J’ai avoué à ma fille mon excitation de la voir uriner et elle m’a souillé

Bonjour,

Pas facile de raconter tout ça, mais s’il y a bien un endroit où je pouvais le raconter c’était ici. Je n’ai pas peur d’être jugé et puis après tout, je m’en fous ! Une bonne histoire de sexe amateur !

Je m’appelle Stéphane, j’ai 53 ans et j’habite Limoges. Je suis divorcé et depuis le décès de mon épouse il y a cinq ans, je n’ai plus de relations sexuelles. Je me contente de vivre ma sexualité par procuration en lisant des récits érotiques sur ce blog, et en regardant quelques vidéos et des photos sur Internet. Comme on trouve de tout de nos jours, je me suis découvert un intérêt pour le sexe uro. Je prends beaucoup de plaisir à regarder une femme faire pipi que ce soit dans la nature, sur elle ou le plus excitant sur son ou sa partenaire. Je n’aurais jamais pensé un jour pouvoir vivre cette expérience, j’ai réalisé ce fantasme avec ma fille.

Elle a 22 ans et elle n’habite pas loin de chez moi. Elle passe me voir régulièrement pour me tenir compagnie, manger, me faire quelques courses. Je lui dis pourtant que je suis parfaitement autonome, mais ça lui fait plaisir et moi aussi. On n’a pas toujours été très proches, mais depuis le décès de sa mère on est presque inséparables. Et surtout aujourd’hui avec cette aventure que nous avons ensemble.

Quand elle vient chez moi, je ne peux pas m’empêcher d’aller renifler la cuvette des toilettes quand elle est allée faire pipi. Je sais que c’est pas bien, mais j’ai installé une caméra pour la regarder uriner. J’adore ça ! De temps en temps, elle m’apporte aussi son linge sale quand elle est débordée. Elle prend soin de ne pas mettre ses sous-vêtements d’habitude. Mais parfois il arrive qu’il y ait une petite culotte qui soit restée coincée et je passe beaucoup de temps à la renifler et à la lécher.

Un jour, j’étais en train justement de renifler une petite culotte de ma fille lorsqu’elle m’a surpris. Je ne l’ai pas entendu rentrer, j’étais tellement pris dans mon fantasme que j’étais déconnecté du monde réel. J’étais en train de me masturber en train de sentir et de lécher sa petite culotte. Elle m’a regardé et je l’ai senti très déçue. Elle m’a demandé de terminer ou de ranger mon « bazar » comme elle le dit pour discuter ensuite dans le salon. J’avais l’impression que les rôles étaient inversés et que c’était moi qui me faisais réprimander par ma fille ! Elle m’a dit qu’elle comprenait que le fait que je sois seul tout ça bla-bla, mais qu’elle ne s’attendait pas à ce que je renifle sa petite culotte comme un pervers. Je lui ai donc avoué que ce n’était pas tant son odeur intime qui m’excitait, mais son pipi. Et là, son regard et son expression ont changé. Elle m’a alors expliqué qu’elle était très attirée par l’uro, mais que son petit copain ne voulait pas en entendre parler. Là je me suis dit que les chiens ne font pas des chats ! On a passé un deal tous les deux pour découvrir le pissing ensemble. Nous n’aurions pas de relations sexuelles à proprement parler, uniquement la découverte de cette pratique. En tout cas c’est ce qu’on croyait !

On a commencé le jour même où elle a fait pipi devant moi et moi devant elle. On a beaucoup bu d’eau pour avoir envie de remplir nos vessies et de les vider. L’excitation était terrible lorsqu’elle s’est positionnée sur moi pour me faire pipi dessus. Ensuite, à mon tour je lui ai uriné sur les seins et les fesses. Rapidement ce que l’on voulait éviter est arrivé. On s’est rapprochés naturellement et nous avons eu des relations sexuelles incestueuses. Rien de bien méchant ou de hardcore, simplement du sexe entre un père et sa fille qui découvre une passion commune avec l’urine.

Aujourd’hui, on a franchi un cap puisque nous arrivons à boire notre urine. On se met en 69 et on se pisse dessus. L’urine est un élément clé de notre sexualité maintenant. Je vis tellement une chose extraordinaire avec ma fille, que j’ai peur qu’un jour tout s’arrête. C’est pour ça que j’ai voulu faire ce récit érotique, pour le mettre sur papier et quelque part l’immortaliser pour pouvoir le relire de temps en temps. Et bien sûr le partager avec la communauté.

Je ne sais pas s’il y a d’autres personnes qui vivent ça avec un membre de leur famille, mais c’est tout ce que je peux leur souhaiter.

Stéphane 53 ans Limoges