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Je fais jouir ma femme avec un gloryhole pervers

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Mon fantasme continue, cette fois avec le fils de Rose, Hervé.

Un soir surprise pour ma femme.

Nous revenions d’une séance de sexe en groupe chez Rose. La matinée avait été délicieuse.

Nous nous sommes glissés dans la baignoire, face à face.

Nous nous sommes enfoncés profondément, nos fesses se touchant. Brigitte avait posé ses jambes sur les miennes, relevant légèrement son bassin. Nous nous sommes souri.

Nous nous sommes laissés aller. J’ai saisi mon sexe, visant tantôt ses seins, tantôt son intimité, d’où jaillissait aussi son liquide doré.

Nos jets se mêlaient. « Tu peux te viser le visage ? » m’a-t-elle demandé. « Bien sûr », ai-je répondu.

Avec la pression dans ma vessie, c’était facile.

J’ai dirigé mon sexe vers mon visage. Pendant ce temps, Brigitte continuait. L’odeur était excitante.

Mon dernier jet est arrivé.

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J’ai ouvert la bouche et atteint mon visage. C’était si abondant que j’en ai gardé une partie en bouche. J’en ai avalé une partie et montré le reste à Brigitte.

Elle a vu l’urine dans ma bouche. « Attends ! » a-t-elle crié. Elle s’est levée, s’est agenouillée près de moi.

« Embrasse-moi. » J’ai transféré mon liquide dans sa bouche. Elle l’avait pleine à ras bord. Elle en a laissé couler un peu, puis a avalé le reste. « Mmmmh, tu es délicieux. Pas seulement ton sperme, ton champagne aussi », a-t-elle murmuré.

Après quelques minutes, nous sommes sortis de la baignoire. « Je vais me doucher », a dit Brigitte.

« J’arrive tout de suite », ai-je répondu.

Je repensais à la journée. Nous nous étions amusés, mais ma femme n’avait pas été pénétrée. Elle avait satisfait tout le monde. J’ai vite pris le téléphone et appelé Hervé, le fils de Rose.

Je lui ai demandé s’il était libre ce soir et s’il pouvait nous aider pour un projet commun. Je lui ai expliqué mon idée : assembler trois planches de la remise de Rose avec des angles pour construire un gloryhole de fortune, avec deux trous à la bonne hauteur. Charpentier de formation, c’était une broutille pour lui.

Il a accepté. « C’est presque prêt », m’a-t-il dit. « Je serai chez vous vers 19 h. »

Il a ajouté qu’il avait trouvé la matinée excitante, mais que Brigitte avait été négligée. « Il faut réparer ça. C’est ma surprise pour elle ce soir », ai-je répondu.

Je suis retourné dans la salle de bain, j’ai rejoint Brigitte sous la douche. « Qu’est-ce qu’il y a ? » m’a-t-elle demandé.

« Rien de spécial, tout va bien. Laisse-moi savonner ton dos. »

L’après-midi, nous n’avons rien fait, récupérant de cette matinée torride.

Soudain, Brigitte a entendu des bruits de scie dans le jardin de Rose.

« C’est quoi ce raffut un dimanche après-midi ? » a-t-elle dit. J’ai souri. « Peu importe, ça va s’arrêter vite. »

Effectivement, le bruit a cessé peu après.

C’était une belle journée ensoleillée, mais nous n’avions pas envie de sortir. Nous avons dîné.

Nous allions nous installer confortablement sur le canapé quand on a sonné. « Je vais voir », ai-je dit.

« Oh, quelle surprise ! Brigitte, viens voir ! Du visite pour nous. »

Brigitte est arrivée à la porte.

« Salut, Brigitte », a dit Hervé. « Venez avec moi dans votre jardin, s’il vous plaît. »

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« Quoi, maintenant ? » a-t-elle répondu. « Oui, venez comme ça », a-t-il insisté.

En bas, nous lui avons bandé les yeux avec un foulard.

« Une petite surprise pour toi. »

« Mais je ne suis pas habillée correctement ! » a-t-elle protesté. « Pas besoin », ai-je répondu.

Nous l’avons guidée sous notre balcon, un endroit visible uniquement depuis le salon de Rose. Les autres voisins et la rue n’avaient pas de vue. Un lieu parfait.

Hervé avait fixé les planches contre le mur pour qu’elles tiennent. Au centre, il avait placé un petit banc pour que Brigitte puisse s’asseoir.

Nous l’avons conduite au banc et lui avons demandé de s’asseoir, en gardant le bandeau.

Nous sommes passés chacun de l’autre côté des planches, avons baissé nos pantalons et glissé nos sexes dans les trous.

Ils étaient déjà un peu excités, à demi-durs.

« Brigitte, tu peux retirer le bandeau », a dit Hervé.

