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J’ai couché avec ma fille que j’avais perdu de vue Partie 2

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Nos deux mâchoires sont tombées en même temps. Nous nous sommes levés et avons partagé un long et dur câlin. Si j’avais de la place, je l’aurais prise et je l’aurais balancée comme dans les films. Finalement, elle me lâche et se rassoit.

« Alors…. euh… c’est gênant. » Après quelques secondes de silence, je me suis mis en avant.

« Ouais, sans blague. »

J’ai réfléchi un instant. Je veux dire, c’était ma belle-fille. Dans ma tête, j’ai essayé de penser à un million de raisons de me lever et de partir, mais je ne pouvais pas. Je ne l’avais pas vue depuis si longtemps ; la seule façon dont je serais parti, c’est si elle me l’avait demandé.

« Rattrapons le temps, prenons un bon repas, comme prévu. Alors peut-être qu’on essaiera de se revoir un de ces jours. Pas la peine de s’habiller pour rien. »

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Manon a ri. Elle savait que pour moi, j’étais déguisé. D’habitude, je porte des jeans et des t-shirts. Peu importait si j’étais à l’église, à une réunion du conseil d’administration de l’école ou si je traînais, si j’étais habillé, et 95 pour cent du temps c’était ma tenue.

« Tu sais, papa, je n’ai pas besoin de rentrer chez moi quand on a fini. Maman a Cleo et je n’ai pas cours demain. On peut se voir aussi longtemps que tu veux. »

« Ou du moins jusqu’à ce qu’ils ferment à 23 h. »

Manon a encore ri. Ce n’était pas un rire forcé. C’était pur, naturel. Elle a toujours aimé mon sens de l’humour.

Nous avons commandé notre nourriture et nous avons eu un bon repas. La conversation a coulé à flots et j’ai appris un tas de choses qui m’ont tenu à l’écart de la boucle. Il s’agissait en partie de mon ex, mais j’ai laissé Manon continuer à parler de sa mère parce que c’était quelque chose qui comptait pour elle. Les minutes se sont transformées en heures et le temps a semblé fondre. Nous y étions depuis environ deux heures et demie.

« Et maintenant ? » m’a demandé Manon.

« L’enfer si je le sais. Je n’avais pas prévu ça. J’ai répondu à un message et je me suis dit qu’on me poserait un lapin, mais si j’avais de la chance, super. Je dois dire que ça s’est mieux passé que je ne l’aurais imaginé. »

« Qui a dit que tu n’aurais pas de chance ? »

L’expression de mon visage a dû montrer à quel point j’étais pris au dépourvu.

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« Allez, papa. Je n’ai rien dit de mal. »

« Eh bien, non. Mais, tu es ma fille. »

« Belle-fille » a-t-elle dit, presque de façon cinglante, quand elle m’a coupé la parole.

« Quoi qu’il en soit, je t’ai élevée. Je t’ai essuyé les fesses pendant que tu t’entraînais à la propreté, je t’ai aidé à faire tes devoirs, j’ai nettoyé après toi quand tu es tombée malade. Ce ne serait pas juste. »

J’ai dû admettre que mon objection était plus pour le spectacle que pour toute autre chose. Manon était éblouissante. Elle était devenue une belle jeune femme, à la fois physiquement et humainement. Mais je n’arrivais pas à comprendre pourquoi elle me voulait comme ça.

« Que penses-tu de ça ? » Manon a dit. Pour une raison ou une autre, j’ai trouvé amusant qu’elle ait appris certaines phrases au fil des ans et qu’elle les utilise encore. « On retournera chez toi et on regardera un film. Je vais prendre quelque chose et tu pourras t’arrêter et nous apporter à boire sur le chemin du retour. On se retrouve chez toi. Tu es toujours chez toi ? »

« Je suis toujours là. Je n’ai pas pu trouver l’argent pour faire un dépôt pour un nouvel endroit depuis que ta mère est partie. »

« Ouais, c’était vraiment merdique ce qu’elle t’a fait. Je suis désolée. »

« Tu ne t’excuses jamais pour ce que cette femme a fait. Je t’aime. Je t’ai toujours aimée et je t’aimerai toujours. Tu n’as rien, et je veux dire absolument rien, pour quoi tu dois t’excuser. »

J’ai regardé au fond de ses yeux, espérant l’assurer que tout irait bien.

« La porte est ouverte si vous arrivez avant moi. Fais comme chez toi et je serai là peu après toi. »

« D’accord, papa. Je t’aime. »

Nous nous sommes embrassés rapidement avant de nous séparer. Je l’ai regardée bouger son cul d’avant en arrière en retournant à sa voiture. Une partie de moi la voulait par tous les moyens possible, mais l’autre partie m’a dit que c’était mal. Je suis monté dans ma voiture et j’ai poussé un énorme soupir.

« Dans quoi je me suis fourré ? »

Après avoir couru au magasin, je suis rentré chez moi en silence. Je n’arrivais pas à croire ce qui se passait. En me garant, j’ai vu Manon. Elle conduisait une Honda Civic émeraude. Quel autocollant sur le pare-chocs qui disait : « Ne me soumets pas à la tentation, car je peux la trouver toute seule. » Dieu m’en a voulu pour ça.

