Quand je me réveille, c’est le matin et je ne suis plus sur le banc, j’ai été transportée jusqu’au grand lit dans lequel je me trouve. Mon corps est douloureux de la tête aux pieds et ma moule et mon cul palpitent encore de plaisir et de douleur. Comme je me souvient des événements des dernières heures, ma main glisse sous les couvertures et entre mes jambes en frottant moule endolorie et je passe un doigt sur mon anus encore engorgé du sperme de mes amants.
Je tourne la tête de droite à gauche, quelque chose me gêne au cou. Je met ma main ? C’est un collier à chien ?
Je me redresse sur le lit pour me regarder dans le miroir de l’armoire qu’il y a en face du lit. C’est un collier de cuir rouge avec une plaque d’identification, il y a un nom gravé dessus ? J’arrive à lire (Julia). Ce collier me va parfaitement bien, suffisamment long et large, il est légèrement serré autour de mon cou sans m’étrangler. Je le tourne autour de mon cou pour le détacher, mais je vois un petit cadenas m’empêche de l’ouvrir.
Je suis là nue sur un lit avec un collier de chien autour du cou, avec deux puits d’amour suintant encore de sperme.
La porte de la chambre à coucher s’ouvre.
- Bon tu es réveillée. Me dit Michel.
– Bonjour ma chienne, alors tu as aimée ? Pour ma réponse, je lui ai juste souri et jeté les couvertures pour qu’il puisse voir mon autre main posée sur ma moule.
– Je te considère maintenant comme ma chienne. Mais je t’aime pareil.
– La salle de bain est là-bas, après tu viens dans la cuisine. Me dit mon mari.
Je me lève, et entreprend de ramasser mes vêtements éparpillés, mais un écoulement poisseux sur mes cuisses lui rappelle les folies d’hier après midi.
Soupirant, je file dans la salle de bains défraîchie de la maison pour y prendre une bonne douche.
J’ai triomphé de toutes mes inquiétudes, concernant mon infidélité. Effectivement, je me suis maintes fois posé cette question, après avoir constaté que j’éprouvais de plus en plus d’appétence pour le sexe avec mon chien bien que mon mari soit doux, câlin, attentionné, au lit et je l’aime toujours. Maintenant qu’il m’a vu jouir avec mon amant, pour me faire pardonner je lui ai promis de m’abandonner sexuellement à ses volontés.
Pendant le petit déjeuner Michel me dit que nous allons passer deux jours chez son père, après être passé à la maison pour me changer. J’accepte avec plaisir.
Ce matin nous passons à la maison, je mets une robe d’été légère et un string noir. Mon mari me regarde. Il détache mes cheveux. Il baisse les bretelles de ma robe et m’enlève mon soutien-gorge, libérant mes seins. Puis, il remonte ma robe et enlève mon string.
— Tu n’auras pas besoin de tout ça ce week-end. Ta robe suffit.
Il regarde ma chatte épilée visiblement excité. Je l’ai bien écouté. Je n’ai plus un poil autour de mes puits d’amour.
— Tu es vraiment ma chienne maintenant ! J’ai prévenu mon père, que tu es une chienne en chaleur. Tu devras satisfaire tous les mâles ce week-end.
— Oui mon chéri ! Je ferais tout ce que tu voudras.
Nous prenons la route. Il fait chaud. Je suis excitée à l’idée du week-end qui s’annonce. Une heure avant d’arriver Michel relève ma robe, laissant ma fente à l’air. Nous doublons des camions qui nous klaxonnent à la vue de ma fente.
— Caresse-toi !! M’ordonne mon chéri de mari.
Je commence à me toucher du bout des doigts, juste assez pour être humide. Ce voyeurisme me plaît.
Nous arrivons dans la cour de la ferme. La maison est isolée au milieu des bois. Michel me conduit vers une grange. Quand mes yeux se sont habitués à la pénombre, je distingue Pierre. Il nous salue en me reluquant. On voit mes tétons à travers le tissu de la robe. Après avoir échangé quelques banalités, Michel annonce :
— Papa c’est ton cadeau, je l’initie à la soumission. Elle n’a pas été gentille, elle m’a cocufiée avec Charly notre chien, donc je l’ai prévenue que ce week-end, elle sera notre chienne. Elle devra satisfaire nos besoins. Elle doit se comporter comme notre chienne. Nous allons lui apprendre des choses.
Je m’avance quand Pierre sourit et tend un bras vers moi. Je lui rends son sourire et vient me presser contre lui. Il m’embrasse à pleine bouche. Sa langue s’insère dans ma bouche. Je m’écarte et ouvre sa combinaison de travail. Il est nu en dessous. Je le déshabille totalement et il fait tomber ma robe. Lui aussi est excité par ma moule épilée, lorsqu’il la découvre. Il m’embrasse à nouveau longuement me malaxant les fesses. J’ai promis à Michel d’être une vraie salope pour qu’il me garde avec lui, avec ce qu’il m’a fait découvrir hier, je crois que je n’aurais pas de regret d’être sa chienne soumise.
