J’ai doigté et léché les trous de la grand-mère de mon meilleur ami

Bonjour les gens,

Je m’appelle Régis, j’ai 31 ans et je viens de vivre une expérience qui m’a bouleversé. Ne vous attendez pas à du sentiment et de l’eau de rose, c’est bien tout le contraire ! Pour être publié dans les histoires taboues du blog, ça ne pouvait être autrement. Je précise que cette histoire est vraie et qu’elle s’est déroulée le mois dernier.

Je rejoins mon meilleur ami, Sylvain, qui m’a donné rendez-vous dans la banlieue de Vichy. Il devait passer voir sa grand-mère avant que nous partions pour notre soirée entre mecs. Une fois sur place, je découvre une mamie d’environ 80 ans, assez valide pour son âge. J’ai le souvenir de ma grand-mère courbée, marchant avec une canne. La sienne, pète le feu, même si on voit bien qu’elle a du vécu. Le contact passe bien et Sylvain, me demande de rester avec elle le temps qu’il aille lui faire deux courses et qu’après, promis, on filait à notre soirée. Bonne pâte que je suis, je garde mamie.

Je suis installé sur le canapé face à elle et je ne sais pas trop quoi dire. Plusieurs anges sont passés à ce moment-là ! Et d’un coup, la vieille me demande :

• Dites-moi Régis, vous êtes électronicien, c’est ça ? Vos doigts doivent être habiles, je me trompe ?
• Euh… en effet !
• Ça vous dirait de me montrer vos talents en me rendant service ?
• … pourquoi pas…

Et là, je vous jure que c’est la vérité, mamie se met en levrette sur le canapé et me demande de lui doigter les trous. Je tombe sur le cul ! Pour 3 raisons. 1, je suis abasourdi par la proposition, 2, je la trouve avec une croupe magnifique, et 3, je bande ! Je ne sais pas quoi faire. Elle me demande :

• Vous voulez que je vous suce pour donner envie de moi jeune homme ?

J’ai vérifié que Sylvain n’était pas encore rentré et je me suis mis derrière elle. Sa croupe sentait bon la mouille et j’ai été surpris de voir comment ses trous étaient beaux et bien dessinés. J’ai approché mes doigts et je l’ai caressée. Elle a mis sa tête sur le cuir du canapé pour s’offrir davantage et a écarté ses fesses. J’ai enfoncé un doigt, puis deux, puis trois, puis quatre dans sa chatte ! Un truc de dingue ! j’aurai presque pu la fister à froid la mamie ! Elle a gémi et couiné et m’a demandé de caresser son abricot aussi. J’y suis allé avec la langue ! J’avais ma langue dans le trou du cul de la grand-mère de mon pote et 4 doigts dans sa chatte crémeuse. Je bandais comme un porc.

Je me suis pris au jeu et je lui ai léché et limé les trous jusqu’à ce qu’elle jouisse. C’était intense ! Puis, mamie s’est assise et m’a fait venir face à elle. Elle a baissé mon pantalon et m’a pris en bouche. Sans manquer de me flatter sur mon sexe dur et gonflé. Sa bouche était chaude et douce. Elle m’a sucé comme personne ne l’avait fait. Je lui tenais ses cheveux gris et bouclés pour qu’elle aille plus loin. Un bruit de portière qui claque.

Lorsque Sylvain est revenu dans la pièce, il nous a trouvés face à face sans parler. Je l’ai aidé à ranger les courses et j’étais frustré à mort ! Ma bite me faisait encore mal d’envie. Au moment de partir, mamie me fait un clin d’œil et nous partons à notre soirée. Une fois sur place, je n’arrête pas de penser à elle, son odeur de mamie et à son corps vieux et à la situation. Elle m’obsède et j’ai envie de rentrer pour me branler et me soulager. Je renverse un peu mon verre et je plonge la main dans ma poche de veston pour prendre un mouchoir lorsque je découvre un bout de papier.

• C’était très bon mon garçon, merci beaucoup ! Mais je n’ai pas terminé ce que j’ai commencé et j’aime bien aller au bout des choses que j’entreprends. Passe me voir quand tu veux et peut-être même que tu pourrais me faire l’amour, ça fait longtemps qu’un homme n’a pas glissé son sexe en moi. Appelle-moi à ce numéro et passe me voir. Jeanne.

Et allez, je bande à nouveau ! La soirée se termine en demie teinte et une fois chez moi je me branle en pensant à ce que je pourrais faire à la grand-mère de mon pote. Peut-être même l’enculer qui sait ! Je l’ai appelé mercredi dernier et on doit se voir dès qu’elle est sûre d’avoir un moment sans personne chez elle : femme de ménage, copines de rami, aide-soignante, etc.

Je suis comme un fou ! Si mon histoire taboue vous a un tant soit peu excité, je demanderai à Lisa de proposer la suite.

Régis.

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