Je vivais seule après la mort de mon mari et je n’étais pas prête à me marier, comme on dit. Un ami proche est également décédé peu après mon mari après une longue maladie. Il n’avait personne pour accueillir son chien, un gros chien, et s’en occuper, et je l’ai donc recueilli. Il s’appelle Henry et il est d’une nature calme, pas menaçante pour moi en tout cas. Avec le temps, j’ai commencé à être excité et je pense que c’était plus dû aux changements hormonaux qu’à autre chose.
Mais ne voulant toujours pas socialiser, j’ai commencé à me masturber. C’est en faisant cela qu’un jour, Henry l’a remarqué et a voulu se joindre à moi. Au début, j’ai dit non et il a reculé, mais il m’a quand même regardé attentivement. Il a bandé, ce qui m’a encore plus excitée, et j’ai décidé de le laisser s’approcher. Je n’avais pas l’intention de faire l’amour avec lui, mais seulement de mieux le voir, car je n’avais pas mes lunettes. Il s’est approché de moi, a reniflé ma chatte et, sans rien demander, a commencé à la lécher. J’ai d’abord été choquée et j’ai mis du temps à réagir. Mais j’ai commencé à apprécier son attention, car sa langue faisait mieux que mes doigts.
Je l’ai laissé continuer et j’ai commencé à jouir, puis Henry a décidé de me monter. Il a trouvé l’entrée au bout de sa troisième tentative et m’a baisée très fort. J’étais à la fois heureuse et choquée, mais je n’ai pas essayé de l’arrêter. Une fois qu’il a eu fini, j’étais assez satisfaite. Le lendemain, je le regardais et j’essayais de décider si j’étais allée trop loin en le laissant me baiser, il a commencé à se lécher la bite et j’ai été rapidement excitée. Je lui ai donc demandé de me baiser à nouveau et il est devenu mon amant de prédilection. Il n’y a pas de problèmes relationnels et personne d’autre n’est au courant de notre relation sexuelle.
Le fait qu’il vive avec moi éloigne aussi les étrangers, je crois.
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