Puis, Pierre s’allonge sur une botte de paille. Je me positionne au-dessus de sa tête. J’écarte les lèvres de ma grotte humide et la caresse du bout des doigts. Il me regarde faire. Enfin, mon doigt glisse et s’enfonce dans ma chatte. Michel est nu derrière moi et nous regarde, laissant son père profiter de moi.
Pierre m’attire vers sa bouche et commence à me manger la moule. Je pousse des gémissements sans aucune retenue profitant de l’isolement du bâtiment. Sa langue glisse sur ma vulve, rentrant parfois à l’entrée de mon puits d’amour. Il mordille mon clitoris, que je lui offre sans aucune retenue. Mon mari caresse lentement sa bite en me voyant. Son père me fait pivoter avec agilité, et je me retrouve en tête bêche. La queue épaisse de mon beau-père est dure et je la fourre dans ma bouche avec appétit.
Je le suce avec application jouant avec son gland, mordillant sa verge et suçant tout son membre tout à tour. Pendant, ce temps il mange ma moule en chaleur qui bave. La bouche humide il me repousse et m’allonge sur la botte de paille. Il m’ouvre les cuisses et sans aucune hésitation, il me pénètre d’un coup. Je pousse des gémissements de plaisir.
— Vas-y, oui, c’est bon, fourre-moi encore !! Lui dis-je.
Parfois, il ralentit la cadence et me pénètre avec plus de précision, plus lentement. Il me cale toute sa bite. Je tourne parfois la tête vers mon mari en gémissant. Je sais qu’il aurait voulu être à la place de son père. Il se branle un peu plus vite.
Pierre s’allonge et je me mets à le chevaucher dos à lui, les jambes écartées de chaque côté de la botte de paille. Il me pénètre plus profondément. Accroché à mes hanches, je sens sa bite remplir ma grotte mouillée et excitée. Je me caresse un peu le clitoris, et me mets à gémir de plus en plus fort.
Michel s’approche. Il me tend sa queue que je prends en main tout en gardant la bite de son père entre mes cuisses. Je le branle vigoureusement. Pierre m’inonde dans un râle et je jouis en hurlant en même temps. Mon Michel pend son membre en main et se branle vigoureusement en me caressant les seins. Son sperme blanc et épais s’étale sur mes seins.
Je me penche vers sa bite et la lèche pour la nettoyer. Je lèche mes seins également. Pierre me soulève et je m’assois sur la paille. Il me tend sa bite que j’entreprends aussi de nettoyer.
— Félicitation, me dit mon beau-père. Tu es une vraie chienne. Tu satisfais parfaitement les envies des mâles en chaleur. Mon fils a raison, tu es faite pour être baiser.
Je lui souris. À ce moment, un berger allemand apparaît et se met à nous tourner autour.
— Tu avais promis d’être notre chienne en punition, pour ton infidélité, visiblement tu as encore un mâle à satisfaire ? Dit-il.
— OH ! Non ! Dis-je effrayée.
— Regarde il est aussi gentil que ton Charly. Dit Pierre.
Le chien, Max, vient poser sa truffe sur ma jambe en gémissant. Je le caresse entre les oreilles et il avance sa tête entre mes cuisses. Je les serre réticente à les écarter comme quelques minutes auparavant.
— Tu avais promis ? Gronde mon mari.
Il se penche vers moi et doucement m’entrouvre les cuisses encore chaudes et humides. Le chien avance sa tête. Du bout de la langue, il me lèche la moule, part puis revient à plusieurs reprises. Je dois avouer que ça me plaît. Sa langue est chaude et râpeuse. J’ouvre un peu plus les cuisses. Il commence à bander. Je me penche et le caresse du bout des doigts. Il me lèche plus vigoureusement et j’aime ça !! Je prends sa tête et l’oriente vers ma moule. Je bouge mon bassin. Je veux que sa langue lèche ma fente. Mon mari et son père sourient et me laissent faire.
— Vas-y chauffe-le, il doit vouloir te monter comme une chienne en chaleur. Excite-le, m’encouragent-ils
Je reprends la bite longue et rose de Max. Un peu de foutre en sort. Michel passe sa main sous mon collier et m’attire vers le sol. Je me retrouve à quatre pattes pour me faire saillir. Max me tourne autour excité. Je continue de caresser son membre et le porte à ma bouche pour le lécher du bout de la langue. Il sent fort. Pierre appelle le chien derrière moi et lui montre ma vulve. Sans hésiter le berger allemand me monte. Sa bite cherche fébrilement ma fente. Pierre l’oriente.
Mon nouvel amant me pénètre d’un coup sec et frénétique. Il me baise à merveille et j’aime me sentir pleine de sa bite. Bientôt, la base de sa queue grossit et je me retrouve piégée, obligée de lui donner du plaisir. Je gémis de plus en plus fort, tellement ça me plaît d’être prise comme une chienne. Les couilles de mon amant viennent cogner contre mes fesses, pleines de sperme frais. Je gémis encore sans aucune retenue pendant que mon amant me défonce la chatte. Il halète. Il a des coups brusques. Je jouis violemment.
