Pichenette sur le clito
Dans un monde qui évite souvent de parler de l’art du plaisir féminin, il est temps de rompre le silence et de célébrer l’art de l’amour de soi. La masturbation féminine est un aspect naturel et magnifique de la sexualité. Elle mérite d’être reconnue, comprise et célébrée. Je ne me souvenais plus de la dernière fois où j’avais été seule à la maison. Dire que c’était un événement rare de nos jours était un euphémisme. J’avais même éteint le bruit de fond incessant de la télévision. Le silence me faisait l’effet d’un vieil ami, pardonnant ma longue absence et m’accueillant à nouveau avec une étreinte remplie d’un potentiel alléchant. Plaisir de la chatte !
PLAISIR DE LA CHATTE
Après avoir simplement profité du silence revitalisant pendant quelques minutes, je me suis demandé ce que je devais faire pour tirer le meilleur parti de ce temps de solitude. La réponse était assez évidente : je me faisais plaisir avec ma chatte.
La décadence de pouvoir me faire plaisir ailleurs que dans le refuge de notre chambre, ou derrière la porte verrouillée de la salle de bains, était en soi suprêmement excitante – et je n’avais même pas encore commencé. J’ai senti mon clito picoter sous mon jean moulant, sous la dentelle de mon string. Je suis également très consciente de mes seins. Mes mamelons durcissent et les lèvres de ma chatte semblent vouloir se séparer. Je suppliais qu’on me remplisse et qu’on me fasse plaisir, j’étais vilaine, pas gentille, et putain de fière.
J’avais encore au moins une heure devant moi, inutile de me précipiter. Les rideaux du salon étaient cependant grands ouverts et la lumière du soleil entrait à flots depuis la rue. Bien qu’il ne s’agisse pas d’une rue très fréquentée, il y avait des passants de temps en temps. Jambes écartées, mains enfoncées dans mon jean, je fais jouir ma chatte douloureuse. Je suis mouillée et je fais quelque chose pour y remédier.
PERFORMANCE EN SOLO – JOUIR DE MA CHATTE
De plus, la rareté de cette solitude silencieuse m’a donné l’impression de ne vouloir la partager avec personne. Pas de vibromasseur, pas de lubrifiant. Cet après-midi n’était que pour moi. Seule avec mon imagination, mes doigts, mon excitation et mes doigts humides et collants étaient plus faciles à cacher qu’un vibromasseur.
J’ai déboutonné mon jean et j’ai glissé mes doigts entre le denim et mes sous-vêtements en dentelle. J’ai laissé le bout de mes doigts trouver et caresser doucement mes lèvres, puis faire des cercles sur le bouton maintenant dur de mon clitoris, pour le plus grand plaisir de ma chatte. J’apprécie la sensation de mes seins poussés l’un contre l’autre. Mes mamelons frottent contre le tissu de dentelle de mon soutien-gorge. Ma main explore l’espace restreint entre mes jambes.
L’ÉCOUTE DE MON MOI
Je n’ai pas non plus perdu de vue le subtil asservissement de mes articulations par le denim très serré. Accentuer délibérément chaque parcelle d’érotisme, forcer l’esprit à atteindre le sommet de la conscience de soi. En évitant l’apogée du plaisir personnel et en prenant la route panoramique. Pour arriver à une jouissance soigneusement élaborée, qui fait chavirer le corps et l’esprit, en jouissant de ma chatte.
Enfin, de l’autre main, j’ai dégagé mes seins de l’étroitesse de mon soutien-gorge en dentelle italienne de soie noire, libérés du tissu mais toujours retenus par les échafaudages des bonnets en fil de fer sous mon t-shirt.
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