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J’ai surpris ma femme en train de me tromper et je l’ai dressée Chap 4 Final

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Je suis devenue une soumise zoophile, une bonne salope, une vraie femelle, car j’ai accepté cette perversion, cette déviance de ma sexualité…. Je sais que ce n’est pas facile tous les jours dans notre société d’être et de cultiver la différence. Personne ne sait, et personne ne doit jamais savoir ce que je suis devenue. C’est à cause de mon tempérament de soumise que cette pratique inavouable est devenue le moteur de ma sexualité et presque le moteur de ma vie de femme.

Je ne pense plus qu’à cela, je ne connais pas un instant de calme et de répit, car je suis toujours excitée à l’idée d’être prise sauvagement… Dans la rue, dès que je croise un chien je m’imagine prise par lui, je flatte du regard son flanc et j’essaye de voir si la nature l’a bien monté. Quel doux enfer, je suis fière d’être une femme libérée et triste de ne pouvoir pas être totalement libre. Mais il est des règles dans notre société que l’on ne peut pas franchir, pas encore.

J’aimerais tant pouvoir soulager tous les chiens de grande taille, me donner à eux, leur offrir ma chatte et mon anus pour qu’ils se vident en moi. J’aimerais tant pouvoir être libre de me faire saillir n’importe où, n’importe quand sans aucunes restrictions. Mon Michel, peut même me vendre, comme une prostituée, afin de soulager les chiens, voire un gang bang canin…. Enfin je délire je crois !!!

Je vais te raconter ma soirée de lundi, je rentre des courses assez fatiguée et énervée, alors juste après le repas du soir que je prends seule avec Julie, je monte dans ma chambre, je prends un bain avec de la mousse, lisse mon sexe, enduit mon corps d’un lait douceur et sur mes seins. Je m’habille ensuite d’un déshabillé en satin noir et je redescends dans le salon passer un moment avec Julie.

Elle est assise sur le canapé, vêtue d’un long tee-shirt sans rien dessous, je sais comme quand on aime être à l’aise après la douche… Nous partageons un moment de télé, puis elle me demande sans préavis si elle peut me poser des questions. Surprise par cette entrée en matière, je lui dis oui bien sûr. Elle me questionne alors sur ma mère, sur sa façon de vivre, sur ces idées, sur ses passions.

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Elle vient se coller à moi, comme quand elle était plus jeune, puis sans me regarder elle continue ses questions. Plus curieuse, elle aborde alors le sujet du sexe, si je connais la vie sexuelle de ma mère, si je savais des choses, si elle aime les hommes ou autres ?? Je lui réponds en toute franchise, de ce que je connais, ce que j’ai vu, entendu dans mon enfance et adolescence, sans rien cacher.

Julie me dit qu’elle a surpris sa grand-mère à quatre pattes dans sa cuisine avec son chien sur son dos et qu’il agitait son arrière-train. Comme il l’aurait avec une chienne. Elle n’est pas rester à regarder s’ils s’accouplaient réellement de peur d’être prise pour une voyeuse. Elle me demande aussi, si c’est bien un collier à chien que j’ai autour du cou depuis quelque temps.

Pour ce qui est donc du collier, je le montre à Julie et ainsi montre ma soumission à son père. Je le porte avec un chemisier assez ouvert comme tour de cou, et comble de l’audace la laisse me glisse le long de la colonne vertébrale. Je le porte soit avec un jean moulant et des bottes soit avec un tailleur très chic et des bas avec aucun sous vêtement.

Donc j’aborde le sujet de la zoophilie, pour finalement lui expliquer pourquoi et comment j’y suis devenue moi aussi la chienne de notre Charly. Julie se trémousse tout au long de mes explications et je sens et vois sa poitrine se gonfler et sa respiration devenir saccadée. Elle est excitée la petite !

Je continue à expliquer jusqu’au moment où elle m’a dit :

– Aide-moi, guide-moi, j’ai trop envie d’essayer moi aussi ?

J’ai compris son désir, je me lève, va chercher les chiens, puis de retour dans le salon, j’ôte mon déshabillé. Je demande à Julie de se mettre à quatre pattes sur le tapis, cuisses ouvertes. Je lui prends la taille, saisit ses magnifiques seins, dont les bouts sont prêt à s’éjecter des mamelons. Je lui embrasse l’échine, l’embrasse dans le cou, mord le lobe de son oreille.

