Nous sommes un couple marié depuis 30 ans, Brigitte, 50 ans, et moi-même Philippe, 53 ans, et avons deux enfants, un garçon, Damien, 24 ans, et une fille, Julie, 22 ans. Nous sommes une famille naturiste, naturisme que nous pratiquons non dans les camps, mais à domicile, ayant la chance d’habiter dans un endroit isolé en lisière de forêt et à l’écart de toute maison voisine, la première se trouve à 150 mètres, ce qui nous permet de pratiquer tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, la propriété étant entourée par une haie, ce qui nous met à l’écart de toute vue indésirable. Ainsi nous vivons toute l’année dans le plus simple appareil en famille (les enfants ont été habitués depuis le début à ce mode de vie).
Je tiens à préciser que Brigitte est aussi une adepte du sans-culotte depuis l’âge de 18 ans. Elle n’en porte plus suite à un problème d’allergie au bas-ventre qui lui donnait de l’urticaire. Elle a consulté un dermatologue qui a prescrit des pommades, mais qui n’ont eu aucun effet. Elle a décidé de ne plus porter temporairement de culotte jusqu’à sa guérison, mais qui est devenu un abandon définitif.
Voilà, je vais venir à présent à l’histoire qui est arrivée il y a quelques années déjà, Brigitte devait avoir 35 ans. Brigitte est très féminine, pour sortir, elle s’habille très chic, toujours en jupe ou robe, jamais de pantalon, comme dessous à vrai dire pas grand-chose, un soutien-gorge qu’elle porte lorsqu’elle décide de mettre un chemisier transparent, sinon elle est seins nus, un porte-jarretelles blanc et des bas couleur chair, voilà ce qui constitue sa garde-robe.
Ce matin de printemps, Brigitte avait rendez-vous chez sa coiffeuse, vêtue d’un tailleur veste échancrée en V jupe courte moulante au-dessus des genoux qui avait la particularité de se trousser d’elle-même, surtout en s’asseyant, ce qui l’obligeait parfois à tirer sur le bas de sa jupe, et ce jour, elle a mis son porte-jarretelles et ses bas. Ce qui la rend hypersexy.
En partant, elle m’embrassa et me dit qu’au retour de son rendez-vous, elle passera à l’hypermarché faire quelques achats. Je lui signifiais qu’elle va faire de l’effet avec sa tenue, surtout sa jupe qui se trousse très haut, et j’imagine la coiffeuse qui va certainement remarquer l’absence de culotte par le miroir lorsqu’elle est assise dans le fauteuil. Elle me souriait et me dit : je te raconterais à mon retour. Nous avons convenu depuis des années de tout nous raconter, de ne rien cacher, que ce soit sur le plan sexuel ou autre.
La voilà partie chez sa coiffeuse, et moi je suis allé continuer les travaux de peinture que j’avais entrepris, et cela dans le plus simple appareil comme toujours en attendant le retour de Brigitte.
À son retour trois heures plus tard, elle passait par la salle de bain, retira ses vêtements, prit une douche en vitesse. Pendant ce temps, je déchargeais le coffre de la voiture des achats. Comme il était midi, j’avais préparé la table pour le déjeuner. Elle sortait de la douche, nue comme toujours, et je pensais qu’elle allait se mettre à table pour déjeuner, elle vint vers moi, m’enlaça, me roula une pelle, prit mon sexe dans sa main, commença à me masturber. Elle me dit : chéri, je vais te raconter ma matinée surprise et sexuelle qui lui est arrivée. Mais avant, je vais te sucer mon chéri. Surpris, je me suis demandé ce qui a pu la mettre dans cet état. Elle s’agenouillait, prit mon sexe, le lécha sur toute sa longueur, caressant mes burnes d’une main, prit mon sexe dans sa bouche et se mit à le pomper. Impatient de connaître son récit, je n’ai pas mis longtemps à lui décharger toute ma semence au fond de sa gorge.
Elle et moi nous sommes allés nous nettoyer avant de passer à table et d’écouter son récit que voici.
En partant ce matin pour aller chez la coiffeuse située à 5 kilomètres du domicile, j’ai eu l’idée de m’essayer à l’exhibe en faisant passer celle-ci pour une exhibe involontaire. Je suis curieuse de connaître les réactions des hommes ou femmes s’apercevant de l’absence de culotte ou de soutien-gorge. Par contre, je ne m’attendais pas à ce qui va suivre à l’hypermarché et au parking de ce dernier.
