Merci à Lucie d’avoir pris le temps de discuter avec moi longuement sur Skype pour écouter mon histoire taboue et m’aider à la mettre en forme. Je me lance donc dans l’écriture de cette confession intime un peu particulière et je vous explique comment sans le vouloir je suis devenue une pisseuse.
Je suis célibataire et j’ai 35 ans. Je suis châtain clair, j’ai les yeux verts et je suis charnue. J’ai une sexualité des plus normales avec des rencontres occasionnelles et des périodes de tranquillité forcée 😉. Au boulot tout se passe bien, finalement je n’ai pas à me plaindre en ce moment surtout vu la situation actuelle.
Je bosse dans une grande boîte où je suis comptable. Ce n’est pas la profession la plus exaltante qui soit, mais j’ai le mérite d’être tranquille. Personne ne passe jamais me voir et encore moins le grand patron. Et pourtant ce jour-là, il a fallu qu’il entre dans mon bureau alors que j’étais en train de soulager ma vessie. Je vous explique tout ça !
Je travaille tard, il est 19 heures. On est vendredi soir je dois terminer la paye pour éviter que tout le monde râle le lundi matin. J’ai terminé et pour tenir j’ai bu un maximum de café dans la journée. Résultat des courses, je suis bien réveillée et j’ai surtout une folle envie de pisser. Je me lève pour aller aux toilettes et là c’est le drame, les toilettes sont en maintenance ! Mon bureau étant excentré dans le bâtiment, il faudrait au moins 10 minutes entre les ascenseurs et les escaliers et les couloirs pour que je trouve d’autres toilettes et que je revienne. Étant donné qu’il est tard et que je suis seule, je décide de me dépanner comme je peux.
Je retourne dans mon bureau et je récupère un vase inutilisé. Je le pose par terre, je soulève ma jupe, je baisse ma culotte et je soulage ma vessie. C’est tellement bon ! Et c’est là que la porte de mon bureau s’ouvre… déjà c’est très gênant ! Mais ça l’est encore plus lorsque c’est le big boss. Le genre de patron que l’on ne voit jamais sauf dans les magazines qui circulent dans la boîte. Je pense qu’il est resté aussi surpris que moi ! Le pire dans cette histoire, c’est que j’avais tellement envie que je ne me suis pas arrêtée. J’ai continué de pisser pendant au moins encore 20 secondes. Sa réaction n’a pas été mieux puisqu’il est resté debout à me regarder.
Je me suis relevée d’un coup, j’ai pris le vase que j’ai mis derrière mon bureau et j’ai bafouillé des choses incompréhensibles. Il a bien essayé de me parler, mais tétanisée par la honte, je n’entendais plus rien. Comme je ne voulais pas traîner, j’ai attrapé mon sac, j’ai appuyé sur le bouton « entrée » de l’ordinateur pour qu’il valide tous les bulletins de paye et je suis partie en étant rouge comme une pivoine ! Mais moi qui croyais m’en tirer à bon compte, j’ai été arrêtée par mon patron qui m’a interpellée. Je me suis arrêté net dans le couloir et je me suis retournée lentement. Il s’est approché de moi avec un grand sourire et il a tendu sa main. Entre ses doigts se trouvait ma petite culotte… Je me suis tellement rhabillée vite, que je n’ai pas vu qu’elle n’était pas remontée avec ma jupe. Je vis un véritable calvaire ! Je ne parle toujours pas et j’attrape ma petite culotte et je pars d’un pas pressé pour rentrer chez moi.
Tout le week-end j’ai gambergé comme une folle en me disant que ça y est, j’allais être virée. Je n’arrêtais pas de penser à cette situation et j’ai eu un sentiment partagé de honte, de gêne et d’excitation. Cet homme, qui plus est avec du pouvoir, me regarde uriner devant lui, mais je suis excitée à contre coup.
Lorsque j’arrive au bureau le lundi matin, les femmes de ménage avaient tout nettoyé et le vase avait été remis en place et vidé ouf !. Lorsque j’ai ouvert ma messagerie, il y avait un mot du grand patron… Merde ! Je me suis installée et je l’ai ouvert. Il me disait que je n’avais pas à m’inquiéter sur ce qui s’était passé juste avant le week-end. Personne n’en saura jamais rien et qu’il avait fait le nécessaire lui-même lorsque je suis parti. Ce n’était pas les femmes de ménage qui avaient vidé le vase plein de ma pisse, c’était mon grand patron ! Il me dit ensuite d’ouvrir mon placard lorsque je serai seule et que quelque chose m’y attendait. Je ne comprends pas sur le moment ni même après d’ailleurs.
Cette fois-ci j’ai fermé à clé. J’ai ouvert le placard et découvert un paquet cadeau. Je l’ai ouvert et j’y ai vu un pot de chambre magnifique ! Il y avait dedans tout le nécessaire pour faire une toilette intime. Et il y avait un petit mot. « La prochaine fois que vous aurez envie de soulager votre vessie au bureau sans aller aux toilettes, merci d’utiliser ce pot choisi spécialement pour vous et de m’appeler pour que je puisse assister de nouveau à ce merveilleux spectacle. Mon numéro de poste direct est le 2743. Jean. »
Inutile de vous dire tout ce qui passait par ma tête à ce moment-là. J’ai tellement réfléchi et pensé à des choses que deux heures se sont passées avant que je me remette à travailler.
Pour finir cette histoire, mais peut-être aussi en commencer une autre, j’ai fini par faire ce qu’il m’avait conseillé. Il m’aura fallu quand même un bon mois pour que je me décide, mais je l’ai appelé et il est descendu.
Si mon histoire vous a quelque peu intéressé, merci de voter en conséquence. Si les votes sont hauts, je vous raconterai la suite avec grand plaisir.
Véronique 35 ans Lyon
C’est une histoire excitante, j’espère qu’après il a regarder et qu’il a pu le faire sur to comme j’ai déjà pu le faire à une de mes assistantes…
Je suis directeur d’une grosse société et c’est bizarre… j’ai pas vécu la même chose mais le final je penses que c’est le même.
faut nous raconter tout ca !!!!!
Très belle histoire et ça me paraîtrait encore meilleur, s’il y avait une suite à cette aventure. ♂️♀️♂️
Je suis impatient de lire la suite …..c’était excitant.
Évidemment que l’on veut connaître la suite !