Une de mes mains saisit un sein, l’autre va plus bas, entre les cuisses. Je m’accroupis derrière elle et je me penche, et de ma langue pointue, je me mets à lécher le cul de Julie, ce qui a pour effet, de lui faire ressortir sa croupe, puis-je lui fourre deux doigts mouillés de ma salive dans sa chatte.

Je fais quelques allé et retour dans la vulve de ma fille tandis que mon pouce taquine son bouton d’amour. Puis les fait renifler a Charly. Cela est immédiat.

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Il vient renifler son sexe, il donne un coup de langue. Julie réagit en ouvrant ses jambes au maximum. Charly comprend et lèche l’entrejambe de Julie consciencieusement en donnant de grands coups de langue, lentement et tout le long de sa vulve. On voit qu’il est habitué. Julie se tord de plaisir, sa respiration devient saccadée, son ventre se crispe, elle soulève ses fesses et explose.

— AAAAAAAAAAAAAHHHH ! Oui, oui, OUIIIII ! Quelle langue, quelle langue.

Charly ne s’arrête pas, il continue tant que Julie l’excite de la voie. Son sexe est à moitié sorti. Il donne de grands coups de langue entre ses fesses pour redescendre sur son sexe. Il fait exactement ce qu’il me fait. Julie écarte les jambes au maximum, il se fixe sur son anus.

— Oui, vas-y mon Charly, fait moi jouir avec ta langue et ton sexe.

— Ma chérie ? Tu veux continuer ? Tu veux vraiment te faire saillir comme une chienne ?

— L’idée d’être livrée Charly devrait me faire horreur et pourtant ses coups de langue m’ont chauffée de plus en plus. J’ai perdu la tête. Jamais on ne m’avait léchée avec cette fougue, cette force. Plus longue, plus chaude, plus mobile et plus rêche que celle d’un mec, la langue de Charly est un bonheur infini pour ma raie. Mon appréhension était immense, mais les décharges de plaisir qui montent dans mes reins démentent mon aversion intellectuelle. Je tâchais de résister, mais bien malgré moi,

Charly se met à triquer au quart de tour. Il me laisse caresser sa longue verge, son bulbe, ses grosses couilles lisses et pendantes.

— Eh ! Il commence à juter, il est impatient. Tu veux qu’il te baise ?

— OH ! Oui ! Maman j’en ai envie, je le veux.

Je jette une serviette sur mon dos.

— C’est pour qu’il ne te griffe pas, laisse-le faire, il est habitué, il a un rituel.

C’est ce que Charly attendait, il saute et lui monte dessus. Il donne des coups de reins tout en avançant sur elle. Sa bite arrive sur ses fesses, je la vois buter sur une cuisse, mais le coup suivant, son ventre va jusqu’à ses fesses.

Au début, la boule est restée dehors et cela la rassure, mais tout à coup, du fait de sa mouille abondante et de la force des coups de rein de Charly, elle se sens pénétrée, écartée. La boule est entrée et Julie se sent possédée et rempli comme jamais.

— Oh putain, ça y est, il me l’a mise, je la sens dans mon sexe, il me remplit le salaud !

— Ah putain quelle bite !

Julie est toujours prise par Charly, elle a posé sa tête sur le sol pour dégager encore plus son sexe. Charly donne de petits coups de reins, il lui a introduit son bulbe, il est entré jusqu’aux couilles et se vide en elle. Quelle saillie, comme d’habitude, longue et puissante, Julie miaule, feule pour une première fois et pourtant je vous assure que Charly ne la ménage pas ! Julie hurle son plaisir.

— AAAH ! Oh la vache ! C’est… Oh ! C’est… Oh OUII ! Oh ! ARRR ! Oh OUII ! AFFF ! Bon chien ! OOOOH ! OOOH ! Putain ! OOOH OUIII ! OUIIII ! OOOFFFF !

— OORRR ! Oh mon Dieu ! Ça grossit encore ! ARFFF ! C’est… C’est énorme !

