Julia :
Après cet épisode très troublant où j’ai découverte la face cachée de la personnalité de mon mari. Je suis encore perturbée, car il m’a été impossible de garder mon secret. J’avais eu la certitude que Michel savait que Charly était mon amant. Mais hélas, Michel venait de me voir il y a à peine quelques heures en femelle soumise et prise par notre chien !
Mon mari a bien compris que je me sens coupable de l’avoir trompé avec Charly. Il a ainsi la possibilité de me faire du chantage, il a tout pouvoir sur notre devenir, je suis à sa merci et il l’a bien compris.
Alors que je prends ma douche matinale, Michel profite que je suis dans sa salle de bain pour confisquer à mon insu mes vêtements et mon téléphone.
Il a envoyé depuis ce dernier un SMS à nos enfants, disant qu’ayant besoin de repos suite à un surmenage, je prends deux semaines de vacances à l’improviste, de ne pas s’inquiéter, que je leur donnerai des nouvelles régulièrement. Puis il me dit de rester l’attendre dans la chambre. Quand il revient au bout d’un moment, il me jette un sac avec le blouson cuir de notre fille Julie, une de ses mini-jupes et une guêpière juste à ma taille avec deux bas noirs rien de plus.
— Tiens, enfile ça ma chérie, après manger et on va aller faire un tour et voir un vieil ami qui possède un chenil, c’est lui qui m’avait vendu Charly.
C’est comme s’il avait crié le mot chenil, bien que ce n’est que mon imagination, mais même le mot brûle dans mon cerveau.
— Tu penses à acheter un autre chien, n’est-ce pas ? Que je lui demande. Je me suis sentie faible d’un coup quand mon mari m’a répondu :
— J’aimerais un deuxième chien, je pense même qu’il nous faudrait un chien de bonne taille, pas un petit. Mon ami a une grande variété de chiens et si je ne sais pas lequel choisir, mais je suis sûr que tu pourras m’aider à choisir le meilleur.
Je ne cherche pas à négocier, je veux juste faire ce qu’il veut, ça ne durera pas indéfiniment de toute façon. Je lui demande juste une culotte, car non sortons de la maison. Il refuse.
Je ne sais si je digère mal le plat du midi ou si c’est le verre de rosé, mais je me sens un peu groggy, à me demander si Michel n’a pas mis un décontractant dans mon repas.
En début d’après midi nous partons avec sa voiture. Ma mini-jupe est vraiment très courte et laisse voir de manière indécente ma fente qu’il m’a fait épiler aux routiers que l’on dépasse sur la route. Je suis encore rouge et sensible à cet endroit et cela contraste avec la jupe blanche plissée.
— Il faudra que je te passe un peu de crème là-dessus, mais tu vas vite t’y habituer tu vas voir ? Dit Michel en passant doucement sa main sur ma moule.
Cette allusion me fait frémir d’inquiétude alors que mon corps réagit différemment, je me sens mouiller de plus belle.
— Patience ma belle chienne, tu vas en avoir encore !
— Je vais encore avoir de quoi ?
— Tu vas avoir d’autres Charly ma chérie !
— Mais non ! Je ne veux pas d’autre ! Que vous deux.
– On y est, m’interrompt-il
Les heures suivantes se sont écoulées dans le flou alors que Michel conduit la voiture sur la route principale avant de prendre des routes secondaires de plus en plus petites qui nous emmènent de plus en plus loin. La vue du panneau d’un chenil me fait écarquiller les yeux et d’horribles idées se mettent à fuser dans ma tête. D’instinct je resserre les cuisses.
On s’arrête à côté d’un grand portail de fer, Michel appuie sur la sonnette, quand la voix d’un homme répond Michel dit simplement c’est nous avant de regarder la caméra. Les portes s’ouvrent et en remontant la route, j’entendais le bruit des chiens aboyer au loin.
Quand la voiture s’arrête, c’est un homme d’une bonne soixantaine d’année nous accueille.
— Alors voici la femme dont tu m’as parlé au téléphone ? Tu ne pouvais mieux tomber, mais je manque de politesse, faisons les présentations et je te fais visiter les nouvelles installations, passez devant madame.
L’homme me prend par la taille sentant et m’indique la direction poliment et fermement à la fois.
