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J’ai surpris ma femme en train de me tromper et je l’ai dressée Chap 1

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Je m’appelle Michel, j’ai 45 ans, je suis marié à Julie 38 ans, nous avons deux enfants qui sont jumeaux, Julia et Michael, ils sont à l’université et depuis cette année ils ne vivent plus à la maison, ils passent de temps en temps pour laver leurs linges et manger avec nous le week-end, moi je gagne assez bien ma vie, je suis délégué commercial dans une société de crédit, ma femme, elle est restée à la maison pour élever nos enfants.

Ce mois-ci j’ai une réunion avec les dirigeants de la société au siège social dans la capitale, comme c’est à 200 km de la maison, je fais le déplacement pour deux ou trois jours de suite et je loge à l’hôtel, ma femme se retrouve seule à la maison, elle fait des ménages chez des personnes âgées, c’est quatre fois par semaine et les horaires sont libres.

Tout les mois, je suis sur la capitale trois jours par semaine, ce mois-ci la dernière réunion se termine plus tôt que d’habitude, je quitte la capitale pour faire une surprise à ma femme, quand j’arrive à la maison, ma femme n’est pas là, je me dis qu’elle est partie pour faire un ménage et qu’elle ne va pas tarder, où que Julia, sans doute fatiguée et c’est couchée aussi, j’ouvre la porte en faisant le moins de bruit possible.

J’entre chez nous et tout de suite je sens que quelque chose n’est pas normal. Toutes les lumières du rez-de-chaussée sont éteintes et j’entends du bruit à l’étage. J’ai un sombre pressentiment qui paralyse tout mon corps. Mon sang est comme glacé dans mes veines. Je dépose doucement ma valise sur le canapé, me déchausse et commence à monter les escaliers jusqu’à l’étage. Le palier est divisé en trois : à droite et à gauche deux chambres plus une qui me sert de bureau, et un couloir menant à notre chambre, à une salle de bain et à un w. c.

En prêtant l’oreille, je perçois de bruits étouffés qui proviennent du couloir lequel mène aux chambres. Une faible lumière provient de notre chambre. Inquiet, j’avance dans le couloir en silence, le cœur battant la chamade. Les bruits deviennent des gémissements, je reconnais sans aucune hésitation la voix de Julia. L’air me manque, j’appréhende la scène que je vais découvrir, car je suis pratiquement sûr qu’elle est avec un homme et qu’ils sont en train de faire l’amour.

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Tout à coup, j’hésite, je m’arrête. L’envie de faire demi-tour et fuir rapidement pour ne revenir que quelques heures plus tard, m’étreint. Je me ravise, reprends ma progression, car je préfère en avoir le cœur net. Mon épouse stimule son amant en poussant des OUIIIIII ! ENCOOOOORE ! ENCOOOORE ! Plus FOOOOORT !

Prudemment, je progresse vers cette dernière. La porte est légèrement entre-ouverte. Je ne peux voir directement le lit parce que ce dernier se trouve derrière la porte. Mais, je peux voir par reflet dans le miroir qui se trouve en face de notre lit. Je passe un œil discrètement et là stupeur, je découvre une scène qui me laisse sans voix. J’en ai même du mal à croire ce que je vois, car, la vision qui s’offre à moi est celle de ma femme entièrement dénudée à quatre pattes sur le lit de la chambre avec notre chien sur le dos qui la baise, j’en suis stupéfait.

Julia est à genoux ; le haut du corps est posé sur l’oreiller ; le chien a ses pattes avant de chaque côté du corps de Julia ; il la ceinture fermement entre ses pattes, car celui-ci la pénètre à grands coups de reins rapides, il lui lèche la nuque.

Je suis abasourdi, je reste sans voix, incapable de penser raisonnablement. Je fais marche arrière, me cache dans l’ombre du couloir puis, poussé par une curiosité malsaine, je me place discrètement de manière à mieux voir cet accouplement que je n’aurais jamais cru possible du moins avec ma femme.

Je fais deux pas en arrière et retourne dans mon bureau pour y récupérer mon caméscope, pour avoir des preuves de son infidélité.

Je retourne devant la chambre et commence à filmer leurs ébats. J’ai le son et l’image.

J’entends les halètements des deux amants qui se donnent corps et âme dans leur baise.

 Je me surprends à me sentir excité par ce qui se passe à quelques mètres de moi. Notre chien est collé aux fesses de Julia. Je vois son bassin qui s’agite à toute vitesse. Ma femme secoue la tête dans tous les sens, elle soulève ses fesses, creuse les reins pour lui permettre de mieux la perforer.