— AAAAAAAAAAHRRRRR ! OUIIII ! OUIIII ! MAMAAANN ! Je JOUIIIIIS !

La boule a fini de grossir dans son vagin distendu. Elle sent l’extrémité pointue du phallus lui chatouiller le fond de sa cavité. Elle est transportée par une succession de sensations nouvelles.

Charly s’active dans son ventre. Ses secousses sont vives, rapides. Elle s’accompagne d’une première éjaculation saccadée. La jouissance de Julie déclenche de petites contractions vaginales qui augmentent l’intensité de ses sensations. Puis Charly se bloque et son membre gonflé et raidit libère un flot continu de semence. Julie connait enfin l’effet produit par ces abondantes éjaculations canines.

— OOOOH ! Oh putain ! Tu me remplis la chatte, bordel ! OORRR ! OUIII ! AAARRRF !

Ses bras l’abandonnent, elle tombe la tête la première sur le sol. Ses fesses sont toujours en l’air et le sexe de Charly toujours en elle, il se vide.

À sa tête, je vois que Julie est complètement dans les vapes et se délecte de l’instant.

Pendant ce temps et tout en les observant je m’occupe de Phallus, pour le faire durcir, mais de façon lente pour ne pas trop l’exciter. Charly, après de longues minutes a joui et sans trop de mal se retire, un flot de liquide s’échappe de son puits d’amour. Moi, je me branle devant cette scène, cette seconde saillie. Comme c’est beau.

Julie semble éteinte, absente, prise dans sa jouissance. Sa moule baille, d’où suinte la semence de Charly, je ne lui demande rien, j’assène de la main une petite tape sur son fessier. Phallus a compris et il la grimpe. Il était temps. Sa boule commençait à enfler, pour un peu, il n’aurait pas pu la pénétrer, mais là, la protubérance rouge trouve le trou aussitôt. Son vagin est tellement dilaté qu’il est entré sans peine et Phallus se verrouille rapidement. Donnant de rapides coups de reins. Il est plus gros, le poil plus ras et plus agréable, le sexe plus long.

Ma Julie assure la saillie en couinant et en le stimulant comme elle ferait avec un homme. Les couilles du chien frottent contre son clitoris. Son vagin se contracte encore. Il éjacule en elle, la boule énorme qui lui remplit encore le ventre lui procure des sensations très fortes. Julie jouit en continu.

— OOOOORRRH ! Oh c’est bon ! OOOOH ! AAARRFF ! Encore ! OUUIIIII !

Sans retenue elle décrit ce qu’il se passe en elle :

— C’est bon, il est calé au fond ! Il me remplit toute la masse. Je sens bien son sperme pulser dans mon ventre. Il me remplit de son jus chaud. OUIIIIII ! AAAARRFFF ! OUIIIIIII !

Elle jouit la chienne ! Elle aime ça. Julie en est déjà à son quatrième orgasmes et la position à quatre pattes commence à lui plaire de plus en plus.

— HARF ! Le salaud, cri Julie, il n’en fini pas de se vider les couilles… HAAFF… HAAARR…

Je peux vous dire que je n’en perds pas une miette et je regarde de près. Pendant plus plus d’une demi-heure, elle reste collée à son amant, le temps pour le pénis de Phallus reprendre une dimension lui permettant de ressortir. Il se dégage dès qu’il le peut et le sexe en sortant émit une sorte de ploc qui la fit rire. De l’ouverture de son vagin, elle sent la semence s’écouler vers ses cuisses, la saillie est terminée. Phallus se lèche le membre, tandis que ma fille, les bras en croix, reprend sa respiration. Ignorant les cris de plaisir de la jeune chienne, qui se fait nettoyer la chatte pleine de semence par Phallus. Je me fait saillir à mon tour par Charly.

Pour Julie ma fille chérie, je pense qu’elle va désormais avancer rapidement sur ce nouveau chemin, mais je n’ose pas la pousser, la pervertir encore et encore. Ai-je tort ? Ai-je raison ? Je ne sais pas, je ne sais plus ?