— Moi c’est Norbert, No pour les intimes, alors comme ça, tu aimes particulièrement les chiens à ce que m’a dit mon ami ? Ici tu sais on en a de toutes les races, dans ces enclos, là et là, et ce bâtiment c’est là où on les soigne, on fait les toilettes, les saillies…
Je sens mon jus mouiller l’intérieur de mes cuisses pendant que je le suis doucement en marchant bras dessus bras dessous dans un grand bâtiment en forme de grange. Des deux côtés, il y a des cages et, dans chacune d’elles, un chien rôde en reniflant l’air et en aboyant pendant qu’il capturait mon odeur. Au milieu de la pièce se trouve un banc rembourré entouré d’un cercle de trois quarts de chaises rembourrées. Le banc est suffisamment haut pour que quelqu’un puisse s’allonger le long du banc à quatre pattes en étant soutenu par le dessous. Il y a une plate-forme parallèle, mais s’étendant au-delà de la longueur du banc, avec ce qui semble être des empreintes rembourrées pour les genoux, et à l’extrémité des plates-formes, il y a des sangles en cuir bouclés.
Norbert rit quand il me voit en train de regarder l’engin.
— C’est un banc d’élevage. Dit-il en riant. Au même moment je sens un spray me pulvériser l’entrecuisse. No avait un aérosol dans la main et vient de m’asperger les cuisses à travers la porte.
— Ça, ma petite dame, ce sont des phéromones de chienne en chaleur, pour exciter les mâles reproducteurs. Maintenant pour les chiens, tu es une femelle qui a ses chaleurs. Dit-il en me poussant à quatre pattes sur le banc. Je trouve que je peux me détendre et que le banc me soutient pleinement. Le banc n’est pas assez court, mes seins sortis de la guêpière sont écrasés, la largeur des fermetures signifie que ma chatte et mon cul sont exposés aux éléments, car j’y suis totalement vulnérable.
Je ferme les yeux pendant un moment en tremblant d’anticipation de ce qui va se passer, puis je sens un doigt me sonder à l’intérieur de moi.
— La salope est trempée, il est temps que tu sois vraiment baisée ! Je réalise que c’est Norbert qui me doigte.
— Prépare-la pendant que j’accueille nos invités.
Je veux m’enfuir, mais je crains la réaction de mon mari. Je veux crier en signe de protestation et de confusion lorsque le sondage d’une langue douce à l’intérieur de ma grotte arrête mes mots. Je me détends et je ferme les yeux pendant que la langue de mon mari me fouille et me lèche. La langue habile de Michel me pousse à bout lorsque mon premier orgasme éclate en moi.
— Elle est très prête ! Dit Michel en se léchant les lèvres.
C’est alors que j’entends la porte s’ouvrir et qu’un chien est entré.
En sentant mon excitation, le chien se déplace rapidement derrière moi et d’un second bond il me ceinture les hanches avec ses deux pattes avant et commence à me chevaucher.
Heureusement que j’ai le blouson de cuir sur ma guêpière pour éviter les coups de griffe. Ainsi positionnée, ma mini-jupe ne recouvre plus que le haut de mes fesses, au fur et à mesure qu’il me monte, je sais que le moment déterminant est arrivé. Le halètement du chien est fort dans mon oreille et là où les coups précédents ont manqué leur cible, le chien trouve finalement l’endroit qu’il cherche.
Avec une poussée puissante, il entre au fond de moi avec sa bite chaude et ensuite il commence à me baiser avec une férocité et une intensité que je n’ai jamais connue avec Charly. À ce moment je sais que je suis accro à la bite de chien pour toujours et en jetant tous les derniers vestiges de la honte, je crie haut et fort :
— Baise ma grotte de salope comme la chienne que je suis ! Le chien a ignoré mes paroles et se contente de me marteler la croupe.
— Je vais chercher la caméra. Dit Michel tandis Norbert fait un murmure d’approbation pendant qu’il regarde. En regardant vers le haut, je peux voir son excitation gravée dans son visage.
Prenant une profonde respiration, j’expire lentement, me relaxant suffisamment pour permettre au nœud de glisser à l’intérieur de mon puits d’amour. La douleur initiale a rapidement été surmontée avec le sentiment le plus intense de la saillie, car le chien commence à moins pousser et son nœud gonfle encore plus. Comme je pense qu’il me fera exploser comme un ballon, je sens un énorme jet de semences chaudes et brûlantes dans ma grotte.