Le chien s’active, tel un homme, il semble habitué, car il varie son rythme sous les ordres de ma femme. Les coups de reins sont plus puissants, plus profonds, elle ne se retient plus, ne se contrôle plus. Les gémissements sont devenus des cris. Elle se met à l’invectiver :

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— AAAARRH ! Mon chéri ! Tu me l’as encore mise à fond. C’est trop bon ta grosse bite. OOUIIIII ! Encore. Plus fort. Jouis ! Remplis ta chienne, jouit mon chien.

C’est à la fois dégueulasse à regarder et c’est pourtant excitant et magnifique de voir ma Julia jouir à plusieurs reprises.

L’excitation est la plus forte. Je bande dur en silence. Je sens des spasmes parcourir ma verge, mes reins puis je décharge mon sperme dans mon slip sans me toucher.

Mon chien est en train de jouir. Ses membres postérieurs sont pris de tremblements, il tient tout juste sur ses pattes. Ma femme confirme d’ailleurs en ronronnant de satisfaction :

— Oui c’est çà mon chien, donne tout ton jus à Maman, OUIIIIIIII ! Visiblement, ce n’est pas la première fois. Depuis combien de temps me trompe-t-elle ? Caché derrière ma caméra, j’ai l’impression de vivre une scène irréelle. Le filtre de l’appareil fait que je me retrouve protégé de cette scène qui est vraiment pornographique.

La position du lit me fait regretter de ne pas en voir plus. J’aurais tant aimé voir ce sexe entrer dans la moule de Julia, mieux, le voir éjaculer dans son ventre. J’imagine le trop-plein de sperme s’échapper de son puits d’amour, déborder, couler le long des lèvres, des cuisses. Les derniers spasmes se terminent, les deux amants ne bougent plus, ils doivent être liés ensemble.

Discrètement, je retourne dans mon bureau et dépose le caméscope dans le coffre-fort que je possède pour mes dossiers confidentiels, et dont je suis le seul à avoir la combinaison. Je m’éclipse tout aussi discrètement que je suis arrivé. Je me retrouve dans la rue, le slip mouillé, partagé entre excitation et stupeur. Je saute dans la voiture et je roule sans but précis.

Je ne reviens que bien plus tard, pour retrouver ma Julia profondément endormie sans que rien ne laisse soupçonner de ce qui s’est passé quelques heures plus tôt. Je repense à la scène, l’excitation revient, je l’embrasse, je glisse ma main entre ses cuisses, plonge un doigt doucement dans son ventre. Elle est trempée, peut-être est-elle encore remplie du jus de notre chien. Elle ouvre les yeux, me tends ses bras et me murmure :

— Oh ? T’as envie mon amour, viens si tu veux.

C’est vrai j’ai envie, très envie. Je bande en pensant qu’elle a encore dans son ventre la semence de mon rival à quatre pattes. Elle se met sur le dos, écarte les jambes pour me laisser m’installer. Ma queue est prête à exploser tant l’excitation est grande. D’un coup de reins, je m’enfonce en elle.

Elle accuse le coup en poussant un petit gémissement, mais ne m’empêche pas de l’embrocher jusqu’aux couilles. Je glisse comme dans du beurre, elle me souffle :

— Tu bandes fort mon amour. T’avais une grosse envie !! Fais-moi jouir.

— Ma salope de chienne, tu m’excites trop.

Je n’ai pas l’habitude de lui parler comme çà, mais elle ne réagit pas, semble même apprécier cet écart de langage. Je m’active, le plaisir est vite là, je me dégage, la retourne pour la mettre en levrette. Mes mains glissent sur ses hanches, ses flancs. Je sens alors les griffures laissées par notre chien qui boursouflent la peau. Les lèvres de sa moule sont écartées et brillantes de semence de son dernier amant, son puits d’amour est béant.

Cette vision m’excite encore plus. Je me plante en elle et reprends mes allers et retours. Elle commence à gémir, elle me demande de la prendre plus fort :

— Mets — là moi fort, plus fort, au fonds mon amour.

Je la tiens par les hanches pour mieux la tirer vers ma queue, dure comme du bois. Elle a l’air d’aimer çà, mais je suis tellement excité que je sens la jouissance à nouveau frapper à la porte de mes reins. Je sors à nouveau. Mon épouse râle :

— Non, non. Reste mon amour. N’arrête pas, je vais jouir.

