Salut,
J’ai 18 ans, je m’appelle Loïc et je ne sais pas très bien comment c’est venu à se faire, mais ma mère m’impose de nettoyer sa lingerie et surtout ses petites culottes sales. Alors des fois elles sont sales simplement parce qu’elle les a portées, mais des fois elles sont sales, car elles sont souillées de mouille et de sperme.
J’ai 18 ans et ma mère en a 35. Elle m’a eu très jeune ce qui fait qu’aujourd’hui à son âge, elle plait encore beaucoup aux hommes et elle a une vie sexuelle très active. Ma mère est une véritable salope. Je n’ai pas peur de le dire, car c’est la réalité ! Elle n’a jamais eu de relation stable et passe tout son temps libre sur Internet à surfer sur des sites de rencontres pour essayer de trouver le prochain mec avec lequel elle va coucher. Régulièrement, ma mère me donne sa lingerie à nettoyer. Avant, elle la mettait directement dans le panier de linge sale qui se trouve dans la salle de bain. Maintenant, elle ne s’embête plus et vient me la jeter directement dans ma chambre. Elle n’attend pas d’en avoir des tonnes et me les donne quotidiennement. C’est fou ce qu’on peut apprendre sur une personne avec ses petites culottes !
Je sais déjà que ma mère a une activité sexuelle bien remplie. Sans aucun complexe, elle se balade à poil devant mon et ne ferme pas la porte lorsqu’elle ramène des mecs à la maison et qu’elle se fait sauter dans la pièce à côté. C’est tout de même assez gênant et pour me venger, je fais exactement la même chose qu’elle. Je ramène quelquefois des filles à la maison sauf que moi, je ferme la porte ce qui la frustre énormément. Elle ne peut pas voir et peut seulement entendre. J’ai même une petite complice que je connais depuis toujours, Amélie. Elle vient à la maison passer la soirée et plusieurs fois dans la nuit, on fait semblant de baiser. Sauf qu’à force, on s’est pris au jeu et on a baisé pour de bon. Mais ce n’est pas pour ça que vous êtes venus lire mon histoire, c’est plutôt parce que je nettoie les culottes sales de ma mère.
Cette salope m’a jeté par exemple ce matin une petite culotte sale qui était bien collante. Cela devait sécher le temps qu’elle rentre à la maison. Elle a ouvert la porte, s’est déshabillée puis est venue jeter sa culotte en coton sur mon bureau. J’étais en train de regarder un film lorsque j’ai vu un bout de tissu passer du couloir à ma chambre en virevoltant dans les airs. Par curiosité, je me suis levé pour voir. Cette culotte de ma mère était remplie de mouille et de foutre. Je devinais qu’elle avait encore passé une soirée à se faire tringler. Ce qui m’énerve dans tout cela, c’est qu’elle ne se protège pas. Je suis sûr que sur une semaine, il y a quatre types de se foutre différent en elle et dans ses petites culottes.
Une fois que je les ai nettoyées, je les pose sur son lit et elle peut se les ranger. J’ai essayé quelquefois de me rebeller et de dire que je ne voulais plus le faire. Elle m’a menacé de me jeter dehors et de me couper les vivres. Pour parler vulgairement, elle me tient par les couilles. Je n’ai pas d’autres choix que de continuer à nettoyer ses petites culottes sales.
Alors pour le moment, je continue de nettoyer les culottes pleines de foutre, de mouille et de sécrétions intimes de ma mère. Au début j’étais très excité par la situation. J’ai touché, j’ai goûté et je me suis masturbé dedans. Maintenant, c’est devenu tellement naturel que cela ne me fait plus rien. J’ai une envie, mais je ne sais pas si je vais la mettre à exécution. J’ai envie de coincer ma mère dans sa chambre et de la baiser. Pas de la violer bien entendu, mais de la baiser. Histoire qu’elle comprenne que moi aussi, je peux la remplir de foutre et qu’au moins, si je dois faire le ménage, je saurai pour une fois d’où ça vient !
Loïc, 18 ans Lyon.
Elle les vend pas ses culottes portées? mi ca m’interesse !
C’est une belle salope ta mère dis donc ! Mais très jolie histoire tabou, merci !
T’en a de la chance.
J’aimerais être à ta place. Je m’enniverais bien
De ses parfums intimes et de temps en temps,j’y metrais la langue pour y gouter
Que du bonheur
Peut-être une nouvelle histoire taboue à venir.