Mon amant déverse en moi un flot de sperme liquide et chaud. Pendant que nous sommes
liés ensemble, il me lèche les épaules et la nuque, je jouis encore plusieurs fois. Une fois désunis, fatigué, Max vient s’allonger devant moi. Je me penche et lui nettoie doucement sa verge du bout de la langue.
Comme je suis toujours en position de saillie ; Pierre se dirige vers moi avec une tasse. Il la place sous ma fente. Je laisse couler le sperme de mon amant dedans. Pierre me tend la tasse et j’en bois le fond.
Je suis heureuse de cette nouvelle expérience. Max m’a procuré de nouvelles sensations que j’aime. Je viens de passer une étape supplémentaire dans ma soumission sexuelle.
J’ai pris plaisir à me faire baiser par Max. Mon beau-père et Michel sont eux aussi ravis que je me sois pliée aussi facilement à leur fantasme. Après m’avoir baisée dans la grange ils m’entraînent nue à travers la cour de la ferme. Nous entrons dans la maison ou il y a un deuxième chien. Couverte de sperme, ils m’encouragent à aller me doucher, ce que je fais.
— Mets juste un string propre, mais reviens nue !! Lance Pierre.
Lorsque je suis propre, je les rejoins dans la cuisine et m’installe pour manger. Mon beau-père m’installe à côté de lui. Les hommes parlent entre eux. De temps en temps un chien passe. D’instinct je ferme mes cuisses. Pierre passe une main pour me les écarter.
– Garde-les ouvertes, tu es une chienne, c’est normal qu’ils te reniflent, dit-il
Mon mari sourit, excité que je me transforme en chienne. À la fin du repas, je me lève et sers le café à chacun. Ils me caressent au passage les seins et les fesses avec instance. J’ai toujours mon collier en cuir autour du cou. Je fais la vaisselle et Pierre se place derrière moi. Il me pelote doucement les seins et colle son membre flasque contre mes fesses. Il m’embrasse le cou et passe ses doigts sur ma moule pour la masser. Je commence à nouveau à sentir le plaisir monter en moi.
Au bout de dix minutes, il se détache de moi.
— On va se laver et après on revient avec toi, faire une balade dans les bois. Dit Michel
Je patiente sagement assise dans la cuisine. Les chiens sont partis se coucher.
Le père et le fils réapparaissent nus, mais propres. Ils me prennent par la main et nous sortons. Pierre a un petit sac avec lui ?
Il fait chaud. J’enfile des tongs et sort nue. Le soleil réchauffe mes seins. Entourée par mes deux hommes, nous pénétrons dans la forêt et nous marchons dix minutes.
Arrivés à l’entrée d’un champ, ils m’amènent contre un arbre. Pierre sort un foulard du sac.
— Laisse-toi faire, on va jouer !
Avec de l’appréhension, je le laisse faire. Il m’attache les poignets à la branche au-dessus de moi. Mes seins vers l’avant, mes fesses arquées vers l’arrière, je suis à leur merci. Michel s’approche et laisse couler du miel sur mon corps. Il commence à bander. Michel commence à lécher le miel, il s’applique à bien passer sur mes tétons qu’il mordille. Pierre se tient derrière moi, sa bite épaisse contre mes fesses. Il se frotte en soupirant.
Je découvre que j’aime être leur jouet, alors je gémis pour les exciter un peu plus. Pierre laisse glisser son doigt vers ma fente que j’entrouvre un peu plus. Il joue avec l’entrée de ma grotte et sans prévenir enfonce d’un coup un doigt. Je pousse un petit cri de surprise. Mon Michel se met à me lécher le clitoris avec appétit. Sa langue chaude me fait du bien. Il humidifie ma fente. Mes lèvres gonflent.
— Oh ! Oui ! Lèche-moi, je suis ta chienne, fais-moi du bien ! Lui dis-je
Il aime entendre ces mots et ça m’excite. Il sort du sac un gode de taille moyenne. Il le pose sur mes lèvres.
— Suce-le comme à la maison, mouille le bien, pour qu’il glisse bien dans ta grotte. Dit-il.
— Oui, montre-nous que tu aimes sucer et lécher, ma chienne de belle fille ! Dit Marcel
Je dois leur faire plaisir. Je me mets à sucer avec application l’objet long.
Pierre s’en empare peu de temps après et toujours derrière moi, il me remonte les fesses. Rapidement, il m’insère la fausse bite dans mon puits d’amour. Il la fait tourner, joue avec l’entrée de ma grotte, applique des mouvements doux puis des coups brusques qui m’arrachent des gémissements.
Mon Michel recommence à me lécher le minou. Il attrape à nouveau le sac et en sort un gode plus large et long. Accrochée à la branche, je ne peux que me soumettre à eux. Ce gode écarte un peu plus ma grotte ruisselante. Je suis vraiment en chaleur prête à me faire baiser par n’importe quoi. J’ai envie de me mettre à quatre pattes et de donner ma croupe à tous les mâles de passage.