Je pense qu’elle en phase avec elle-même, car personne ne l’a poussée à passer à l’acte. C’est son choix, son désir, sa découverte de cette sexualité. Je ne suis qu’un modeste modèle…

Ma Julie est encore jeune et son corps n’a pas l’épanouissement du mien. Moi je peux me permettre désormais de me faire ouvrir, dilater, élargir, car j’ai désormais vouer ma vie sexuelle à mon Michel et à la zoophilie, mais elle doit faire sa vie de jeune femme ?

Elle est très motivée et très active dans cette découverte, ce n’est pas facile de se donner comme cela surtout à un animal, la démarche est toute aussi physique qu’intellectuelle.

Elle est pleine de vie, c’est une joie de la guider sur ces chemins de plaisirs et de jouissance.

Je m’accepte comme soumise à mon Michel, et suis très heureuse d’avoir découvert les talents cachés de ma fille Julie.

Un soir, je discute longuement avec ma fille et nous échangeons beaucoup sur le sexe, elle est ravie du chemin que nous prenons ensemble et ne semble pas du tout le regretter. Julie est une très jolie jeune femme, brune d’un mètre soixante dix pour cinquante-cinq kilos, un tour de poitrine de quatre-vingt-dix bonnet D.

Elle a accepté l’idée de s’épiler complètement comme moi, et l’a fait le soir même, puisqu’elle est venue me le montrer dans ma chambre. Il ne lui reste sur le pubis qu’une très petite touffe de poils, avec de belles lèvres roses et à peines ouvertes.

La pratique de la zoophilie, est bien peu courante et plutôt hors normes, la satisfait complètement et Julie adore cela et compte bien poursuivre et progresser totalement dans cette sexualité Je ne sais pas si réellement elle a abandonné les relations normales, mais je ne vois plus de copains passer la porte de chez nous, je crois qu’elle a même mis fin à sa relation avec son copain.

J’en suis ravie, comme vous pouvez bien sûr l’imaginer.

Julie est une maîtresse femme, depuis son plus jeune âge, elle aimait diriger les jeux, commander et son caractère est le reflet de tout cela. C’est une écorchée vive, une rebelle et qui fonctionne toujours pour être en avance sur les idées ou en décalage avec les autres. Elle aime cette vie, cette nouvelle approche de notre vie à toutes les deux, elle est belle et épanouie et se réalise dans nos ébats.

Elle est imaginative et pleine d’idées toujours plus perverses les unes que les autres, elle me surprend d’avancé si vite.

Je ne sait jamais avec elle de quoi demain sera fait, sera-t-elle toujours cette jeune femme perverse, sans doute non, car elle aussi doit construire sa vie de femme, alors pour l’instant je profite du bon temps quelle m’offre…

Aujourd’hui dans la journée je suis allée acheter un bustier en dentelle noire et à lacets pour ma Julie. En rentrant je le pose sur son lit afin de lui faire la surprise.

Je passe ensuite dans ma salle de bain afin de me préparer, je prends un bain, puis je m’épile complètement du sexe à l’anus. Plus un poil rien, lisse comme une jeune adolescente.

Julie rentre en fin de journée. Michel est encore absent pour la journée et la nuit.

Après le repas du soir, Julie monte prendre un bain et se relaxer dans sa chambre, je monte dans la mienne et me mets nue, je replace le collier autour de mon cou puis accroche la laisse et ensuite je fais monter Phallus et nous sommes allés dans la chambre de Julie, je rentre quand elle est nue devant la glace en train d’essayer le bustier. Elle adore le bustier et le réserve pour les séances intimes.

Julie me regarde, puis me fait un grand sourire, je me mets en quatre pattes, la laisse pend devant moi. Elle vient et a tout de suite compris ce qu’il fallait faire.

Elle me fait rentrer un peu plus dans sa chambre, Phallus me suit sans comprendre et commence déjà à me renifler l’entrejambe.

Julie ne dit rien et me fait marcher de long en large dans sa chambre.

Elle m’arrête devant le chien, comme elle le désire je me mets à le masturber puis-je le prends en bouche complètement, une longue et lente fellation sur toute la longueur du membre. Il bande dur et mon sexe dégouline de plaisir, il est bien dur, je demande alors à ma Julie de se placer en levrette, Phallus aussitôt se place sur son dos, je prends le membre à pleine main et de l’autre j’ouvre le sexe rose et frais de ma Julie, le membre s’enfonce brutalement dans les chairs lui faisant pousser un cri de jouissance.