Elle l’a enlevé. « C’est quoi ça ? » a-t-elle crié.

Nous pouvions juste voir par-dessus les planches. « Tout pour toi », a lancé Hervé. « On t’a négligée ce matin, maintenant tu vas être gâtée par nos sexes. »

« Mets-les en bouche, caresse-les, malaxe les testicules, prends-les dans ton cul. Nous restons immobiles. »

« Wow, c’est excitant ! » Elle a saisi nos sexes simultanément et a commencé à les caresser.

Elle en a pris un en bouche, léchant et suçant, puis l’autre. Elle a sucé jusqu’à ce qu’ils soient bien durs.

Elle s’est levée et a commencé à se déshabiller.

En se déshabillant, elle frôlait nos sexes avec ses mains ou ses jambes. Je sursautais à chaque contact inattendu. Une fois nue, elle s’est positionnée pour que son cul soit face au sexe d’Hervé. Elle a écarté ses fesses, guidant son sexe vers son anus.

Elle a poussé son bassin contre lui, et il était déjà en elle. Hervé a commencé à bouger doucement, pénétrant profondément, son cul pressé contre la paroi.

Pendant ce temps, elle suçait mon sexe. Une de ses mains glissait vers son intimité, ses doigts s’enfonçant, massant son clitoris.

« Oh, c’est bon », murmurait-elle.

Bientôt, elle a changé de position.

« Je veux te sentir aussi », m’a-t-elle dit. Elle s’est tournée, plaçant son cul contre mon sexe, l’insérant sans difficulté, déjà bien ouvert par Hervé.

Elle suçait maintenant le sexe d’Hervé, sa langue glissant sur son gland.

Elle pressait son cul contre la paroi, bougeant à peine son bassin.

Je la prenais avec force. Parfois, elle criait : « Oui, plus fort ! »

« Pas si fort », ai-je dit. « On ne nous voit pas, mais on pourrait nous entendre ! »

« Je n’en peux plus », a-t-elle crié. « Je vais jouir. Venez, prenez-moi tous les deux ! »

Nous avons retiré nos sexes des trous et l’avons rejointe. Nous avons tourné le banc pour avoir plus de place.

Hervé s’est allongé sur le banc. Brigitte s’est assise sur lui, guidant son sexe vers son intimité et l’insérant. « Wow », a dit Hervé. « T’es tellement humide, c’est incroyable. On va s’amuser. »

J’ai penché Brigitte en avant, me plaçant derrière elle.

J’ai posé mon sexe sur son anus et l’ai enfoncé d’un coup. « C’est trop bon », a dit Brigitte.

Comme si nous trois faisions ça depuis des années. Nous avons trouvé le rythme parfait.

Brigitte imposait le tempo, et nous la prenions.

Quelques instants plus tard, j’ai senti qu’elle était sur le point de jouir. J’ai plaqué une main sur sa bouche. « Je n’en peux plus non plus. Finissons tous ensemble. »

Je me suis agrippé à son cul. Hervé malaxait ses seins. Brigitte tremblait, criant dans ma main. « Déchargez tout dans mes trous… maintenant ! »

Nous avons joui simultanément, dans un concert de gémissements et de frissons. Hervé et moi nous sommes vidés en elle.

Je me suis allongé sur Brigitte. Elle tremblait de tout son corps.

Nous sommes restés ainsi une minute.

Nos sexes étaient encore en elle. Lentement, j’ai retiré le mien, puis Hervé. Personne ne parlait.

Brigitte s’est redressée, s’est glissée vers Hervé et s’est placée jambes écartées au-dessus de son visage. « Tu peux attraper avec ta bouche ce qui sort de mes trous », a-t-elle dit. « Oh oui », a-t-il répondu. Lentement, un filet de sperme a coulé de son anus.

Il l’a attrapé avec la pointe de sa langue. Puis le sperme de son intimité a suivi, mêlé de son jus. « Ne l’avale pas », ai-je ordonné à Hervé.

Il a hoché la tête, continuant à lécher le reste du sperme de ses orifices. Brigitte s’est abaissée un peu. Je me suis approché d’Hervé. Nous nous sommes embrassés, échangeant le sperme collecté avec notre salive.

Une sensation collante, mais excitante.

Après avoir séparé nos langues, nous avons tout avalé. « Vous êtes tellement chauds », a crié Brigitte. « Quelle surprise géniale ! »

Nous nous sommes enlacés, embrassés, et sommes rentrés chez nous. « Salut, Hervé », a dit Brigitte.

« À la semaine prochaine, pour la fête. »

Je me suis retourné et j’ai vu Rose à la fenêtre de son salon. Elle tenait une caméra et me faisait signe.

Nous avait-elle vus et pris des photos ?

Il faut que je l’appelle.

Brigitte

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