Ils me détachent. Pierre attache une laisse à mon collier et il me dirige à quatre pattes vers un tronc d’arbre à terre. Ils m’installent sur le dos. Chacun est bien dur avec le gland lubrifié. J’ai envie de m’occuper d’eux et leur donner du plaisir. D’un commun accord, c’est d’abord mon mari qui se positionne au-dessus de ma tête. Son père me tient les mains. Michel entrouvre mes lèvres et enfonce son gland dans ma bouche. Il grogne. Je m’applique à lécher sa queue pour qu’il soit satisfait. Puis, son père prend sa place.
— Vas-y ma petite chienne, fais ton travail avec papy Pierre. Fais-moi plaisir.
Ils ne jouissent pas dans ma bouche. Ils me relèvent et ouvre la barrière du pré et me dirigent vers un âne noir. Je comprend d’instinct ce qu’ils attendent de moi. Effrayée je veux m’enfuir, mais ils me retiennent.
— Tu avais promis d’être notre chienne tout le week-end. On est ici, car tu t’es fait saillir par Charly. Tu es punie !! Me rappelle mon mari.
L’âne continue de manger son herbe. Je caresse sa croupe.
— Caresse son sexe, m’ordonne Pierre. Il aime ça. Vas-y doucement il gicle vite !!
Résignée, je m’agenouille au niveau du membre et me mets à caresser doucement son sexe qui se met à grossir de manière démesurée, en une longue tige dont le bout triangulaire est percé d’un trou. Je continue en massant parfois le bout puis toute la bite. La queue devient énorme et dure. Ça m’excite. Je l’imagine entre mes cuisses dégoulinantes de mouille. Je suis hypnotisée par cette bite d’étalon. J’ai envie de me faire saillir comme avec les chiens.
Marcel passe sa main sur ma nuque qu’il caresse, puis il pousse ma tête vers la bite. Elle s’approche alors de ma bouche pulpeuse pour me l’introduire. D’instinct, mes lèvres se mettent en cercle et la pointe de velours bute sur l’arrondi. Je Me laisse faire en ouvre grand la bouche. Mes mâchoires sont forcées, je réussit à introduire tout le gland dans mon bain de salive. Dans ma bouche, la tête du membre grossit encore entre mes mâchoires distendues. Ma langue tourne autour de cette chair étrangère, ralentie par une poussée en direction de sa gorge. C’est chaud, envahissant, étouffant et bon à la fois. L’amant se met à user de ma bouche comme d’un sexe.
Ma salive déborde, le membre glisse de plus en plus facilement, progresse, heurte l’intérieur de ma gorge, il cogne sur une joue à plusieurs reprises, mes lèvres sont à la limite de la rupture. Cela dure cinq minutes, le temps que le membre soit dure pour la saillie. Il a arrêté de brouter et me laisse faire. Michel et son père me relèvent et m’installent sur une botte de paille. Sur le dos, les cuisses grandes ouvertes je me laisse faire.
Marcel amène mon amant devant moi, il lui pose les pattes sur la botte de paille. Je sens l ’œuf qui se frotte sur mes lèvres comme pour apprivoiser ma moule, une pression et ma grotte s’ouvre pour accueillir la chose.
Heureusement il va doucement. Le gland est entré, et déjà je me sens remplie, il s’avance et tout doucement il s’introduit, mes chairs sont écartées comme jamais elles ne l’ont été par une bite, il en reste encore dehors, car je sent toujours pas ses couilles sur ses fesses. Je se laisse envahir sans protester. À force de persévérance, il a mis le feu à mes sens. Je veux le satisfaire. Les deux hommes se branlent à côté de moi en fixant ma grotte. J’aurais voulu les accueillir tous les trois en même temps.
Ils me laissent m’accoupler bestialement avec l’âne. Je me sens écrasée par un corps qui pèse sur moi. Je pousse des feulements de chienne qui se fait saillir, car c’est ça dont il s’agit : une saillie.
Mais que c est bon, maintenant c’est moi qui aspire le monstre de chair. Je le veux en entier dans mon ventre, de moi-même j’accélère la cadence. Je n’y tient plus. Je sens les couilles taper sur mes fesses, plus un millimètre n’est disponible dans mon puits d’amour.
Il me semble qu’il touche mon nombril.
Je suis écartelée par ce morceau de viande dur et chaud. Les pointes de ses seins sont brûlantes par le frottement de son poitrail. Dans mon ventre je sens le mouvement rapide de sa bite géante.
Mon amant ahane sur moi, sa gueule c’est refermé sur mon crâne, sa bave est sa chaude haleine me font un bien fou. En ouvrant les yeux, j’aperçois mes hommes qui regardent mon baiseur en plein effort. Le va-et-vient, distend les parois de mon vagin, va cogner brutalement tout au fond contre l’entrée de mon utérus qu’il force, puis ressort entièrement puis se renfonce dans ma grotte d’amour, mon humidité d’amour facilite l’intromission dans la cavité, son gland en forme de gros œuf frotte à l’intérieur de mes lèvres meurtries.
À mes premiers gémissements de plaisir, mon amant multiplie les sorties complètes, suivies de pénétrations puissantes, violentes, il force l’allure, il s’impose une cadence infernale. Je crois qu’il me perce le ventre, à coup de croupe puissante, le bout du sexe de mon amant a ouvert le col de mon utérus ce qui augmente la profondeur de mon puits d’amour.