Je me suis évanouie de plaisir pendant un moment, car lorsque je me réveille, je sens une secousse lorsque le chien se retire, faisant couler lentement le sperme dans une flaque sous mes jambes. J’entends la voix de No :
— C’est bien Loulou, une autre dame baisée par toi. Je lève les yeux et je vois mon mari sourire en levant un doigt puis en levant un autre en silence, en signifiant deux. Les mots ne se sont pas enregistrés au début jusqu’à ce que je sente un nez froid et humide pressé contre mon cul, puis je sens comme une langue rugueuse qui s’enroule dans d’énormes lèchements, m’envoyant des mini-orgasmes à travers mon corps.
Le deuxième chien semble plus mince que le premier, mais est certainement plus long. Je peux sentir la longue bite chaude s’introduire profondément en atteignant des points profonds à l’intérieur de mon puits d’amour. Le nœud du deuxième chien se glisse avec une facilité bienvenue. L’entrée est favorisée par le sperme qui s’écoule de mon vagin et je m’excite à la pensée que mon amant glisse sa verge dans le sperme de l’autre, en moi les spermes vont se mêler.
Je sens mon orgasme monter doucement en même temps que je sens la bite du chien buter au plus profond de moi. Je sens la décharge du chien venir et je hurle de plus en plus fort. D’être une salope de chienne prise sur ce banc, juste là pour la saillie.
— Regarde-moi ça comme elle en réclame la chienne ! Elle va se régaler toute l’après midi.
Je suis en train de m’épuiser pendant que le sperme chaud m’éclabousse à l’intérieur. Je lève les yeux et je vois le visage souriant de mon mari alors que, cette fois, les deux doigts qu’il tient levés sont rejoints par un troisième.
Je gémis quand le deuxième chien me libère et est remplacé par un troisième. Ce chien est plus gros que les deux précédents, je ferme les yeux et je râle de plaisir bruyamment, quand il enfonce sa bite dans ma grotte trempée, déjà remplie de deux lots de sperme de chien.
Je sens le ventre chaud du chien sur mon dos, car il me prends de la seule façon qu’il connaît, sauvagement et complètement. Je commence à bouger la tête, mais le chien serre ses dents sur mon cou, pas assez pour faire mal, mais assez pour me dire que je suis sa chienne maintenant. Je regarde les visages qui me regardent, sans me soucier du fait que je jouis avec un chien comme la salope que j’ai envie d’être.
— OH ! OUIII ! Prends-moi je suis ta chienne, fertilise-moi, remplis-moi de ton jus, de ta semence, je suis ta soumise, ta femelle, ta chienne !
Je crie haut et fort en tirant des cris d’approbation de mon mari et de No.
— Fais de moi une putain de chienne pour tous les chiens. Le dernier mot est dans un hurlement comme je jouis sur la bite du chien et presque comme s’il a compris, il enfonce son nœud dedans et ma grotte d’amour qui s’est fermée autour de lui. La sensation familière du sperme chaud qui tapisse les parois de mon vagin, me remplis de joie et de plaisir et je hurle mon orgasme comme la chienne en chaleur que je suis devenue.
Michel me regarde dans les yeux quand mon amant se désaccouple de moi, laissant vagin douloureux à l’intérieur. Il sourit alors qu’un troisième doigt est rejoint par un avant-dernier.
— Je pense que tu es prête pour Roy maintenant ? Me dit-il en riant. Il hausse les épaules et se tourne vers Norbert et lui demande :
— Combien de chiens as tu ?
Sa réponse me fait frissonner, mais je ne sais pas si c’est par désir ou par peur.
– Trente ! Dit Norbert en riant. Je n’entends pas les mots suivants quand le quatrième chien, Roy me monte et avec facilité trouve ma moule béante qui coule. Cet amant a le plus gros membre que j’ai reçu dans mon puits d’amour jusqu’à présent. Il me saillit d’un puissant coup de rein qui me donne l’impression que sa bite va sortir par le haut de ma tête.
Cet amant est clairement plus expérimenté que les amants d’échauffement qui l’ont précédé, car ses poussées sont plus lentes, mais encore plus rapides que celles d’un homme. Je sens la puissance de cet énorme amant et je me rends compte, que c’est un Danois noir. C’est une fourrure douce qui me frotte sur le dos, pendant le va-et-vient de mon amant, elle me chauffe les reins. C’est dans ses moments là que l’on apprécie d’être une chienne. En entrant et en sortant et en laissant mon corps, elle a laissé un vide qui m’a fait gémir pour qu’on me remplisse à nouveau.
