Bonjour tout le monde,
bon je n’ai pas l’habitude de me dévoiler ni de raconter ma vie en public. Comme ça fait des années que je lis les histoires de sexe de ce blog et que ça m’excite, je me suis dit qu’avec ce que je venais de vivre, je devais absolument partager ça avec vous. Alors, ne vous attendez pas à quelque chose d’extraordinaire non plus, mais ça sort tellement de l’ordinaire pour moi que je me devais de le raconter.
Je m’appelle Marlène, j’ai 44 ans et je suis partie avec une amie la semaine dernière faire une petite balade dans les collines du Gévaudan. C’était super sympa, il faisait beau et tout se passait bien. Sauf qu’à un moment donné, ma copine a marché sur une pierre qui a roulé et qui nous entraînait toutes les deux en bas d’un ravin. Elle avait un choc à la tête et moi j’avais la cheville cassée. Je ne le savais pas à ce moment-là, mais je m’en doutais. On a appelé les secours, car heureusement nos deux portables passaient. Une première équipe est arrivée par les airs avec un hélicoptère. Ils ont fait descendre deux gars pour s’occuper de nous. Ils ne pouvaient pas nous emporter toutes les deux alors ils ont fait passer ma copine en premier pour revenir avec l’équipement nécessaire pour me récupérer. Il n’y avait pas urgence vitale, je ne risquais rien. Un secouriste est resté avec moi pendant tout ce temps.
Lequel s’est mis à l’aise, car il faisait très chaud. Il a retiré son casque et c’était un super beau gosse ! Chaque fois qu’il s’approchait de moi, j’avais des frissons dans tout le corps. Il essayait de me mettre à l’aise en me calant des trucs derrière le dos et chaque fois qu’il se penchait au-dessus de moi j’avais son paquet au niveau du visage. J’étais excitée comme une folle et je n’ai pas pu résister de mordre dedans ! J’ai collé ma bouche contre son pantalon et il s’est arrêté net de bouger. Je m’attendais à ce qu’il se dégage, mais il ne l’a pas fait. Alors aidée de mes mains, j’ai défait sa braguette et j’ai baissé son caleçon pour sortir son sexe. Il en avait une demie molle. Il a voulu se redresser, mais je l’en ai empêché. J’ai gobé son sexe comme une forcenée jusqu’à ce qu’il prenne de la vigueur dans ma bouche. Avec mes mains je lui tenais le cul pour pas qu’il bouge et avec ma bouche je faisais des aller-retour sur son sexe pour le sucer.
Je me suis sentie complètement salope à ce moment et j’en ai eu honte ! Moi qui ai une vie bien rangée de fonctionnaire administrative, c’était hallucinant ! Au bout d’un moment le gars s’est mis à gémir et j’ai compris qu’il allait jouir. Dans ma tête il s’est passé beaucoup de choses. Je n’ai jamais aimé le sperme. Je me suis dit que si je sortais sa bite de ma bouche pour éjaculer il allait en foutre de partout et on risquait d’attirer l’attention. Je ne pouvais pas m’arrêter là non plus pour le laisser sur sa faim. Alors j’ai continué de le sucer et j’ai senti les jets de semence couler dans ma bouche. J’étais à la fois écœurée et excitée. J’ai tout avalé pour ne laisser aucune trace. Ça m’a fait un haut-le-cœur, mais il n’y avait pas d’autres solutions. J’ai nettoyé sa bite comme j’ai pu et j’ai tout remballé dans son pantalon en refermant la fermeture éclair.
J’ai relâché mon étreinte pour qu’il puisse se relever et on n’osait pas se regarder tous les deux. J’allais dire quelque chose lorsque son talkie-walkie s’est mis à grésiller en annonçant l’arrivée imminente d’hélicoptère. J’étais déjà toute prête avec le harnais et avant que je puisse continuer de parler, on a entendu et vu l’hélicoptère juste au-dessus de nous. En moins d’une minute, une deuxième équipe est venue me récupérer et quelques instants plus tard j’étais installée sur la civière pour être remontée dans l’hélicoptère. Nous étions face à face pendant le transport et il n’osait pas me regarder. Je cherchais à attirer son attention, mais je ne pouvais pas parler, il y avait trop de monde.
Une fois arrivée à l’hôpital, je me suis dit qu’on ne pouvait pas rester sur ça. Alors j’ai demandé un papier et un crayon j’ai noté mon numéro de téléphone que je lui ai donné. En tout cas que j’ai fait passer à un de ses collègues pour qu’il lui donne. Je suis sortie de l’hôpital quelques heures plus tard avec un plâtre et tout un tas d’ordonnances.
Les heures et les jours ont passé, je n’avais pas de nouvelles de mon secouriste. Et puis il a fini par m’appeler. Nous étions aussi gênés l’un que l’autre. Mais lui savait très bien ce qu’il voulait et il m’a fait comprendre que ça n’aurait jamais dû arriver et qu’il ne voulait pas qu’on se revoie. En plus il m’a raccroché au nez !
En tout cas cette expérience m’a montré que je pouvais devenir une grosse cochonne si la situation s’y prêtait. Et ça, ça me fait plaisir. Au moins qu’il y ait une note positive dans cette histoire.
Voilà ma confession intime que j’ai vraiment hésité à faire. J’espère que vous ne me jugerez pas.
Bon été à tous
Marlène 44 ans Brioude
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