Bonjour, je m’appelle Florent, j’ai 49 ans, je suis bisexuel, j’ai eu mes premières relations sexuelles avec des garçons d’abord, puis après avec des filles (vers l’âge de 19 ans seulement). Je suis marié depuis 17 ans, ma femme ignore tout de ma vie de gay. Je suis très attiré par les femmes, mais adore me faire pénétrer par des bites, les sucer, le sperme, bref une vraie salope.
Je suis Directeur Commercial dans une importante société d’engrais dans le Val de Loire, et j’ai eu, le mois d’avril dernier, comme mission, de superviser une grosse importation du Maroc, depuis une petite ville au centre du pays.
J’arrive à Casablanca vers 16h00, je prends une voiture de location déjà réservée et me dirige vers la ville en question, qui se trouve à 350 km de là, mais que sur des routes nationales.
Environ 30 km avant destination, je m’aperçois que ma voiture commence à chauffer, il est presque 20h00, la route est quasi déserte, la nuit commence à tomber, je décide de m’arrêter devant ce qui semble être un dépôt d’une entreprise de construction. Je sonne à la porte, un homme m’ouvre, Jawad, la trentaine, plutôt bel homme dans son uniforme de vigile, je lui explique mes soucis, il me propose de rentrer la voiture afin que le mécanicien de la société fasse un diagnostic.
Après quelques minutes il revient avec quatre autres personnes (des ouvriers de chantier, Hamza, Nabil et Adil, la bonne vingtaine, typés marocains et bâtis comme des armoires à glace et Ahmed, la quarantaine passée, trapu et bedonnant), il m’annonce que le mécano est déjà parti, et qu’il reviendra le lendemain de bonne heure. Très vite je pense à appeler un dépanneur, mais Ahmed me propose de rester pour la nuit, à ce moment je vois que deux d’entre eux se font des clins d’œil en matant mes fesses charnues, il faut dire que je suis assez enveloppé. Je vois une possibilité de pouvoir passer une soirée avec des mâles, mon sang ne fait qu’un tour. Je leur demande où je peux passer la nuit, ils m’emmènent dans une petite maison au fond du dépôt qui leurs sert de dortoir, il y a deux chambres et un salon où nous nous sommes installés.
Très vite ils me mettent à l’aise, mettent de la musique, me servent à manger, de l’alcool, un vin râpeux mais très efficace pour faire tourner la tête, bref ils se montrent très attentionnés. Je décide alors de me rafraichir un peu, je demande où je pourrais me changer, Nabil me montre une des chambres, je pars avec ma valise, en espérant que quelqu’un me suive. Je me déshabille complètement, attend, mais rien ne se passe, alors je prends mon petit flacon de lubrifiant, mets un petit short court et serré, un teeshirt puis reviens dans le salon.
A peine passé la porte que je vois Nabil et Adil (c’est eux qui se faisaient des clins d’œil au début) qui me dévisage le cul. On était tous un peu ébréchés, cela faisait déjà presque 4 heures que nous buvions, je décide de me trémousser un peu sur de la musique arabe, histoire de mettre un peu le feu. C’est Ahmed le premier qui me rejoint, me prend les hanches, se frottant au passage sa bosse sur mes fesses. Nabil, Adil et Hamza nous rejoignent et dansent tous un à un avec moi. Jawad, celui qui m’ouvra la porte reste en retrait.
Je suis excité comme jamais, j’ai besoin de bites d’urgence, je leur demande où se trouve les toilettes espérant bien sûr que quelqu’un me suive, entre dans la salle de bain, ne ferme pas la porte à clef, me fais un lavement avec le tuyau de douche et attends. Au bout de 5 minutes interminables Nabil me rejoint enfin, il me trouve devant la cuvette, tout nu, lui affichant ma croupe. Il referme derrière lui, je prends l’air surpris, je lui demande ce qu’il fait ici, il ouvre son pantalon, sors sa bite déjà en érection, fine mais longue et me fait signe de venir le sucer.
Je saute dessus, l’avale entièrement, le pompe comme jamais on a dû le faire, je l’entends gémir, trembler un peu, je lui lèche ses couilles, son prépuce, me délecte du pré-sperme abondant et je le complimente sur son dard gorgé de jeunesse. Il se met à m’insulter de pute en arabe, me lève, me met les mains sur les toilettes, lubrifie mon cul avec sa salive et m’embroche littéralement. Je n’ai jamais eu aussi mal de ma vie, je tente de le repousser, mais le bougre est fort, je ne le fais pas bouger d’un centimètre. Il continue de me limer ignorant mes plaintes, doucement la douleur se transforme en plaisir, je commence à jouir même. Après quelques minutes de sérieux ramonage je l’entends racler sa gorge et ressens la chaleur de sa décharge au plus profond de mes entrailles. Il me traite de salope, m’ordonne de ne plus bouger, croyez-moi ou pas, à ce moment-là, sa bite au fond de moi, ses bras autour de mon torse, sa respiration dans mon oreille, tout cela m’a fait avoir un magnifique et long orgasme.