Je voulais tenter pour une fois de la sodomiser, mais je replonge en elle, reprends mon pilonnage. J’essaie de penser à autre chose, mais les images reviennent au galop, des bruits excitants, obscènes même se font entendre tandis que mon sexe plonge à toute vitesse entre ses fesses qui vibrent à chaque fois que mes cuisses se plaquent avec force contre elles.

— OOOOH ! OUIIIIIIII ! Je viens mon amour. AAAAARRFF ! Je JOUIIIIIIS !

Elle se tend comme un arc. Elle jouit. Ce n’est pas feint, je le sens. Son fourreau me serre, m’étreint. Quelques coups de reins supplémentaires suffisent à me faire exploser à mon tour. Ma semence rejoint celle de l’amant qui m’a précédé dans son ventre. Je me laisse retomber sur son dos, elle s’affaisse elle aussi.

Nous récupérons doucement.

– MMMMMM. C’était trop bon. Merci mon amour. T’avais la grosse envie dis donc.

Je m’abstiens de répondre, car ce n’est pas l’envie qui me manque de lui demander si elle avait aussi joui avec mon chien. Ce n’est pas encore le moment d’autant qu’il faut le reconnaître, j’aimerais beaucoup la surprendre une nouvelle fois dans ses activités extra-conjugales.

Plusieurs semaines se sont passées depuis cette séance mémorable. Je n’ai pas réussi à la revoir avec notre chien. Il va falloir que je force le destin.

Je m’arrange donc pour laisser sur l’ordi familial une page du web spécialisée dans la zoophilie. Je quitte le domicile le lendemain sans toucher à l’ordi afin d’être sûr qu’elle va immanquablement la voir en s’en servant dans la journée.

Quand je suis rentré chez moi, je me suis garé de l’autre côté de la rue et j’ai traversé. Je ne m’attendais pas à voir quoi que ce soit comme je l’avais déjà vue.

Je peux voir Julia debout devant l’évier en faisant la vaisselle ? Puis je vois Charly entrer dans la pièce. Il va droit derrière elle et met son nez dans sa blouse, la soulevant au-dessus de son cul.

Il pousse son museau entre ses jambes pour qu’elle ouvre les cuisses. Je suis choqué quand je la vois écarter ses jambes, poussant son cul en arrière, elle continue à faire la vaisselle pendant que Charly lèche sa grotte par derrière. Je peux voir la bite de Charly grandir pendant qu’il la lèche. Sa langue est en train d’opérer sa magie.

Julia a cessé de laver, les avant-bras appuyés sur l’évier, elle baisse la tête. Elle tend sa croupe en arrière pour que son dos soit plat et que sa grotte soit plus accessible pour la langue de Charly. Je vois son cul commencer à se soulever de haut en bas à mesure qu’elle approche de son orgasme. Je n’arrive pas à croire qu’elle est en train d’avoir un orgasme clitoridien par la langue de Charly.

Elle se met par terre à quatre pattes, d’une main elle rabat le bas de sa blouse sur ses reins. Elle est cul nu ? Elle ouvre ses cuisses et soulève sa croupe. Je peux voir Charly s’exciter pendant que sa chienne prépare sa grotte pour lui. Julia se doigte la chatte, trempe un doigt dans sa grotte puis étale son jus sur ses lèvres qu’elle frotte avec douceur. Charly devient très excité en poussant son nez contre sa main, la pressant vers le haut.

Charly pose ses pattes avant sur le dos de sa chienne. Elle prend sa bite qui tombe dans sa main et elle la guide dans son puits d’amour. Julia pose son visage et ses seins sur le sol carrelé et je ne peux pas voir son visage, mais je peux voir Charly activer sa bite dans sa grotte consentante.

Même après l’avoir vu avant, je suis encore étonné de voir comment il peut baiser si vite. Il sort sa bite de sa chatte de presque dix cm et l’enfonce à nouveau. Alors ses boules touchent son clitoris, je sais qu’elle va avoir un autre orgasme clitoridien avant qu’il ne vienne.

Bien que je ne peux pas l’entendre crier, je peux voir ses mains se serrer et frapper le sol lorsqu’un orgasme a pris le contrôle de son corps. Charly la baise de plus en plus fort. Puis, il semble s’arrêter avec sa bite enfoncée bien profond dans sa femelle et je me demande s’il l’a ensemencé.

