Je suce les chevaux qui sont dans le pré de mon voisin

Salut,

Je sais que tout le monde va me prendre pour une folle, mais c’est bien pour ça que je n’ai jamais parlé de ma passion et de mon attirance sexuelle pour les animaux. Lorsque j’ai découvert ce blog au mois de décembre, j’ai vu que les gens pouvaient poster leurs expériences privées sans être jugés, et que même au contraire, certains s’étaient mis en contact pour discuter de leurs pratiques.

Je vis à la campagne depuis ma séparation il y a deux ans avec mon ex-mari. Nous avions l’habitude d’avoir une vie sexuelle bien remplie et tout s’est arrêté du jour au lendemain. Je suis allée m’exiler à l’écart de tout pour être tranquille et ne plus voir personne. Au fil de mes journées, la seule chose que je rencontre sont des animaux de la forêt lorsque je me balade plus des vaches et des chevaux.

Mon voisin qui a le champ d’à côté a déplacé ses chevaux cette année. Il les a mis dans le pré qui jouxte ma maison. Il y a deux mâles, trois juments et une ânesse. Je les observe et ça m’excite. Je les vois cette énorme queue en érection avant et après l’acte sexuel. Je me masturbe en les regardant faire et je pense des choses on va dire, pas très normales.

La première fois que ça s’est passé, j’étais en train d’étendre mon linge lorsque j’ai sursauté ! Un des mâles était sorti de la clôture et était venu dans mon jardin. Au début j’ai eu peur, mais j’étais tout de suite excitée en me sentant toute petite par rapport à cet énorme animal ! Je l’ai caressé et il n’était pas sauvage puisqu’il me voyait tous les jours. Lentement, mon regard s’est posé sur sa verge qui était en demie molle. Enfin pour un cheval lol ! C’est-à-dire qu’elle était déjà aussi longue que mon avant-bras. J’ai regardé tout autour de moi et j’étais vraiment seule. J’ai fait glisser ma main vers son sexe et il n’a pas bougé. Ma main n’arrivait pas à faire le tour de cette énorme queue. Je sentais la mouille me couler entre les cuisses et j’avais les seins qui allaient exploser tellement ils étaient tendus !

Beaucoup de choses se sont passées dans ma tête ce moment-là. J’avais envie de me faire prendre par le cheval ! Mais c’était techniquement impossible, je le savais. Alors il m’est venu une idée, celle de sucer cet animal pour le soulager de cette tension sexuelle qu’il semblait avoir. Malheureusement il ne pourrait pas me soulager de la mienne. Je me suis accroupie et j’ai commencé à le branler d’une main puis à deux mains. Sa queue continuait de grossir de plus en plus et moi j’avais l’impression de faire pipi tellement mon jus coulait dans l’herbe. Le cœur battant, j’ai approché ma tête de cette queue en forme de pointe et je l’ai frottée contre mon visage. Je m’attendais à ce que cela sente mauvais, mais pas du tout ! J’ai eu des rapports sexuels avec des hommes qui puaient beaucoup plus que lui !

Ma bouche s’est ouverte et le cheval se laissait faire pendant que j’essayais de gober sa queue. Elle était très grosse et je n’arrivais pas la prendre dans ma bouche. J’ai agrandi ma mâchoire au maximum et j’ai pu enfin enfoncer sa queue entre mes lèvres. Accroupie sous le cheval, la bouche ouverte et prise d’assaut par cette énorme verge, je branlais à deux mains vigoureusement l’équidé qui commençait à hennir. J’avais peur qu’il me mette un coup de sabot ou qu’il parte d’un coup. Mais ses gémissements étaient de plaisir. Sans prévenir, il a joui. Il a déversé l’équivalent d’une bouteille de 50 cl de sperme dans ma bouche. J’ai failli m’étouffer, mais je n’ai pas arrêté. Je branlais et je suçais cette queue qui n’arrêtait pas de déverser sa semence. J’en avais de partout.

Le cheval a henni et il est reparti certainement par là où il était passé pour venir. Moi j’étais comme une conne assise dans l’herbe avec la chatte complètement trempée et la poitrine et la bouche totalement engluées de sperme. Je suis vite rentrée à la maison à l’abri des regards. Je me suis mise nue, j’ai récupéré tout le foutre que j’ai pu sur mes vêtements et je me suis étalé toute cette semence sur mon corps. Je me suis caressé les seins, la chatte, le clitoris et l’anus puis je me suis pénétrée avec mes doigts. J’ai joui comme une folle ! Après être redescendu de cet ascenseur émotionnel, j’ai eu peur parce que j’avais forcément mis de la semence de cheval dans mon vagin. La suite m’a prouvé que je n’avais pas à stresser.

Depuis cet après-midi-là, c’est moi qui vais dans le pré pour m’occuper des animaux et surtout des mâles. Je les branle et je les suce et je repars avec des bols remplis de sperme avec lesquels je joue une fois à la maison nue, dans l’intimité.

Je ne sais pas si quelqu’un a déjà eu des expériences sexuelles avec des chevaux, j’aimerais bien discuter avec lui ou elle pour améliorer ma technique et peut-être passer à la pénétration. C’est ma première expérience de sexe zoophile et je me sens honteuse… mais terriblement excitée ! j’adore la zoophilie !

Merci de m’avoir lue et de ne pas me juger.

Valérie Loudes 43

Valérie est en train d’écrire une seconde histoire qui sera publiée bientôt.

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