Je fais remplir ma mère de sperme par mes potes de la cité

Salut les gens,

J’ai envoyé mon histoire à Lucie qui m’a indiqué qu’elle allait avoir du boulot de réécriture ! Mais vu que mon histoire était intéressante et excitante, elle allait faire l’effort. Je sais que le rendu sera meilleur que le mien, mais essayez d’imaginer que c’est bien moi qui vous raconte cette histoire taboue.

Je m’appelle Malik, j’ai 24 ans et j’habite dans une cité du Val-d’Oise. Avec les potes de la cité, on lit beaucoup les histoires de sexe qu’on trouve sur le net. Et quand on est tombés sur ce blog, on l’a vite fait tourner comme on fait tourner une grosse cochonne dans le quartier. Et la dernière cochonne en date, c’est ma mère. Alors pour comprendre, elle m’a eu très jeune. Elle a été mère enfant à 15 ans. Ce qui fait qu’aujourd’hui qu’elle n’a pas encore la quarantaine et qu’elle a un fils de 24 ans comme moi qui est chaud et qui adore la baiser. Je ne vais pas vous raconter comment on en est venus à coucher ensemble tous les deux. Juste en résumé, c’est un soir où elle était bourrée et moi aussi. Elle est rentrée, elle m’est tombée dessus je ne sais plus pour quelle raison et on a fini par se taper dessus et par baiser. Depuis ce soir-là, je suis devenu son jeune amant et je la baise régulièrement.

Et à force de la baiser, je lui dis que ce serait bien qu’elle se fasse aussi baiser par mes potes de la cité. Elle m’a dit que c’était hors de question et que jamais ça n’arriverait. Je lui ai mis la pression non pas en la menaçant, mais au contraire en lui disant que ça m’exciterait et que c’était pour moi qu’elle le ferait et pas pour eux. Elle sait que j’aime la voir déborder de sperme après que je l’ai baisée ou quand elle rentre d’un plan cul. Je lui ai dit imaginer elle sur le lit en train de se faire remplir de foutre par les potes tandis que moi je suis assis sur une chaise en train de me branler. Ça l’a fortement excitée et elle a dit qu’elle allait réfléchir. J’avais déjà fait la moitié du chemin je savais très bien comment faire pour qu’elle fasse l’autre moitié. Je lui ai dit qu’à la fin, soit je viendrai la lécher pour tout nettoyer, soit je viendrai la baiser à mon tour en trempant ma queue dans le foutre des gars de la cité. Évidemment personne ne devait savoir ce qu’on ferait ensemble tous les deux une fois qu’ils seraient partis. Elle a accepté !

Vous imaginez bien que mes potes ont accepté de baiser ma mère. Il a fallu mettre des conditions pour qu’ils la respectent avant, pendant et après l’avoir baisée. Tout est organisé et un soir, elle a vu débarquer quatre potes à moi deux blacks, un rebeu et un Turc. Comme je lui ai promis, je ne suis pas intervenu. Je suis resté à distance et j’ai regardé tripoter les seins et les trous de ma mère avant de la prendre comme une chienne. Je suis intervenu une fois, car ils avaient oublié que c’était ma mère justement et que c’était pas une petite pute du quartier qui avait envie de faire une tournante. Mais à part ça, c’était génial ! Le seul truc, c’est qu’elle n’avait pas prévu de se faire enculer. Alors quand Marius le grand black de 20 ans a présenté son gland énorme devant son petit trou, elle a grimacé. Mais elle était tellement excitée en train de chevaucher une grosse queue et d’en branler et de sucer deux autres qu’elle l’a laissé faire. Du coup, ils ont tous voulu passer dans son cul. Je leur ai interdit de gicler dedans. Ils n’ont pas compris, mais ma mère et vous oui.

Une fois qu’ils ont tous déchargé au fond de son vagin, ils sont partis. J’ai fermé la porte. Je connais des lascars, j’avais pas envie qu’ils reviennent pour la deuxième mi-temps. Je me suis installé au bord du lit et j’ai regardé ma mère avec ses cuisses ouvertes et relevées qui commençait à déborder de sperme. Alors je me suis avancé vers elle à quatre pattes et j’ai tenu parole. Je suis venu l’embrasser et je lui ai sucé la langue. Ensuite je lui ai mangé les tétons et le ventre avant de venir lui aspirer le clitoris et de nettoyer juste le surplus de sperme qui coulait de son vagin. Ensuite j’ai présenté mon gland devant sa grotte souillée pour la baiser. Ils ont raison les gars qui disent que c’est comme si la bite est enveloppée de yaourt. C’était chaud et visqueux. Je suis resté un moment comme ça et j’ai pompé. Il a fallu du temps pour qu’elle jouisse, car elle avait déjà eu plusieurs orgasmes au cours de la soirée. Quand j’ai senti que ça venait, je me suis calé au fond de son vagin j’ai balancé de gros jets de sperme. Je me suis retiré doucement pour ne pas que ça déborde et je l’ai fait mettre sur le côté. Ensuite, je suis venu m’emboîter avec mon érection dans sa chatte pour qu’on s’endorme.

Quand je me suis réveillé au milieu de la nuit, nous étions collés par le sperme et la mouille. Ça nous a donné envie de recommencer et la première chose que j’ai faite a été de lui lécher la minette et je me suis régalé ! Elle a passé son doigt dans sa fente et se lécher les doigts lui a fait durcir les tétons et son vagin s’est de nouveau ouvert. J’allais me présenter devant son entrée moite lorsqu’elle a voulu que je l’encule. C’est très rare que ma mère veuille que je la sodomise. Cette nuit-là, je lui pilonnai le cul tellement fort que de la matière en est sortie. Elle me demandait de rester à l’intérieur comme je l’avais fait quelques heures plus tôt pour qu’on s’endorme de nouveau emboités. Je vous raconte pas dans quel état on était le lendemain. Une petite douche et nous étions tous propres !

Voilà mon histoire, bon courage Lucie et franchement tout le monde, continuez d’envoyer vos histoires parce que ça excite toutes les générations et donne de nouveaux fantasmes.

Malik 24 ans