Il la pistonne un bon moment puis-je le vois de raidir et jouir en elle. Après quelques minutes il se retire et va se coucher dans un coin. Ma Julie exténuée est toujours en levrette sur le sol, le sexe dégoulinant légèrement de la jouissance de Phallus. Je me penche et je prends dans ma bouche le sperme puis j’embrasse à pleine bouche les lèvres et la bouche de ma Julie, mélangeant ainsi la jouissance du mâle et nos salives.

Julie est de plus en plus autoritaire et je deviens sa chose, sa soumise, sa chienne comme elle m’appelle maintenant, même devant mon Michel. Maintenant, je suis la soumise de mon mari et aussi de ma fille.

Elle profite de plus en plus de mon corps et de mes orifices, je dis orifices, car ce ne sont plus que des orifices.

Comme lui a demandé son père, elle m’élargit le sexe et l’anus si bien que maintenant elle peut, sans aucunes difficultés, me prendre ou me branler avec les plus gros objets possibles ou me rentrer les deux mains en même temps dans mes puits d’amour.

J’arrive à me faire prendre par des objets de la taille d’une belle aubergine ou bien encore tout récemment elle m’a pris le sexe avec une bouteille de vin, mais par le culot et non par le goulot. Ce n’est pas facile de voir son sexe s’élargir à ce point, mais je prends désormais beaucoup de plaisir à m’offrir ainsi.

Michel veut que je m’occupe du sexe de Julie, mais elle refuse, elle se branle sauvagement devant moi avec de gros objets, elle veut suivre ma progression, mais je suis inquiète, car elle est jeune et ne doit pas abîmer son sexe ni son anus.

Elle est devenue entièrement zoophile, elle ne fréquente plus de garçons, ne pense qu’à de nouvelles expériences extrêmes avec des animaux. L’autre soir elle s’est faite prendre par tous les mâles d’un chenil devant Michel et moi, cela a duré presque la nuit entière et elle a débauché une de ses amies afin de l’aider.

Hier je me suis préparée afin de retrouver ma fille.

Je prends un bain, masse mon corps avec des huiles essentielles et épile soigneusement mon sexe afin qu’il soit bien lisse.

J’enfile le bustier et je serre les lacets afin de mettre en valeur mes seins qui sont lourds et assez gros. Je me regarde dans la glace de ma chambre et me trouve belle ainsi. J’accroche le collier et la laisse, puis j’attends qu’elle arrive, en position assise sur mes talons dans ma chambre.

Elle revient assez tard, mais je sais qu’elle allait venir !

Elle est accompagnée de Phallus qui lui est désormais docile, il attend sagement le moment de rentrer en action.

Elle me tire les cheveux et me traite de salope, de traînée, de pute à chien, mon sexe dégouline. Elle me fait m’allonger sur le dos sur le sol, les jambes grandes ouvertes et repliées sur mon torse, de sa main entière elle fouille ma moule de pute et de soumise. Elle me fait hurler de plaisir et de jouissance, puis elle me fait sodomiser par Phallus.

Il me défonce littéralement l’anus, me laboure les entrailles pendant de longues minutes. J’ai deux orgasmes qui me laissent pantelante et haletante.

Quand les Charly me prennent je ne ressens plus grand-chose vu les dilatations infligées à mon sexe, mais les grands mâles bien montés comme Phallus me font encore bien jouir et dégouliner telle une bonne chienne que je suis.

Sous la coupe de Michel et de Julie, je ne dois pas prendre trop de plaisir, mais juste me contenter de vider les couilles de mes amants, soit avec ma bouche, soit en leur donnant un de mes orifices.

Phallus c’est retourné, nous sommes cul à cul. Ma Julie le promène dans la chambre. Comme nous sommes liés par son énorme nœud, je le suis à quatre pattes en marche arrière.

Je crie plus de plaisir que de douleur, mon rectum ne veut pas s’ouvrir aujourd’hui ?

— Faut t’y habituer ! Maman ! Papy et papa veulent te faire sodomiser par Black et ses compagnons !

Sam BOTTE

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