Ce n’est pas le cas, car je peux le voir pousser et bouger sa grosse bite d’un côté à l’autre il tire, il pousse. Il me faut un peu de temps avant que je réalise qu’il pousse son nœud en elle. Elle s’est détendue et le laisse entrer. Une fois dedans, Charly commence à frapper sa moule et je sais que la pointe de sa bite est en train de forcer son utérus quand il la pousse au fond d’elle. Je peux voir que ma femme encore jouir et Charly aussi.

Je le devine en voyant les différents mouvements qu’il fait en remplissant de son sperme la grotte de sa chienne. Son nœud agit comme un bouchon pour garder tout son sperme à l’intérieur de sa chienne. Je peux voir que Julia a un autre orgasme.

Je continue à regarder jusqu’à ce que je sache qu’il a juté encore en elle et qu’ils sont noués pour un bon quart d’heure.

Je passe sur le côté de la maison et je mets ma clef bruyamment dans la serrure. J’ouvre la porte et je crie :                                                                                                                                                   – Chérie, c’est moi j’ai pensé qu’on pourrait dîner ! En entrant dans la cuisine, je la trouve nouée avec Charly. Elle est en train de gémir :                                                                                                       – Non ! Non ! Désolée ? Je suis vraiment désolée !. Je m’approche d’elle, je la redresse.

Je repousse ses mains loin de ses yeux et je lui dis de les ouvrir. Elle le fait et vois que ma braguette à quelques millimètres de sa bouche est tendue par ma bite en érection.

Elle ouvre ma braguette, sort ma bite, ouvre sa bouche et enfourne ma queue bandée à mort.

Elle me suce la bite profondément dans sa bouche, puis tourbillonne sa langue autour de mon gland. Je suis aux anges. Charly essaye de sortir sa grosse bite du puits d’amour de ma Julia.

Il est sort avec un ploc juste au moment où j’inonde la bouche de Julia avec mon sperme. Je la vois avaler mon sperme chaud, puis elle glisse sa main entre ses jambes, car le sperme coule déjà le long de ses cuisses. Soudain, elle se souvient que je suis là, a main empêche le sperme de son amant de couler sur le carrelage du sol.

Je lui dis de se lever. Elle se tient debout devant moi, tenant toujours le sperme à l’intérieur de sa grotte avec la paume de sa main, ses seins magnifiques se lèvent et tombent, elle est encore là haletante de la baise énergique. Je lui dis de se retourner et de s’accroupir avec les jambes écartées jusqu’à ce que son cul touche le carrelage. Puis-je lui dis de ramasser le sperme de sa grotte et de le lécher avec les doigts. Choqué ? Elle fait ce que je lui dis et je me demande si elle est soulagée ou non. Dès qu’elle a plus rien à ramasser, je lui dis de se lever. Je l’envoie prendre une douche et s’habiller pour qu’on puisse parler.

Je m’assois dans la cuisine, regardant Charly lécher sa bite et ses couilles, jusqu’à ce que Julia redescende. Ses cheveux sont encore un peu mouillés.

— Comment tu es en arrivée là ? Car ce n’est pas la première fois que tu fais la chienne ?

Je l’embrasse en la regardant de sorte qu’elle se libère, qu’elle me dise le pourquoi.

— Je t’aime et rien de ce que tu pourras dire ou faire ne pourra altérer les sentiments que j’ai pour toi surtout après avoir partagé ce que nous venons de partager.

Un timide sourire prend enfin forme sur ses lèvres. Visiblement inquiète, elle se décide à me parler.

— C’est vrai. Ça ne te dégoûte pas ? J’ai peur que tu ne voies plus de la même façon maintenant en me voyant accouplée avec le chien.

— Ce n’est pas un chien mon amour. C’est notre chien et puis, il fait partie de la famille, non ?

— J’adore te voir jouir, tu le sais. Mais ?

— Mais ? Dis-moi mon chéri ?

— Mais je veux que tu sois chienne ! Que tu deviennes ma chienne ?

— Tout ce que tu voudras mon amour. Je suis trop heureuse que ça te plaise.

— Tu m’aimes quand même ?

— Non, pas quand même. Je t’aime tout simplement.

— Bon ? Voilà. Il y a quatre mois en aspirant la chambre de Michael, je sens qu’il y a un magazine bloquer sous le lit par mon aspirateur. Je le récupère et le feuillette. C’est un magazine porno d’histoires de femmes qui se font saillir par des animaux avec des images. Je n’en croyais pas mes yeux. Je me suis passé une main entre mes jambes pour me masser la moule, car ses photos et leurs histoires m’excitaient.