Maintenant à chaque coup de reins les couilles de mon amant s’écrasent sur mon cul et me provoque des orgasmes à répétition. Cela dure au moins vingt minutes quand mon amant accélère, puis il a plusieurs soubresauts quand il jouit en hennissant. Je me joins à lui, genre.
– Ah oui ! Ah oui ! C’est trop bon, arrose-moi, mon chéri ! Je sens une rivière de liquide chaud gonfler mon ventre cela n’en finit pas, je le sens couler le long de mes cuisses.
Je n’ai jamais ressenti cela, je continue à jouir sans discontinuer, je suis pleine de sa semence. Enfin mon amant se retire avec un bruit de ventouse, un flot ininterrompu de sperme s’échappe de ma vulve qui reste béante… Et puis, à nouveau, il se passe quelque chose de magique : ma vulve se rétracte lentement et redevient presque normale ! Pierre passe ses doigts dans ma grotte et me fait goûter le sperme de mon amant. Je lèche avec plaisir.
Michel pose un gobelet sous mes fesses, je me relève un peu et je fais sortir une forte quantité de sperme. Il me tend le gobelet et je bois.
— Va nettoyer la queue de ton amant, m’ordonne mon Michel.
Je marche jusqu’à l’âne, et je m’accroupis devant sa bite. J’écarte mes cuisses, pour laisser voir ma moule baignée de sperme frais aux deux hommes. Puis je nettoie la bite avec ma langue, bien comme il faut.
Puis, je reviens vers Michel et son père.
— Mets-toi à genoux ! Dit Pierre.
Je m’exécute. Leur membre est prêt à exploser. Pierre le premier mets sa bite devant mon visage. Il se branle, du bout de la langue, je viens caresser le gland. Le sperme éclate sur mon visage et ruisselle. Je le nettoie proprement. Michel ne me laisse rien faire. Il n’en pouvait plus.
— Tu as vraiment appris à être une bonne chienne, une salope !! Je te garde, je vais encore mieux t’éduquer.
Il éclate sur ma langue, m’obligeant à sucer son gland à la fin de sa jouissance.
Heureux, ils me relèvent et m’embrassent en remerciement pour avoir été une bonne chienne. Pendant, le chemin du retour, le foutre de l’âne continue de couler le long de mes jambes. Je trouve ça délicieux et me dit que c’est une expérience parfaite, à recommencer.
Après m’être fait baiser par mes deux hommes et un bourricot, ils me ramènent à la maison et m’amènent faire la sieste. Nous nous allongeons à trois dans un grand lit. Le sperme continue de couler de ma fente. Je m’endors heureuse entre mes deux hommes. En nous réveillant, ils m’amènent à la douche. Nous sommes toujours nus. Du coup, nous ne mettons pas longtemps pour passer sous l’eau. La douche est assez grande pour que nous puissions y tenir à trois. Ils me lavent soigneusement pour notre grande soirée.
Pierre, le père de mon mari n’avait pas baisé depuis longtemps avant que j’arrive le matin. Il veut donc profiter de moi au maximum pour son anniversaire. Ils passent leurs mains entre mes cuisses pour me savonner. Ils me doigtent avec le savon pour s’assurer que je sois propre en profondeur. Je ne sais pas ce qu’ils ont prévu. À mon tour, je les nettoie caressant leur queue avec envie. Cependant, ils veulent réserver leur sperme pour plus tard. Une fois séchés, nous regardons la télévision. Je reste enroulée dans ma mini-serviette, qui arrive au bord de ma moule propre.
Mon esprit fait le point sur ma situation ?
Depuis, que je suis devenue l’objet d’un chantage, j’ai tout à coup retrouvé beaucoup de goût pour le sexe. Plus que je m’en serais jamais cru capable. Les nouvelles expériences sont ajoutées les unes aux autres, et je vois mon plaisir croître en conséquence !
Être l’objet de jeu de mon mari, devenir la putain, émancipée, exhibée, baisée par mâles, puis amenée dans cette ferme, pour être un véritable jouet sexuel, me remplis d’une satisfaction sexuelle incommensurable. J’en suis arrivée à un point où, pour me prouver des choses à moi-même, ou faire plaisir à mon Michel ? Il m’a révélée en véritable femme animale et fatale, j’apprécie le fait de m’adonner à la zoophilie sous toutes ses formes.
Arrivé le grand soir, ils m’amènent dans la chambre de Pierre qui sort de la lingerie noire du placard. Ils me laissent l’enfiler en souriant. J’enfile une culotte en dentelle fendue, laissant voir ma grotte et le trou de mon cul. Je mets un bustier bien moulant, qui ne cache pas mes seins, mais les maintient bien en hauteur, une paire de bas. J’attache mes cheveux pour être libre de mes mouvements. J’enfile des escarpins sexy et j’enduis ma fente d’un peu de miel pour les surprendre avec ce goût sucré.
