me matait depuis la fenêtre du salon et se touchait la quéquette ? Sa grosse quéquette ! Mes nichons le rendent fou… et il n’est pas le seul, crois — moi. Il m’a même avoué une chose inimaginable… mais qui va te plaire sûrement : il m’a dit tout de go que « maman, je la trouve bien bandante, avec ses tenues très courtes, ses cuisses à l’air, ses belles fesses… »
Je suis toujours un peu embrumée. Il a bien dit bandante ? Ou bien, c’est ma sœur qui invente, afin de provoquer le déclic ? Jeanne veut que je glisse à nouveau dans le passé, que je retrouve ces sensations interdites, mais tellement délicieuses quand elle et moi, il y a une quinzaine d’années, nous nous laissions aller aux plaisirs lesbiens, ma sœur étant bi.
— Allons, je sais que tu en as envie ! Viens dans la cour !
Jeanne m’entraîne vers ce lieu situé derrière la maison : un carré de terre battue, mais que la disposition de la maison et la palissade qui la sépare du jardin, cache à la vue de tout le monde. C’est là qu’est aussi la niche du chien, que ma sœur a depuis deux ans.
— Enlève tout ! Tu veux que je t’aide ?
Je la laisse faire et je me retrouve nue devant mon fils qui, bien sûr, nous a suivies. Je le vois exhiber son sexe, d’une taille intéressante. Dans mon dos, Jeanne me susurre :
— Tu vois, ton fils bande pour toi aussi. Tu l’excites… Il a une belle queue, hein ?
Je regarde la queue de mon fils, dressée à l’horizontale. Toujours dans mon dos, Jeanne commence à me caresser les seins. Je frémis. J’avais oublié ces sensations et maintenant elles reviennent en vagues. Je voudrais résister, mais je ne peux pas… ou plus. La main de ma sœur me masse le ventre. Je regarde mon fils : ses yeux ont l’air de scruter chaque pli de ma peau.
— Tu n’as jamais touché la quéquette de Paul ? Tu en as envie ? Je suis sûre que tu en as envie !
Jeanne, tentatrice. Pendant que je faisais la sieste, voire même déjà en faisant les courses ces deux-là, ont certainement eu le temps d’imaginer ce scénario. Elle me pousse en avant. Le sexe turgescent de mon fils est à portée de main. J’ai honte, mais ma main s’avance pour toucher cet engin de chair et de veines, le gland déjà décalotté. Le contact est électrique. C’est chaud, tout comme les couilles que j’effleure au passage. Je finis par saisir sa queue dans ma main et je le branle doucement. Il devient fou d’excitation et je l’entends dire des mots que j’aurais jugés innommables dans d’autres circonstances :
— Oh oui, maman, branle-moi. J’aime sentir tes mains sur ma bite. Tu es vraiment excitante… et tu as une belle chatte, de beaux nichons… Tante Jeanne est bandante aussi. J’ai envie de vous voir faire des choses ensemble…
Paul est tellement excité qu’il finit par juter. Et ça gicle si fort que je reçois sa semence, par saccades, sur le ventre. J’ai encore sa queue entre mes doigts, tandis que je laisse le foutre dégouliner jusqu’à ma vulve. Jeanne exulte presque :
— Eh bien, tu l’as bien branlé ton fils… tu veux que je te nettoie… pour goûter son foutre.
Sans plus de cérémonie, elle s’agenouille sur la terre et me lèche le ventre et la vulve. Avec une ferveur telle que ça commence à m’exciter. Mon petit bouton me titille. Alors, Jeanne passe sa langue sur mon clitoris devenu sensible. Je frémis de plaisir. Avec la pointe de sa langue, elle taquine mon bouton qui, du même coup, prend du volume. Mon excitation monte encore. Ma sœur décide que Paul prenne la relève. Elle va juste lui apprendre comment branler le clitoris de sa maman avec sa langue. Il ne se le fait pas dire deux fois. Au début, il est maladroit et je sens mon excitation baisser. Puis Paul prend de l’assurance et sa langue exerce une telle caresse sur mon clitoris, que ça me rend presque folle de plaisir :
— Oh oui ! Oh ouiiiii ! Lèche-moi la chatte, suce-moi le clitoris ! Excite ta maman ! Excite-la ! Ouiiii ! Je vais devenir folle.
Jeanne, debout à côté de Paul, est aussi excitée et se glissant deux doigts dans la chatte, commence à se branler. Les mains de Paul me tenaient jusque — là aux hanches. Et voilà qu’il en déplace une sur mes fesses… Puis je sens un doigt qui se glisse dans la raie de mes fesses. C’est sûr, mon cochon de fils veut aussi explorer l’autre passage. Entre deux halètements, je couine :
— Paul, arrête, tu m’entends ? Arrête !
Il me lèche avec tant d’ardeur que je suis désarçonnée par son audace. Je sens le doigt qui vient de toucher la margelle de mon trou. Paul s’interrompt un instant :
— Maman, je veux savoir comment est ton petit trou. J’ai déjà vu celui de tante Jeanne…
Du bout de son doigt, il masse les bords du cratère… Puis, je le sens s’enfoncer dans mon fondement. Mon fils m’a mis un doigt dans le cul… Ma sœur le regarde faire.
— Quel vicieux ton fils ! Je n’imaginais pas qu’il puisse faire
Je l’écoute dans un brouillard. Ce cochon me lèche et me doigte si bien que je finis par jouir en lâchant un jet de cyprine qui surprend Paul en plein effort. J’entends Jana applaudir :
— C’est parfait ! Maintenant tu as ce qu’il faut à ta disposition !
À suivre…
Bob
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