Il se lève et me tend la main pour m’aider à me lever. Sans la il m’amène vers une porte qu’il ouvre :
- Tu vois notre maison est modeste. Mais elle est confortable. J’ai confiance en toi et je ne te cache rien. Tu es mon ami (il avait toujours ma main dans la sienne)
Nous étions dans une chambre meublée d’un lit double, d’une armoire et d’un lit de petit enfant.
- Mais tu as plusieurs enfants ?
- Oui Jean, mais les grands dorment chez ma mère où ma femme vient de les amener. Pour l’instant je ne peux pas payer un loyer pour une maison plus grande et celle-ci ne se compose que de ces trois pièces. La cuisine sert aussi de salle à manger et de salle de bains.
Venant d’un milieu très modeste, cela ne me choqua pas plus que ça !
Mohamed était maintenant tout contre moi et me fit tourner vers lui en m’entourant les épaules avec son bras libre tandis que son autre main gardait toujours la mienne prisonnière.
Son visage se pencha vers le mien et il m’a embrassé sur le front, la joue, le cou, la joue près de mes lèvres… je tremblais, j’avais peur, je suais ;
Il m’a fait assoir sur le bord du lit est resté debout devant moi et sans autre forme de procès il à ouvert sa braguette et a sorti son sexe en semi-érection. Pas gros, pas large, plutôt fin, mais assez long, plus que le mien en tous les cas. Ce qui m’a surpris le plus c’est qu’il était circoncis, ce que je n’avais encore jamais vu, même lors des douches communes que je prenais à bord. Son gland ressortait bien au bout de la tige alors que moi j’avais un long prépuce…
- Regarde Jean, elle te plait ? Tu veux bien la caresser, après je te ramène au bateau.
Je n’ai pas bougé. J’ai fixé sa queue, sans réagir.
Il a avancé un peu plus et son sexe n’était plus qu’à une vingtaine de centimètres de mon visage. Il se caressait lentement et la bête se raidissait petit à petit. Je me suis dit que si je ne le prenais pas en main, il me la mettrait dans ma bouche… J’ai donc avancé ma main mon prendre son sexe… chaud, doux comme de la soie, dur aussi, palpitant…. On aurait dit qu’il était vivant. Une fois de plus mes souvenirs d’enfance sont revenus au galop…
J’ai commencé des mouvements de masturbation sur ce pénis qui devenait de plus en plus dur. Je commençais à m’exciter aussi… mon partenaire avait fermé les yeux et sa respiration s’était un peu accélérée…
- Viens, lève-toi, dit-il en me tirant pas la main. Je me suis retrouvé debout devant lui et il m’a enlevé prestement ma vareuse, mon tricot rayé avant de s’attaquer aux quatre boutons de mon pantalon qui s’est retrouvé à mes pieds en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire… je n’en revenais pas. Je ne savais pas quelle attitude prendre. J’avais peur, mais j’étais aussi excité.
Il m’a poussé sur le lit, défait mes chaussures et achevé d’enlever pantalon et slip…
Je ne bandais pas vraiment, j’étais à la fois excité, mais aussi apeuré, difficile de décrire ces sentiments contradictoires qui m’assaillaient à ce moment-là…
Mohamed ne perdait pas de temps ; polo, pantalon et chaussures ont rapidement été retirés.
Nous étions nus tous les deux, moi allongé en travers du lit, lui debout à me regarder avec un petit sourire.
- Mohamed, ta femme va rentrer
- Pas tout de suite… plus tard… ne t’inquiète pas mon chéri…
Me faire appeler mon chéri par un homme inconnu il y a peu m’a fait tout bizarre, on aurait dit ma mère…
Il s’est allongé à côté de moi et a commencé à me caresser le torse, le ventre puis mon sexe. Il l’a pris entre deux doigts pour le masturber ; l’a délaissé pour prendre mes couilles, les faire rouler entre ses doigts… ma verge commençait à réagir et à se raidir. Il s’est penché sur mon visage, m’a embrassé dans le cou, sur la joue, près des lèvres (j’ai détourné la tête pour qu’il ne puisse pas m’embrasser sur la bouche). Ses lèvres sont descendues sur mes seins, ont aspiré mes tétons avant de les mordiller déclenchant des frissons…
Sa bouche est encore descendue, et a gobé le bout de mon sexe pas encore tendu complètement. Sa main malaxait toujours mes bourses… tout était bon… Si bonde… Me posais de moins en moins de questions et ne pensais plus trop à l’heure…
Après un moment il s’est redressé sur un coude et m’a dit :
- À toi maintenant de me faire du bien.
J’ai redressé mon torse et malgré mon manque total d’expérience, j’ai fait ce qu’il m’avait fait en m’appliquant, car j’avais vraiment envie de lui faire plaisir…
Mes mains ont caressé son visage puis sa poitrine, mes doigts ont joué avec ses tétons que j’ai également pincés, mes mains ont parcouru tout son corps jusqu’à l’objet convoité… il était bien raide maintenant, bien dur, le gland proéminent, le tout de couleur brune alors que j’étais blanc comme un cachet d’aspirine…
J’ai masturbé sa queue et pris ses testicules en main. Elles étaient lourdes et bien plus volumineuses que les miennes.
Pendant ce temps je me suis penché et avec ma langue j’ai agacé la pointe de ses seins, léché sa poitrine et suis remonté avec ma langue vers son cou, derrière de ses oreilles et sans être vraiment conscient ma bouche s’est collée à la sienne et nous nous sommes embrassés fougueusement. Je planais, je n’étais plus réellement là !!!!
En fait, avec le recul, et en décrivant cette scène, je pense que je me sentais fille… je ne sais pas si vous pouvez comprendre…
Il m’a fait basculer sur le dos, s’est mis sur moi et m’a embrassé à son tour… Tantôt avec douceur, tantôt avec force. Sa bite bien raide était contre mon ventre. Il bougeait légèrement son bassin pour la frotter contre moi, un liquide s’en échappait.
Il tenait mon visage entre ses mains et m’embrassait toujours, j’en perdais haleine.
Il finit par me lâcher la bouche et est descendu en me parcourant tout le corps avec sa langue jusque ma verge maintenant bien droite qu’il a prise en bouche et qu’il a sucée avec douceur en me caressant les testicules.
Avec sa main il m’a fait comprendre d’écarter les jambes ce que j’ai fait et ses doigts se sont alors glissés vers mon cul. Il a remonté sa main et m’a mis ses doigts dans ma bouche en me demandant de les sucer. Ce que j’ai fait sans réfléchir plus avant.
Mon partenaire a glissé ses doigts maintenant bien mouillés de ma salive dans ma raie culière à la recherche de mon petit trou inviolé à ce jour…
Sa bouche avait repris ma queue un instant abandonnée et la suçait, la léchait, léchait mes couilles aussi le tout pour me tenir excité, mais sans me faire jouir. Sa main disponible caressait mes seins, jouait avec mes tétines très sensibles.
Derrière un doigt s’est infiltré dans mon conduit sans que j’aie vraiment mal. Ça me faisait un effet bizarre de le sentir bouger, entrer, sortir avant d’être rejoint par un second… Je me suis laissé faire, vraiment très excité. Je n’avais jamais connu cela… et j’aimais !
Mon amant faisait maintenant tourner ses doigts à l’intérieur pour élargir mon orifice.
belle aventure donne l’expèrience de l alhaya