Lorsque j’entre dans le salon, ils sont nus sur le canapé. Ils me regardent rentrer, leur queue commence à durcir. Voir une queue durcir grâce à moi, ça m’excite beaucoup. J’ai tout de suite envie de les prendre en bouche.
— Assis toi sur la table basse, et caresse-toi !! M’ordonne mon beau-père.
Je m’installe langoureusement face à eux sur la table. J’ai toujours mon collier à chien noir autour du cou. Je caresse mes seins doucement en les regardant, puis je glisse mes deux doigts dans ma bouche en les suçant, en sortant la langue. Mes doigts glissent jusqu’à ma fente, laissant apparaître mon clito au-dessus de ma grotte. Je commence à devenir humide et impatiente de me faire sauter comme une chienne. Je caresse ma fente en gémissant, heureuse de les voir me mater.
Michel vient se mettre devant moi et me lèche la moule, passant son doigt dans mes lèvres intimes humides et chaudes. Il aime le goût du miel. Je l’encourage et il colle bien sa bouche jouant avec mon clitoris, un délice !! Pierre m’embrasse à pleine bouche forçant mes lèvres à s’ouvrir avec sa langue. Je me mets à le caresser du bout des doigts. Sa queue durcit vite et ses couilles sont de nouveaux pleines. Puis, Pierre veut me lécher. Il m’installe à quatre pattes et Michel se met devant moi. Il pose ses mains sur ma tête et me guide pour que je suce à la perfection sa bite. J’enroule ma langue autour du gland, je branle et il impose le rythme. Pierre lui me lèche ma moule dégoulinante. Il insère parfois sa langue chaude dans ma grotte. Alors que je lèche avec soin la queue de mon Michel. Pierre écarte mes fesses et se met à me lubrifier l’anus de sa langue. Je m’arrête et pousse un cri de surprise.
— Continue de sucer ma chienne chérie, ordonne mon Michel.
Je me remets à sucer Michel un peu déstabilisée. Pierre commence à me doigter avec du lubrifiant. Il va chercher des plugs petits et gros, et il me les enfoncent un à un dans mon anus pour le dilater. Je gémit parfois excitée et troublée. Michel s’assoit sur le canapé et je le suis. J’écarte les jambes au-dessus de sa bite dure. Avec mes doigts, j’écarte les lèvres de ma moule et caresse mon clitoris avec son gland. Je suis tellement dégoulinante qu’il glisse parfaitement dessus.
N’ayant plus envie d’attendre, Michel s’insère brusquement et je crie de surprise. Ma moule mange sa queue. Pierre se met derrière moi le sexe tendu d’excitation.
– OH ? Mon Michel tu sais que je n’ai jamais fait ça !
– Il faut bien commencer un jour mon amour ! Puis Pierre me pénètre par l’anus. Je n’arrête pas de gémir. C’est délicieux cette double pénétration.
— Vas-y gémis cochonne ! Dit Pierre, j’aime, j’aime enculer ma belle-fille !
— Tu as vu maintenant, c’est une bonne chienne ! Dit mon mari.
Je me mets à les encourager de plaisir. Pierre écarte mon anus. Je le sens glisser profondément et Michel me remplit la moule.
Ils me retirent et me mette à genoux. Je prend les deux en bouche. Jouant avec leur gland, ils gémissent. Je branle chaque bite, je lèche les couilles et parfois j’en prends une en bouche. Ils me caressent les seins. Ils finissent par me remettre à quatre pattes. Mon beau-père passe un bras sous mon ventre et remonte mon bassin. Mes fesses se trouvent ainsi bien écartées. Il me refourre sa bite dans le cul et pousse plus fort, plus vite en me claquant parfois une fesse.
Il a même envisagé de me prêter à un club canin très fermé, où je serais violée, par tout leurs chiens, que je serais la prostituée dans immense chenil. En un sens, j’ai hâte d’y être et de goûter à d’autres plaisirs interdits. Je porte en permanence le collier de chien et la laisse, qui pour être plus discrète, pend dans mon dos toute la journée sous mes vêtements, bien sûr je suis aussi désormais et depuis quelque temps maintenant entièrement lisse du con au cul et toujours sans aucun sous-vêtement pour être le plus souvent accessible et disponible.
— Baise-moi ! Beau papa, saute-moi ! Va-y ! Il allait plus vite. Je sens son sperme éclater et couler lorsqu’il jouit bruyamment. Mon Michel vient aussi m’enfiler son membre dur dans l’anus et y jouit rapidement. Je me retrouve vite pleine de sperme frais et chaud. Je prends soin de nettoyer chaque bite, de chaque côté, avec ma langue. Ils ne m’ont pas laissé le temps de jouir.
Pierre va chercher une laisse et l’attache à mon collier en cuir.
— Toi ! Reste à quatre pattes !
Je m’exécute et il m’amène voir les deux chiens dans un coin. Ils n’ont rien loupé de nos ébats et ont déjà la queue raide. Il faut que je les soulage. J’ai moins peur que la première fois. Pierre me positionne à quatre pattes face à la truffe d’un chien. Je sens la truffe fraîche me sentir et passer un coup de langue sur ma moule gonflée. J’aime cette sensation et je lui tends un peu plus ma grotte. J’écarte les jambes. Je suis vraiment une chienne en chaleur et je suis prête à me laisser monter.