Tout en déjeunant, elle continua son récit, impatient de connaître la suite. Je sentais que le volume de mon sexe augmentait. Comme elle avait pris l’apéro avant de déjeuner, je lui offrais le dessert en lui demandant de venir s’asseoir sur la table de la cuisine, d’écarter ses cuisses afin que je puisse lui faire un cunnilingus avant qu’elle continue son aventure. Lui prenant son clito entre mes dents, je le mordillais, je le suçais et je lui enfonçais un puis deux doigts dans sa chatte trempée. Elle ne tarda pas à jouir. J’avalais sa cyprine. Elle reprit sa place et je lui servais le café. Elle reprit son récit.
Arrivée chez la coiffeuse, cette dernière l’installa dans le fauteuil qu’elle fit monter à bonne hauteur, ce qui fit apparaître ses jambes dans la glace en face. Comme elle portait cette jupe courte qui se troussait d’elle-même et qui dévoilait à ce moment-là les attaches de ses bas ainsi que le début de ses cuisses, elle fixa son regard sur ses cuisses via la glace, elle constatait que l’on pouvait voir sa chatte. Elle ne fit rien pour la cacher et même elle écarta rapidement ses cuisses en choisissant le moment où une personne passait ou si la coiffeuse se rendrait compte. Elle remarqua à un certain moment que la coiffeuse avait vu comme elle parlait ensemble, elle a subitement et brièvement interrompu la conversation, alors Brigitte a aperçu son regard fixé sur son entrejambe. Brigitte demanda à la coiffeuse ce qui lui arrive, elle répondit en bégayant et à voix basse : Madame, on voit votre sexe !
Brigitte ne réagissait pas, ne tirait pas sur sa jupe pour la faire baisser, la coiffeuse lui demandait alors timidement si c’est son habitude ou si elle avait oublié de mettre une culotte ce matin. Brigitte lui répondit : je ne porte jamais de culotte, j’aime être à l’aise et rarement de soutien-gorge comme aujourd’hui, et vous ? dit-elle à la coiffeuse. Elle répondit : je n’ai jamais essayé, je crains trop que l’on s’en aperçoive comme vous et que l’on me traite de tous les noms. Puis la conversation retournait sur l’actualité du moment. Brigitte ressentait à ce moment-là une drôle de sensation dans son bas-ventre. Elle m’a dit qu’à ce moment-là, si elle avait été seule avec la coiffeuse, elle n’aurait pas hésité à mettre ses doigts et se masturber. La coiffeuse terminait ma coupe de cheveux et là pour s’extraire du fauteuil, elle a quand même dû prendre des précautions afin que les autres clients ne remarquent rien.
Elle réglait la prestation et là elle a remarqué que le premier bouton de la veste du tailleur s’était ouvert, libérant la moitié d’un sein. Elle reboutonna vite sa veste et rejoignit sa voiture pour se rendre à l’hypermarché faire ses courses. L’hypermarché se trouve à 15 kilomètres et elle doit prendre une voie rapide pour y accéder.
Une fois sortie de la ville excitée comme elle était, elle a décidé de prendre le risque de se masturber, pas besoin de trousser sa jupe, elle s’était troussée d’elle-même. Elle posa sa main sur sa chatte et commença à se caresser. Elle dut s’interrompre plusieurs fois, ne voulant pas créer d’accident, car elle a tendance à fermer les yeux lorsque le plaisir arrive. Elle n’est pas arrivée à jouir et en arrivant à l’hypermarché, elle a arrêté. Nous connaissons très bien ce centre commercial et pour une fois, elle est allée se garer tout au fond du parking, là où la dernière travée se finit par une haie et qui est la plupart du temps à moitié vide. Elle s’était garée en marche arrière pour mieux voir si quelqu’un venait. Pourquoi elle s’est garée là alors qu’il y avait beaucoup de place vers l’entrée ? Pour la bonne raison qu’elle avait envie de terminer sa masturbation et arriver à l’orgasme avant d’aller faire les courses.
À peine avait-elle mis sa main sur sa chatte, elle dut interrompre à cause d’un bruit de moteur et un véhicule qui s’approchait, c’était les agents d’entretien qui l’un avec une souffleuse et le véhicule une balayeuse. Tant pis, elle ira faire les courses avant et verra à son retour si c’est possible de terminer ce qu’elle avait commencé bien avant.
Elle sortit de voiture sans abaisser sa jupe, ferma les portes et là seulement elle tira sur sa jupe sous les regards des deux ouvriers qui ont dû s’en rendre compte de sa nudité. Elle se posa la question : vu ou pas vu ? Peu importe, elle commençait à s’exhiber. Au passage, elle récupéra un caddie et débuta ses courses en se promenant entre les rayons et en trouvant le meilleur moment propice à faire savoir qu’elle ne porte pas de culotte ni de soutien-gorge, allant même déboutonner les deux premiers boutons, ainsi les voyeurs se trouvant devant elle auront une vision sur ses seins lorsqu’elle se penchera pour prendre un article dans le bas d’un rayon et ceux qui sont derrière verront le rebond des fesses, voire sa chatte, car elle a trouvé la manière de se baisser sans plier les genoux. Cette exhibition est rapide afin de passer pour une exhibition accidentelle et non provoquée.
