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Histoire erotique Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets

J’ai été vendu comme esclave aux enchères partie 2

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Une fois arrivés au domicile de mes maîtresses, celles-ci m’ont présenté ma niche, qui consistait en un placard. Au fond, un matelas puant et une vague couverture de laine trouée tenait lieu de couchage, pour le peu d’heures de sommeil qu’elles m’accordaient. La plupart du temps, mon pénis restait enfermé dans une cage solidement verrouillée par un cadenas, ce qui ne m’autorisait aucune masturbation. Toute activité sexuelle ne pouvait avoir lieu que sous leur contrôle. Strictement. Partout, des caméras de vidéosurveillance filmaient en permanence, y compris à l’intérieur de ma niche et derrière la porte des toilettes. Je soupçonnais, sans pouvoir le vérifier, qu’une armée d’esclaves regardait les écrans, avec pour consigne de prévenir leurs maîtresses en cas d’anomalie. Aujourd’hui, elles ont dû passer à l’intelligence artificielle, mais à l’époque, cette technologie n’en était qu’à ses balbutiements.

Elles se prénommaient Nathalie et Johanna, toutes deux dans la quarantaine, brunes, assez petites et minces, toujours vêtues d’une manière élégante et stricte, même le week-end, et toujours maquillées avec soin. Le claquement de leurs talons aiguilles me faisait frémir, et aujourd’hui encore, lorsque j’entends le son caractéristique de femmes chaussées ainsi. C’étaient des femmes d’autorité, financièrement à l’aise. Une seule fois, j’ai essayé de discuter les ordres de Nathalie. J’en ai eu le dos strié de coups de fouet, suspendu par les poignets à dix centimètres du sol. Elle m’a dit qu’il s’agissait seulement d’un avertissement.

Dès mon arrivée, elles m’ont fait bénéficier d’une formation « maison ». J’ai appris à pratiquer le cunni à l’aide d’une maquette de sexe féminin en silicone, très réaliste. Elles m’ont enseigné la stimulation buccale des grandes lèvres, des nymphes, de l’entrée du vagin et naturellement du clitoris. Comme professeures, elles étaient exigeantes et ne toléraient aucune inattention de ma part. Ignorant au départ, leçon après leçon, j’ai appris l’anatomie gynécologique par cœur. Malgré la sévérité de cet enseignement, j’ai trouvé ce domaine passionnant. Encore aujourd’hui, je suis capable de faire jouir n’importe quelle femme, même frigide, avec ma langue et mes doigts.

La première chose qu’un esclave sexuel découvre en le devenant est qu’il doit porter à sa maîtresse un amour aussi exclusif qu’inconditionnel, jusqu’à s’oublier lui-même. Peu importe avec qui il était en relation dans sa vie d’avant : il doit tout oublier, tout de suite. La formation des esclaves a pour but de nettoyer la mémoire de toutes ces scories néfastes à la servitude. Le servant doit non seulement accepter, mais plus encore aimer la douleur, dès lors que cela fait la joie de sa propriétaire. Ce dressage nécessite autant de charme que d’expertise et ne peut réussir du jour au lendemain.

Souvent, j’ai lavé mes maîtresses, soit ensemble dans la même grande baignoire d’angle, soit séparément. Pour ces ablutions, elles retiraient ma cage pénienne. Elles prenaient leur temps et voulaient admirer la nudité de leur jouet de chair dans son intégralité. Je les déshabillais afin de leur épargner la peine de le faire elles-mêmes. Bien sûr, ce faisant, je bandais comme un fou furieux, d’autant qu’elles prenaient un malin plaisir à effleurer mes organes génitaux, du bout des doigts, avec un sein ou un orteil, mais sans plus insister. Mes testicules gorgés de désir étaient prêts à exploser. J’en pleurais de frustration. Ce supplice était pire que la caresse sanglante du fouet. Elles en tiraient une volupté cruelle qui se manifestait par de petits sourires d’aise. Peu à peu, j’ai compris que j’étais à ma place dans cette situation, sans pouvoir espérer plus que contempler ces corps merveilleux.

Il me fallait nettoyer la peau de ces femmes, sur toute leur surface si douce, avec une éponge imbibée de savon, lentement, avec beaucoup de soin, afin de n’oublier aucun repli, y compris les plus intimes. Je me tenais à genoux pour cela. Nathalie surtout aimait à se masturber avec un godemiché long et souple pendant que je lui frottais les petits pieds, tandis que Johanna préférait son petit canard vibrant. Les tétons érigés par le plaisir affleuraient au travers de la mousse. C’était magnifique. Nathalie jouissait toujours à grands cris, la bouche ouverte et la tête renversée en arrière, tout en se pilonnant furieusement avec sa verge artificielle, tandis que la mienne suintait désespérément la rosée du désir. Parfois, son râlé était très grave, comme une agonisante. Johanna frémissait avec plus de discrétion, mais avec tout autant d’intensité que je lisais dans ses yeux de lumière, avant de baisser mon regard, parce que je devais garder une position d’humilité. Je savais que toute arrogance pouvait me valoir une sévère punition.

Une fois, après avoir effectué ma tâche avec une totale abnégation, j’ai reçu l’incroyable récompense que je n’attendais pas : j’ai été autorisé à me branler entre les jolis petons tout propres ! À condition de les débarrasser ensuite de l’énorme quantité de semence dont je les avais arrosés après seulement deux ou trois aller-retour de mon phallus entre les courbures des plantes… Quand elles étaient ensemble dans leur bain, elles se gougnottaient tendrement, avec des godes-ceintures qui permettaient toutes sortes d’ébats aquatiques, bouche contre bouche, langues sorties passionnément, et aussi des frotti-frotta poitrine contre poitrine, voire sous l’eau, des câlins en apnée. Ces sirènes étaient capables de tenir longtemps, à de demander si elles étaient vraiment humaines, ou bien des succubes directement issus du cercle érotique de l’enfer, afin de tourmenter des jeunes garçons émotionnellement fragiles comme moi, pour nous faire basculer vers le Mal, la débauche et la perversion – me concernant, je crois bien qu’elles y sont parvenues.

Elles me rappelaient que je n’étais que leur serviteur indigne de les pénétrer. Elles se masturbaient mutuellement d’une manière frénétique, parfois des heures durant. Lorsqu’elles se cambraient hors de l’eau sous l’effet de la volupté, de petits jets de mouille jaillissaient des vulves surexcitées.

Ensuite, il fallait que je les rhabille, fermer les crochets des soutiens-gorge derrière leur dos, leur enfiler les culottes de dentelle, fixer les jarretelles, ajuster les bas, clore les fermetures éclair des robes, dispenser le parfum coûteux derrière les oreilles… moi qui n’avais pas le droit de porter le moindre slip !

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Un jour, elles m’ont dit que ma formation était sur le point de se terminer : j’allais être intronisé dans la grande communauté des Jeunes Esclaves, au cours d’une cérémonie publique.

Scribouillard

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