Quelque part à derrière ma tête, j’entends les deux hommes et en ouvrant les yeux, je vois que mon mari s’est approché de nous avec sa caméra pour mieux filmer la bite massive de mon amant aspiré dans ma moule avide. Les mains de Norbert tordent mes mamelons, à un moment donné, il pousse sa bite dans ma bouche ouverte ? Qu’il remplit bien rapidement, puis aussitôt vidé aussitôt avalée.
Soudain, je me rends compte que mon amant n’a pas encore renté son nœud dans mon puits d’amour. Je le sens qu’il s’y emploi, j’ai l’impression qu’une grosse orange essaye d’être poussé à l’intérieur de mon vagin. Ça doit ressembler à l’accouchement à l’envers, mais je pense que finalement ma moule s’est suffisamment ouverte pour permettre au nœud massif de passer à l’intérieur.
Mais ? Il y a un autre chien qui se frotte contre moi attendant peut-être son tour, j’ai son sexe qui vient frotter contre mes joues. En tournant la tête je vois que je peux le prendre un ma bouche, machinalement je glisse ma langue et lèche son jus, puis-je le prends en bouche complètement. En aspirant par saccades son pénis s’allonge de manière impressionnante et je le sens au fond de ma gorge, il ne tarde pas à se déverser complètement et j’avale sa chaude semence.
Je marmonne, les mots tombent de ma bouche dans un torrent de convoitise et de saleté.
— Va y ! Baise-moi… Baise-moi…. Entre tout dans ta chienne ! J’adore les grosses bites de chien.
Avant de m’évanouir à nouveau lorsque le nœud passe le seuil de mon puits d’amour.
Quand je reviens à moi, la bite de Roy est encore à l’intérieur de mon ventre et je me sens très coincée et Norbert est à côté de moi, il me masser le ventre et la partie inférieure du pubis.
Mon mari et Norbert ce murmure quelque chose et j’entends le mot vierge ?
— Pour l’instant, détends-toi juste pour que Roy puisse se désaccoupler sans te blesser.
Tandis qu’il parle, mon amant tire brusquement et me fait gémir alors que son nœud sort de ma grotte ravagée. Cette fois, sa semence ne coule pas, mais jailli en large éclaboussure lorsqu’elle touche le sol. Norbert demande doucement en me caressant les cheveux :
– Ne t’inquiète pas, va laisser reposer ta chatte pour l’instant.
Je regarde mon mari et lui sourit en guise de remerciement. Mais surprise ? Je sens la sensation froide du gel appliqué sur mon étoile anale. Un doigt ferme commence à sonder l’intérieur de mon rectum, ce qui me fait me tortiller des fesses. Norbert me murmure à l’oreille :
– Ton mari n’a jamais baisé ton petit cul ?
Je secoue la tête en signe de négation, quand il me demande si quelqu’un d’autre m’a baisé le cul ? Je secoue de nouveau la tête, pour dire non.
– Vaut mieux se détendre pour la première fois. Dit-il en enfonçant son doigt plus profondément. À ma grande surprise, je me sens bien avec son doigt dans mon cul et quand je sens que le premier doigt est rejoint par un second je me détend.
Norbert se lève et retire ses doigts avant de dire :
– Je pense qu’avec celle de Prince sera assez gros pour son cul pour la première fois. J’essaye de donner un sens à ses paroles quand il se tourne vers mon mari. – Tu m’a dit qu’elle est une vraie vierge anale, mais pas pour longtemps.
Malgré que Norbert me prépare, je suis encore nerveuse, car Prince s’est approché vers moi, sa bite déjà pendante semble énorme, mais peut-être qu’elle est juste comparée à son corps en fil de fer. Je sens la main de Norbert s’agripper à ma grotte pendant qu’il me caresse le cul avec son autre main.
– Je ne veux pas qu’il se trompe de trou. Dit-il en m’envoyant des picotements dans la moule.
Je sens Prince comme une plume après Roy, alors qu’il saute sur mon dos en me tapotant de sa bite à la recherche d’un refuge. L’autre main de Norbert saisit fermement mon nouvel amant et place la pointe de sa bite à l’entrée de mon anus. Mon petit cul frémit au rythme de ses poussées, mais je suis trop étroite, encore presque vierge de ce côté, et lui trop pressé trop maladroit.