Puis elle a remarqué qu’un homme la suivait de loin, pour en être certaine, elle changeait rapidement de rayon puis faisait demi-tour pour revenir au rayon précédent. Ce fut la certitude que cet homme la suivait lorsqu’elle a surgi au coin du rayon, manquant de peu de le cogner avec le caddie. Elle avait maintenant la certitude qu’il avait vu quelque chose, mais sans savoir si elle était avec ou sans. Elle se dit : il va avoir le cœur net d’ici peu. Brigitte se rendit du rayon alimentaire au rayon chaussures dans le but d’acheter une paire d’espadrilles, toujours suivie à distance par le voyeur. Elle s’assura qu’il était là et il faisait comme moi choisir parmi les chaussures sans vraiment les acheter, surtout qu’il était dans les chaussures pour femmes.
Cette fois-ci à la place de me pencher sans plier les genoux, je me suis accroupie, les cuisses légèrement écartées, tout d’abord en direction du rayon, puis lorsque l’allée était déserte, à part le voyeur, je me suis tournée vers lui. Je voyais une bosse se former dans son pantalon. J’ai pris une paire d’espadrilles et me suis redressée pour aller m’asseoir sur le tabouret afin de les essayer. Toujours présent à l’autre bout du rayon, il ne tenait plus en place et il me semble qu’il avait une main dans sa poche du pantalon triturant sa queue. J’ai mis les espadrilles dans le caddie, me suis rajustée en me levant, tirant sur le bas de ma jupe, puis j’ai continué mes achats. Je suis passée à la caisse, j’ai payé mes achats, j’ai remarqué que la caissière fixait mes seins à moitié dénudés. Elle ne dit rien, je m’empressais de remettre mes achats dans le caddie en me demandant où est passé mon voyeur. Soit il abandonne ayant joui dans son froc ou alors il est allé aux toilettes se masturber.
Je suis sortie du centre commercial et il avait l’air de m’attendre, passant à ses côtés, il me toisa de bas en haut sans toutefois dire un seul mot, j’ai eu un sourire en passant à côté de lui et toujours pas pu entendre le son de sa voix, bizarre, je me suis dirigée vers ma voiture, pensant qu’il me suivait, mais il restait assis sur son banc.
Une fois arrivée à ma voiture, je me suis dit ouf, les deux ouvriers sont partis et je peux enfin finir ce que j’avais voulu commencer. J’ouvris le hayon afin de ranger les achats lorsque penchée légèrement dans le coffre, j’ai senti deux mains trousser ma jupe et me caresser les fesses. Surprise, j’ai sursauté et en me retournant, j’ai reconnu mon voyeur dont je n’ai toujours pas entendu le son de sa voix. Il posa sa main dans mon dos, poussa afin que je me penche dans le coffre et en même temps, j’ai senti entre mes fesses un sexe dur chercher à me pénétrer, j’ai écarté mes cuisses et sans attendre, il a glissé sa queue dans ma chatte. Il me lima un long moment, j’ai eu une jouissance, mais sans avoir eu un orgasme. Il s’est retiré en croyant qu’il allait me sodomiser, lorsque je me suis retournée, il était en train de lâcher son foutre dans la haie, il a mis sa queue dans son slip et est parti aussi vite qu’il est venu, et moi j’ai eu affaire à un voyeur baiseur muet.
Ensuite après m’être rajustée, je suis rentrée à la maison, Philippe s’est mis à rire en me voyant débarquer avec ma tête décoiffée, il m’a demandé si la coiffeuse m’avait coiffée avec un pétard, il a tout de suite compris ce qui m’était arrivé, je suis allée prendre une douche et je lui ai tout raconté. Après le déjeuner, il m’a demandé de refaire la même scène du matin ici à la maison en prenant les mêmes poses, en faisant les mêmes gestes, lui se prenant pour le voyeur, le rez-de-chaussée, c’était le centre commercial, les chambres, les rayons et la voiture dehors garée contre la haie tout comme au centre commercial. J’ai même dû remettre la même tenue que je portais. La seule différence était que Philippe me baisait et me sodomisait longuement en me procurant un orgasme et qu’il n’était pas muet !
Philippe et Brigitte
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