Je suis tombée dans la marmite…des plaisirs menstruels
J’avais 10 ans et mes parents venaient d’ouvrir leur boutique d’habits et de lingeries pour dames.
Tout a commencé il y a 2 ans lorsque mon papy et ma mamie, les parents de maman, sont tués dans un accident … un gros camion qui avait pris une route en sens interdit.
On a tous beaucoup pleuré. Maman a hérité de la maison dans notre petite ile de l’atlantique et comme elle venait d’avoir un peu de sous, elle a décidé de se mettre à son compte.
Elle était chef de rayon lingerie aux Galeries Lafayette et ses collègues l’appelaient Madame Chantelle (les soutiens gorge).

Donc, avec papa, ils ont cherché pendant plusieurs mois un magasin à acheter dans le même quartier que les Galeries… trop petit, trop grand, mal disposé, trop cher…
Enfin, ils trouvent un ancien magasin de chaussures – cordonnerie, près de la Chaussée d’Antin.
Je me souviens, lorsqu’on l’a visité la première fois, maman trouvait que c’était sombre, mais c’est vrai que la devanture était belle et surtout bien placée.
L’arrière-boutique était grande avec plein de machines bizarres.
Il y avait une sorte de mezzanine remplie de vieux cartons et il fallait passer par la cour pour rentrer dans cette arrière-boutique.
Enfin, l’affaire fut faite et ils entreprirent de faire faire les travaux d’aménagement qui durèrent au moins 4 mois.
Maman fonçait à la boutique tous les jours à l’une de ses pauses pour surveiller les travaux car papa, avec son boulot de commercial ne pouvait pas être là. D’ailleurs, à part quelques week-ends, il ne restait à la maison que 4 ou 5 jours par mois.
Quand j’y suis retournée, juste avant les grandes vacances, c’était magnifique. Une jolie boutique bien éclairée et maman avait déjà installée ses vitrines. Une avec des vêtements pour femmes, jupes, corsages, pantalons et dans l’autre des sous-vêtements comme ceux qu’elle vendait aux Galeries.
Je me souviens, il y avait aussi de jolis sous-vêtements très sexy pour une certaine clientèle proche, pour « ces dames » comme disait maman.

A la rentrée, maman avait décidé qu’au lieu de payer une nounou pour moi le mercredi, elle m’emmènerait ces matins là et je resterais au magasin avec elle pour faire mes devoirs et apprendre mes leçons.
Ils avaient fait aménager l’arrière-boutique pour le stock et sur la mezzanine, un petit coin travail-repos qui me plaisait bien, c’était presque ma cachette.
On montait là-haut avec une sorte d’escabeau à roulettes que maman appelait la girafe.
En bas, il y avait tous les portants et en haut, beaucoup de cartons et de sacs avec les sous-vêtements.
Côté magasin, il y avait deux cabines d’essayage fermées et des toilettes pour les clientes.
Derrière, ou plutôt sur le côté, car on rentrait dans la cour par une porte sur le trottoir à coté de la boutique, une mini cuisine et une petite salle d’eau avec un WC qui donnaient sur la grande pièce du stock.
C’était bien pensé, comme ça on pouvait manger, se laver et faire pipi…c’était papa qui avait fait les plans.
Voila donc où je passais mes mercredis. De temps en temps je descendais pour venir à la boutique voir maman.
Elle fermait à midi pour rouvrir à 14 heures, ce qui nous laissait le temps de déjeuner, de me faire réciter mes leçons ou contrôler mes devoirs. Souvent elle retournait vers 13h, ou même avant pour préparer des commandes des clientes ou pour faire sa comptabilité.
Un mercredi du mois de mars, on avait déjeuné en vitesse car maman devait, m’avait elle dit, préparer une grosse commande et il fallait qu’elle appelle un fournisseur.
J’étais donc remontée sur la mezzanine.
Bien calée dans mon petit divan qu’on avait rapporté de chez papy-mamie, parce que j’adorais me coucher dedans quand j’étais plus petite pendant les vacances, j’entends le gling gling de la porte du magasin.