Il se cale parfois contre moi, poussant de toutes ses forces, laisse s’échapper quelques jets de liquide chaud qui me font frémir.
Je commence à en oublier Michel qui filme, qui doit sûrement se bander en me regardant guider la queue du chien vers mon orifice le plus étroit.
Je n’ose pas le regarder, j’ai trop honte. Enfin, je sens mes chairs céder doucement, et d’un coup de rein plus violent il entre en moi, par mon orifice le plus secret m’arrachant un cri de douleur. Norbert libère la tige de mon amant permettant à sa bite de s’enfoncer jusqu’à la garde dans mes reins. Un grincement s’échappe de mes lèvres au départ, un peu de douleur puis ce Han qui sort du fond de mon larynx, mi-douleur, mi-excitation.
La douleur initiale est incroyable et mon cul brûle de douleur lorsque mon amant commence à pomper à l’intérieur de mes entrailles. Il ne se soucie pas du trou qu’il remplit quand je gémis : – s’il vous plaît arrêtez, s’il te plaît Michel, ça fait si mal. Peut-être que si c’était un homme, mes cris auraient pu l’influencer, mais c’est un animal qui n’a qu’une seule pensée dans son cerveau. À chaque poussée, il s’enfonce davantage, mais en bonne femelle, je m’ouvre doucement et la douleur disparaît.
Mes gémissements de douleur deviennent des gémissements de plaisir et un plaisir étrange prend le dessus.
Je sens la main de Michel dans mes cheveux qui soulève mon visage et il peux voir la luxure danser dans mes yeux.
— La bite d’un chien dans ton cul, tu l’aimes, alors que tu ne voulais pas la mienne, n’est-ce pas, salope ?
C’est bon, oh oui comme c’est bon !!!
Il relâche son étreinte, posant ses deux pattes sur mes reins, pesant de tout son poids, me faisant me cambrer à la limite de l’insoutenable et je sens qu’il s’enfonce encore, coulissant facilement, bien que son sexe soit devenu énorme. De plus en plus fort, de plus en plus profond, Il lâche en permanence ce liquide lubrifiant jusqu’à passer le nœud qui va me verrouiller.
Norbert pose doucement une question simple à mon mari :
– Michel on laisse entrée le nœud dans le cul de ta chienne ?
— Oui ! Laisse son nœud entré dans mon cul de salope.
Oh non ! Pas ça ! Je ne veux pas être verrouillée par l’anus, je suis trop étroite à cet endroit, il va me déchirer. Puis il y a eu une explosion de lumière quand le nœud de la taille d’une balle de tennis m’est rentré dans le cul. Je le sens grossir à l’extrême, je suis prise, chienne encore une fois, la femelle soumisse, et je recommence à aimer ça, oh putain j’adore ça en fait !
La jouissance me secoue. Je ne peux pas m’arrêter de jouir encore et encore alors que la semence chaude de mon amant jaillit profondément dans mon boyau.
Attachée a mon amant, que ne cesse de se décharger en moi. Je sens le foutre chaud me remplir le cul. Je contemple mon état, impuissante, honteuse pendant de longues minutes attendant qu’il ne se dégonfle.
Je ne me reconnaît plus, j’ai envie, encore, mais je n’ose pas supplier. Les doigts de Norbert sont en train de sonder l’intérieur de ma grotte en trayant la bite de mon amant alors qu’elle me remplit de sperme tout en caressant mon clitoris glissant. Dans ce qui ressemble à un mouvement synchronisé, le nœud sort de mon cul, maintenant beaucoup plus élargi et, ne pouvant se resserrer complètement, le sperme chaud de mon amant mêlé à mon odeur intime anale commence à sortir en un bon flot le long de mes cuisses.
Norbert pousse ses doigts en avant dans ma grotte ouverte, c’est un moment plus tard que je sens sa main entière entrer en moi, elle est beaucoup plus large que la puissante bitte de Roy. Le plaisir est intense à travers la douleur, car il semble que le poing de Norbert se déplace de plus en plus profondément, la quantité de sperme canin encore en moi rend le passage plus facile. De l’autre main, il frotte mon clito, envoyant vague après vague la jouissance dans mon corps. Finalement, mes multiples orgasmes ont cessé et quand sa main se retire, je sens un vide à l’intérieur de moi et repus, épuisée, j’ai glissé dans un sommeil presque comateux.
La suite demain soir Même Heure
Sam BOTTE
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