Soudain, mon homme reprend ses mouvements de va et vient lentement, puis de plus en plus vite, il me demande de gémir comme une salope, moi qui m’interdisais de faire du bruit, de peur que l’on m’entende, me laisse aller, j’hurle même. Il me ré-encule beaucoup plus violemment, bestialement et surtout, plus longuement cette fois. Il me frappe les fesses fort, me gifle, je ne comprends pas la moitié de ce qu’il me dit en arabe mais je repère pédé et pute. D’un coup, il me retourne, dirige ma tête sur sa queue et crie : tout, avale tout, j’ouvre alors ma bouche, je ressens les premières giclées puissantes comme un jet d’eau au fond de ma gorge, jusqu’à remplir rapidement ma bouche, j’en étouffe même, j’essaie d’avaler le maximum mais son sperme déborde sur mes joues. Il m’attrape fermement et ne me laisse pas reprendre mon souffle. Une fois vidé, il me dit d’un ton dominateur de me laver afin de me faire propre pour les autres. Je lui réponds que non, je ne voulais pas d’autres (je faisais toujours ma pucelle), il rit aux éclats et m’explique que je n’ai pas le choix.
A peine Nabil sortit, Ahmed, le plus âgé, pousse la porte et la ferme à double tour, il s’approche de moi, il parle couramment français, il me demande si j’ai aimé ma séance et que si j’en veux encore. Je réponds honteusement par un oui timide, il me requestionne d’un ton autoritaire, je lui dis que j’en veux encore. Il me retourne, me demande d’écarter mes fesses, ouvre mon anus avec ses doigts, me fait constater que celui-ci est prêt à l’accueillir. Je n’ai pas remarqué qu’il a déjà ouvert son pantalon, il se branle doucement, sa bite est encore molle. Je respire de voir une petite bite car après ce que j’avais pris, j’aurai un peu de mal pour de gros volumes. Comme pour Nabil, il me la fait sucer, elle pue la pisse et la sueur, poilue à souhait, comme lui d’ailleurs. Elle commence à durcir et, quelle a été ma surprise de la voir prendre des proportions inimaginables, elle grossit et s’allonge au fur et à mesure de ma fellation, cerise sur le gâteau, elle est devenue dure comme un rock. Ahmed me demande de me mettre à quatre pattes, je m’exécute, je me mets une petite noisette de gel dans le cul, il se positionne derrière moi, je le supplie d’y aller doucement, il me rassure et commence sa pénétration. Il est vrai qu’il est très doux avec moi, il attend jusqu’à me l’enfoncer entièrement dans ma chatte, pour commencer de me limer sérieusement. Ce n’est qu’à ce moment que je commence à ressentir du plaisir. Je lui demande de me baiser plus fort, ça l’enrage, il me pince les fesses à les paralyser, se lève et continue de plus belle de m’enculer. Je sens mon anus se déchirer littéralement. Une sensation incroyable s’empare de moi à ce moment, j’éjacule sans ressentir le plaisir habituel, mais juste après, je suis pris de spasmes violents, j’en ai les larmes aux yeux. Je ne sais pas combien de temps il m’a baisé pendant mon orgasme, plus longtemps que Nabil c’est sûr, je n’ai joui qu’une fois, mais que c’était bon et interminable. Ahmed s’immobilise derrière moi, se retire, il vient d’éjaculer, je n’ai rien ressenti, par contre dès que je me suis relevé, une fontaine blanche s’écoule le long de mes deux cuisses, je prends du sperme directement de mon trou pour masturber ma bite, j’adore ça. Il m’embrasse sur la bouche, dirige ma tête vers sa queue, pour la nettoyer je suppose. Elle est bien crémeuse, je m’applique à le satisfaire. Il me remercie, moi, alors que lui m’a emmené au paradis 5 minutes plus tôt. Il ouvre la porte, sort, moi je reste en train de me caresser avec son jus.
