Quand je raconte cette histoire à mes potes, personne ne veut me croire. Et pourtant, ça m’est vraiment arrivé, je n’invente rien. J’étais alors étudiant stagiaire dans un grand magazine national, un mensuel d’actualité. La patronne de la boite était une grande bringue de 45 ou 50 ans, je ne sais plus. Le genre de femmes qui en impose. Une autorité naturelle à toute épreuve, un physique étourdissant, malgré son âge mûr.
Dès l’entretien préalable, j’avais été très impressionné par cette femme. Elle portait toujours un chemiser blanc au-dessus d’une paire de seins volumineux et lourds, chemisier dont elle oubliait parfois d’ajuster un bouton ou deux, ce qui laissait entrevoir un peu plus de sa formidable poitrine. Pour le reste, elle était blonde aux yeux clairs, les épaules assez carrées. Bref, la femme impressionnante aussi bien intellectuellement que physiquement.
Quoi qu’il en soit, j’étais chargé de lui apporter les brouillons des rédacteurs, qui la mettaient le plus souvent — presque invariablement en fait — dans une colère noire. Elle reprenait le style, annotait d’un stylo rouge rageur toutes les petites erreurs factuelles ou les manques de sources. Pas la nana commode.
Donc, un jour qu’un journaliste m’avait confié un papier à lui soumettre, j’ai frappé à la porte de son bureau et, par habitude, j’ai ouvert immédiatement la porte. Là, face à moi, ma patronne toute débraillée, le chemiser entièrement ouvert sur la lourde poitrine. Sous la table de travail, je vis même ses cuisses écartées, le sexe uniquement caché par sa main. Elle se masturbait au bureau.
J’étais pétrifié de surprise, mais elle l’était tout autant, la main encore posée sur son sexe
J’eus même le temps d’apercevoir, dans le reflet de la vitre, le porno qu’elle était en train de regarder sur son ordinateur. Elle semblait furax. Et moi de piquer un fard. Je bredouillais : « pardon, euh, le papier sur la conjoncture économique… ». Je ne savais vraiment plus où me mettre et pourtant, je n’arrivais pas à détacher mon regard du soutif bien rempli de ma patronne.
« J’avais demandé à ne pas être dérangée » gronda-t-elle. Puis, devant mon air penaud, elle se fit moins sévère :
« pas grave, apporte-moi ce papier, on va voir ça ensemble, ça te fera un entraînement ».
Je passais donc de son côté du bureau, pendant qu’elle se réajustait. Elle avait laissé le porno tourner. On y voyait un athlétique hardeur en pleine action avec une femme mûre.
J’avais une vue plongeante sur le sage décolleté de la patronne et j’avais un mal de chien à me concentrer sur la conjoncture économique en Europe de l’Ouest. Elle remarqua mon trouble, manifestement amusée. Elle coupa le porno qui tournait toujours sur son ordi et tenta de me faire revenir à nos moutons.
Quand, au bout d’un moment, voyant à quel point j’étais fasciné par son opulente poitrine, elle dégrafa d’elle-même un bouton de son chemisier, pour me laisser tout loisir de la zyeuter. Ses seins avaient l’air mieux que bien conservés. J’avais envie d’y plonger la tête tout entière. S’amusant de mon émoi, elle prit mon paquet dans la main, comme si de rien n’était, et, constatant mon érection, elle s’amusa : « dis donc mon cochon, je te fais cet effet-là ? ». Puis elle relâcha son emprise.
Il ne s’est rien passé de plus avec ma patronne de stage, mais cette aventure restera toujours un de mes souvenirs les plus érotiques.
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