J’ai sucé les seins d’une femme enceinte pour prendre la tétée

Bonjour à tous,

Je profite de la tribune qui m’est donnée pour remercier Lisa et Lucie pour leur blog. C’est génial de pouvoir lire des histoires taboues gratuitement et surtout d’une telle qualité. J’espère que la mienne vous excitera autant que les autres. Je vous donne le thème immédiatement, de manière totalement fortuite et non préméditée, j’ai eu un moment des plus intimes avec la femme enceinte de mon meilleur ami.

J’ai 38 ans et j’habite Bordeaux. J’ai une vie sexuelle totalement normale, je suis marié, j’ai deux enfants et tout se passe très bien dans le meilleur des mondes. Je n’ai jamais eu l’envie ni le besoin d’aller voir ailleurs. J’ai des fantasmes comme tout le monde, mais on peut dire que justement je suis Monsieur tout le monde, mais ce qui s’est passé cet été m’a bouleversé. Je ne suis pas un mec pervers et vicieux, mais simplement quelqu’un qui est attiré par ce qui n’est pas commun. Mon meilleur ami et son épouse Florence attendaient un heureux événement. Je dis attendaient, car depuis cet été elle a accouché. Elle était justement sur la fin de sa grossesse et profitant d’un rendez-vous annulé à la dernière minute, je suis passé chez eux pour les saluer et prendre un petit peu de nouvelles. Lorsque je suis arrivé, j’ai été accueilli par Florence qui m’a informé que Yoann n’était pas là. Il était parti le matin même sur Toulouse pour rendre visite à son frère pour une histoire familiale. Florence m’a invité à entrer à boire le café. Elle était contente d’avoir une présence rassurante avec elle.

Nous nous sommes installés sur le canapé. Enfin elle était assise sur le canapé et moi sur le fauteuil en face. Elle était grosse comme une baleine et enceinte jusqu’au bord des yeux. Elle n’en pouvait plus et je lui ai proposé de m’occuper de tout pour qu’elle se repose. Je lui ai porté son café et j’ai pris la liberté de prendre des petits gâteaux dans le placard où je savais que Yoann cachait ses petites douceurs. Nous étions en train de boire le café lorsque j’ai regardé fixement la poitrine de Florence. Elle m’a regardé et m’a demandé ce qu’il se passait. Elle venait d’avoir une montée de lait et le tissu de son T-shirt s’est imbibé. Elle m’a dit qu’elle en avait marre, car c’était de plus en plus régulier et que ses seins lui faisaient mal. Voyant que je ne l’écoutais qu’à moitié, elle m’a demandé ce qu’il se passait. Je ne sais absolument pas pourquoi je me suis laissé aller à cette confidence, mais je lui ai dit que j’ai toujours été fasciné premièrement par les femmes enceintes et secondement par la tétée et tout ce que cela représente. Ma femme n’ayant pas allaité nos enfants, c’est quelque chose qui m’a manqué. Pour plaisanter, elle me proposa un peu de lait dans mon café. Voyant que je l’ai prise au sérieux, elle a mis la main sous son T-shirt, pressa un petit peu et récupéra du lait sur ses doigts qu’elle fit couler dans mon café. J’étais subjugué par cette scène. Je lui ai demandé directement et sans détour si je pouvais le goûter directement à la source.

Elle est restée un petit moment à me regarder et s’est assise sur le canapé. Elle a soulevé son t-shirt me montrant sa magnifique poitrine lourde et dense et gonflée par le lait et les hormones. Elle m’a invité à m’allonger et à mettre la tête sur ses genoux. Elle s’est penchée en avant jusqu’à ce que son sein recouvre ma bouche. J’ai pris son téton entre mes lèvres et j’ai aspiré doucement. J’ai attrapé son sein et je pressais doucement pour faire couler ce lait et ce précieux nectar dans ma bouche. Je m’attendais à un goût sucré, mais c’était quelque peu amer et fort. Mais ce n’était pas le liquide en lui-même, mais plutôt la situation qui était terriblement excitante. Instinctivement, j’ai porté la main sur mon sexe qui était en érection sous le pantalon. Elle l’a vu et je me suis senti gêné. J’ai dégusté pendant 10 bonnes minutes ce lait directement au sein de la femme de mon meilleur ami qui est enceinte.

Cela commençait à lui faire mal et elle m’a demandé de passer à l’autre. Je ne voulais pas abuser, mais elle m’a dit que le fait de vider le lait lui faisait du bien. C’est elle qui m’a demandé de recommencer ce que je fis sur son deuxième sein. J’ai dû remonter un petit peu sur ses genoux pour atteindre le second. Sa main a touché mon sexe et a glissé directement sous mon caleçon pour tâter mon érection. J’ai attrapé sa main lui disant que je ne pouvais pas faire cela mon meilleur ami. Le fait qu’elle me laisse goûter à son lait de femme enceinte était quelque chose de merveilleux et j’y ai pris énormément de plaisir cérébral. Mais il était hors de question d’aller plus loin pour moi. Je me suis assis à côté d’elle, lui ai rabaissé son t-shirt et l’ai embrassée sur la joue. Je l’ai remerciée du fond du cœur en lui disant qu’elle venait de réaliser un de mes plus gros fantasmes et surtout de combler un gros manque dans ma vie d’homme. Poussée par les hormones, Florence m’a dit qu’elle m’avait autorisé à goûter à son jus et qu’elle aimerait bien goûter au mien maintenant. J’avais très envie de me faire sucer par elle surtout que c’est une femme qui m’a toujours attiré. Mais je ne voulais pas gâcher mon mariage et le sien pour quelques minutes de sexe qui n’auraient mené à rien. Je me suis rassis à côté d’elle et lui ai dit que c’était les hormones qui parlaient pour elle. Que j’étais flatté de sa proposition, mais qu’en y réfléchissant bien, elle s’apercevrait que c’était une bêtise. J’ai tout ramené dans la cuisine pour qu’elle n’ait pas à se lever, je l’ai embrassée sur la joue et je l’ai encore remerciée pour ce moment inoubliable. J’ai attrapé mes clés et je suis parti.

Une demi-heure après, je sentais mon téléphone vibrer dans ma poche. Mais j’étais en rendez-vous et je ne l’ai sorti qu’une heure plus tard. C’était un texto de Florence qui me disait : « Merci… Tu m’as empêché de faire une grosse bêtise. Merci aussi pour ce fabuleux moment que tu réitères quand tu veux. Bisous. Florence » évidemment, je n’ai jamais recommencé. Deux semaines plus tard, elle accouchait et vivait le plus beau moment de sa vie.

Voilà mon histoire taboue qui comme vous l’aurez remarqué n’a rien de sexuellement bien excitant. Peut-être que certains d’entre vous hommes ou femmes, me comprendront et apprécieront le moment que j’ai vécu à sa juste valeur. À très bientôt, les amis, j’ai hâte de lire vos confessions intimes les plus secrètes.

Lionel 38 ans Bordeaux

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