Je pense que maman a dû sortir pour parler à quelqu’un.
J’ai allumé la télé en attendant que maman revienne pour me mettre une cassette de dessin animé. Ce sont les infos et j’ai baissé le son car ça ne m’intéresse pas.
Papa nous avait rapporté ce petit téléviseur couleurs avec un lecteur de cassettes en dessous, mais je n’ai le droit de la regarder que si j’ai fini mes devoirs et appris mes leçons.
Il me semble entendre des bruits bizarres, comme des râles, pourtant maman doit être en bas toute seule.
Ça m’intrigue quand même et je me déplace vers où me semblent venir les bruits.
Mais c’est un endroit où papa on m’a bien dit de ne pas m’approcher car le plancher est fragile. Il y a dessus, plein de cartons remplis d’affaires…
Maintenant, il me semble que ce sont des ha…ouiii… haa…, je distingue assez mal, mais c’est vraiment bizarre, je n’ai jamais entendu ça.
Je ne peux pas m’approcher, il y a trop de cartons empilés. Il faut que j’entende mieux !
Ça me semble vraiment très bizarre mais je n’ose pas descendre.
Je vais enlever les cartons qui sont dessus. Les premiers ne sont pas très lourds. Je les déplace et les pose à côté et sur le divan.
J’en déplace plusieurs et je découvre un gros tuyau annelé qui monte vers le plafond.
Au moment où je vais retirer les derniers, qui sont plus lourds que les premiers, le poids me fait basculer et vlan, un carton tombe le long du tuyau.
Je suis dans la pénombre dans ce réduit étroit, et tout d’un coup, une lumière intense m’éblouis… sous mes pieds, le tuyau s’est arraché et il y a un gros trou plein de lumière…et les pochettes qui étaient dans le carton sont éparpillées.
Ce qui m’attire, c’est ce que je vois au travers d’une espèce de petite grille… la cuvette des WC.
Je suis au-dessus des toilettes de la boutique, mais je ne vois que ça… alors je me mets à quatre pattes pour regarder de plus près parce que cette espèce de grille me gêne pour voir sur le côté.
Maman est debout et elle lèche une poitrine et des seins…. En bougeant un tout petit peu, mais, mais …. c’est tata Lucette… elle est collée contre le mur et maman lui mord les tétons…
Une chaleur immense me brûle de partout…
Ella a des petits seins pointus, comme ceux de la grande sœur de ma copine Léa.
J’ai quand même du mal à bien voir par le côté… mais tata Lucette s’assoit sur la cuvette, elle relève sa jupe jusque sous les bras et écarte largement les jambes pendant que les affaires de maman tombent à côté de la cuvette.
C’est bizarre, tata a gardé sa culotte et maintenant, maman est agenouillée devant elle et elle essaie de lui retirer.
Tata se soulève et je vois une énorme couche, toute rouge de sang, collée dedans.
Ça me fait des choses bizarres dans le ventre, comme une envie de faire pipi, mais non, ce n’est pas vraiment ça.
Là, maintenant je suis bien calée et la petite grille ne me gène presque plus… je n’en reviens pas de ce qui se passe …Oui des fois, quand on est en vacances, maman et tata je les entends rire ou alors, il y a aussi de grands silences quand elles sont dans la salle de bains, mais là…
Maman lèche maintenant sa culotte…comme tout à l’heure quand elle lui léchait la poitrine et les seins… Oh, mais c’est la couche qu’elle mange maintenant !!!
Elle pose la culotte et elle se met à quatre pattes, comme moi, et elle lèche le minou de tata, doucement, et sans doute de plus en plus fort car tata commence à râler.
Et maintenant, elle pousse un petit cri.
Je comprends pourquoi… la main de maman est dans son minou, ça fait des gros floc.. floc et il y a plein de petites taches rouges qui se déposent sur le carrelage.
