Jugeant que j’étais prêt et persuadé que je ne me révolterai pas, Mohamed s’est relevé m’a couché sur le ventre, tiré sur mes hanches pour relever mes fesses et a appuyé son gland à l’entrée de mon cul. Ça m’a fait mal et je lui ai fait savoir.
- Jean, pousse comme si tu voulais faire caca et tu verras ça rentrera tout seul et tu auras du plaisir.
J’ai fait ce qu’il m’a dit lui faisant confiance alors que je ne le connaissais pas une heure auparavant.
La pression de sa queue s’est faite plus importante, j’ai essayé de me relâcher, j’ai poussé comme il me l’a dit et j’ai senti la tête de son sexe me pénétrer et s’arrêter. Il a attendu pour me laisser m’habituer à cette présence puis a repris sa progression. Ça me faisait mal, mais c’était très supportable.
Il s’est encore arrêté, m’a caressé le dos, s’est penché pour m’embrasser dans le cou ; une de ses mains a pris mon sexe qui s’était recroquevillé et l’a malaxé en même temps que mes testicules.
Puis il m’a pris par les hanches et a poursuivi sa progression jusqu’à ce que son pubis et ses poils soient contre mes fesses. Il a attendu un peu avant de repartir en sens inverse jusqu’à ressortir… Sans attendre il est re entré jusqu’au fond d’un seul coup de reins. J’ai crié, car il m’a fait mal…
Il s’est arrêté aussitôt, m’a parlé doucement m’appelant « ma chérie », me caressant, m’embrassant partout où notre position le permettait… la douleur s’est estompée et me sentant plus relaxé il a fait de petits mouvements d’aller-retour, lentement, toujours en parcourant mon corps avec ses mains et en me parlant avec douceur.
J’avais de moins en moins mal, je dirais même que je sentais un peu de plaisir… sa voix me berçait. C’était étrange quand j’y repense cinquante ans plus tard, mais sur le moment je ne me posais pas de question philosophique !
Je profitais de ces instants, de cette découverte de l’amour physique, moi qui étais puceau en arrivant… Devant et derrière, car je n’avais jamais eu de relation avec une femme et encore moins avec un homme.
Mohamed, me sentant plus réceptif a accéléré ses mouvements de pénétrations, allant bien au fond. Son torse était bien décollé de mon corps, ses mains agrippaient mes hanches fortement et il me labourait vigoureusement. Chaque fois qu’il me pénétrait, je sentais ses poils pubiens contre mes fesses, ses couilles frapper les miennes… J’avais encore un peu mal, mais peu à peu le plaisir prenait le dessus… j’avais les épaules et la poitrine contre le couvre-lit ; le cul bien relevé. J’ai glissé une main sous moi pour me masturber… je ne bandais pas vraiment, mais j’ai quand même éjaculé…
Mon amant, mon premier amant, a gémi et s’est arrêté d’un coup, bien au fond de mon conduit. Je l’ai senti se déverser en moi avant de s’écrouler sur mon dos. Nous étions en sueur. Il m’a caressé les cheveux, a tourné ma tête pour m’embrasser avec beaucoup de tendresse… baiser que je lui ai rendu…
Il est sorti et s’est allongé sur le dos. Je me suis allongé sur le côté et je l’ai regardé, j’ai caressé sa poitrine avant de descendre prendre sa queue poisseuse en main. Il me demanda de la sucer, mais j’ai refusé.
Je lui ai rappelé que je devais rentrer avant minuit. Il s’est levé, nous nous sommes habillés. Il m’a conseillé de mettre mon mouchoir dans mon slip pour récupérer son sperme qui ne manquerait pas de s’écouler.
Il m’a ramené au port au pied de la coupée en me demandant de me revoir le lendemain.
Je lui ai répondu que cela ne sera pas possible, car j’étais de service jusqu’au surlendemain.
Nous avons convenu qu’il viendrait me chercher à 14 h…
Je suis monté à bord, confus, avec des questions plein la tête ; la première étant = est-ce que je vais honorer notre prochain rendez-vous ? ….
Gecko
Ajouter un commentaire