Je suis entré dans la maison et Manon était debout à mon comptoir, devant la cafetière, versant de la crème dans une de mes tasses. Je suppose qu’elle ne m’a pas entendu entrer, parce que quand elle s’est retournée, elle a sauté, renversant de la crème sur elle.

« TU M’AS FOUTU LA TROUILLE !!!!! » Manon a crié à pleins poumons. En regardant en bas, elle voit la crème sur tout son pantalon. « Je dois nettoyer ça tout de suite. »

Manon se retourne et remet le crémier sur le comptoir. Sans hésitation, elle met ses pouces dans la ceinture de son pantalon de yoga et les enlève. Comme elle est penchée devant moi, je ne pouvais plus arracher les yeux de son cul parfaitement galbé. Elle était certainement prête à s’accrocher, vêtue d’une paire de culottes d’un noir pur qui laissait très peu de place à l’imagination.

« Qu’est-ce que c’est que ça ? » J’ai fait semblant de protester alors que ses hanches tremblaient et que son pantalon glissait le long de ses jambes. Manon s’est assurée de prendre son temps en saisissant son pantalon par terre avant de le jeter par-dessus son épaule.

« Quoi ? Je dois les laver avant qu’ils ne se tachent. Je serai dans ma chambre si tu veux de moi. »

Et est-ce que je n’ai jamais voulu d’elle. Je savais que ce n’était qu’une question de temps, mais je voulais quand même qu’elle pense que c’était son idée. Je suppose que Cléo lui avait dit que j’avais toujours sa chambre intacte avant que sa mère ne l’emmène, mais je n’étais pas sur la question.

J’ai attendu environ une minute avant de dire « Merde » et d’aller dans la chambre de Manon. Elle était allongée sur le ventre, buvant son café quand je suis entré. Elle s’est fait un point d’honneur de se positionner de façon à ce que son cul parfait soit face à la porte et soit la première chose que j’ai vue quand je l’ai franchie.

« Alors, tu n’as pas pu résister. »

Elle a dit que c’était une déclaration, pas une question. Elle me connaissait trop bien.

« Viens ici et suce ma bite avant que je change d’avis. »

Manon sortit prudemment de son lit pour mettre son café sur sa commode. Elle s’est couchée sur le ventre, cette fois-ci face à moi pour pouvoir prendre ma bite dans sa bouche.

« J’adore quand tu me dis des cochonneries, papa. »

Elle a sorti sa langue et a léché le dessous de ma bite et de mes boules en bout avant de la prendre dans sa bouche avide. Elle a monté et descendu la tête de haut en bas le long de ma tige, lentement d’abord, puis en augmentant progressivement sa vitesse, ne s’arrêtant que pour pousser ses cheveux hors de son visage. J’ai tendu la main vers le bas et j’ai attrapé ses cheveux, non seulement en les éloignant de son visage, mais aussi en me permettant de contrôler le tempo. Elle a bien suivi l’instruction silencieuse, suivant mon exemple et me demandant de forcer les choses. De temps en temps, elle sortait ma bite de sa bouche et tapait sa langue sur le bas du gland. C’était comme si elle savait instinctivement que c’était ma place, la taquinant assez longtemps pour me faire réagir, mais ne restant pas assez longtemps pour me faire venir.

« Allez, ma petite fille. Tu me rends fou. »

« C’est le but, papa. »

« Montre-moi tes seins. »

Manon s’assit docilement et se pencha pour enlever sa chemise.

« Attends. » Je lui ai coupé les vivres. « Permet-moi. »

J’ai poussé mon jean et me suis agenouillé sur le lit de Manon. Je l’ai tirée de près et on s’est partagé le premier baiser. Elle m’a enfoncé passionnément sa langue dans la bouche, et j’étais trop heureux de lui rendre la pareille. Pendant qu’on s’embrassait, j’ai attrapé le bas de sa chemise. Elle a cassé notre baiser pour me permettre d’enlever sa chemise. À ma surprise, elle ne portait pas de soutien-gorge.

« Tu les aimes bien ? »

J’ai répondu en l’allongeant et en lui suçant les seins à tour de rôle, en changeant de place toutes les quelques secondes. J’ai couru ma main autour de l’ourlet de sa culotte, en m’assurant de venir aussi près de sa chatte que possible sans vraiment la toucher. J’en suis venu à la conclusion que le fait d’inciter une femme à en vouloir davantage augmente sa réaction lorsqu’elle l’obtient. J’ai continué à lui laper sur les tétons avec ma langue, la sentant lentement se mettre à se tortiller sous moi. Lentement, je l’embrassais en commençant à bouger ma tête vers le bas de son corps, l’embrassant doucement pendant que je descendais le long de son torse. Je suis descendu plus bas, en l’embrassant jusqu’à ce que je sois entre ses jambes.

Le final demain même heure ! 

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