La tête de tata part en arrière, sur le réservoir, elle se cambre de plus en plus, elle se redresse, le ventre et la poitrine tendus. Maman lui a mis l’autre main sur la bouche, mais j’entends quand même ses cris étouffés et soudain elle se cambre complétement, tout son corps est agité de soubresauts et maman est enserrée entre ses cuisses.
La main de maman n’est plus dans son minou, elle repose sur sa cuisse, toute pleine de sang.
En moi, je sens quelque chose qui coule, mais je regarderai tout à l’heure…
Maman et tata qui sont heureuses, elles sont debout et elles s’embrassent bouche dans bouche.
Je vois aussi les épaules de tata avec de longues traces rouges que la main de maman a dû lui faire en la caressant…
Et puis, elles disparaissent, je ne les vois plus. Elles sont certainement devant le lavabo, mais j’ai beau me tortiller pour l’apercevoir, impossible…
Il faut vite que je remette tout en ordre parce que maman va certainement remonter tout à l’heure avant de rouvrir la boutique.
Il faut d’abord que j’arrive à reboucher ce trou qui m’éblouit toujours. Presque à tâtons, je retrouve l’embouchure qui doit servir à aérer les toilettes.
IL faut que j’arrive à reposer le tuyau dessus.
Je continue de tâtonner et j’arrive à le remettre en place, mais est ce qu’il ne va pas ressortir ?
Maintenant, les cartons, ça va très vite… mais il y en a un qui s’est bien renversé. Ce sont des pulls dans leurs pochettes…vite, je les remets dedans.
Ca y est, tout est en place et je me réfugie sur mon divan…Je suis troublée, je mets ma main entre mes cuisses pour tâter ma petite culotte… ce n’est pas possible, j’ai fait pipi!!!
Je descends par mon escabeau – la girafe de maman – et je cours aux toilettes du stock, à côté de la cuisine. Vite, il faut que je regarde si j’ai fait pipi, je m’assois, baisse ma culotte et ça, mais c’est pas du pipi !
J’enlève ma culotte…c’est bizarre, c’est un peu comme de la colle mais l’odeur me plait bien, je sens encore et je ne sais pas pourquoi, sans doute à avoir vu maman et tata, je lèche ma culotte… c’est agréable, ni sucré ni salé…en fait, c’est délicieux…
Ça ne m’était jamais arrivé ça…et je touche ma petite fente, mes doigts sont collants et…que c’est bon…. !!!
De les avoir vues aussi heureuses pendant les règles, ça m’a excitée…un mot que j’emploie aujourd’hui, 30 ans après mais qu’à l’époque je ne connaissais pas et surtout, j’ai découvert le goût subtil de notre mouille, notre jus, notre liqueur de femmes !
Et de voir la jouissance de tata, encore un mot inconnu à cette époque, le plaisir que prenait maman avec sa main dans le minou de tata, avec le sang qui coulait…
Le sang de maman pendant ses règles, je l’avais vu parfois et surtout, je voyais ses tampax dans la petite poubelle des toilettes, bien blanchis…eh oui, elle adorait les sucer !
Dans les années qui ont suivi, j’ai très vite compris quels plaisirs on pouvait avoir avec et pendant nos règles…et je les suce aussi mes OB…. quand je n’ai pas de copine à lécher.
Vous, qui aujourd’hui me connaissez et qui savez ce que nous aimons, en voilà en partie la raison….les gènes sont bien là…
Comme Astérix, je suis tombée dedans étant petite…
A l’époque, maman avait 30 ans et tata Lucette, cliente des Galeries et devenue une très bonne amie de maman, avait 25 ans.
Elle venait d’être nommée professeur de français au lycée Henri IV à Paris et elle profitait de ses heures d’intercours pour venir voir maman à la boutique.
En septembre, je suis rentrée en 6ème, donc je n’allais plus que très rarement à la boutique, mais j’ai encore vu maman et tata Lucette de nombreux week-ends à la campagne, jouir de leurs plaisirs et qui, naturellement, sont devenus très vite les miens et ceux d’autres filles-copines à l’époque, femmes aujourd’hui.
Caline
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