J’étais toujours à quatre pattes, la croupe relevée un coude sur le parquet. Ce jour là il faisait si chaud que j’étais nue sous une blouse non boutonnée. Comme tu t’en doutes, les levres de ma moule sont humides.

Toute à ma lecture et à mon massage de moule, je n’ai pas entendu Charly arriver derrière moi. Je fus surprise lorsque j’ai sentie sa langue léchée ma moule. J’ai sursauté et me suis cogné la tête sur le montant du lit de Michael. Moi les deux coudes au sol je me frottais la tête. Charly lui continuait à me lécher la moule. J’y prenais du plaisir, ça devenait bon, si bon que j’ai eu un premier orgasme.

Puis, j’étais dans ma jouissance quand soudain Charly a sauté sur mon dos, m’emprisonnant les hanches avec ses pattes avant. Dans la violence du choc, mon corps à glisser en avant sur le parquet si bien que je me suis retrouvé la tête et les épaules coincées sous le lit. J’étais à la merci de Charly.

Dans la position dans laquelle j’étais, ma moule devait s’être complètement ouverte ? Parce qu’avant que je le sache, sa verge n’a pas eu de mal à trouver l’entrée de mon puits d’amour. Au début j’ai bien essayé de me sortir de ce piège, j’ai crié pour qu’il arrête ça.

Mais malgré moi, j’y prenais du plaisir, mon corps ne m’obéissait plus. J’ai eu un autre orgasme quand son nœud a franchi le seuil de mon puits d’amour. Après qu’il c’est rependu dans mon ventre nous sommes resté liés pendant plus de vingt minutes. J’ai eu plusieurs orgasmes incroyables. Une fois libre je suis resté là, la croupe relevée, mon vagin rejetait le sperme de Charly par des spasmes de plaisir.

Pendant que Julia se raconte ainsi un bon moment, Charly bouge dans son ventre.

Elle pousse des râles de plaisir.

— Si tu veux, je peux faire plus que satisfaire ton désir de bite de chien. Je te ferai baiser encore et encore, chaque trou sera utilisé par les chiens et quand tu auras leur sperme qui coule de toi, tu seras ma chienne si c’est ton désir.

Dans un autre râle de plaisir, elle me dit un oui affirmé par un mouvement de tête suivit d’un autre râle.

Charly a fini, il tire pour se désaccoupler de sa femelle. Je pose alors une de mes mains autour de sa verge en massant et en appuyant tout doucement tout autour de la vulve qui semble être beaucoup moins dilatée. Un léger mouvement de bassin libère d’un seul coup l’énorme boule et la totalité de sa verge.

Julia pousse un râle de contentement, tandis qu’un flot de sperme s’échappe aussitôt de son ventre dont l’entrée ne semble pas vouloir se refermer. Le liquide légèrement teinté, coule sur ses cuisses avant de se répandre sur la moquette en faisant une large tache sombre. Je masse doucement l’entrée de son sexe. Elle me sourit.

Je lui demande de rester comme ça, à quatre pattes pendant qu’elle se livre en me racontant son plaisir, ses craintes, ses envies. Elle hésite, cherche à nouveau mon regard, réfléchit, hésite encore puis, après un long moment pendant lequel je n’ai jamais cessé de lui masser l’entrejambe, elle se lance, ce livre.

Son récit m’excite. Je me place derrière elle tandis qu’elle continue de parler, elle sait ce que je veux. Elle me tend ses fesses tandis que je pose mon gland dans l’entrée de son ventre. Je m’enfonce en elle d’un coup de reins. Elle me dit qu’elle m’aime, me supplie de la remplir à mon tour de ma semence. Je la besogne en la tenant fermement par les hanches, elle ronronne de satisfaction. Mon cœur s’affole, mes sens aussi, je ne cherche pas à résister, je me laisse aller bien calé au fonds de sa grotte d’amour.

Je jouis, ma tête explose, mon corps se tend tandis que mon sperme rejoint celui de notre chien. Le calme revient, nous nous laissons retomber sur la moquette, étroitement emboîtés l’un dans l’autre.

Avant que je ne lui en offre un autre chien pour son anniversaire, et nul doute qu’elle va bien s’en occuper et devenir une bonne petite chienne en chaleur pour lui comme pour Charly et moi. Mon objectif est de la voir se faire enculer par notre chien, chose qu’elle m’a toujours refusé.

La suite demain soir Même Heure

Sam BOTTE

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