Quelques instants plus tard, Hamza entre dans les toilettes et me demande de le suivre. Je m’exécute comme le soumis que je suis, voilà que je me balade tout nu dans la maison, il entre dans une des chambres, se déshabille complètement, Adil nous emboite le pas et fait de même. Les deux jeunes sont très excités, ils bandent déjà, Hamza se couche sur le lit, m’ordonne de « lui téter le biberon », qui d’ailleurs est magnifique, bien en chair, très clair sur la première moitié et foncé sur la deuxième. Je le suce avec envie et passion, j’adore l’idée de me faire prendre par deux hommes en même temps, ça ne m’est jamais arrivé auparavant, plusieurs à la suite oui, mais pas en trio. Adil s’approche à son tour sur le lit, me tend son chibre, il a la forme d’un champignon, fin, long mais avec un bout imposant, je le prends dans ma main, continue de sucer Hamza, commence à alterner avec Adil ; ce dernier s’est très vite positionné entre mes cuisses et me l’enfonce d’un trait. Mon cul déjà bien ouvert et ensemencé, il y rentre facilement, il me titille la prostate directement, bien gonflée par mes précédents amants, j’ai deux bites en moi en même temps, je suis en transe, malheureusement il explose en moi rapidement, je n’ai pas eu le temps de bien le sentir.
Hamza me demande de le chevaucher, je mets une jambe de chaque côté, m’enfonce doucement et à mon rythme, mon cul est en feu, j’entreprends des va et viens de plus en plus vite, je commence à crier fort, je ferme mes yeux pour mieux déguster et profiter de ce moment d’extase, quand je rouvre mes yeux, je m’aperçois que tout le monde est dans la chambre.
Ahmed et Nabil se masturbent, ils commencent à me fesser sérieusement, j’ai très mal, mais quel bonheur !! Ils passent chacun d’un côté, me soulèvent comme une feuille, me replaque sur la bite Hamza, accélèrent ce traitement de choc, jusqu’à ce que l’on jouisse tous les deux en même temps. Je reste couché sur mon mâle une poignée de secondes, quand, je ne sais qui me retourne sur le dos, me lève les jambes et se met à me baiser. Je reconnais Nabil, il fait des grimaces comme s’il veux me faire mal, je trouve son expression très jouissive, Ahmed vient me fourrer la bouche avec son membre, qui regrossit instantanément, je me fais prendre encore par deux bites, ouf, je suis aux anges. Je veux que jamais cela ne s’arrête, mais les meilleures choses ont une fin, après 15 minutes, Nabil éjacule en moi, Ahmed, le suit en se masturbant dans ma bouche.
Je reste plusieurs minutes sans bouger, Jawad qui était observateur toute la soirée, leur demande de sortir et de nous laisser, puisqu’ils ont eu ce qu’ils voulaient, et que maintenant, c’est à son tour.
Franchement, je ne veux que dormir à ce moment-là, mais une fois seuls, Jawad me roule des pelles magistrales, j’ai encore du sperme d’Ahmed dans la bouche et sur les joues, mais ça ne semble pas le déranger, au contraire. Pour la première fois de la soirée je commence à bander dur, il m’ordonne de me mettre à quatre pattes pour qu’il puisse me lécher l’anus. Il me demande de pousser le sperme hors de ma chatte et il est servi, de grandes quantités s’écoulent de mon cul, Jawad ne laisse rien tomber, il boit tout, je l’entends m’aspirer et se délecter du nectar de ses amis. Il me retourne, se déshabille, se frotte tout contre moi en m’embrassant, nos bites se touchent, il les prend toutes les deux avec une main, nous masturbe longuement en les massant ensemble. Il se retourne soudainement, me demande de lui mettre du gel et de le baiser. J’avoue n’avoir jamais essayé de prendre un homme, mes fantasmes ont toujours été de me faire baiser comme une salope, mais dans le feu de l’action, je me positionne sur lui et lui enfonce ma bite doucement. Son cul est totalement lisse, doux, chaud, bien ouvert par rapport à moi, je le baise de plus en plus fort, il ne dit pas un mot, pire il me demande à moi de crier faire croire que c’est lui qui me baise, je m’exécute bien que je trouve ça bizarre. Au bout d’un moment, je sens ma sève monter, je jouis pour la première fois dans le cul d’un mec. Waw quelle soirée !! Je me retire, je vois mon sperme s’écouler de son cul, il se retourne, il bande encore, me demande de le sucer, moi j’ai un peu perdu mon excitation, mais qu’à cela ne tienne, je le gobe. Il prend ma main pour la guider vers son anus, je lui enfonce un, puis deux doigts, je lui masturbe la prostate jusqu’à ce qu’il explose dans ma bouche.
Je n’ai plus bougé de la nuit. Tôt le matin vers 07h00, Nabil est venu me réveiller, le mécanicien était arrivé, je m’habille rapidement, prends mes affaires, sors de la maison sans passer par la salle de bain, je sens le sperme et la baise. Je me dirige vers la voiture qui était déjà réparée, apparemment un problème de durite déboitée, tout comme mon cul…
Je remercie mes hôtes, je prends leurs coordonnées et je reprends la route en promettant de revenir les voir lors de mon voyage retour vers Casablanca.
Ce fut l’une des plus belles soirées gay de ma vie.
Florent
J’ai adoré ton histoire, vivement la suite….