Bonjour,
J’ai une confession bien particulière à vous faire aujourd’hui et je suis terriblement excité d’enfin pouvoir en parler à quelqu’un. C’est une histoire taboue que je garde pour moi depuis toutes ces années. Je m’appelle Patrice, j’ai 41 ans et j’habite dans le centre de la France. Ma femme Virginie en a 43 et nous sommes mariés depuis plus de 20 ans.
Notre vie sexuelle va pour le mieux et n’a jamais connu vraiment de haut ni de bas. Nous avons su maintenir la flamme et essayer diverses pratiques au cours des années qui passaient pour que notre désir l’un pour l’autre reste présent. J’ai toujours été fasciné par l’intimité de ma femme. Sa croupe toujours humide et quelque peu odorante m’a toujours excité. Lorsque je dis qu’elle est odorante, comprenez avec des odeurs intimes persistantes. Un jour, ma femme n’a pas eu le temps de prendre sa douche avant de partir travailler et je savais qu’elle avait une odeur et une saveur bien particulière. J’en avais très envie sur le moment et je lui glissais la main dans la culotte. Malheureusement, elle était vraiment pressée et elle m’a dit que je pourrais en profiter que ce soir. Je me suis reniflé les doigts et je bandais comme un taureau. J’ai voulu aller aux toilettes et ma femme avait raté la cuvette avec le papier qui était tombé juste à côté. Je ne sais pour quelle raison j’ai pris ce papier et je l’ai porté à mes narines. Son odeur m’a beaucoup excité. Je lui ai immédiatement envoyé un texto avec une photo de ma bite en érection. Elle m’a répondu qu’elle était vraiment très gonflée et elle voulait savoir ce qui m’avait mis dans cet état. Je lui ai alors envoyé la photo du papier toilette qui était tombé à côté de la cuvette. Il y a eu un gros laps de temps sans réponse. Je me doutais un petit peu de ce qu’elle allait me dire et j’ai été agréablement surpris de sa réponse. Elle m’a dit que si j’avais envie de remplacer le papier toilette, je n’avais qu’à le dire.Tout le reste de la journée, j’ai gardé mon érection qui ne voulait pas retomber. L’excitation était permanente grâce à cette idée de servir de papier toilette à ma femme. Lorsqu’elle est rentrée le soir, j’avais tout préparé pour qu’elle n’ait rien à faire. Mais elle ne me disait rien. Je croyais qu’elle avait oublié sa proposition très excitante. Nous avons mangé, puis je l’ai vu se diriger aux toilettes. J’ai entendu la chasse et je l’ai vue traverser le couloir pour se rendre dans notre chambre. De là, elle m’a appelé en me disant qu’elle était allée uriner et qu’elle ne s’était pas essuyée. Je me suis dépêché de courir dans la chambre et je l’ai trouvé les cuisses écartées allongée sur le lit. Elle avait la chatte détrempée d’urine qui lui coulait le long des lèvres, des cuisses et des fesses. Elle m’a parlé d’un ton cru en m’ordonnant de venir nettoyer tout ça et plus vite que ça ! Je me suis mis entre ses cuisses, je me suis approché et elle m’a attrapé la tête par les cheveux pour la plaquer contre sa chatte pisseuse. Elle m’a forcé à tout nettoyer et a frotté sa chatte sur mon visage. Je sentais l’odeur intime de ma femme mélangée à sa pisse.
Chaque fois que ma femme était à la maison et qu’elle avait envie d’uriner, j’étais présent. Soit elle allait aux toilettes et je la nettoyais, soit elle me pissait directement dessus. Un jour, j’étais assis sur le canapé et je lisais un magazine. Ma femme est allée dans la cuisine boire un coup puis elle est passée derrière le canapé, a soulevé sa jupe et a écarté ses fesses pour les plaquer sur ma tête. Je croyais qu’elle avait envie que je lui bouffe la chatte jusqu’au moment où j’ai senti une pluie d’urine me dégouliner sur le visage et le corps. Le terme de pluie dorée correspond parfaitement à la situation. Ma femme a vidé sa vessie comme elle l’aurait fait dans les toilettes. Et tout cela sans complexe aucun ! Elle s’est essuyée contre ma tête avant de baisser sa jupe et de retourner vaquer à ses occupations. Non sans me dire en partant, que le nettoyage était approximatif et que je me devais ce soir de nettoyer tout cela jusque dans les moindres recoins.
Je vais devoir m’arrêter ici les amis et je continuerai ma confession une prochaine fois. À très vite !
Patrice 41 ans Vichy
Quelle histoire taboue !!! je me bande comme un porc !
Vite vite la suite il me viens des envies inavouables