Bonjour à la communauté !
Il s’est passé quelque chose il y a deux mois que je n’avais pas l’intention de raconter à qui que ce soit. Mais en lisant toutes les histoires taboues du blog, je me suis dit que je devais absolument vous raconter cette histoire. Elle va vous paraître extraordinaire, impossible, mais pourtant, tout ce que je vais vous raconter est vrai !
Je m’appelle Philippe, j’ai 44 ans et j’habite à Istres. Tous les soirs, je prends une ligne de train qui me ramène de Marseille chez moi. Le trajet dure environ une heure et j’ai l’habitude de tuer le temps en écoutant des livres audio. À cette heure-là, je suis bien souvent tout seul. Je voyage rarement avec d’autres personnes et s’il y en a, tout le monde est tellement fatigué de sa journée, que personne ne se parle et reste dans son coin.
Il y a deux mois, j’étais tranquillement installé sur mon coin banquette en train d’écouter mon livre lorsqu’une femme terriblement charmante est entrée dans le wagon. À ce moment-là, nous étions trois. Elle s’est assise en face de moi, mais sur la banquette de la rangée opposée. Je l’ai saluée, nous nous sommes souri et le train est parti. Au bout de cinq minutes, je l’ai vu écarter les cuisses et j’ai pu remarquer sa culotte rose. Tandis que je la regardais, je m’apercevais qu’elle avait les yeux fermés je me demandais bien pourquoi. J’ai immédiatement remarqué que le tissu de sa culotte devenait foncé, car il s’imbibait d’un liquide chaud.
Cette salope était en train de se pisser dessus et semblait prendre du plaisir. J’ai dû faire un bruit sans le vouloir et elle a ouvert les yeux. Elle n’a pas changé de position pour autant, mais s’est arrêtée d’uriner. Elle m’a regardé fixement et m’a souri. Quelques minutes plus tard, le troisième voyageur est descendu et je me suis retrouvé seul avec la pisseuse. À peine l’homme était-il descendu et le train repartit, qu’elle est venue s’installer en face de moi les cuisses de nouveau écartées.
« Ça vous a plu de me regarder faire pipi ? » m’a-t-elle dit d’une manière très directe. « Vous voulez que je recommence ? Vous m’avez interrompue et je n’ai pas terminé. » Je ne disais rien, mais la bosse de mon pantalon m’a trahi. Elle a relevé sa jupe, a bien écarté les cuisses et a glissé sa main dans sa poitrine. Elle se travaillait les tétons tout en relâchant de nouveau sa vessie. Je l’ai regardé pisser et inonder sa culotte de pluie dorée. Sa pisse coulait à travers la banquette et ruisselait par terre pour se diriger vers mes pieds.
La mystérieuse voyageuse a fini de pisser et s’est penchée en avant sur la bosse de mon pantalon. Je lui fis comprendre que je n’étais pas intéressé, mais mon érection était trop forte, elle me faisait mal. Elle a défait ma braguette et m’a sucé. Elle était penchée en avant tout en étant debout sur ses jambes. Elle m’a sucé un moment et m’a pris les mains pour les mettre sur ses seins. J’ai fait rouler ses tétons sous mes doigts ce qui m’a encore plus excité. Tout en étant debout, cette salope a relâché d’autres jets d’urines qui se sont mis à lui couler le long de ses cuisses.
Au plus elle me suçait, au plus elle pissait ! Une véritable vache ! Tout cela était terriblement excitant et je n’ai pu me retenir de jouir. Je l’ai délicatement repoussée. Elle a compris que j’allais éjaculer et m’a présenté ses fesses. Elle les a collées sur ma queue et j’ai expulsé mon foutre chaud sur ses jolies fesses charnues et bombées. Je me suis bien essuyé sur elle et quelques gouttes de pisse me sont tombées dessus. Pendant tout ce temps, je n’ai pas dit un seul mot ! Nous étions presque arrivés, et cette salope s’est mise debout en attrapant la barre près de la porte.
« À, j’ai failli oublier ! » Elle est revenue vers moi, a retiré sa culotte pleine de pisse devant moi et me l’a jetée sur le pantalon. « Ça vous fera un souvenir de Marlène la pisseuse ! » Le train est entré en gare, les portes se sont ouvertes et elle est descendue. Je suis resté un moment comme un idiot avec la culotte pleine de pisse de cette femme sur mon pantalon. Je l’ai glissée dans la poche de mon imperméable. Je suis célibataire, cela ne risquait pas de poser de problèmes. Je suis rentré chez moi tranquillement avec la tête pleine d’images.
Cela fait deux mois que Marlène la pisseuse a relâché sa vessie dans mon train et qu’elle m’a donné sa culotte pleine de pisse. Je l’ai gardée et figurez-vous que même si elle a évidemment séché, elle sent encore fortement son intimité. Je la renifle de temps en temps et je me masturbe en repensant à cette extraordinaire expérience que je ne revivrais certainement jamais. Chaque soir, j’attends que Marlène la pisseuse remonte dans mon wagon, en vain !
Philippe 44 ans Istres.
Alors là……je suis fan de cette histoire tabou et j’aurai trop aimer prendre ce train moi aussi. Je baaaande merci bcp
Je kiffe votre blog les filles, vous etes extras !
Le genre d’histoire que j’adorerai vivre. Merci de l’avoir raconté
ça c’est excellent pas besoin de viagra cialis une des choses les plus bandantes