Pendant, que Max me lèche en gémissant l’autre chien, Maestro, me tourne autour. Je mets ma main sur sa queue et je le caresse sous l’œil des deux hommes, qui me regardent avec lubricité. Mon Michel aime me regarder me faire prendre. Maestro se couche devant moi et je me penche. Je prends sa bite rose et lubrifiée en bouche en regardant mon mari. Je la lèche. Le goût fort envahit ma bouche, mais je la trouve douce et excitante. En me penchant, mes fesses remontent et Max en profite pour essayer de me grimper. Je sens sa queue dure, taper contre ma moule gonflée.
D’une main je plaque la bite contre ma moule et je me caresse la chatte avec sa bite. C’est bon !!! J’ouvre un peu plus mes cuisses et appuis la queue de l’amant contre mon clitoris. Je sens des élancements de plaisir et Max me laisse faire. Je continue de sucer Maestro, heureux de se laisser faire. Il commence à faire sortir du sperme au bout de sa bite que je nettoie tout. Tout à coup, Max m’échappe et avant que je puisse réagir il me monte et s’enfonce dans mon anus entrouvert et suintant du sperme de mes deux hommes. Dans son élan il rentre facilement son nœud dans mon rectum humide de sperme humain. Sa queue grossit encore et je me retrouve bloquée, obligée de le satisfaire.
Je gémis fort, de plaisir. Max halète dans mon dos. Il me donne des coups bestiaux, il me défonce mon petit cul. Maestro a profité de ma surprise pour se redresser. Il veut me monter. Max grogne pour qu’il recule et montre ses crocs. Je suis sa femelle. Il a le droit de me saillir en priorité. Maestro revient devant moi et me monte par devant. J’ai ses deux pattes avant sur mes épaules, Max ne dit rein ? Je me retrouve avec sa queue au niveau de ma bouche. Mon Michel attrape la laisse et me dit d’ouvrir la bouche, ce que je fais.
Mes deux hommes m’encouragent en me tenant. Je commence à sentir monter la jouissance. Avoir une bite à sucer et une qui me sodomise, quel délice !! Maestro pousse sa bite dans ma bouche et je sens la base de sa queue grossir effrontément. Je lèche avec application. Mais, Max m’excite encore plus. Être prise comme une chienne, ça me plaît ! Je sens monter l’orgasme. Ne pouvant parler, je gémis de plus en plus fort, relevant mes fesses bien lubrifiées, je jouis en même temps que Max. Sa bite est dure et longue. Il éjacule longuement et mélange son sperme avec celui de mes deux hommes. Maestro en profite aussi, il pousse sa verge au fond de ma gorge. Son nœud me coince la mâchoire grande ouverte. Il éjacule au fond de ma gorge et j’avale peu à peu son sperme au goût sauvage.
Après la tempête orgasmique mes deux amants me libèrent rapidement. Mon beau-père et Michel me caressent l’anus, recueille le sperme qui en sort sur leurs doigts. Ils me font lécher le sperme de mes trois amants à plusieurs reprises. Les deux chiens s’allongent dans un coin épuisés.
Une demi-heure plus tard, remise de mes émotions et toujours nue, j’accompagne mes deux hommes dans une petite écurie derrière la grange. Nous débouchons dans une grande pièce où sont stockées des botes de pailles, ça sent bon le foin, la paille et le cheval.
Il y a là dans le seul box un superbe cheval noir.
— Tu as un nouveau cheval papa ? Dit mon mari.
— Comme tu vois Michel et il est en pleine forme. Nous allons lui offrir un de plaisir pour lui changer les idées.
Puis il rajoute.
— Tiens ? Apporte-nous une botte de paille et cette couverture-là Ta femme a envie de s’allonger un peu !
Michel a compris de quoi il retourne et il prend et pose la botte de paille en plein milieu du box, plie la couverture en deux et la pose délicatement dessus. Se tournant vers moi Pierre me dit.
— Allonge-toi là-dessus, et écarte bien les cuisses ton dernier mâle de la journée arrive.
Du coin de l’œil, je vois Pierre mettre un filet sur le museau de mon futur amant.
Tout en l’approchant de moi il lui flatte le flanc.
— Tout doux Black ! C’est bien ! Doucement la femelle t’attend !
— Michel tu vas le tenir pendant que je le chauffe un peu.
Mon mari saisit fermement le licol. Pierre s’empare d’un chiffon qu’il agite devant les naseaux de Black.
— C’est un chiffon imbibé de l’urine d’une jument en chaleur. C’est parfait pour stimuler l’ardeur de Black !
Mon amant se retrouve au-dessus de moi, c’est beaucoup plus impressionnant que le bourricot. Pour me rassurer Pierre me dit.
— N’ai crainte Julia, tout va bien se passer, son ancien propriétaire lui offrait souvent sa femme et cela s’est toujours bien passé.
Je sens maintenant comme un gourdin qui s’agite entre mes jambes. Je devine que Pierre vient de se saisir du sexe de Black pour le guider. Une boule humide et froide se frotte contre ma moule, cela me rappelle le gland du bourricot, mais en plus gros.
Pour bien me préparer à cet accouplement contre nature, Pierre frotte le gland de Black contre ma moule afin de bien m’exciter. C’est le moment que choisit Michel pour s’approcher de moi. Il glisse son sexe dans ma bouche et sa main libre s’empare d’un de mes seins et me dit :
– C’est bien ma pouliche. Décontracte-toi ?
Je le suce avec application tandis qu’il me pince l’extrémité du sein. La peur d’être éventrée par Black me quitte et je ne suis plus maintenant qu’une salope qui ne pense qu’à son plaisir. Je ferme les yeux, me concentre sur cette bite qui gonfle dans ma bouche. Mon bas ventre se décontracte et lentement l’énorme bite me pénètre millimètre après millimètre. La main de Pierre a quitté le sexe de Black et vient me branler le clitoris avec douceur. Toutes mes peurs s’envolent et mon corps n’est plus qu’une pouliche pour le plaisir de Black.
Ma moule se dilate, mes chairs s’ouvrent et j’ai l’impression d’être empalée sur un énorme phallus. Mais je ressens aucune douleur, seulement une excitation intense. Michel se répand dans ma bouche, j’avale, il se retire. Black mon amant est maintenant tout au fond de mon puits d’amour que son énorme braquemart a fini par le dilater. Une que mon ventre s’est habitué à cet énorme appendice qui me possède, je commence à onduler de la croupe pour mieux en apprécier la dimension.
Mon amant doit sentir que sa pouliche est réceptive au mâle, car le voilà qui se met à me besogner avec entrain.
— Ça y est ! Tout est rentré ! Dit Pierre.
— Ta Julia a l’air d’apprécier ! Regarde comme elle y prend du plaisir !
Ma moule est maintenant bien distendue et la bite de mon amant coulisse maintenant dans mon antre comme un piston dans son cylindre bien huilé. Je n’ai jamais éprouvé une telle impression, la moindre partie de ma moule (de l’entrée jusqu’au fond) réagit aux pénétrations répétées de ce gourdin de chair qui m’obligent à respirer la bouche grande ouverte pour ne pas m’évanouir sous les ondes de plaisir qui m’irradient tout mon être.
Soudain Black émet un long hennissement.
— C’est bon ! Il va l’ensemencer de tout son sperme !
En effet, de long jets d’un liquide bouillant se déversent dans mon puits d’amour et ça me déclenche un monstrueux orgasme de plaisir.
Lorsque mon amant se retire, je reste allongée sur la botte de paille comme une poupée désarticulée. Le sperme de Black s’écoule de ma grotte en longs filets visqueux.
Pierre et Michel se rapprochent de moi. Michel dit :
— Qu’elle jouissance ma chérie ! Tu verrais ta moule qui reste grande ouverte.
— Oui ! Elle a vraiment jouit comme une pouliche en chaleur. Sa vulve ne se refermera que d’ici deux ou trois jours. Répond Pierre.
Je m’en fous, j’ai eu une jouissance étourdissante !
Je reste ainsi un bon quart d’heure avant que mon Michel m’aide à me redresser. J’ai un peu de mal à marcher tellement mon entrejambe a fait des efforts pour s’adapter à cette saillie. C’est toujours nue que nous regagnons la maison. Après une petite collation.
Les deux hommes heureux m’entraînent dans la chambre.
Je fais mon examen de conscience avant de m’endormir.
Aujourd’hui ça été l’apothéose, cette séance devant mon mari dans la ferme. Je n’ai pas arrêté d’être assaillie par les orgasmes, alors que mon mari me regarde faire l’amour avec ces divers amants, me faire saillir sous les yeux de son mari par black. Le plaisir sexuel s’est doublé d’une jouissance intellectuelle presque artistique ! Sucer mon mari pendant que je me fais baiser par un amant chevalin ou canin a été un plaisir raffiné et addictif.
Et maintenant ?
Je sais que je ne pourrais plus revenir en arrière. Je ne comprends pas pourquoi mon mari me garde encore comme femme. Mais je sens bien qu’il prend du plaisir à cette situation. Seulement voilà, moi je ne le quitterais jamais, même qu’il m’a dit qu’il allait m’emmener dans une banlieue de la ville la plus proche, où je serais traitée comme une putain, un trou à bites dans lequel viendraient s’épancher tous les mâles en rut du quartier !
Mon mari a acquit un autre gros chien âgé de trois ans, dénommé Phallus. Moi, la femme distinguée, la petite bourgeoise tirée à quatre épingles, est devenue une putain à la disposition de mon mari, toujours nue dans toutes les circonstances, laissant mon vagin, mon rectum, et ma bouche à son entière disposition, et Je n’ai pas envie que cela s’arrête ! Je suis devenue l’esclave, le jouet sexuel de mon homme ! J’aurais dû réagir au début… Maintenant, c’est trop tard !
Le Final demain soir Même Heure
Sam BOTTE
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